Occurences de l'expression

an

pour REGNARD, Jean-Francois

Options de recherche : partie de mot et  insensible à la casse

LA SÉRÉNADE (1694)

  1. Cependant, Marine, dis-lui que j'ai vendu un collier à la personne qui doit épouser mademoiselle sa fille. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
  2. Je voudrais, Monsieur Mathieu, que vous fussiez étranglé par votre gorge, avec votre diantre de collier. (Acte 1, scène 1, MARINE)
  3. Un courtier d'usure, comme vous, ne doit s'intriguer que d'affaires de contrebande, et laisser les honnêtes filles en repos. (Acte 1, scène 1, MARINE)
  4. Une fille est une marchandise qu'on ne saurait garantir, et l'on n'en a pas plus tôt fait l'emplète qu'on voudrait en être défait à moitié de perte. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
  5. Oui, mais ceux qui font des mariages ne s'embarrassent guère du succès ; et quand ils ont reçu leur pot-de-vin, et que le poisson est dans la nasse, sauve qui peut. (Acte 1, scène 1, MARINE)
  6. Ce n'est pas là ce que je demande. (Acte 1, scène 1, MARINE)
  7. Sa figure n'est peut-être pas des plus ragoûtantes ; mais, comme vous savez, entre l'utile et l'agréable, il n'y a pas à balancer. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
  8. Oui, pour des ladres comme vous, qui ne connaissent d'autre bonheur que celui d'amasser du bien, et de faire travailler leur argent à gros et très gros intérêt : mais pour une jeune personne comme Léonor, qui cherche à passer ses jours dans le plaisir, vous trouverez bon, s'il vous plaît, vous et madame sa mère, qu'elle préfère l'agréable à l'utile ; et que moi, de mon côté, je fasse tout mon possible pour rompre un mariage aussi biscornu que celui-là. (Acte 1, scène 1, MARINE)
  9. Ma pauvre enfant, romps, casse, brise le mariage en mille pièces, je m'en soucie comme de cela. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
  10. Mais je ne songe pas que mon homme m'attend : il veut donner tantôt une sérénade à sa maîtresse. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
  11. Il n'y aurait pas grand mal quand tous ces maquignons de mariages-là seraient au fond de la rivière avec une bonne pierre au cou. (Acte 1, scène 2, MARINE)
  12. Bonjour, ma charmante. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  13. Tel que tu me vois, je sers mon maître sans gages, et incognito. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  14. Cela n'empêche pas que je ne nourrisse quelquefois mon maître quand il est mal avec son père. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  15. Tu me romps si souvent la tête de ton babil, quand je te prie de ne dire mot. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  16. Et tant qu'il te plaira. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  17. Dis si tu peux, mon enfant ; cela est difficile. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  18. Mais voyez cet animal, qui veut m'empêcher de parler ! (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  19. Voilà encore un plaisant visage, pour fermer la bouche à une femme ! (Acte 1, scène 3, MARINE)
  20. Quand on parle bien, on ne parle jamais trop. (Acte 1, scène 3, MARINE)
  21. Va, va, quand je serai morte, je me tairai assez. (Acte 1, scène 3, MARINE)
  22. Jamais tant que tu auras parlé. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  23. Tu sauras pourtant, malgré que tu en aies, que ma maîtresse se marie aujourd'hui avec un homme qu'elle n'a jamais vu ; que sa mère a terminé l'affaire ; qu'elle prie Valère... que la peste te crève ! (Acte 1, scène 3, MARINE)
  24. Le diable puisse t'étrangler. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
  25. Par ma foi, c'est une charmante chose qu'une femme ! (Acte 1, scène 4, SCAPIN)
  26. Quelle complaisance ! (Acte 1, scène 4, SCAPIN)
  27. Marine ne t'a rien dit, elle qui parle tant ? (Acte 1, scène 5, VALERE)
  28. " Si vous m'aimez autant que je vous aime, nous sommes les plus malheureuses personnes du monde. (Acte 1, scène 5, VALERE)
  29. Je dis, monsieur, que ce n'est pas là une lettre-de-change. (Acte 1, scène 5, SCAPIN)
  30. Monsieur, le ciel m'a donné des talents merveilleux pour faire des mariages ; et je puis dire, sans vanité, qu'il n'y a guère de jour qu'il ne m'en passe quelqu'un par les mains. J'en ai même ébauché plus de mille en ma vie qui n'ont jamais été achevés ; mais j'aime trop la propagation de l'espèce, pour avoir le courage d'en rompre aucun. (Acte 1, scène 5, SCAPIN)
  31. Que tu fais mal à propos le mauvais plaisant ! (Acte 1, scène 5, VALERE)
  32. Le vilain usurier qui nous vendit si cher l'argent l'année passée est avec lui. (Acte 1, scène 6, SCAPIN)
  33. Vient-il lui demander ce que je lui dois ? (Acte 1, scène 6, VALERE)
  34. Je vous donnai, il y a huit jours, un sac de mille francs à faire valoir, dont j'ai votre billet, Monsieur Mathieu. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR-GRIFON)
  35. Le bonhomme négocie avec les usuriers aussi bien que nous ; mais ce n'est pas de la même manière. (Acte 1, scène 6, SCAPIN)
  36. Passez tantôt chez moi, ou envoyez-y quelqu'un de votre part, avec un billet de votre main ; cela suffira : c'est de l'argent comptant, Monsieur Mathieu. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR-GRIFON)
  37. Le friand morceau ! (Acte 1, scène 6, SCAPIN)
  38. Mauvaise connaissance qu'un musicien de l'opéra ! (Acte 1, scène 7, MONSIEUR-GRIFON)
  39. De quoi diantre vous avisez-vous de me faire musicien ? (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  40. Vous avez eu le bonheur d'enterrer une première femme, vous hasardez d'en prendre une seconde ; le péril ne vous rebute point : cela est fier, cela est grand, cela est héroïque ; et, pour ma part, je n'ai garde de manquer d'applaudir à une résolution aussi généreuse que la vôtre. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  41. Ce que j'en ai dit, mon père, n'est que par l'intérêt que je prends à votre santé. (Acte 1, scène 7, VALERE)
  42. C'est une fille à qui il ne manque rien. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR-GRIFON)
  43. Ce que je voudrais de vous maintenant, monsieur de l'opéra, ce serait que vous m'aidassiez à donner une petite sérénade à ma maîtresse. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR GRIFON)
  44. Musique italienne, française ; je suis un homme à deux mains. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  45. Demandez à monsieur votre fils. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  46. Ce n'est pas pour me vanter, mais en cas de chanteurs, symphonistes, violistes, téorbistes, clavecinistes, opéra, opérateurs, opératrices, madelonistes, catinistes, margotistes, si difficiles qu'elles soient, j'ai tout cela dans ma manche. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  47. Pour les voix, nous prendrons seulement douze basses, huit concordants, six basses-tailles, autant de quintes, quatre hautes-contre, huit faussets, et douze dessus, moitié entiers et moitié hongres. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  48. Il ne faut pas moins de voix pour accompagner tous les instruments. Laissez-nous faire. Je veux qu'il y ait dans cette musique-là une espèce de petit charivari qui conviendra merveilleusement bien au sujet. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  49. Nous allons, monsieur votre fils et moi, donner maintenant les ordres pour... (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  50. Prenez-la belle et jeune, au moins, surtout d'humeur complaisante ; tous vos amis vous conseilleront la même chose. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
  51. Tout ce que j'ai à me reprocher, madame, c'est que mon obéissance ait si peu de mérite en cette occasion ; et les choses sont dans un état à me permettre d'avouer, sans honte, que votre choix et mon inclination ont un parfait rapport ensemble. (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
  52. Est-ce à moi de parler comme je fais, quand vous êtes si peu sensible, Valère, aux bontés que ma mère a pour nous ? (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
  53. Monsieur mon fils, par quelle aventure est-il mention de vous dans tout ceci ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-GRIFON)
  54. Oui, monsieur ; mademoiselle est fille, monsieur est garçon ; elle est aimable, il est joli homme ; ils ont fait connaissance, ils s'aiment, ils sont dans le goût de s'épouser : y a-t-il rien là que de fort naturel ? (Acte 1, scène 1, MARINE)
  55. Il n'est point question de la nature là-dedans ; c'est la raison et l'intérêt qui font aujourd'hui les mariages. (Acte 1, scène 1, SCAPIN)
  56. Sérieusement parlant, mon père, vous n'êtes point d'âge encore à radoter. (Acte 1, scène 1, VALERE)
  57. Vous avez là un grand garçon bien mal morigéné, monsieur. (Acte 1, scène 1, SCAPIN)
  58. Que dirait-on dans le monde, si, en ma présence, je vous laissais faire une action aussi extravagante que celle-là ? (Acte 1, scène 1, VALERE)
  59. Quoi donc extravagante ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-GRIFON)
  60. Quand il serait mon père cent fois plus qu'il ne l'est encore, je ne souffrirai point que l'amour lui fasse tourner la cervelle jusqu'à ce point-là. (Acte 1, scène 1, VALERE)
  61. Je vous demande pardon pour mon fils, madame. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-GRIFON)
  62. Voilà des enfants bien obstinés. (Acte 1, scène 1, MARINE)
  63. Mais aussi pourquoi vous exposer à vous marier, sans savoir si monsieur votre fils le voudra bien ? (Acte 1, scène 1, MARINE)
  64. Je l'y mettrai bien sans cela. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-GRIFON)
  65. Et moi, je vous réponds de cette petite impertinente-là ; elle vous épousera, ou je la mettrai dans un lieu d'où elle ne sortira de long-temps. (Acte 1, scène 1, MADAME-ARGANTE)
  66. Laisse-moi faire, je veux l'épouser à ta barbe ; je m'en vais dépenser tout mon bien pour m'en faire aimer ; je lui donnerai des présents, des bijoux, des maisons, des contrats, des cadeaux, des festins, des sérénades ; des sérénades, monsieur le musicien ; et je lui ferai des enfants pour te faire enrager. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-GRIFON)
  67. J'ai besoin de me recueillir, vous dis-je ; laissez-moi en repos, et allez fortifier Léonor dans le dessein de ne point épouser votre père. (Acte 1, scène 11, SCAPIN)
  68. Je t'ai vu autrefois le plus adroit grison, et, soit dit entre nous, le plus hardi coquin qu'il y eût en France. (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
  69. La justice aujourd'hui a l'esprit si mal tourné ; il n'y a plus rien à faire dans le commerce : elle prend toujours les choses du mauvais côté. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
  70. J'ai renoncé aux vanités du monde ; et je me suis jeté dans la réforme. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
  71. Toi, dans la réforme ? (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
  72. Oui, mon enfant. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
  73. Ma foi, il n'y a plus que ce métier-là pour faire quelque chose ; il n'y a rien de tel, quand on a de l'argent, que d'en aider des particuliers dans leurs nécessités pressantes. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
  74. Et, dis-moi, es-tu toujours aussi ivrogne qu'avant ta lettre de cachet ? (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
  75. D'où diantre sais-tu tout cela ? (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
  76. Tant mieux. (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
  77. Monsieur Grifon n'est pas au logis ; et, en attendant qu'il vienne, nous pouvons aller renouveler connaissance au cabaret. (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
  78. Monsieur, je vous cherchais pour vous dire que dans peu votre sérénade sera en état. (Acte 1, scène 15, SCAPIN)
  79. Tant mieux ; cela est fort commode pour mon dessein. (Acte 1, scène 15, SCAPIN)
  80. Elle est au désespoir de n'avoir pu se contraindre devant madame sa mère : mais elle dit qu'elle vous hait trop pour se faire la moindre violence. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  81. Elle sait trop bien vivre pour manquer à la civilité. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  82. Je vous demande pardon, monsieur ; je vous respecte trop pour vous rien dire de mon chef qui vous déplaise. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  83. Je ne veux point savoir ses sentiments, tant qu'elle en aura d'aussi ridicules. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
  84. Il ne tiendra pas à moi qu'elle ne change ; et, quelque aversion qu'elle ait pour vous, elle ne laissera pas de vous épouser si elle m'en veut croire. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  85. Vous n'avez que votre âge, votre air et votre visage contre vous : dans le fond, je gagerais que vous avez les meilleures manières du monde. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  86. Voilà une insolente qui, à mon nez, me vient chanter pouille. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
  87. Je suis assez franche, comme vous voyez. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  88. Vous n'avez qu'à mourir, monsieur ; c'est le plus grand plaisir que vous lui puissiez faire. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  89. Ce n'est pas là ce que je te demande. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
  90. C'est, monsieur, que, quand elle s'est mis quelque chose en tête, et qu'on s'avise de la contredire, elle crie, elle peste, elle jure, elle bat, elle mord, elle égratigne, elle estropie même en cas de besoin ; mais, dans le fond, c'est une bonne enfant. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  91. Et avec cela n'a-t-elle point quelque passion dominante ? (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
  92. Elle a du goût pour toutes les belles manières ; elle vend, pour jouer, tout ce qu'elle a ; elle met ses nippes en gage pour aller à l'opéra et à la comédie ; elle court le bal sept fois la semaine seulement ; elle fesse son vin de Champagne à merveille, et sur la fin du repas elle devient fort tendre. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  93. Dans ce siècle-ci, quand un mari laisse faire à sa femme tout ce qu'elle veut, c'est un homme adorable ; on ne peut pas lui demander autre chose. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  94. Mon enfant, tu peux l'assurer de ma part que, si jamais elle est ma femme, je ne la contraindrai jamais en la moindre bagatelle. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
  95. Je vais lui proposer vos conventions ; et comme il n'y a rien dans ces articles-là qui répugne à la coutume, je ne doute point qu'elle ne les accepte. (Acte 1, scène 16, MARINE)
  96. Cette fille-là a quelque chose de bon dans ses manières. (Acte 1, scène 17, MONSIEUR-GRIFON)
  97. Voilà une plaisante figure d'homme ! (Acte 1, scène 18, MONSIEUR-GRIFON)
  98. Avoir l'avantage de lui rendre un petit billet que Monsieur Mathieu m'a fait l'honneur de me donner, afin que ledit Sieur Grifon me fasse la grace de me compter deux mille huit cents livres, restant à payer pour un collier que ledit Sieur Grifon a acheté dudit Sieur Mathieu. (Acte 1, scène 18, SCAPIN)
  99. C'est une gloire que je ne mérite pas, monsieur : je suis seulement son compère, Isaac-Jérôme-Boisme Rousselet, maître marchand fripier ordinaire privilégié suivant la Cour : si l'on peut vous y rendre quelque service, vous n'avez qu'à disposer de votre petit serviteur. (Acte 1, scène 18, SCAPIN)
  100. J'ai des amis en ce pays-là : mon frère est apprenti partisan chez le commis du secrétaire de l'intendant d'un homme d'affaires, et mon oncle est le sous-portier de l'hôtel des fermes. (Acte 1, scène 18, SCAPIN)
  101. Il est vrai, monsieur. J'ai autrefois, par leur moyen, tiré mon parrain des galères, et je sauvai l'année passée une amende honorable à Monsieur sMathieu ; c'est ce qui fait qu'il a beaucoup de confiance en moi. (Acte 1, scène 18, SCAPIN)
  102. Voilà un garçon bien ingénu ; c'est dommage qu'il lui manque un oeil. (Acte 1, scène 18, MONSIEUR-GRIFON)
  103. J'abuse de votre loisir, monsieur, mais ce n'est pas ma faute ; avec deux mille huit cents livres, vous serez débarrassé de mes importunités, et je prendrai congé de vous quand il vous plaira. (Acte 1, scène 18, SCAPIN)
  104. Comptez, Valère, que rien ne me peut faire changer. (Acte 1, scène 20, LÉONOR)
  105. Charmante Léonor, que vous devez me paraître adorable avec de pareils sentiments ! (Acte 1, scène 20, VALERE)
  106. Comment gouvernez-vous la joie avec cette aimable enfant ? (Acte 1, scène 20, SCAPIN)
  107. Par ma foi, voilà un méchant borgne. (Acte 1, scène 20, MARINE)
  108. Pour la main, je l'ai aussi bonne que la langue. (Acte 1, scène 20, MARINE)
  109. C'est dans ce temps-là que je triomphe. (Acte 1, scène 20, MARINE)
  110. J'ai deux ou trois filles de mes amies qui ne m'abandonneront pas dans le besoin. (Acte 1, scène 20, MARINE)
  111. Bon, bon ; il ne me faut pas de plus vaillants champions pour mon dessein. (Acte 1, scène 20, SCAPIN)
  112. Allez m'attendre au prochain détour ; je vous dirai dans un moment ce qu'il faudra faire. (Acte 1, scène 20, SCAPIN)
  113. Il y a deux cents louis neufs dans cette bourse, voyons si je ne me suis point trompé. (Acte 1, scène 21, MONSIEUR-GRIFON)
  114. Il n'importe, monsieur ; pour plus grande sûreté... (Acte 1, scène 21, MONSIEUR-GRIFON)
  115. J'entends quelqu'un qui chante : serait-ce lui ? (Acte 1, scène 23, MONSIEUR-GRIFON)
  116. Je suis plus pesant que de coutume, et je ne sais si mes jambes pourront porter au logis tout le vin que j'ai bu. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  117. Palsembleu, si je le savais, je ne le demanderais pas. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  118. Que cherches-tu dans ce quartier ? (Acte 1, scène 23, MONSIEUR-GRIFON)
  119. Je suis pourtant venu pour quelque chose. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  120. Ce Monsieur Mathieu donc, comme de vilain à vilain il n'y a que la main, il est arrivé que, par la concomitance d'un collier..., enfin je ne me souviens pas bien de tout cela. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  121. Comme Monsieur Mathieu est un vilain, je ne gagne pas grand'chose ; mais je suis sobre. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  122. Je l'avais pourtant avant que d'aller au cabaret. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  123. Vous en demandez trop. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  124. Quand on a bu, on ne peut pas retrouver sa maison, vous voulez que je retrouve un billet : il n'y a pas de raison à cela. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  125. J'étais de sang froid quand je l'ai perdu, je le retrouverai quand je serai de sang froid, cela est infaillible. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
  126. Il faut vous servir à la française. (Acte 1, scène 26, SCAPIN)
  127. Amis, tenez-vous tous prêts ; la bête est dans nos filets. Lorsqu'un vieux fou s'échappe d'être amoureux sur ses vieux ans, il faut qu'il mette la nappe, et qu'on boive à ses dépens. (Acte 1, scène 26, SCAPIN)
  128. Se mit dans la cervelle v.11 (Acte 1, scène 26, UNE-MUSICIENNE)
  129. Il pria les oiseaux de chanter à la fête : v.15 (Acte 1, scène 26, UNE MUSICIENNE)
  130. Tout s'enfuit en voyant une si laide bête ; v.16 (Acte 1, scène 26, UNE MUSICIENNE)
  131. Faut-il faire tant de bruit pour un méchant justaucorps ? (Acte 1, scène 26, SCAPIN)
  132. Ils fouillent dans mes poches, monsieur le musicien, et prennent ma bourse. (Acte 1, scène 26, MONSIEUR-GRIFON)
  133. Ils fouillent aussi dans les miennes, mais il n'y a rien ; ils seront bien attrapés. (Acte 1, scène 26, SCAPIN)
  134. Quand une fille se marie, elle a besoin d'un collier. (Acte 1, scène 27, VALERE)
  135. Vous voulez bien, monsieur, que je vous fasse aussi mes petites excuses, et que je vous dise que le borgne à qui vous avez tantôt donné deux cents louis, c'était moi ; que je ne suis qu'une façon de musicien. (Acte 1, scène 27, SCAPIN)
  136. Tant mieux : voilà peut-être la première chose qu'il ait donnée de sa vie. (Acte 1, scène 27, MARINE)
  137. J'offre ici mon savoir-faire à tous ceux qui n'ont point d'argent ; je crois que le nombre en est grand, et je n'aurai pas peu d'affaire. (Acte 1, scène 27, SCAPIN)
  138. Malgré toute ma ressource, gardez-vous d'un sexe enchanteur : non content de prendre le coeur, il en veut encore à la bourse. (Acte 1, scène 27, SCAPIN)

LE JOUEUR (1692)

  1. Il est, parbleu, grand jour. Déjà de leur ramage v.1 (Acte 1, scène 1, HECTOR)
  2. Je serais dans la suite un conseiller du roi, v.8 (Acte 1, scène 1, HECTOR)
  3. J'aurais un bon carrosse à ressorts bien liants ; v.11 (Acte 1, scène 1, HECTOR)
  4. De ma rotondité j'emplirais le dedans : v.12 (Acte 1, scène 1, HECTOR)
  5. Et tel change de meuble et d'habit chaque lune, v.14 (Acte 1, scène 1, HECTOR)
  6. Va, mon maître ne voit personne quand il dort. v.19 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  7. Quand se lèvera-t-il ? v.25 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  8. Mais, avant qu'il se lève, v.25 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  9. Il faudra qu'il se couche ; et franchement... v.26 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  10. Dans un maudit brelan, ton maître joue et perd, v.32 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  11. Peut-être il parle au ciel d'une étrange manière. v.34 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  12. Par ordre très exprès d'Angélique, aujourd'hui v.35 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  13. Des serments les plus forts appuyant sa tendresse, v.37 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  14. Cependant... v.41 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  15. Consigne entre tes mains pour avoir Angélique. v.42 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  16. Et quand cela serait, n'aurais-je pas raison ? v.43 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  17. Angélique, entre nous, serait extravagante v.45 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  18. De rejeter l'amour qu'à pour elle Dorante : v.46 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  19. L'amour se plaît un peu dans le dérèglement. v.48 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  20. Un amant fait et mûr. v.49 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  21. Qui n'ont, pour imposer, qu'un grand air débraillé, v.55 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  22. Qui, faisant le gros dos, la main dans la ceinture, v.61 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  23. Mon enfant. v.64 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  24. Qu'elle épouse un joueur, un petit brelandier, v.67 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  25. Un franc dissipateur, et dont tout le métier v.68 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  26. Ton sermon me paraît un tant soit peu brutal. v.72 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  27. Mais, tant que tu voudras, parle, prêche, tempête, v.73 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  28. Et crois-tu, dans ta tête, v.74 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  29. Que l'amour sur son coeur ait un si grand pouvoir ? v.75 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  30. Dorante, par mes soins, l'épousera. v.77 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  31. Elle est dans nos filets. v.78 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  32. Que Dorante a pour lui Nérine et la raison. v.80 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  33. Quand l'amour veut parler, la raison doit se taire, v.82 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  34. Dans les femmes, s'entend. v.83 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  35. Quand la raison agit, l'amour a le dessous. v.84 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  36. Ton maître est un amant d'une espèce plaisante ! v.85 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  37. Son feu pour Angélique est un flux et reflux. v.87 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  38. Mais en revanche aussi, quand il n'a pas un sou, v.91 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  39. De lui donner dans peu, pour prix de son amour, v.95 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  40. Son portrait enrichi de brillants tout autour. v.96 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
  41. Et Dorante en sera possesseur aujourd'hui. v.100 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  42. Étant fils de famille, ayant encor son père, v.102 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  43. Qu'il vive comme il fait, et que, comme un banni, v.103 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  44. Depuis un an il loge en un hôtel garni ? v.104 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  45. Est-ce de même, dis ? Ma maîtresse Angélique, v.106 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  46. Et la veuve sa soeur, ne sont dans ce pays v.107 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
  47. Que Valère toujours est faux dans sa promesse ; v.118 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
  48. Autant que je m'y puis connaître, v.121 (Acte 1, scène 3, HECTOR)
  49. A-t-elle grand tort ? Non, c'est un panier percé, v.123 (Acte 1, scène 3, HECTOR)
  50. Que je suis un grand chien ! Parbleu, je te saurai, v.135 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  51. Tant mieux. v.143 (Acte 1, scène 4, HECTOR)
  52. Je veux dormir dans ce fauteuil. v.143 (Acte 1, scène 5, VALÈRE)
  53. Je dois de tous côtés, sans espoir, sans ressource, v.145 (Acte 1, scène 5, VAL?RE)
  54. Et n'ai pas, grâce au ciel, un écu dans ma bourse. v.146 (Acte 1, scène 5, VAL?RE)
  55. Venu maint créancier ; de plus, un gros visage, v.154 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  56. Qu'on vend cher maintenant l'argent à la jeunesse ! v.161 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  57. Mais enfin, j'ai tant fait, avec un peu d'adresse, v.162 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  58. Qu'elle m'a reconduit d'un air fort obligeant ; v.163 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  59. Vous êtes aussi bon que banquier de la ville. v.170 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  60. Il ne faut maintenant que lui donner des gages. v.174 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  61. Pour nippes, nous n'avons qu'un grand fonds d'espérance v.177 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  62. Sur les produits trompeurs d'une réjouissance ; v.178 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  63. Et dans ce siècle-ci, messieurs les usuriers, v.179 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  64. Elle viendra tantôt elle-même en personne, v.182 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  65. Mais, Monsieur, s'il vous plaît, pour changer de propos, v.184 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  66. Aimeriez-vous toujours la charmante Angélique ? v.185 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  67. Tant pis : c'est un signe fâcheux. v.187 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  68. Quand vous êtes sans fonds, vous êtes amoureux ; v.188 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  69. Et quand l'argent renaît, votre tendresse expire. v.189 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  70. Un thermomètre sûr, tantôt bas, tantôt haut, v.191 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  71. Marquant de votre coeur ou le froid ou le chaud. v.192 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  72. Me fasse abandonner cette aimable personne. v.194 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  73. Oui, mais j'ai bien peur, moi, qu'on ne vous plante là. v.195 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  74. Nérine sort d'ici, qui m'a dit qu'Angélique v.197 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  75. Pour Dorante votre oncle en ce moment s'explique ; v.198 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  76. Point. Sans présomption, v.204 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  77. Mais si, sans vouloir rire, v.205 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  78. Et qu'Angélique enfin pût changer... v.207 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  79. C'est, dans son caractère, une espèce parfaite, v.217 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  80. Grand épouseur aussi, la galope et la flaire. v.222 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  81. Un marquis de hasard fait par le lansquenet ; v.224 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  82. Fort brave, à ce qu'il dit, intrigant, plein d'affaires ; v.225 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  83. Était valet de chambre avant d'être marquis. v.228 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
  84. Pour toi, j'ai quelques coups de canne à te prêter. v.231 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  85. Que votre train de vie est si fort scandaleux, v.235 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  86. Je ne puis retenir ma bile davantage, v.237 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
  87. Vous êtes pilier-né de tous les lansquenets, v.239 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
  88. Qui sont, pour la jeunesse, autant de trébuchets. v.240 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
  89. Dans ces lieux, jour et nuit, ce n'est que brigandage. v.242 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
  90. J'aime les jeux galants où l'esprit se déploie. v.245 (Acte 1, scène 7, HECTOR)
  91. Risque plus volontiers, et perd plus sans se plaindre. v.250 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  92. J'étais las, attendant chez moi votre retour, v.255 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  93. Dans leurs dérèglements ressemblent à la lune, v.258 (Acte 1, scène 7, HECTOR)
  94. Se couchant le matin, et se levant le soir. v.259 (Acte 1, scène 7, HECTOR)
  95. Que si vous ne changez de vie et de manière, v.261 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  96. On croirait qu'il viendrait, dans la forêt voisine, v.266 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  97. Parlez, que dois-je enfin espérer dans la suite ? v.270 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  98. Quand ils n'ont pas un sou, voilà de leur morale. v.274 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  99. Mon oncle aspire dans ce jour v.279 (Acte 1, scène 7, VALÈRE)
  100. À m'ôter d'Angélique et la main et l'amour : v.280 (Acte 1, scène 7, VAL?RE)
  101. Angélique est fort riche, et point du tout coquette, v.286 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  102. Payer tes créanciers... v.289 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
  103. Il me manque environ quatre ou cinq mille francs. v.291 (Acte 1, scène 7, VALÈRE)
  104. Non. Quand vous le verrez vivre en homme de bien, v.304 (Acte 1, scène 7, HECTOR)
  105. Modérez ce transport ; v.308 (Acte 1, scène 7, VALÈRE)
  106. Je vais voir Angélique ; et mon coeur se propose v.310 (Acte 1, scène 7, VAL?RE)
  107. Et que j'aurai l'honneur de vous montrer dans peu. v.315 (Acte 1, scène 8, HECTOR)
  108. Non, quand ce ne serait que pour le contredire, v.317 (Acte 1, scène 9, GÉRONTE)
  109. Docteur dans tous les jeux, et maître de trictrac : v.324 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  110. Quoi ! Vous montrez, Monsieur, un tel art dans Paris ? v.328 (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  111. Comment ! Je vous soutiens que dans tous les états v.331 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  112. Qu'un enfant de famille, et qu'on veut bien instruire, v.333 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  113. Devrait savoir jouer avant que savoir lire. v.334 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  114. De chanteurs, de danseurs, qui montrent par la ville ? v.338 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  115. Un jeune homme en est-il plus riche quand il sait v.339 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  116. Chanter ré mi fa sol, ou danser un menuet ? v.340 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  117. Paiera-t-on des marchands la cohorte pressante v.341 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  118. Avec un vaudeville ou bien une courante ? v.342 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  119. Dans mon art au plus tôt se fasse initier ? v.344 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  120. Qu'il sache, quand il perd, d'une âme non commune, v.345 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  121. En le divertissant, l'enrichisse à jamais ? v.348 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  122. Mille usuriers fournis de ces obscurs brillants, v.351 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  123. Qui vont de doigts en doigts tous les jours circulants ; v.352 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  124. Des gascons à souper dans les brelans fidèles ; v.353 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  125. Des chevaliers sans ordre ; et tant de demoiselles v.354 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  126. Qui, sans le lansquenet et son produit caché, v.355 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  127. Pleurent d'avoir trop mis à la réjouissance. v.362 (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  128. En suivant mes leçons, on court peu ce hasard. v.364 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  129. Je sais, quand il le faut, par un peu d'artifice, v.365 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  130. Je sais dans un trictrac, quand il faut un sonnez, v.367 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  131. Et quand mon plein est fait, gardant mes avantages, v.369 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  132. Qui, n'offrant à mon gré que des as à tous coups, v.371 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  133. Me font en un instant enfiler douze trous. v.372 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  134. De venir dans ces lieux montrer votre science ? v.374 (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  135. Je ne sais qui me tient, tant je suis animé, v.383 (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  136. Puisque aujourd'hui votre humeur pétulante v.385 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  137. Vous rend l'âme aux leçons un peu récalcitrante, v.386 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  138. Vous plairait-il de m'avancer le mois ? v.388 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
  139. Il me prenait pour lui dans cette occasion. v.392 (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
  140. Sachons ce qu'il a fait ; et, sans plus de mystère, v.393 (Acte 1, scène 11, G?RONTE)
  141. Mon coeur serait bien lâche, après tant de serments, v.395 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
  142. Je sens la liberté de retour dans mon coeur. v.399 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
  143. Mon coeur est maintenant certain de sa victoire. v.409 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
  144. Non ; l'amour de mon coeur est banni sans retour. v.412 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
  145. Cet hôte dans un coeur a bientôt fait son gîte ; v.413 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
  146. S'il venait à l'instant, v.415 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
  147. Avec cet air flatteur, soumis, insinuant, v.416 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
  148. Il vous dît à vos pieds : "Non, charmante Angélique, v.418 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
  149. Peut-être en ce moment pour vous épouvanter, v.424 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
  150. Il ne se fera pas grand mal. v.430 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
  151. Vous épousez Dorante. v.434 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  152. Rien n'est plus à craindre dans la vie, v.441 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  153. Qu'un époux qui du jeu ressent la tyrannie. v.442 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  154. Ivrogne, sans esprit, débauché, sot, colère, v.445 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  155. Je sais que ce défaut est le plus grand de tous. v.447 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
  156. Moi ? Non : dans ce dessein nos humeurs sont conformes. v.449 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
  157. Il a, ma foi, reçu son congé dans les formes. v.450 (Acte 2, scène 2, NÉRINE)
  158. Ce joueur, qu'à l'instant ?... v.453 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
  159. Et pourquoi non, ma soeur ? Fais-je donc un grand crime v.457 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  160. Pour garder du défunt le souvenir charmant, v.460 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  161. Mais qu'est-ce qu'un portrait, quand on aime bien fort ? v.463 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  162. C'est un époux vivant qui console d'un mort. v.464 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  163. Après un si long temps de pleine jouissance, v.474 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
  164. Vos attraits sont à vous sans contestation. v.475 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
  165. Sans doute. Et je vois bien qu'il n'est pas impossible v.477 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
  166. L'or est d'un grand secours pour acheter un coeur ; v.479 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
  167. Ce métal, en amour, est un grand séducteur. v.480 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
  168. En vain vous m'insultez avec un tel langage ; v.481 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  169. Et jamais, en aimant, je ne fis de faux frais. v.484 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  170. Si je connais l'amour, ce n'est que dans les autres. v.486 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  171. Un conseiller de robe, un seigneur de finance, v.489 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  172. Dorante, le marquis briguent mon alliance ; v.490 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  173. Quand on veut inspirer une solide amour, v.499 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  174. Par l'usage du monde, et des ans confirmée. v.502 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
  175. Madame est prévoyante, elle a pris les devants. v.504 (Acte 2, scène 2, NÉRINE)
  176. Et j'y serais encor dans des peines mortelles, v.509 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  177. Que monsieur le Marquis est galant sans fadeur ! v.511 (Acte 2, scène 4, LA COMTESSE)
  178. Mais, à vous parler net, sans que l'esprit fatigue, v.513 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  179. Vous rencontrez le tuf. J'y pourrais m'agrandir ; v.524 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  180. J'ai de l'esprit, du coeur, plus que seigneur de France ; v.525 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  181. Je joue, et j'y ferais fort bonne contenance : v.526 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  182. Il vous est obligé, Monsieur, de tant de peine. v.529 (Acte 2, scène 4, NÉRINE)
  183. Ces fades compliments sur de grands mots montés, v.531 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  184. Ces grands embrassements dont un flatteur vous lie, v.534 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  185. Leur sotte vanité croit ne pouvoir trop haut v.539 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  186. L'hiver, dans un fauteuil, avec des citoyennes, v.542 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  187. Les pieds sur les chenets étendus sans façons, v.543 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  188. Valet, filles de chambre, enfants, tout est honnête : v.546 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  189. L'époux même discret, quand il entend minuit, v.547 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  190. Me laisse avec madame, et va coucher sans bruit. v.548 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  191. Voilà comme je vis, quand parfois dans la ville v.549 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  192. La manière est facile ; v.550 (Acte 2, scène 4, NÉRINE)
  193. Je suis tout naturel, et j'aime la franchise : v.553 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  194. Et quand de mon amour je vous fais un aveu, v.555 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
  195. Vous me parlez, Marquis, une langue inconnue : v.558 (Acte 2, scène 4, LA COMTESSE)
  196. Dans la bouche d'un autre il deviendrait plus doux. v.563 (Acte 2, scène 4, ANGELIQUE)
  197. Croirait-on qu'une veuve aurait tant de pudeur ? v.568 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  198. Nous nous verrons dans peu. v.572 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  199. Le droit de bienséance avec celui d'aubaine. v.574 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  200. Et sais, quand il le faut, oublier un secret. v.584 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  201. Quel est, en vous aimant, le but de ses désirs, v.587 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
  202. Je le lirai tantôt. v.590 (Acte 2, scène 5, LE_MARQUIS)
  203. Et que ce soir, sans bruit... v.596 (Acte 2, scène 7, 3eme_LAQUAIS)
  204. Tu prendras ce manteau, fait pour bonne fortune, v.597 (Acte 2, scène 7, LE_MARQUIS)
  205. De couleur de muraille ; et tantôt, sur la brune, v.598 (Acte 2, scène 7, LE, MARQUIS)
  206. Va m'attendre en secret où tu fus avant-hier, v.599 (Acte 2, scène 7, LE, MARQUIS)
  207. Adieu, charmant objet : à regret je vous quitte. v.605 (Acte 2, scène 8, LE_MARQUIS)
  208. C'est un pesant fardeau d'avoir un gros mérite. v.606 (Acte 2, scène 8, LE, MARQUIS)
  209. Cet homme-là vous aime épouvantablement. v.607 (Acte 2, scène 9, NÉRINE)
  210. Il ne m'a pourtant vue encore que deux fois. v.611 (Acte 2, scène 9, LA COMTESSE)
  211. Il tremble en approchant. v.614 (Acte 2, scène 10, NÉRINE)
  212. J'aime un amant timide, v.614 (Acte 2, scène 10, LA COMTESSE)
  213. Et quel plaisir de dire, en des transports si doux, v.619 (Acte 2, scène 10, VALÈRE)
  214. Non. Enfin, belle Angélique, v.625 (Acte 2, scène 10, VALÈRE)
  215. Le mien est tout à vous, et jamais dans un coeur... v.627 (Acte 2, scène 10, VAL?RE)
  216. Angélique ! v.628 (Acte 2, scène 10, LA COMTESSE)
  217. Ont laissé dans mon coeur de place à d'autres feux. v.632 (Acte 2, scène 10, VALÈRE)
  218. Exiger des amants trop de sincérité. v.636 (Acte 2, scène 10, ANGELIQUE)
  219. C'est un extravagant ; il est tout fait pour vous. v.644 (Acte 2, scène 10, LA COMTESSE)
  220. Ne m'abandonne point. v.649 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
  221. De vos beaux yeux pourtant, cruelle, il est l'ouvrage. v.653 (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
  222. De nourrir dans mon coeur des désirs partagés ; v.655 (Acte 2, scène 11, VAL?RE)
  223. Non, ne vous présentez jamais devant mes yeux. v.664 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
  224. Jamais ! Ah ! Que ce mot est cruel quand on aime ! v.666 (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
  225. Qu'un amant mort pour nous nous mettrait en crédit ! v.672 (Acte 2, scène 11, NÉRINE)
  226. Et je tremble de peur quand une épée est nue. v.679 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
  227. Que les amants sont sots ! v.680 (Acte 2, scène 11, NÉRINE)
  228. Ce coeur sans qui le jour me devient odieux. v.685 (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
  229. Soit mis avec moi dans le même tombeau, v.701 (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
  230. Que l'esprit d'une fille est changeant et bizarre ! v.703 (Acte 2, scène 11, NÉRINE)
  231. Est-il dans l'univers de mortel plus heureux ? v.708 (Acte 2, scène 12, VALÈRE)
  232. Je suis tout transporté. Vois, considère, admire : v.711 (Acte 2, scène 13, VALÈRE)
  233. Angélique m'a fait ce généreux présent. v.712 (Acte 2, scène 13, VAL?RE)
  234. Que les brillants sont gros ! Pour être plus content, v.713 (Acte 2, scène 13, HECTOR)
  235. Hé ! Bonjour, mon enfant : tu ne peux concevoir v.716 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  236. Jusqu'où va dans mon coeur le plaisir de te voir. v.717 (Acte 2, scène 14, VAL?RE)
  237. Je vous suis obligée on ne peut davantage. v.718 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  238. Vous voilà, sans mentir aussi noire qu'un four. v.720 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
  239. J'en connais bien pourtant, qui ne me valent pas, v.724 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  240. Mais pour moi je n'ai point cette sotte manie ; v.726 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  241. Sur des gages, Monsieur ? C'est une médisance ; v.738 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  242. Pour des nantissements qui valent bien leur prix, v.740 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  243. Des diamants usés, et qu'on ne saurait vendre, v.742 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  244. Sans risquer mon honneur, je crois que j'en puis prendre. v.743 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  245. Oh ! Parbleu, nous marchons sans crainte des filous. v.745 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
  246. Compte, ma pauvre enfant, que ma mort est certaine, v.747 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  247. Si je n'ai dans ce jour mille écus. v.748 (Acte 2, scène 14, VAL?RE)
  248. Je voudrais les avoir ; ce serait de grand coeur. v.749 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  249. Ma charmante, mon coeur, ma reine, mon aimable, v.750 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  250. Sans des nantissements il ne faut rien prétendre. v.754 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
  251. Écoute... nous avons le portrait d'Angélique. v.759 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  252. Dans le temps difficile il faut un peu s'aider. v.760 (Acte 2, scène 14, VAL?RE)
  253. N'ayant pas son portrait, l'en aimerai-je moins ? v.765 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  254. Il est vrai. J'ai tantôt cette grosse partie v.767 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  255. Que peut dire Angélique alors qu'elle apprendra v.772 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
  256. Dans une heure au plus tard nous irons le reprendre. v.774 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  257. Dans une heure ? v.775 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
  258. On ne perd pas toujours, je gagnerai sans doute. v.778 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  259. Je sais que ce micmac ne vaut rien dans le fond. v.780 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
  260. Peut-on, sur ce bijou, sans trop de complaisance ?... v.782 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  261. Oui, je puis maintenant prêter en conscience ; v.783 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  262. Je vois des diamants qui répondent du prêt, v.784 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  263. Voilà les mille écus comptés dans cette bourse. v.786 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  264. Au moins, ne manquez pas de revenir tantôt : v.788 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
  265. Volontiers. Nous aimons à changer de la sorte. v.790 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
  266. Adieu, juif, le plus juif qui soit dans tout Paris. v.793 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
  267. Me dit que la fortune est pour moi dans ce jour. v.797 (Acte 2, scène 15, VALÈRE)
  268. Qu'Angélique est une âme légère, v.806 (Acte 3, scène 1, NÉRINE)
  269. Quoique pour mon amour ce coup soit assommant, v.808 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
  270. Je ne suis point surpris d'un pareil changement. v.809 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
  271. Je sais que cet amant tout entière l'occupe : v.810 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
  272. Et que la voir heureuse est mon plus grand bonheur. v.820 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
  273. Oui, Monsieur, Angélique épousera Valère ; v.822 (Acte 3, scène 2, HECTOR)
  274. Tant mieux. v.823 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
  275. Qu'est-ce ? Eh bien ! Qu'avez-vous ? Vous êtes tout changé ! v.824 (Acte 3, scène 2, G?RONTE)
  276. Et quand je perds un coeur qui cherche à s'éloigner, v.828 (Acte 3, scène 2, DORANTE)
  277. Voilà les sentiments d'un héros de Cassandre. v.830 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
  278. Entre nous, vous aviez fort grand tort de prétendre v.831 (Acte 3, scène 2, G?RONTE)
  279. L'amour est un enfant qui badine avec elles : v.835 (Acte 3, scène 2, DORANTE)
  280. Et quand, à certain âge, on veut se faire aimer, v.836 (Acte 3, scène 2, DORANTE)
  281. Le pauvre enfant ! Son sort me fait pitié. v.844 (Acte 3, scène 3, GÉRONTE)
  282. Que Mathurin Géronte aurait tantôt promis, v.860 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  283. Et promet maintenant de payer pour son fils." v.861 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  284. Pour gages de cinq ans, frais, mises, loyaux-coûts." v.865 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  285. Ce nom n'étant point fait du tout à la propice v.867 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  286. Le beau nom ! Il devait appeler Angélique v.870 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
  287. Pour l'avoir, sans relâche, un an, sur sa parole, v.883 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  288. Habillé, voituré, coiffé, chaussé, ganté, v.884 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  289. "De plus, à Margot De La Plante, v.890 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  290. Personne de ses droits usante et jouissante, v.891 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  291. Est dû loyalement deux cent cinquante écus v.892 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  292. Deux cent cinquante écus ! v.896 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
  293. Demandez ; c'est, Monsieur, un prix fait en hiver. v.897 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  294. Et vous allez bien voir que le compte suivant, v.900 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  295. Payé fidèlement, se monte à presque autant. v.901 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  296. C'est ce négociant, ce banquier si fameux. v.904 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
  297. Mort aux champs de Fleurus, nous doit dix mille francs. v.909 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
  298. Il a les yeux sereins et l'accueil avenant. v.925 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  299. J'ai vu, chemin faisant, aussi Monsieur Dorante : v.930 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  300. Mille deux cent cinquante. v.931 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
  301. J'ai vu pareillement, par votre ordre, Angélique ; v.934 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  302. Sans les cruels revers de deux coups inouis, v.936 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
  303. Je parle d'Angélique, et depuis fort longtemps. v.941 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  304. Ah ! D'Angélique ? Eh bien ! Comment suis-je avec elle ? v.942 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
  305. Quelle glace ! Tantôt vous étiez tout de flamme. v.947 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  306. Ai-je tort quand je dis que l'argent de retour v.948 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  307. Vous fait faire toujours banqueroute à l'amour ? v.949 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  308. J'aime autant que jamais ; mais sur ma passion v.952 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
  309. J'ai fait, en te quittant, quelque réflexion. v.953 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
  310. Des parents, des enfants, une femme, un ménage, v.955 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
  311. Il n'est point dans le monde un état plus aimable v.958 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
  312. Il traîne en tous les lieux la joie et l'abondance : v.962 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
  313. La porte, à son aspect, s'ouvre à deux grands battants. v.968 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
  314. Là, vous trouvez toujours des gens divertissants ; v.969 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
  315. Portent de tout Paris le lardon scandaleux ; v.973 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
  316. Des plaisants qui font rire avant que de parler. v.977 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
  317. D'accord. Mais quand on perd, tout cela vous ennuie. v.979 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  318. La femme du banquier, dorée et triomphante, v.982 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
  319. Là, sans distinction, on voit aller de pair v.984 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
  320. De sa naissance ainsi l'on venge les caprices. v.987 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
  321. À ce qu'on peut juger de ce discours charmant, v.988 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  322. Vous voilà donc en grâce avec l'argent comptant. v.989 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  323. Tant mieux. Pour se conduire en bonne politique, v.990 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  324. Il faudrait retirer le portrait d'Angélique. v.991 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  325. Je dois jouer tantôt. v.992 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
  326. Je n'ai pas, en cinq ans, encor reçu cinq sous. v.997 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
  327. Je viens pourtant ici souvent faire ma cour ; v.1008 (Acte 3, scène 7, MADAME ADAM)
  328. Je viens vous demander... v.1015 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR GALONIER)
  329. Nous aurions grand besoin d'un peu d'argent comptant. v.1021 (Acte 3, scène 7, MADAME ADAM)
  330. Donnez-moi cent écus sur et tant moins des dettes. v.1030 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR GALONIER)
  331. Vous avisez-vous là de faire des enfants ? v.1032 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
  332. Seulement deux cents francs. v.1033 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR GALONIER)
  333. Et mais... si j'en avais... comptez que dans la vie v.1034 (Acte 3, scène 7, VALÈRE)
  334. Personne de payer n'eut jamais tant d'envie. v.1035 (Acte 3, scène 7, VAL?RE)
  335. Demandez... v.1036 (Acte 3, scène 7, VAL?RE)
  336. S'il avait quelques deniers comptants, v.1036 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
  337. Ne me paierait-il pas mes gages de cinq ans ? v.1037 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
  338. Mais quand faudra-t-il donc, Monsieur, que je revienne ? v.1039 (Acte 3, scène 7, MADAME ADAM)
  339. Mais... quand il vous plaira... dès demain ; que sait-on ? v.1040 (Acte 3, scène 7, VALÈRE)
  340. Je vous avertirai quand il y fera bon. v.1041 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
  341. Non, je ne vis jamais d'animal si tenace. v.1043 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
  342. Vous plaira dans la suite autant et plus qu'à moi. v.1045 (Acte 3, scène 7, VALÈRE)
  343. Avec mes créanciers doit me tirer d'affaire. v.1047 (Acte 3, scène 7, VAL?RE)
  344. Il me faut de l'argent cependant. v.1048 (Acte 3, scène 7, MADAME ADAM)
  345. Cette raison vaut mieux que de l'argent comptant. v.1049 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
  346. Sera-ce dans ce jour ? v.1052 (Acte 3, scène 7, MADAME ADAM)
  347. Voilà des créanciers assez bien régalés. v.1057 (Acte 3, scène 8, HECTOR)
  348. Vous devriez pourtant, en fonds comme vous êtes... v.1058 (Acte 3, scène 8, HECTOR)
  349. Si tant d'honnêtes gens ne les payent jamais. v.1061 (Acte 3, scène 8, HECTOR)
  350. C'est là le soupirant ? v.1063 (Acte 3, scène 9, VALÈRE)
  351. Je suis pourtant fort connu dans la ville ; v.1074 (Acte 3, scène 11, LE_MARQUIS)
  352. Je suis le chansonnier et l'âme du festin. v.1081 (Acte 3, scène 11, LE, MARQUIS)
  353. Mes aïeux sont connus ; ma race est ancienne ; v.1086 (Acte 3, scène 11, LE, MARQUIS)
  354. Vous voyez que je suis gentilhomme manceau. v.1089 (Acte 3, scène 11, LE, MARQUIS)
  355. Jeté, sans y songer, quelque amoureuse flamme. v.1091 (Acte 3, scène 11, LE_MARQUIS)
  356. Vous le croyez sans peine : on est fait d'un modèle, v.1094 (Acte 3, scène 11, LE, MARQUIS)
  357. C'est prétendre arrêter un torrent dans son cours. v.1097 (Acte 3, scène 11, LE, MARQUIS)
  358. On m'assure pourtant que vous le voulez faire. v.1099 (Acte 3, scène 11, LE_MARQUIS)
  359. Que, sans respecter ni rang, ni qualité, v.1100 (Acte 3, scène 11, LE_MARQUIS)
  360. Vous nourrissez dans l'âme une velléité v.1101 (Acte 3, scène 11, LE, MARQUIS)
  361. C'est pure médisance ; v.1102 (Acte 3, scène 11, VALÈRE)
  362. Je sais ce qu'entre nous le sort mit de distance. v.1103 (Acte 3, scène 11, VAL?RE)
  363. Savez-vous, Monsieur du lansquenet, v.1104 (Acte 3, scène 11, LE_MARQUIS)
  364. Sont si francs du collier que vous l'avez promis. v.1117 (Acte 3, scène 11, VALÈRE)
  365. Oh ! Vous pouvez l'aimer autant qu'il vous plaira ; v.1136 (Acte 3, scène 12, VALÈRE)
  366. Vous êtes en effet un amant digne d'elle : v.1138 (Acte 3, scène 12, VAL?RE)
  367. Et que le tout se soit passé dans la douceur. v.1145 (Acte 3, scène 12, LE_MARQUIS)
  368. Voilà donc ce Marquis, cet homme dangereux ? v.1148 (Acte 3, scène 13, VALÈRE)
  369. C'est un grand malheureux. v.1149 (Acte 3, scène 13, VALÈRE)
  370. J'ai dans le coeur, Hector, un bon pressentiment ; v.1152 (Acte 3, scène 13, VAL?RE)
  371. Tant va la cruche à l'eau... v.1158 (Acte 3, scène 13, HECTOR)
  372. Je n'ai vu de mes jours avoir tant de mollesse. v.1163 (Acte 4, scène 1, NÉRINE)
  373. Ne combats plus, Nérine, une ardeur qui m'enchante ; v.1170 (Acte 4, scène 1, ANGELIQUE)
  374. Tu prendrais pour l'éteindre une peine impuissante. v.1171 (Acte 4, scène 1, ANGELIQUE)
  375. Vous laissera manquer même du nécessaire, v.1179 (Acte 4, scène 1, NÉRINE)
  376. Toujours triste ou fougueux, pestant contre le jeu, v.1180 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  377. Quel charme qu'un époux qui, flattant sa manie, v.1182 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  378. Prend pour argent comptant, d'un usurier fripon, v.1184 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  379. Des singes, des pavés, un chantier, du charbon ; v.1185 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  380. Qu'on voit à chaque instant prêt à faire querelle v.1186 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  381. Chez l'usurier, bien plus qu'à donner à manger, v.1189 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  382. Quand, après quelque temps, d'intérêts surchargée, v.1190 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  383. Des diamants du temple, et des plats argentés ; v.1193 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  384. Tant que, dans sa fureur n'ayant plus rien à vendre, v.1194 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  385. Empruntant tous les jours, et ne pouvant plus rendre, v.1195 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  386. Sa femme signe enfin, et voit en moins d'un an, v.1196 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  387. Ses terres en décret, et son lit à l'encan ! v.1197 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  388. Je ne veux point ici m'affliger par avance ; v.1198 (Acte 4, scène 1, ANGELIQUE)
  389. L'évènement souvent confond la prévoyance. v.1199 (Acte 4, scène 1, ANGELIQUE)
  390. Tout ce que je possède, et mes gages d'un an, v.1204 (Acte 4, scène 1, NÉRINE)
  391. Qu'à l'heure que je parle il est dans un brelan. v.1205 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
  392. Te voilà bien soufflant. En quels lieux est ton maître ? v.1207 (Acte 4, scène 2, ANGELIQUE)
  393. Ce n'est point là, maraud, ce que l'on te demande. v.1210 (Acte 4, scène 2, NÉRINE)
  394. Maraud ! Je vois qu'ici je suis de contrebande. v.1211 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  395. Où, courant le hasard... v.1214 (Acte 4, scène 2, NÉRINE)
  396. Mon maître n'a hanté de tels lieux de sa vie. v.1215 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  397. Et n'aura pas de goût pour le jeu davantage. v.1219 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  398. Je l'ai vu, dans l'effort de la convulsion, v.1237 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  399. Maudissant les hasards d'un combat trop funeste : v.1238 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  400. De sa bourse expirante il ramassait le reste ; v.1239 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  401. Et paraissant encor plus grand dans son malheur, v.1240 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  402. Il vendait cher son sang et sa vie au vainqueur. v.1241 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  403. Pourquoi l'as-tu quitté dans cette décadence ? v.1242 (Acte 4, scène 2, NÉRINE)
  404. Deux cents louis qu'il a laissés dans sa cassette. v.1246 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
  405. Mais Dorante qui vient... v.1256 (Acte 4, scène 3, NÉRINE)
  406. Où courez-vous, Dorante ? v.1264 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  407. Mais non, retirez-vous ; un homme m'épouvante. v.1267 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  408. L'ombre d'un tête-à-tête, et dedans et dehors, v.1268 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  409. En ce temps, les amants v.1272 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  410. Près du sexe d'abord sont si gesticulants... v.1273 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  411. Qu'Angélique si mal reconnaisse vos feux : v.1277 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  412. Qui me fait renfermer dans un veuvage austère, v.1279 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  413. Si vous continuez, je vais m'évanouir. v.1281 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  414. Bannissons la tendresse ; il faut la supprimer. v.1284 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  415. Me trouvez-vous, Monsieur, femme à manquer d'amant ? v.1289 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  416. Si tous mes soupirants pouvaient me négliger, v.1296 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  417. Du respect ! Du respect ! Ah ! Le plaisant visage ! v.1298 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
  418. Tant de relâchement dans la galanterie. v.1303 (Acte 4, scène 8, LA COMTESSE)
  419. Que je suis et serai votre seul conquérant ; v.1309 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  420. Entre nous, sans façon, v.1312 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  421. Dans le fond, j'en ai l'âme ravie. v.1319 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
  422. Vous exposer sans cesse à de nouveaux combats. v.1325 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
  423. Est-ce ce financier de noblesse mineure, v.1326 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  424. Dans un grand marbre noir, en or, l'hôtel Damis ; v.1329 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
  425. Qui, dans mille portraits, expose ses aïeux, v.1332 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
  426. Son père, son grand-père, et les place en tous lieux, v.1333 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
  427. Et de ceux de Poitou, d'autant que, pour certain, v.1336 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
  428. À vos transports jaloux un autre se dérobe. v.1338 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
  429. Qui juge sans appel sur un vin de Champagne, v.1342 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  430. Non, Marquis, c'est Dorante ; et j'ai su m'en défaire. v.1346 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
  431. Quoi ! Dorante ! Cet homme à maintien débonnaire, v.1347 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  432. Ce croquant, qu'à l'instant je viens de voir sortir ? v.1348 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
  433. Nous nous serions parlé sans sortir de la salle. v.1350 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  434. Je ne suis pas méchant : mais, sans bruit, sans scandale, v.1351 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
  435. Sans lui donner le temps seulement de crier, v.1352 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
  436. La sagesse est tout mon apanage. v.1355 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  437. Ah ! Ma foi ! L'on n'a plus tant de délicatesse ; v.1363 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  438. On s'aime pour s'aimer tout autant que l'on peut v.1364 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
  439. Et ne donne mon coeur que pardevant notaire. v.1367 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
  440. Je vais dans ce moment signifier congé v.1377 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
  441. À des beautés sans nombre à qui mon coeur renonce ; v.1378 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
  442. Et vous aurez dans peu ma dernière réponse. v.1379 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
  443. Adieu. Fasse le ciel, Marquis, que dans ce jour v.1380 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
  444. Le rang, le coeur, le bien, tout pour toi sollicite : v.1383 (Acte 4, scène 10, LE_MARQUIS)
  445. Quel bonheur est le tien ! Le ciel, à ta naissance, v.1386 (Acte 4, scène 10, LE, MARQUIS)
  446. Répandit sur tes jours sa plus douce influence ; v.1387 (Acte 4, scène 10, LE, MARQUIS)
  447. Que te manque-t-il donc ? Allons, saute, Marquis. v.1393 (Acte 4, scène 10, LE, MARQUIS)
  448. Tu chantes, danses, ris, mieux qu'on ne fit jamais v.1397 (Acte 4, scène 10, LE, MARQUIS)
  449. Attendez un moment. Quelle ardeur vous transporte ? v.1402 (Acte 4, scène 11, HECTOR)
  450. Mon maître, qui me suit, vous le fera danser, v.1405 (Acte 4, scène 11, HECTOR)
  451. Oui, monsieur, à l'instant vous l'allez voir paraître. v.1407 (Acte 4, scène 11, HECTOR)
  452. Quand ma verve me prend, je ne suis plus traitable ; v.1410 (Acte 4, scène 11, LE_MARQUIS)
  453. Il manque de respect pour les vice-baillis, v.1412 (Acte 4, scène 11, LE, MARQUIS)
  454. Il vient de la Garonne. Oh ! Parbleu, dans ce temps v.1416 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  455. Je ris : et cependant mon maître à l'agonie v.1418 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  456. Cède en un lansquenet à son mauvais génie. v.1419 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  457. Pour assouvir encor la fureur qui t'anime, v.1426 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
  458. Dans l'état où je suis, je puis tout entreprendre ; v.1438 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
  459. Ah ! Charmante Angélique, en l'ardeur qui m'embrase, v.1443 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
  460. Mon coeur, dans les transports de sa fureur extrême, v.1446 (Acte 4, scène 12, VAL?RE)
  461. Il m'importe peu ; prends dans ma bibliothèque. v.1454 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
  462. Je n'ai lu de mes jours que dans des almanachs. v.1457 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  463. La fortune offre aux yeux des brillants mensongers ; v.1460 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
  464. Le sage gagne assez quand il peut s'en défaire." v.1463 (Acte 4, scène 12, VAL?RE)
  465. Vingt fois le premier pris ! Dans mon coeur il s'élève v.1466 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
  466. L'un et l'autre en ce temps, sitôt qu'on les manie, v.1470 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  467. Sont deux grands rémoras pour la philosophie. " v.1471 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  468. N'ayant plus de maîtresse, et n'ayant pas un sou, v.1472 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  469. Nous philosopherons maintenant tout le soûl. v.1473 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  470. Adorable Angélique... achève ton chapitre. v.1475 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
  471. Si vous vouliez, Monsieur, chanter un petit air ; v.1489 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  472. Votre maître à chanter est ici : la musique v.1490 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  473. Que je chante ! v.1492 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
  474. Que je chante, bourreau ! v.1492 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
  475. Vous la trouviez pourtant tantôt bien agréable. v.1495 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
  476. Est-ce toi, malheureux, qui causes ce transport ? v.1501 (Acte 4, scène 14, GÉRONTE)
  477. Oui, Monsieur : maintenant v.1504 (Acte 4, scène 14, HECTOR)
  478. Que nous ne jouons plus, notre unique ascendant v.1505 (Acte 4, scène 14, HECTOR)
  479. Tant mieux : il apprend à bien vivre. v.1507 (Acte 4, scène 14, GÉRONTE)
  480. Qu'on gagne quand on perd... que l'amour dans nos âmes... v.1514 (Acte 4, scène 14, HECTOR)
  481. Pour vous dire, mon fils, que votre hymen s'avance. v.1519 (Acte 4, scène 14, GÉRONTE)
  482. Vous avez vu, je crois, Angélique ? Et j'espère v.1522 (Acte 4, scène 14, G?RONTE)
  483. Vraiment, pour un amant, v.1524 (Acte 4, scène 14, GÉRONTE)
  484. Que, charmé de ce noeud, dans peu j'irai moi-même v.1527 (Acte 4, scène 14, G?RONTE)
  485. D'un papier que tantôt, d'un air rébarbatif, v.1533 (Acte 4, scène 15, HECTOR)
  486. Et même avec scandale... v.1534 (Acte 4, scène 15, HECTOR)
  487. Graces au ciel, mon fils est dans le bon chemin : v.1537 (Acte 4, scène 16, GÉRONTE)
  488. Je ne viens point, armé contre votre inconstance, v.1543 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
  489. Ni par des mots piquants exhaler mon courroux. v.1545 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
  490. Mais loin de condamner votre coeur inconstant, v.1548 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
  491. Je suis assez vengé si j'en puis faire autant. v.1549 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
  492. J'en prévois les dangers ; mais un sort tyrannique... v.1554 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
  493. Vous voyez devant vous un abîme s'ouvrir, v.1556 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
  494. Quand j'en devrais mourir, je ne puis plus me taire. v.1558 (Acte 5, scène 1, NÉRINE)
  495. Ou si dans cet amour votre coeur engagé v.1560 (Acte 5, scène 1, N?RINE)
  496. Hélas ! Quand je ne puis me défaire aujourd'hui v.1568 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
  497. Ces feux sont trop charmants pour vouloir les éteindre. v.1570 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
  498. On tâche, autant qu'on peut, dans son petit trafic, v.1576 (Acte 5, scène 2, MADAME LA RESSOURCE)
  499. À gagner ses dépens en servant le public. v.1577 (Acte 5, scène 2, MADAME LA RESSOURCE)
  500. Cette Nérine-là connaît toute la France. v.1578 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
  501. Pour vivre, il faut avoir plus d'une connoissance. v.1579 (Acte 5, scène 2, NÉRINE)
  502. Habile en tous métiers, intrigante parfaite ; v.1582 (Acte 5, scène 2, N?RINE)
  503. Qui prête, vend, revend, brocante, troque, achète, v.1583 (Acte 5, scène 2, N?RINE)
  504. Je vous en avertis. En bijoux et brillants, v.1588 (Acte 5, scène 2, NÉRINE)
  505. En poche elle a toujours plus de vingt mille francs. v.1589 (Acte 5, scène 2, N?RINE)
  506. Mais ne craignez-vous point qu'un soir dans le silence ? ... v.1590 (Acte 5, scène 2, DORANTE)
  507. Bon, bon ! Tous les filous sont de sa connaissance. v.1591 (Acte 5, scène 2, NÉRINE)
  508. Regardez ce brillant ; je vais en faire affaire v.1594 (Acte 5, scène 2, MADAME LA RESSOURCE)
  509. Avec et pardevant un conseiller-notaire. v.1595 (Acte 5, scène 2, MADAME LA RESSOURCE)
  510. Pour certaine chanteuse on dit qu'il en tient là. v.1596 (Acte 5, scène 2, MADAME LA RESSOURCE)
  511. Puisque avant moi pour vous vous avez su le faire. v.1603 (Acte 5, scène 3, ANGELIQUE)
  512. Ce fidèle aspirant dont vous comblez les voeux ? v.1605 (Acte 5, scène 3, LA COMTESSE)
  513. À ce bonheur charmant je n'ose pas prétendre. v.1606 (Acte 5, scène 3, DORANTE)
  514. Plus que tout autre amant j'aurais pu l'espérer. v.1608 (Acte 5, scène 3, DORANTE)
  515. La perte n'est pas grande, et se peut réparer. v.1609 (Acte 5, scène 3, LA COMTESSE)
  516. En faisant avec moi cette heureuse alliance, v.1618 (Acte 5, scène 4, LE_MARQUIS)
  517. Vous pourrez vous vanter que gentilhomme en France v.1619 (Acte 5, scène 4, LE, MARQUIS)
  518. Des enfants de tout point mieux conditionnés. v.1621 (Acte 5, scène 4, LE, MARQUIS)
  519. Quand vous résoudrez-vous, Monsieur le gentilhomme v.1626 (Acte 5, scène 4, MADAME LA RESSOURCE)
  520. Mes quatre cents écus prêtés depuis cinq ans ? v.1628 (Acte 5, scène 4, MADAME LA RESSOURCE)
  521. Pour me les demander, vous prenez bien le temps. v.1629 (Acte 5, scène 4, LE_MARQUIS)
  522. Je veux, aux yeux de tous, vous en faire avanie, v.1630 (Acte 5, scène 4, MADAME LA RESSOURCE)
  523. Voici le grand merci d'obliger des ingrats. v.1632 (Acte 5, scène 4, MADAME LA RESSOURCE)
  524. Au Châtelet, sans moi, v.1636 (Acte 5, scène 4, MADAME LA RESSOURCE)
  525. Son père était huissier à verge dans Le Mans. v.1640 (Acte 5, scène 4, MADAME LA RESSOURCE)
  526. Son nom était connu dans le haut et bas Maine. v.1643 (Acte 5, scène 4, LE_MARQUIS)
  527. Votre père était donc un Marquis exploitant ? v.1644 (Acte 5, scène 4, NÉRINE)
  528. Vous aviez là, ma soeur, un fort illustre amant. v.1645 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
  529. C'est moi qui l'ai nourri quatre mois sans reproche, v.1646 (Acte 5, scène 4, MADAME LA RESSOURCE)
  530. Quand il vint à Paris en guêtres, par le coche. v.1647 (Acte 5, scène 4, MADAME LA RESSOURCE)
  531. Cela n'empêche pas que dans ce jour, Madame, v.1650 (Acte 5, scène 4, LE_MARQUIS)
  532. Et jamais tant d'appas... v.1653 (Acte 5, scène 4, LE, MARQUIS)
  533. On reconnaît si mal le rang et le mérite ! v.1658 (Acte 5, scène 4, LE_MARQUIS)
  534. La rencontre est plaisante ! v.1666 (Acte 5, scène 6, MADAME LA RESSOURCE)
  535. J'en voudrais faire autant à tous les faux marquis. v.1668 (Acte 5, scène 6, MADAME LA RESSOURCE)
  536. Il est tant de traitants qu'on voit, depuis la guerre, v.1670 (Acte 5, scène 6, NÉRINE)
  537. De sa vieille mandille achète un marquisat. v.1673 (Acte 5, scène 6, N?RINE)
  538. Mais aux grands mouvements qu'en ce lieu je puis voir, v.1676 (Acte 5, scène 6, MADAME LA RESSOURCE)
  539. Deux pendants de brillants que j'ai là de rencontre. v.1679 (Acte 5, scène 6, MADAME LA RESSOURCE)
  540. Que les brillants sont gros ! Ils sont fort de mon goût. v.1685 (Acte 5, scène 6, NÉRINE)
  541. Mais que vois-je, grands dieux ! Quelle surprise extrême ! v.1686 (Acte 5, scène 6, N?RINE)
  542. Votre portrait ! Il est à moi, sans vous déplaire ; v.1698 (Acte 5, scène 6, MADAME LA RESSOURCE)
  543. Étant encore amant, il vous vendra, Madame, v.1706 (Acte 5, scène 6, NÉRINE)
  544. À beaux deniers comptants, quand vous serez sa femme. v.1707 (Acte 5, scène 6, N?RINE)
  545. Nérine, a pu saisir ta charmante maîtresse ? v.1715 (Acte 5, scène 7, VALÈRE)
  546. Est-ce ainsi que tantôt ? ... v.1716 (Acte 5, scène 7, VAL?RE)
  547. Les filles sont, Monsieur, tantôt haut, tantôt bas. v.1717 (Acte 5, scène 7, NÉRINE)
  548. Hé quoi ! Changer sitôt ! v.1718 (Acte 5, scène 7, VALÈRE)
  549. Vous est un sûr garant que vous avez mon coeur. v.1721 (Acte 5, scène 7, ANGELIQUE)
  550. Quiconque a mon portrait, sans crainte de rival, v.1724 (Acte 5, scène 7, ANGELIQUE)
  551. Ne consentez-vous pas à ce parti, Dorante ? v.1727 (Acte 5, scène 7, ANGELIQUE)
  552. Votre bouche, Madame, a prononcé sans feindre ; v.1730 (Acte 5, scène 7, DORANTE)
  553. Et mon coeur subira votre arrêt sans se plaindre. v.1731 (Acte 5, scène 7, DORANTE)
  554. Jamais tant de bontés... v.1734 (Acte 5, scène 7, VALÈRE)
  555. Montrez donc, sans attendre, v.1734 (Acte 5, scène 7, ANGELIQUE)
  556. C'est mon oncle : en voyant de votre amour ce gage, v.1738 (Acte 5, scène 7, VALÈRE)
  557. Il verra mon portrait sans se désespérer. v.1741 (Acte 5, scène 7, ANGELIQUE)
  558. Madame au plus heureux accordant la victoire, v.1742 (Acte 5, scène 7, DORANTE)
  559. Madame La Ressource, un moment sans paraître, v.1750 (Acte 5, scène 7, HECTOR)
  560. Voyant dans ce portrait Madame si jolie, v.1754 (Acte 5, scène 7, HECTOR)
  561. Ce portrait, que tantôt je vous avais donné, v.1764 (Acte 5, scène 7, ANGELIQUE)
  562. Nous devions tantôt le dégager ; v.1769 (Acte 5, scène 7, HECTOR)
  563. En ce moment, Monsieur, je me donne à Dorante. v.1791 (Acte 5, scène 8, ANGELIQUE)
  564. Pour avoir mis, sans réflexion, v.1796 (Acte 5, scène 8, HECTOR)
  565. Sans vouloir davantage ici l'interroger, v.1800 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
  566. Vous n'aurez rien perdu dans ces lieux pour attendre, v.1811 (Acte 5, scène 9, DORANTE)

LES SOUHAITS (1700)

  1. Le dieu qui lance le tonnerre v.3 (Acte 1, scène 1, MECURE)
  2. Remet aujourd'hui dans mes mains v.4 (Acte 1, scène 1, MECURE)
  3. Si pour votre repos ils sont avantageux. v.11 (Acte 1, scène 1, MECURE)
  4. Je m'offre la première, étant la plus pressée. v.12 (Acte 1, scène 2, LA-MARIÉE)
  5. En vous disant d'abord que je suis mariée, v.13 (Acte 1, scène 2, LA MARI?E)
  6. Ne rendez point ma demande frivole, v.16 (Acte 1, scène 2, LA MARI?E)
  7. Et, pour le bien commun, changez tous les maris ; v.17 (Acte 1, scène 2, LA MARI?E)
  8. Ils n'en ont pas tant de raisons que nous. v.24 (Acte 1, scène 2, LA-MARIÉE)
  9. Quinze jours ; mais, avant ce choix si malheureux, v.27 (Acte 1, scène 2, LA-MARIÉE)
  10. Croyant mieux trouver et mieux faire : v.32 (Acte 1, scène 2, LA MARI?E)
  11. Seulement pendant une année, v.41 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  12. Je veux, pour en trouver un à ma fantaisie, v.44 (Acte 1, scène 2, LA-MARIÉE)
  13. En changer, si je puis, tous les jours de ma vie. v.45 (Acte 1, scène 2, LA MARI?E)
  14. Il vous arriverait, dans votre rage extrême, v.47 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  15. Faisant place à quelqu'un qui soit plus raisonnable, v.55 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  16. Mais quand un doux veuvage v.61 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  17. Quand on est au port. v.65 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  18. Vous voyez deux amants dont la taille diffère : v.66 (Acte 1, scène 3, LA-SUISSESSE)
  19. La nature dans l'un prodigua sa matière, v.67 (Acte 1, scène 3, LA SUISSESSE)
  20. Et dans l'autre elle fut avare de ses biens ; v.68 (Acte 1, scène 3, LA SUISSESSE)
  21. Cependant, ne pouvant mieux faire, v.69 (Acte 1, scène 3, LA SUISSESSE)
  22. Mais chacun, par avance, v.71 (Acte 1, scène 3, LA SUISSESSE)
  23. Rit de cette alliance ; v.72 (Acte 1, scène 3, LA SUISSESSE)
  24. D'asservir bien souvent deux amants de sa main, v.77 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  25. Je ne sais pas pourquoi dans mon choix on me blâme. v.80 (Acte 1, scène 3, LE-NAIN)
  26. Un grand homme souvent épouse un avorton : v.81 (Acte 1, scène 3, LE NAIN)
  27. Épouser une grande femme, v.83 (Acte 1, scène 3, LE NAIN)
  28. Sans crainte du qu'en dira-t-on. v.84 (Acte 1, scène 3, LE NAIN)
  29. Qui prend pour femme, et sans s'en méfier, v.87 (Acte 1, scène 3, LE NAIN)
  30. Nous craignons fort que nos enfants v.89 (Acte 1, scène 3, LA-SUISSESSE)
  31. Ils pourront être des géants ; v.92 (Acte 1, scène 3, LA SUISSESSE)
  32. Les risques n'en sont pas moins grands ; v.94 (Acte 1, scène 3, LA SUISSESSE)
  33. Ou du moins des nains étonnants, v.96 (Acte 1, scène 3, LA SUISSESSE)
  34. Mais, pour nous égaler, dans un tel différend, v.98 (Acte 1, scène 3, LA SUISSESSE)
  35. Faites-moi plus petite, ou le faites plus grand. v.99 (Acte 1, scène 3, LA SUISSESSE)
  36. À porter des géants ses flancs sont destinés : v.102 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  37. Et de là, je conclus, sans être philosophe, v.103 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  38. Ce qui, de votre part, pourra manquer d'étoffe, v.105 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  39. Et vos enfants seront bien proportionnés. v.106 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  40. Mais cependant, sans vous déplaire, v.107 (Acte 1, scène 3, LE-NAIN)
  41. Quand tu seras époux, tu deviendras peut-être v.113 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  42. Plus grand que tu ne voudrais être. v.114 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  43. Pour vous, écoutez bien ma chanson là-dessus. v.115 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  44. Mais de mauvaise marchandise v.120 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  45. Je n'ai pas encore vingt ans, v.124 (Acte 1, scène 3, L-HOMME-DE-BONNE-CHÈRE)
  46. Et j'espère dans peu profiter davantage. v.125 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
  47. Cet embonpoint des plus brillants, v.126 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
  48. Cependant, croiriez-vous ce que je vais vous dire ? v.131 (Acte 1, scène 3, L-HOMME-DE-BONNE-CHÈRE)
  49. Souvent je manque de santé. v.133 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
  50. Quand j'ai seulement bu mes neuf ou dix bouteilles, v.141 (Acte 1, scène 3, L-HOMME-DE-BONNE-CHÈRE)
  51. Sous moi mon pied est chancelant, v.143 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
  52. Et j'ai des vapeurs sans pareilles ; v.144 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
  53. Dans cette affreuse maladie, v.147 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
  54. Je me traîne à mon lit sans me déshabiller : v.148 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
  55. Là, je dors sans donner aucun signe de vie ; v.149 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
  56. Jusques au lendemain, sans pouvoir m'éveiller. v.151 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
  57. Je viens vous demander, pour vivre heureusement, v.156 (Acte 1, scène 3, L-HOMME-DE-BONNE-CHÈRE)
  58. Et qui puisse porter l'effroi dans tous les plats, v.159 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
  59. Serait-ce t'obliger qu'avancer ton trépas ? v.162 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  60. Cherche une demande meilleure. v.165 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  61. Tu crèveras avant qu'il soit un an ; v.166 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  62. Et, si j'étais à tes voeux complaisant, v.167 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  63. Tu crèverais avant qu'il fût une heure. v.168 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  64. À ce propos, écoute ma chanson. v.170 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  65. À voir dans un repas qui boira davantage, v.173 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  66. Buvez tant que d'Iris vous perdiez la mémoire, v.175 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  67. Oh ! Oh ! Cet homme a le sang chaud. v.192 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
  68. Le sang me bout de veine en veine ; v.198 (Acte 1, scène 4, LE-GASCON)
  69. Lorsque je l'aurai fait dix ans, v.207 (Acte 1, scène 4, LE-GASCON)
  70. D'aller à tout venant offrir la carte blanche : v.211 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
  71. À peine iriez-vous au dimanche. v.214 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
  72. Ce m'est un jeu quand je m'exerce v.216 (Acte 1, scène 4, LE-GASCON)
  73. Et, dans un combat singulier, v.220 (Acte 1, scène 4, LE GASCON)
  74. Je force à demander quartier, v.221 (Acte 1, scène 4, LE GASCON)
  75. Que bien des gens voudraient posséder l'avantage v.225 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
  76. Il faut donc que je me retranche v.231 (Acte 1, scène 4, LE-GASCON)
  77. Et que je prenne ma revanche v.233 (Acte 1, scène 4, LE GASCON)
  78. Exige de l'humanité, v.236 (Acte 1, scène 6, LA-THORILLIÈRE)
  79. Et profiter de l'avantage v.238 (Acte 1, scène 6, LA THORILLI?RE)
  80. En voyant ce noble équipage v.241 (Acte 1, scène 6, POISSON)
  81. Qui... je n'en dis pas davantage, v.246 (Acte 1, scène 6, POISSON)
  82. Venons au fait, et point tant de langage. v.248 (Acte 1, scène 6, MERCURE)
  83. Dans les troupes toujours cherchant un beau destin, v.250 (Acte 1, scène 6, LA-THORILLIÈRE)
  84. De lauriers éclatants nous avons ceint nos têtes, v.251 (Acte 1, scène 6, LA THORILLI?RE)
  85. Ont eu de plus grands capitaines. v.256 (Acte 1, scène 6, LA THORILLI?RE)
  86. Ayant dans l'univers joué les premiers rôles, v.261 (Acte 1, scène 6, LA-THORILLIÈRE)
  87. Vous savez que notre espérance, v.269 (Acte 1, scène 6, LA-THORILLIÈRE)
  88. Dans cette troupe de Paris, v.271 (Acte 1, scène 6, LA THORILLI?RE)
  89. Où l'on vit avec abondance : v.272 (Acte 1, scène 6, LA THORILLI?RE)
  90. C'est pour nous le bâton de maréchal de France. v.274 (Acte 1, scène 6, POISSON)
  91. Vous est avantageux, ou non, v.278 (Acte 1, scène 6, MERCURE)
  92. Me donner quelque échantillon. v.280 (Acte 1, scène 6, MERCURE)
  93. Jadis dans le comique v.281 (Acte 1, scène 6, POISSON)
  94. Nous chaussons maintenant le cothurne tragique, v.284 (Acte 1, scène 6, POISSON)
  95. Quand Achille en fureur insulte Agamemnon. v.292 (Acte 1, scène 6, LA-THORILLIÈRE)
  96. Pour moi, quand je travaille, v.293 (Acte 1, scène 6, LA THORILLI?RE)
  97. Qu'en produisant de moi, ne faire rien qui vaille. v.295 (Acte 1, scène 6, LA THORILLI?RE)
  98. Et dans peu nous commencerons. v.300 (Acte 1, scène 6, POISSON)
  99. Assez et trop longtemps ma lâche complaisance v.301 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
  100. Et Mars fait voir pour vous des feux trop éclatants. v.304 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
  101. Ne cesserez-vous point, dans votre humeur farouche, v.305 (Acte 1, scène 7, VÉNUS)
  102. De m'immoler sans cesse à vos transports jaloux ? v.306 (Acte 1, scène 7, V?NUS)
  103. Que manque-t-il à vos tendresses ? v.312 (Acte 1, scène 7, VÉNUS)
  104. Cependant, au dire de tous, v.318 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
  105. De tant d'enfants aucun ne me ressemble ; v.319 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
  106. Et les mortels, dans leurs discours, v.320 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
  107. Mes enfants eussent quelques traits ; v.323 (Acte 1, scène 7, VÉNUS)
  108. Il voyait voler dans le inonde v.328 (Acte 1, scène 7, V?NUS)
  109. Un bruit assez étrange est venu jusqu'à moi, v.341 (Acte 1, scène 9, MARS)
  110. On dit, et sans horreur je ne puis le redire, v.343 (Acte 1, scène 9, MARS)
  111. Qu'exerçant sur Vénus un rigoureux empire, v.344 (Acte 1, scène 9, MARS)
  112. Et vous-même étouffant tout sentiment d'époux, v.345 (Acte 1, scène 9, MARS)
  113. Vous voulez l'immoler à vos transports jaloux. v.346 (Acte 1, scène 9, MARS)
  114. Et, quand il sera temps qu'elle soit enfermée, v.355 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
  115. Et, quand il sera temps, par vous ou par un autre v.363 (Acte 1, scène 9, MARS)
  116. Pourquoi le demander, puisque vous le savez ? v.366 (Acte 1, scène 9, MARS)
  117. Pourquoi je le demande ! Ô ciel ! Le puis-je croire, v.367 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
  118. Vous pensez qu'approuvant vos feux injurieux, v.369 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
  119. Mais vous, qui me parlez d'une voix menaçante, v.372 (Acte 1, scène 9, MARS)
  120. En épousant Vénus, cette belle déesse, v.379 (Acte 1, scène 9, MARS)
  121. Ne se refusait pas aux transports les plus doux : v.381 (Acte 1, scène 9, MARS)
  122. Si, depuis, des amants la troupe favorite v.383 (Acte 1, scène 9, MARS)
  123. Juste ciel ! Puis-je entendre et souffrir ce langage ? v.391 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
  124. Fuyez donc ; retournez dans vos grottes ardentes, v.399 (Acte 1, scène 9, MARS)
  125. Forger à Jupiter des armes foudroyantes ; v.400 (Acte 1, scène 9, MARS)
  126. Je percerai le sein des antres les plus creux. v.406 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
  127. Là, bravant vos efforts, et nageant dans la joie, v.407 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
  128. Et voilà ce qui doit avancer ma vengeance. v.415 (Acte 1, scène 10, VULCAIN)
  129. Vous voyez maintenant si c'est nous faire grâce v.419 (Acte 1, scène 11, LA-THORILLIÈRE)
  130. Et chacun, vous voyant, s'est éclaté de rire. v.425 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
  131. Vous n'auriez pas peut-être ici cet avantage. v.428 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
  132. Mortels, jusqu'à présent nul n'a demandé rien v.435 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
  133. De requérir, avec grand soin, v.438 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
  134. Ne formez donc plus tant de souhaits inutiles : v.442 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
  135. Sans redouter le sort, mettez tout en sa main : v.444 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
  136. Riez, chantez, dansez, livrez-vous à la joie ; v.445 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
  137. Les suivants de Mercure forment une contredanse qui finit la comédie. v.448 (Acte 1, scène 11, MERCURE)

LES FILLES ERRANTES, OU LES INTRIGUES DES HÔTELLERIES. (1690)

  1. Il ne fait pas semblant de me connaître. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
  2. Est-ce là le prix de tant d'amour ? (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
  3. Devais-je être traitée de cette manière ? (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
  4. Je vous demande pardon, monsieur ; ce sont des vapeurs dont je suis attaquée, et je ne sais ce que je dis. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
  5. Tu m'abandonnes, scélérat ! (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
  6. Je vous dirai, mon frère, que sitôt que vous fûtes parti, il vint un jeune cavalier, le plus civil du inonde, demander à loger dans notre hôtellerie : pour ne pas paraître moins civile que lui, je lui fis toutes les honnêtetés dont j'étais capable. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  7. Je vous l'ai toujours dit, monsieur ; il faut de la compagnie aux filles, quand ce ne serait qu'un manche à balai. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
  8. Pour lui faire plaisir, je le menai moi-même, par civilité, dans la belle chambre qui est de plain-pied à la cour. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  9. Mais il ne voulut point y demeurer, appréhendant qu'elle ne fût malsaine, à cause de l'humidité. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  10. Voyant qu'il faisait difficulté de rester dans cette chambre-là, et qu'il était si civil, je le conduisis dans une autre, qui donne sur la rue, au-dessus de l'écurie. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  11. Il me témoigna encore qu'il ne pourrait pas y coucher, à cause qu'étant fatigué et ayant besoin de repos, les chevaux pourraient interrompre son sommeil pendant la nuit. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  12. Peut-être pas tant que vous pensez. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
  13. Je trouvai qu'il n'avait pas mauvaise raison ; car quand on repose, comme vous savez, on n'est pas bien aise d'être interrompu. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  14. Voyant donc qu'il avait besoin de repos, et qu'il continuait toujours avec les manières les plus civiles du monde, je me crus obligée de le mettre dans un lieu éloigné du bruit : vous savez que ma chambre est au bout du jardin ; je l'y menai, (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  15. Sans doute, et j'enragerais qu'un autre fût plus civil que moi. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
  16. Mais comme il est extrêmement honnête, il refusa l'offre que je lui faisais, de peur de m'incommoder, et dit qu'il ne souffrirait point que ma chambre fût embarrassée pour l'amour de lui, et qu'il coucherait plutôt dans l'écurie que de me causer la moindre incommodité. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  17. Dans une écurie ! (Acte 1, scène 7, PIERROT)
  18. Son honnêteté me fendit le coeur : une fille n'est pas de bois ; et voyant que ma chambre lui plaisait si fort, je lui dis... (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  19. Je lui dis qu'il n'avait qu'à se coucher dans mon lit. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  20. Ma soeur sait vivre ; ce n'est pas là un grand malheur... (Acte 1, scène 7, MEZZETIN)
  21. Tu allas coucher dans une autre chambre ? (Acte 1, scène 7, MEZZETIN)
  22. Mais tu n'échapperas pas à ma vengeance, et... (Acte 1, scène 7, MEZZETIN)
  23. Je ne vois pas qu'il y ait un grand mal de coucher avec son mari. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  24. Entrez dans cette hôtellerie-là, et prenez garde de dire que vous me connaissez. (Acte 1, scène 7, MEZZETIN)
  25. Donner jusqu'à la moitié de son lit à un garçon ; la pauvre enfant ! (Acte 1, scène 8, PIERROT)
  26. La pauvre enfant ! (Acte 1, scène 8, PIERROT)
  27. Je crois que monsieur Croquignolet votre père et madame Croquignolet votre mère vont être bien surpris, quand ils verront arriver dans leur boutique monsieur Mathurin Blaise Croquignolet, leur fils l'avocat, qui vient de Flandre. (Acte 1, scène 9, LE-VALET)
  28. Tous les badauds du quartier vont venir fondre dans votre boutique, pour savoir de vous des nouvelles du combat. (Acte 1, scène 9, LE-VALET)
  29. Parbleu, monsieur, vous pouvez aller à toutes les occasions du monde comme à celle-là, je vous suis garant que vous n'y serez jamais blessé. (Acte 1, scène 9, LE-VALET)
  30. Il y faisait pourtant chaud. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  31. Cela est vrai ; mais vous preniez le frais sur le mont Pagnotte, à trois bonnes portées du canon. (Acte 1, scène 9, LE-VALET)
  32. On m'a mandé à l'armée que ma grande soeur Toinon avait la petite vérole, et je ne serais pas bien aise d'en être marqué. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  33. C'est, morbleu, bien fait de conserver votre teint ; et il serait fâcheux qu'un jeune homme que le canon a respecté fût exposé au caprice d'une maladie aussi insolente. (Acte 1, scène 9, LE-VALET)
  34. Entrons donc dans la première hôtellerie. (Acte 1, scène 9, LE VALET)
  35. Allons, ma fille, une chambre, du feu et grand'chère. (Acte 1, scène 10, LE-VALET)
  36. Je m'arrête volontiers où il y a bon vin et jolie servante. (Acte 1, scène 10, LE VALET)
  37. Messieurs, vous allez avoir tout ce qu'il vous faut : on ne manque de rien chez nous. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  38. Non, monsieur, Dieu merci ; à moi n'appartient pas tant d'honneur : l'année n'est pas bonne pour les filles ; tous les garçons sont à la guerre. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  39. En voilà pourtant encore un qui n'y est pas. (Acte 1, scène 10, LE-VALET)
  40. Me voilà bien chanceuse avec votre argent ! (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  41. Ce n'a jamais été ça qui m'a tentée : j'aime mieux un homme qui me plaît que tous les trésors du inonde ; et, si vous voulez que je vous parle franchement, j'aimerais mieux votre valet que vous. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  42. Allons, monsieur, retirez-vous ; ce n'est pas là de la viande pour vos oiseaux. (Acte 1, scène 10, LE-VALET)
  43. C'était donc vous qui portiez les billets d'enterrement des Hollandais qu'on y a tués ? (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  44. Si quelqu'un en doutait, je lui ferais bien voir ce que c'est que Mathurin Croquignolet, volontaire en pied, suivant l'armée. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  45. Je suis pourtant un drôle avec les filles... (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  46. Si vous voulez entrer chez nous, voilà la porte ouverte ; sinon, je suis votre très humble servante. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  47. Monsieur, on ne traite pas comme cela un gentilhomme parisien, qui revient de Flandre. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  48. Vous, de Flandre ? (Acte 1, scène 10, CINTHIO)
  49. Non, nous n'y étions pas, quand notre général fit signifier un avenir aux ennemis ! (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  50. La cause fut appelée, qui dura plus de huit heures ; mais en vertu de bonnes pièces de canon, dont nous étions porteurs, nous fîmes bien vite déguerpir l'ennemi. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  51. Voilà, je vous l'avoue, un plaisant récit de combat. (Acte 1, scène 10, CINTHIO)
  52. Je vois bien, monsieur, que vous avez vu la bataille dans quelque étude de procureur. (Acte 1, scène 10, CINTHIO)
  53. Le combat commença par les tambours ; à l'instant nous fîmes avancer nos vivandiers : les ennemis voyant cela, détachèrent cinq escadrons de leurs meilleurs voiliers. (Acte 1, scène 10, LE-VALET)
  54. les canons... (Acte 1, scène 10, LE VALET)
  55. les trompettes, qui étaient chargées à cartouches ; pan, bedon... don... les... (Acte 1, scène 10, LE VALET)
  56. Je ne saurais vous dire le reste, car la fumée du canon m'empêcha de le voir. (Acte 1, scène 10, LE VALET)
  57. Mais je vous prie, monsieur le vivandier, et vous, mon petit clerc de procureur, de passer votre chemin, et de ne pas regarder derrière vous : m'en tendez-vous ? (Acte 1, scène 10, CINTHIO)
  58. Il s'en va pourtant... (Acte 1, scène 12, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
  59. Suis-je Isabelle que tu as trahie, que tu as obligée de quitter sa patrie pour venir te reprocher ton inconstance, et se déguiser en servante ? (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  60. Isabelle n'est pas capable d'un pareil emportement, ni de se jeter à la tête de tout venant, comme moi-même je vous ai vue faire. (Acte 2, scène 1, CINTHIO)
  61. Il me semble, monsieur, que vous pressez de près ma servante. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  62. Monsieur, c'est un petit différend que j'avais avec Claudine ; je lui demandais quelque ustensile dont j'avais besoin. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
  63. Monsieur, pour qui prenez-vous ma servante ? (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  64. Sans tant de bruit, voyons, monsieur, ce que je vous dois. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
  65. Quand vous voudrez tenir hôtellerie, faites provision de servantes qui considèrent les gens de qualité. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
  66. Ne vous ai-je pas dit qu'une servante d'hôtellerie doit être douce et avenante aux étrangers ? (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  67. Une fille ne gagne pas tant d'argent à ne faire que des lits dans une hôtellerie. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  68. Et qu'ai-je donc fait pour faire tant de bruit ? (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  69. Ce beau monsieur-là est bien plaisant d'amener des filles dans notre hôtellerie pour le servir, et emporter tous nos profits ! (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  70. Il ne passe point de monsieur dans l'hôtellerie dont je ne puisse bien être de même la soeur, si je voulais m'en donner la peine. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  71. Claudine a raison, monsieur, cela ne se fait point : quand il y a une servante dans une hôtellerie, on ne doit se servir que d'elle ; et d'ailleurs Claudine est très habile in utroque, c'est-à-dire qu'elle fait aussi bien une chambre qu'un ragoût. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  72. Je vous dirai cependant, monsieur, qu'on est ici fort exact à donner aux compagnies ce qu'elles demandent. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  73. Dites monsieur, que vous n'avez pas voulu vous contenter de ce que vous aviez choisi vous-même, et que l'appétit vous est venu en mangeant. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  74. Pardi, monsieur, si vous êtes si fantasque, il n'y a pas moyen de vous contenter. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  75. Il ne faudrait encore qu'un homme comme vous pour mettre toute une rôtisserie à feu et à sang. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  76. Je me serais fort bien contenté de la poularde ; je ne suis pas si grand mangeur : mais je sais qu'on la présente à tout venant ; on l'a déjà servie sur vingt tables différentes, et je ne suis pas homme à m'accommoder du reste de toute la terre. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
  77. Parbleu, monsieur, prenez garde s'il vous plaît à ce que vous dites ; je ne m'entends point à ce tripotage-là, et l'on ne sert chez moi que des viandes neuves. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  78. Parlez, a-t-on jamais vu manger ici la même poularde deux fois ? (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  79. Jamais personne n'y avait touché ; c'était une volaille délicate que j'avais pris soin d'élever, et que je nourrissais à la brochette avec autant de plaisir que si c'eût été moi-même ; elle faisait envie de manger à tous ceux qui la voyaient, et cependant je ne la gardais qu'à monsieur. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  80. C'est peut-être que vous n'aimez pas la viande bardée ; une autre fois on vous la fera larder. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  81. Bardé, lardé, cela m'est indifférent : quand les choses sont bonnes, je les trouve telles ; je ne m'y laisse point attraper. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
  82. Parbleu, monsieur, si vous aimez la viande coriace, nous vous en donnerons tout votre soûl. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  83. Allons, taisez-vous ; que je ne vous entende pas souffler ; rentrez là-dedans. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  84. Je vois bien que monsieur ne se connaît pas mieux en servantes qu'en poulardes : on vous mettra une aile de boeuf sur le gril. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  85. Ce gentilhomme, appelé Cinthio, qui vous aimait, qui vous jurait un amour éternel, m'en a dit tout autant ; et sans la connaissance que vous me donnez de son infidélité, je ne sais si dans la suite il ne m'aurait pas un peu écorné le coeur. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  86. Est-il possible, mademoiselle, que tant d'amour soit suivi de tant de perfidie ? (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  87. C'est bien la plus maudite engeance !... (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  88. Il fut obligé de me quitter pour un duel, où il tua son ennemi : l'amour me fit voler sur ses pas ; je suis venue à Paris ; je me suis déguisée sous l'habit d'une servante ; et sous le nom de Claudine, je suis venue demeurer dans cette hôtellerie, où je l'ai revu avec plaisir, dans le temps que je devais l'oublier pour toujours ; mais, hélas ! (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  89. Le moyen, quand on a le coeur sincère et qu'on n'est pas née scélérate ! (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  90. Il faut le devenir ; on ne fait rien en amour autrement ; et la vertu la plus nécessaire à une femme, dans le siècle où nous sommes, c'est un peu d'inconstance, assaisonnée quelquefois de perfidie. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  91. D'où vient donc, mademoiselle, qu'avec toutes vos connaissances, vous vous êtes laissé attraper comme une novice ? (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  92. Car il me paraît, dans votre histoire, que vous avez été un peu maltraitée. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  93. J'ai quitté Rome, comme vous, pour suivre un amant infidèle appelé Octave. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  94. Quel bonheur, mademoiselle, de pouvoir changer si facilement ! (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  95. Et que je serais contente si, pour me venger de mon infidèle, je le pouvais haïr autant qu'il le mérite ! (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  96. Ne vous embarrassez point de votre vengeance ; remettez seulement vos intérêts entre les mains d'une coquette de ce pays-ci, dont il sera amoureux ; je vous promets qu'elle le fera aller bon train. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  97. Si une femme l'aimait une fois, elle l'aimerait toujours ; et puis on n'est peut-être pas sujette au changement en France. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  98. Il ne vient point d'étranger qui n'en emporte sa provision. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  99. Je vous dis que c'est le magasin de toute l'inconstance qui se débite en Europe. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  100. Quand un Français dit qu'il vous aime, il vous le dit d'une manière si tendre et si passionnée, qu'il semble que son amour doive durer pour le moins vingt ans après sa mort. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  101. Vingt ans après sa mort !... (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  102. La variété de leurs modes ne marque-t-elle pas l'inconstance de leur humeur ? (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  103. Aujourd'hui ils portent des perruques qui leur pendent jusqu'aux genoux, demain ils en auront d'autres qui ne leur passeront pas les oreilles ; ils sont quelquefois habillés le plus simplement du monde, deux jours après il faut les chercher dans leurs dentelles et leurs rubans ; tantôt ils sont serrés dans leurs habits et empaquetés comme des momies, et quelquefois une pièce de drap ne suffit pas pour leur faire une manche d'été : enfin, tout est girouette dans un Français, depuis les pieds jusqu'à la tête. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  104. Cela peut être vrai pour l'ajustement et la manière de s'habiller ; mais pour le coeur, je ne les crois point si sujets au changement. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  105. Voulez-vous que je vous représente un Français qui veut surprendre la tendresse d'une jeune personne ? (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  106. Ah, ma chère enfant ! (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  107. Là-dessus, on pleure, on laisse échapper un gros soupir, on se donne de la tête contre un coin de la cheminée : il n'en faut pas davantage ; voilà une femme dans la nasse. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  108. Je sens que j'ai le coeur français. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  109. Je m'en vais vous faire voir un Français sur son retour de tendresse, c'est-à-dire huit jours après la déclaration. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  110. Ma foi, madame, je suis bien las de vos manières ; je ne viens pas chez vous que je n'aie quelque sujet de chagrin. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  111. Quand vous commenciez à m'aimer, vous n'en aviez point d'autres que votre amour. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  112. Vous m'aviez tant fait de serments que votre passion serait éternelle ! (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  113. Voilà mon Français parti. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  114. Mais vraiment, mademoiselle, si cela est comme vous voulez me le faire entendre, un Français pour une femme n'est pas une meilleure pratique qu'un Italien. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  115. Pour moi, infidèle pour infidèle, j'aime autant Octave qu'un autre. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  116. Adieu, mademoiselle ; je vous promets que je n'entreprendrai rien sur le coeur de votre amant, et qu'à mon égard vous n'aurez point sujet de crier au voleur. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  117. Un coeur est pourtant un larcin dont les femmes aujourd'hui ne se font pas grand scrupule. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  118. Viens çà, Pierrot ; je vais à une grande expédition ; je te laisse maître en ma place : prends bien garde à la maison, et surtout qu'il ne se passe rien autour de nos filles. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  119. C'est pourtant un maudit bétail à gouverner ; c'est du naturel des anguilles, cela frétille toujours. (Acte 2, scène 5, PIERROT)
  120. L'honneur est un joyau ; mais un joyau qui se gâte quand on le laisse exposé à l'air. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  121. Une fille est comme une bouteille d'eau de la reine d'Hongrie ; elle perd sa vertu si elle n'est bien bouchée : c'est ce qui fait qu'un grand philosophe dit qu'il faut qu'une femme demeure enfermée dans son logis. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  122. Il n'a pas parlé des filles ; car elles étaient fort clairsemées dans son temps, aussi bien que dans celui-ci. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  123. Me voilà vraiment dans de bonnes mains ! (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
  124. Je suis à votre égard ce que la bride est à un cheval, un bâton à un aveugle, un gouvernail à un vaisseau : je suis la bride, et vous êtes le cheval ; je suis le bâton, vous êtes l'aveugle ; vous êtes le vaisseau, et moi le gouvernail : mais un gouvernail avec lequel j'empêcherai que vous n'alliez donner contre les rochers des garçons ; car ce monde est une mer, et les vents soufflent dans cette eau qui bouillonne... ce qui fait que la raison dans... cette mer... (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  125. Enfin, Arlequin m'a laissé dans la maison pour vous garder. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  126. Quand on est fait d'une certaine manière, on en a à revendre de cette marchandise-là. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  127. Moi, il ne faut pas me le dire deux fois : 0je ne fus ni fou ni étourdi ; je m'approchai ; elle me donna un grand soufflet : depuis ce temps-là, j'ai bien juré que je n'en baiserais plus. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  128. Allons, point tant de raisonnements ; rentrez, et marchez devant moi. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  129. Perdez cela de vue, autant de gobé. (Acte 2, scène 7, PIERROT)
  130. L'Espérance, Brise-Fer, Poudre-à-Canon, l'Effroi-des-Poulets ! (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  131. Hé bien, mes enfants ! (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  132. Y a-t-il longtemps que vous n'avez mangé de chair humaine ? (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  133. Ne pourrait-on pas savoir, monsieur, en quoi ce Cinthio vous a tant offensé ? (Acte 3, scène 2, CINTHIO)
  134. Touchez là, monsieur ; je veux vous faire gagner plus de cinquante louis aujourd'hui : donnez-m'en trente, je vous dirai où est Cinthio ; et, afin de ne pas vous tenir plus longtemps en suspens, c'est moi. (Acte 3, scène 2, CINTHIO)
  135. Sommes-nous dans un siècle à épouser ? (Acte 3, scène 2, CINTHIO)
  136. Parbleu, nous verrons : vous la prendrez, quand je devrais vous la faire avaler dans une médecine. (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
  137. Je me moque de vos menaces ; et pour vous faire voir que je ne vous crains, ni vous ni vos spadassins, je vais vous attendre dans cette hôtellerie-là. (Acte 3, scène 2, CINTHIO)
  138. Moi l'être un étrangir qui cherchir à logir dans sti ville. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
  139. Tenez, monsieur, en voilà une où vous serez parfaitement bien ; il y a de bon vin, et vous y trouverez aussi de jolies filles ; et voilà ce que vous demandez ; j'entends à demi-mot. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  140. Moi demandre excuse à monsir, si ne parlir pas bon français ; mais mon pensir l'être beaucoup plus meilleur que mon parlemente. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
  141. Croyez-moi, monsieur, allez vous reposer dans cette hôtellerie-là : car un homme qui n'a qu'une jambe doit être une fois plus las qu'un autre. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  142. Il faut que je sache un peu qui est cet étranger qui va loger chez moi. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  143. Moi l'être un gentilhomme hollandais de Hollande, qui vient dans sti ville pour affaire de grand importement. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
  144. Moi avoir toujours fait mon service sur la mer, et j'ai commandir un vaisseau de guerre des États dans le combat naval. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
  145. Moi venir expressément de mon pays, de la part des États, pour demandir à la cour qu'on me rendre mon vaisseau, que sti tiaple de Français avoir fait griller comme du poudin. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
  146. Vous avez raison ; voilà de méchants diables que ces Français ! (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  147. N'être pas là tout, monsii. ; moi avoir encore perdu mon jambe, qui sti enragés m'ont emporté dans la bataille. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
  148. Moi redemandir mon membre à la cour. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
  149. S'il fallait, à la cour, que l'on rendît à vos confrères les Hollandais tous les membres que les Français leur ont emportés cette année, il n'y aurait plus ni bras ni jambes en France. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  150. À ce que je vois, monsieur le Hollandais, vous avez été un peu démâté, hé, hé, lié... (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  151. Quel diable d'ignorant ! (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
  152. Savez-vous que j'ai encore aujourd'hui trois fripons à faire pendre sans vous ? (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
  153. Songe à ce que tu fais, animal ! (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
  154. Connaissez-vous cette soi-disant fille-là ? (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
  155. Si toutes les filles d'aujourd'hui avoient autant de maris que de promesses de mariage, elles en auraient assez pour en changer par saison. (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
  156. Mon petit compagnon, vous voulez faire le plaisant ! (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
  157. Nous allons voir si vous avez bon air à danser au bout d'une ficelle. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
  158. Elle en court encore plus quand elle est avec quelqu'un. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
  159. Je me suis mise servante dans l'auberge d'Arlequin, où j'ai caché mon nom sous celui de Claudine. (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
  160. Il est venu loger dans cette hôtellerie, pour son malheur et pour le mien ; car, enfin, il est bien rude de voir pendre ce que l'on a si tendrement aimé... (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
  161. Écoutez, mademoiselle ; quand il sera sec, vous n'en serez pas plus grasse ; vous l'êtes assez. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN, PIERROT)
  162. Chantons une chanson. v.5 (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
  163. Car, dans sa saison, v.7 (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
  164. L'hymen est charmant ; v.13 (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
  165. Il lui faut un amant ; v.15 (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
  166. Et rien n'est tant à craindre v.16 (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
  167. Que l'âge de quinze ans. v.17 (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
  168. Un amant aux abois, v.20 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN, MEZZETIN, PASQUARIEL)

LE BAL (1696)

  1. Me voici dans Charonne, et voilà le logis v.1 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  2. Je suis venu sans boire. Ouf ! Je suis hors d'haleine. v.4 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  3. Je risque dans ce lieu bien plus qu'au cabaret. v.5 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  4. Et veut être introduit ce soir dans la maison. v.10 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  5. Ah ! Qu'un grand philosophe a dit bien à propos v.14 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  6. Lisette dans ces lieux m'a promis de se rendre v.19 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  7. Ils me prennent sans doute ici pour l'économe : v.23 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  8. Autant de pigeons gras, dont les culs sont farcis ; v.26 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR-GRASSET)
  9. Deux jeunes marcassins, avec quatre faisans : v.29 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR GRASSET)
  10. Le tout est couronné de soixante ortolans ; v.30 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR GRASSET)
  11. Ce gibier est charmant ; et je le garantis v.33 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  12. Qu'un jour, étant chez vous, par malheur la garenne v.36 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  13. Et qu'ils eurent grand-peine, avec cet air si brave, v.39 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  14. Et dans votre grenier, tous les lapins fuyards, v.41 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  15. Qu'on voyait dans la rue abondamment épars. v.42 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  16. Entrez. Pour vous, monsieur, qui portez la vendange, v.47 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  17. Vous ne valez pas mieux ; on ne perd rien au change. v.48 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  18. Il faut être en ce monde, ou marchand, ou larron. v.50 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR-LA-MONTAGNE)
  19. On est bien tous les deux. Voyons. Sans vous déplaire, v.51 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  20. Sans parler de la colle, v.55 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  21. Le marchand.... v.60 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR-LA-MONTAGNE)
  22. De l'or et des grandeurs, je n'en demande pas : v.61 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  23. Juste ciel ! Seulement fais qu'avant mon trépas v.62 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  24. Ornant superbement trois bois patibulaires, v.64 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  25. Danser la sarabande à deux pieds des pavés ! v.66 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  26. Voilà les voeux ardents que fait pour votre avance v.67 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  27. Le plus sincère ami que vous ayez en France. v.68 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  28. Adieu.... Laissez-m'en deux, comme un échantillon, v.69 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  29. Qui me paiera ma viande ? v.71 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR-GRASSET)
  30. Je l'ai fait à dessein. Hippocrate commande, v.72 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  31. Voilà la noce en branle. v.77 (Acte 1, scène 3, MERLIN)
  32. La bouteille à la main ! Que diantre fais-tu là ? v.78 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  33. En t'attendant, tu vois que je me désennuie. v.79 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  34. Ce soir, avant la noce, on donne ici le bal. v.86 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  35. Autant vaut, mon enfant. v.88 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  36. En songeant qu'un morceau si tendre et si friand v.89 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  37. Doit tomber sous la main d'un maudit Bas-normand, v.90 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  38. Ce Normand a, dit-il, plus de cent mille écus ; v.93 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  39. Et, pour faire un mari, c'est autant de vertus. v.94 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  40. Autant en fait Valère. v.96 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  41. À table, aux Entonnoirs, dans un grand embarras, v.97 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  42. Il peut donc maintenant, puisque l'affaire est faite, v.99 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  43. Mourir quand il voudra. v.100 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  44. Laisserons-nous crever un pauvre agonisant ? v.101 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  45. N'as-tu point de remède à ce mal si pressant ? v.102 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  46. Et quel est ce Gascon que tu mets dans l'emploi ? v.109 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  47. On m'a dit que ce soir on doit danser, chanter. v.117 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  48. Et moi je te promets que si, dans cette affaire, v.120 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  49. On a plusieurs amants, sans que personne en glose ; v.128 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  50. Sans acheter d'aucun, à chaque pièce on tâte : v.131 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  51. Cet autre, dans le chaud, peut tourner à la barre ; v.136 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  52. L'un est trop plat au goût, l'autre trop pétillant ; v.137 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  53. Et ce dernier enfin a trop peu de montant. v.138 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  54. Ainsi, sans rien choisir, de tout on fait épreuve : v.139 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  55. Deux amants comme il faut, que cinquante maris. v.142 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  56. J'ai du montant de reste, et le vin assez gai. v.146 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  57. Je te quitte, et je vais arrêter ses transports. v.149 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  58. Ce monsieur Bas-normand me choque la visière. v.152 (Acte 1, scène 5, LISETTE)
  59. De la joie ! Ah, Lisette ! À la fin, dans la cour, v.153 (Acte 1, scène 6, GILLETTE)
  60. Au diantre la bégueule, v.155 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  61. Il amène un cousin, un grand original, v.158 (Acte 1, scène 6, GILLETTE)
  62. L'affaire est dans sa crise. v.160 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  63. Qui, dans vos noirs détours, recélez Léonore, v.163 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  64. Cap à cap, sans réserve, et du haut jusqu'en bas. v.166 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  65. En songeant... Ah, cousin ! Qu'elle a le nez joli, v.173 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  66. Sur son blanc estomac deux globes se soutiennent, v.175 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  67. Qui pourtant, à l'envi, sans cesse vont et viennent, v.176 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  68. Son teint est... tricolore : elle est, ma foi, charmante. v.183 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  69. Qu'elle ne fait la nuit que tourner dans son lit. v.186 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  70. Dans peu nous calmerons le tourment qu'elle endure, v.187 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  71. Sans cesse elle soupire. v.189 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  72. Ai-je tort, quand je dis qu'elle est folle de moi ? v.190 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  73. Tout est feinte, monsieur, souvent dans une fille : v.191 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  74. Mettre un visage blanc sur un visage brun ; v.194 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  75. Et rien n'est si trompeur qu'animal porte-jupe. v.200 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  76. Faites-la visiter avant par des experts. v.206 (Acte 1, scène 7, MATHIEU-CROCHET)
  77. Bon, hon : va, s'il fallait que cette marchandise v.207 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  78. Fût sujette à visite avant que d'être prise, v.208 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  79. Malgré tant d'acheteurs, je te jure, cousin, v.209 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
  80. D'impatients transports vous bourrelez mon âme : v.216 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  81. Mon cour, tout pantelant comme un cerf aux abois, v.217 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  82. Par avance à vos pieds vient apporter son bois. v.218 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  83. Vos appas, vos attraits... qui vous font tant d'honneur... v.221 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  84. Le plaisir de me voir la gonfle de manière v.224 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  85. Dans ce jour v.225 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  86. Beau-père, on dit bien vrai ; quant à moi, j'y souscris : v.229 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  87. Ont l'abord repoussant, la mine plate et mince, v.232 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  88. Je veux croire pourtant, malgré la destinée, v.239 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  89. Tant mieux pour une femme. v.251 (Acte 1, scène 8, GÉRONTE)
  90. Oui, quand par retenue v.251 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  91. Dans ma famille, au moins, on ne voit point de sots. v.253 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  92. Oh ! Quand on a du code acquis quelque teinture, v.259 (Acte 1, scène 8, MATHIEU-CROCHET)
  93. On a soif volontiers, quand on vient de Falaise. v.264 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  94. Je me sens là-dedans un terrible appétit. v.266 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
  95. Monsieur est prévoyant. v.269 (Acte 1, scène 8, LISETTE)
  96. Je disais un jour à Nanette : v.283 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  97. Je me trouvai dans sa cachette ; v.286 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  98. Et sitôt qu'il fut sur la branche, v.289 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  99. Prêt à chanter de son bon gré, v.290 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  100. Elle le prit de sa main blanche, v.292 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  101. Et puis dans sa cage le mit, v.293 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  102. Depuis plus de vingt ans je rôde l'univers, v.297 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  103. Tant mieux pour vous, monsieur, j'en ai l'âme ravie ; v.299 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  104. Quand vous me connaîtrez... vous saurez qui je suis. v.302 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  105. Pour la profession, voilà de grands talents ! v.305 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  106. De chagrins trop cuisants j'ai l'âme pénétrée. v.307 (Acte 1, scène 10, LÉONORE)
  107. Tant mieux : je vous voudrais encor désespérée. v.308 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  108. J'ai tout ce qu'il vous faut, autant qu'homme de France. v.312 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  109. Bans un concert d'hymen, lorsque quelqu'un discorde, v.315 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  110. Oh ! Vous aurez grand-peine, avec votre industrie, v.319 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  111. À faire ici chanter deux amants en partie. v.320 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  112. J'ai dans cet étui-là, madame, un instrument v.321 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  113. Il est doux, amoureux, insinuant et tendre, v.323 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  114. Écoutez-le, de grâce, un seul moment sans peine ; v.327 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  115. Je viens, dans ce moment, expirer à vos pieds. v.334 (Acte 1, scène 10, VALÈRE)
  116. Ce soir, pendant le bal, livrez-vous à sa suite. v.348 (Acte 1, scène 10, VALÈRE)
  117. A toi je m'abandonne. v.352 (Acte 1, scène 10, LÉONORE)
  118. Cet homme doit chanter sur un diable de ton ; v.358 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
  119. Fat, animal, v.361 (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  120. Dans Quimper-Corentin. v.369 (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  121. Ce n'est pas un grand mal ; on ne voit point, en France, v.371 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
  122. Et, de plus, mon valet a la clef dans sa poche. v.379 (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  123. Tous ces gens-là sont faits de croche et d'anicroche. v.380 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
  124. Et tant soit peu brutal : v.382 (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  125. Vous l'entendrez tantôt, je me ferai connaître ; v.383 (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  126. Quoi ! Vous voulez, monsieur, donner concert céans ? v.385 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
  127. Moi-même, dans le bal, je veux vous introduire. v.392 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
  128. Je ne lui promets pas grand nombre d'héritiers. v.398 (Acte 1, scène 12, SOTENCOUR)
  129. Un grand nombre d'enfants qui portent tous leur nom. v.402 (Acte 1, scène 12, LISETTE)
  130. Sans esprit, sans mérite, et qui n'a pas un sou : v.406 (Acte 1, scène 12, SOTENCOUR)
  131. On m'a dit seulement que sa langue babille. v.407 (Acte 1, scène 12, SOTENCOUR)
  132. Qui font valoir leur femme en des mains étrangères ; v.412 (Acte 1, scène 12, SOTENCOUR)
  133. Et, mettant à profit un salutaire affront, v.413 (Acte 1, scène 12, SOTENCOUR)
  134. Qué, sans plus différer, ici jé vous embrasse. v.416 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
  135. Je ne mérite pas, monsieur, tant d'amitiés. v.422 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  136. Et pourquoi, s'il vous plaît, peut-elle tant vous plaire ? v.424 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  137. Pourquoi ? Cetté démande est bonne ! Maintenant v.425 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
  138. Qué vous allez rouler déssus l'argent comptant, v.426 (Acte 1, scène 13, LE BARON)
  139. Et vais le front levé sans crainte du sergent. v.430 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  140. La demande est nouvelle ! v.432 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  141. D'uné race ancienne autant qué la Garonne ? v.444 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
  142. Quand elle le serait encor plus que le Nil, v.445 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  143. Quand notré régiment fut chez vous en quartier, v.450 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
  144. Pas plus qu'auparavant : je ne sais ce que c'est. v.453 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  145. Ah ! Tout beau : dans ce lieu point de bruit, je vous prie ; v.456 (Acte 1, scène 13, LISETTE)
  146. À venir, sans sujet, demander une somme. v.460 (Acte 1, scène 13, LISETTE)
  147. Un Gascon ! Un Gascon a grand besoin d'argent ; v.461 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  148. Jamais de son pays ne vint lettre de change ; v.463 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  149. Et, quoiqu'il mange peu, si faut-il bien qu'il mange. v.464 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
  150. Il le sera dans peu. v.477 (Acte 1, scène 14, GÉRONTE)
  151. Tant mieux : Vous nié paierez cé qu'il mé doit du jeu. v.478 (Acte 1, scène 14, LE-BARON)
  152. Nuit et jour il hanté les brélans ; v.481 (Acte 1, scène 14, LE-BARON)
  153. Il doit encore au jeu plus dé vingt millé francs. v.482 (Acte 1, scène 14, LE BARON)
  154. Plus de vingt mille francs ! v.483 (Acte 1, scène 14, GÉRONTE)
  155. Foi de vrai Bas-normand, que c'est une imposture ; v.484 (Acte 1, scène 14, SOTENCOUR)
  156. Ou, cadédis, jé veux lé saigner à l'instant. v.489 (Acte 1, scène 14, LE-BARON)
  157. Que vous soyez payé ; mais, sans plus de colère, v.491 (Acte 1, scène 14, GÉRONTE)
  158. C'est parler comme il faut. Quand on est raisonnable, v.495 (Acte 1, scène 14, LE-BARON)
  159. Qué j'ai votré parole, et grand besoin d'argent. v.498 (Acte 1, scène 14, LE BARON)
  160. Si j'ai hanté ni vu ce Gascon de ma vie. v.500 (Acte 1, scène 15, SOTENCOUR)
  161. C'est un fourbe ; et sans vous v.501 (Acte 1, scène 15, SOTENCOUR)
  162. Et le feu, comme on dit, ne va point sans fumée. v.504 (Acte 1, scène 15, LISETTE)
  163. Me voilà, mon cousin, dans mon habit de masque. v.507 (Acte 1, scène 16, MATHIEU-CROCHET)
  164. L'équipage est galant, et l'attirail fantasque. v.508 (Acte 1, scène 16, SOTENCOUR)
  165. Mon cour, en la voyant, me dit je ne sais quoi. v.510 (Acte 1, scène 16, SOTENCOUR)
  166. Le cousin est masqué mieux que personne en France ; v.512 (Acte 1, scène 16, LISETTE)
  167. Il est tout à manger : les femmes, dans le bal, v.513 (Acte 1, scène 16, LISETTE)
  168. Je vais plus qu'on ne veut, quand on m'a mis en danse. v.523 (Acte 1, scène 17, MATHIEU-CROCHET)
  169. C'est à nous de danser et d'entamer le bal. v.525 (Acte 1, scène 17, MATHIEU CROCHET)
  170. Des carêmes-prenants lui font passer la porte. v.528 (Acte 1, scène 18, GILLETTE)
  171. La plaisante nouvelle ! v.531 (Acte 1, scène 18, SOTENCOUR)
  172. Tu rêves : tiens, voilà que je danse avec elle, v.532 (Acte 1, scène 18, SOTENCOUR)
  173. Je viens de la quitter à l'instant dans la rue. v.536 (Acte 1, scène 18, GILLETTE)
  174. Prêt à vous emporter ; mais pourtant fort traitable. v.540 (Acte 1, scène 18, LE-BARON)
  175. J'ai votré Léonor pour mon nantissement, v.542 (Acte 1, scène 18, LE BARON)
  176. Je viens ici vous dire, en parlant à vous-même, v.551 (Acte 1, scène 19, VALÈRE)
  177. Oh ! Vous ne manquerez, sur ma foi, pas de gendre, v.568 (Acte 1, scène 19, SOTENCOUR)
  178. Ni vos petits-enfants de père. Allons, Mathieu, v.569 (Acte 1, scène 19, SOTENCOUR)
  179. De nous avoir défait de ce couple normand. v.578 (Acte 1, scène 20, GÉRONTE)
  180. Ma foi, sans moi, la belle en avait pour son compte. v.580 (Acte 1, scène 20, MERLIN)
  181. Puisque tout est d'accord maintenant entre vous, v.581 (Acte 1, scène 20, MERLIN)
  182. Rions, chantons, dansons, et divertissons-nous. v.582 (Acte 1, scène 20, MERLIN)
  183. Colin va chantant, v.591 (Acte 1, scène 20, MERLIN)
  184. La belle, à l'instant, v.601 (Acte 1, scène 20, MERLIN)
  185. Tu veux, en chantant, v.603 (Acte 1, scène 20, MERLIN)

ARLEQUIN, HOMME À BONNES FORTUNES. (1690)

  1. Champagne, Picard, la Violette, Tortillon, Basque, mes pantoufles, ma robe de chambre, mon carrosse, à dîner, un bouillon. (Acte 1, scène 1, LE-VICOMTE)
  2. À l'égard de celles qui me viennent par les présents que l'on m'envoie de toutes parts, passe ; mais pour celles que nous faisons en volant des montres, en enfonçant des boutiques, et en coupant des bourses ; ma foi, j'ai peur que toutes ces bonnes fortunes-là ne nous fassent faire notre mauvaise fortune à la Grève. (Acte 1, scène 1, LE-VICOMTE)
  3. Voila une méchante besogne. (Acte 1, scène 1, LE-VICOMTE)
  4. J'ai déjà dit trois ou quatre femmes que j'avais besoin d'un surtout de toilette : il y a bien du relâchement dans la galanterie ; et les femmes commencent à se décrier furieusement dans mon esprit. (Acte 1, scène 1, LE-VICOMTE)
  5. À propos de robe de chambre, tandis que vous dormiez, madame la marquise de Noirchignon vous en a envoyé une. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  6. Il est aussi venu' un laquais de la part de madame la comtesse de Charbonglacé, qui a laissé un paquet dans une toilette. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  7. Mon enfant, dis-lui qu'elle ne s'en donne pas la peine. Je vais prendre un remède pour me débrouiller le teint. (Acte 1, scène 2, LE-VICOMTE)
  8. Et vite, la robe de chambre de la Comtesse ! Tout serait perdu si elle me trouvait sans cela. (Acte 1, scène 3, LE-VICOMTE)
  9. Ne saurait-elle donner une robe de chambre sans venir l'essayer ? (Acte 1, scène 3, LE-VICOMTE)
  10. Ne saurait-on rendre un lavement sans femme ? (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
  11. Je suis si courbatu de ces aventures que le vulgaire appelle bonnes fortunes, que mon superflu suffirait à vingt fainéants de la cour. (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
  12. Je n'ai pourtant encore fait la conquête que d'un bouillon postérieur qui me cause des épreintes horribles : il faut que ma femme de chambre ne me l'ait pas donné de droit fil. (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
  13. J'ai été aussi incommodée toute la nuit de tranchées ; je suis aujourd'hui à faire peur. (Acte 1, scène 4, LA-VEUVE)
  14. Il y a trois ans que Monsieur Gratefeuille, mon mari, est mort ! (Acte 1, scène 4, LA-VEUVE)
  15. Je vous demande pardon ; je vous croyais fille. (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
  16. Vous êtes encore une plaisante morveuse ! (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  17. Plaisante morveuse ! (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  18. Je ne suis pas si morveuse que je le parais, et il y aurait déjà longtemps que je serais femme si mon père avait voulu ; car on m'a dit qu'on pouvait l'être à douze ans. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  19. Quand je songe que je serai mariée, je suis si aise, si aise ! (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  20. Il faut que ce soit quelque chose de fort joli que le mariage, puisque la pensée seule fait tant de plaisir. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  21. Vous vous trompez fort à votre calcul, si vous vous figurez tant de plaisir dans le mariage. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  22. Les soins des domestiques, l'incommodité d'une grossesse : non, quand il n'y aurait que la peur d'avoir des enfants, je renoncerais au mariage pour toute ma vie. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  23. La peur d'avoir des enfants ! (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  24. Vous n'êtes point propre au mariage ; ce n'est point un jeu d'enfant. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  25. Tout ce que je puis faire encore pour vous, c'est de vous conseiller de bannir de votre cerveau toutes vos idées matrimoniales, et de croire qu'il n'y a personne assez dépourvu de bon sens pour vouloir se charger de votre peau. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  26. La la, cette charge-là n'est pas si pesante et ne fait pas peur à tout le monde : il n'y a pas encore huit jours que je trouvai dans une boutique, au Palais, un monsieur de condition, qui me dit que j'étais bien à son gré, et qu'il serait bien aise de m'épouser. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  27. Je lui dis que j'étais encore bien petite pour cela ; mais que l'année qui vient, j'espérais d'être plus grande. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  28. Vous serez plus grande et plus folle. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  29. Vous ne voyez donc pas qu'il se moquait de vous, et que vous vous donnez un ridicule dans le monde ? (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  30. Une petite fille qui n'a pas quinze ans, donner à corps perdu au travers du mariage ! (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  31. Je vous dis, encore une fois, que j'ai plus d'âge qu'il ne faut ; mais puisque vous me trouvez trop jeune, faisons une chose ; vous avez quatre années plus que moi, donnez-m'en deux ; cela ne gâtera rien ni pour l'une, ni pour l'autre. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  32. Allez, allez ; vous ne savez ce que vous dites. Vous me croyez bien embarrassée de trois ou quatre années que j'ai plus que vous ; mais je veux bien que vous sachiez que pour dix ans de moins je ne voudrais pas être faite comme vous, ni de corps, ni d'esprit. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  33. Viens çà, Pierrot ; toi qui es un homme d'esprit, et qui sais le monde, n'est-il pas du dernier bourgeois de marier plus d'une fille dans une maison, et ne devrais-je pas déjà l'être ? (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
  34. Voyez-vous, mademoiselle, il faut marier les filles quand elles sont jeunes. (Acte 1, scène 6, PIERROT)
  35. Il est vrai que vous n'êtes encore qu'un embryon, et j'en ai vu dans des bouteilles de bien plus grandes que vous. (Acte 1, scène 6, PIERROT)
  36. Palsangué, laissez-la donc parler : vous lui rembourrez les paroles dans le ventre. (Acte 1, scène 6, PIERROT)
  37. Elle est bien rudanière. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
  38. Je ne demande pas mieux. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
  39. C'est un homme de grande condition, et on l'appelle monsieur le Vicomte. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  40. Tu lui diras que je m'ennuie bien fort de ne pas le voir, et qu'il ne manque pas de me venir trouver aujourd'hui. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  41. Le mariage, dis-je, étant un usage aussi ancien que le monde ; car on s'est marié avant vous, et on se mariera encore après... (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  42. J'ai résolu, pour éterniser la famille Brocantine... (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  43. Voyez, je vous prie, la belle demande ! (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  44. Savez-vous bien que l'on n'a que l'âge que l'on paraît ; et monsieur Visautrou, mon apothicaire, me disait encore ce matin, en me donnant un remède, que je ne paraissais pas quarante-cinq ans. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  45. Je crève de santé, et j'ai trouvé une fille comme je la souhaite, belle, jeune, sage, riche ; enfin, une fille de hasard... (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  46. Une autre fille que moi, qui ne saurait pas vivre, vous dirait, mon père, que vous risquez beaucoup en vous mariant ; qu'il faut avoir perdu l'esprit pour songer, à votre âge, à un engagement, et que l'on renferme tous les jours des gens aux Petites-Maisons pour de moindres sujets : mais moi, qui sais le respect que je vous dois, sans me prévaloir des raisons que les enfants ont d'appréhender un second mariage, je vous dirai que, puisque vous crevez de santé, vous faites parfaitement bien de prendre une femme. (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  47. Je savais bien que cela te ferait plaisir, et que tu n'aurais point de chagrin de voir marier ta soeur avant toi. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  48. Non ; on ferait bien mieux de vous laisser passer la première, et d'attendre à me marier que vous eussiez trois ou quatre enfants ! (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  49. Il faut bien qu'elle passe avant toi ; elle est ton aînée ; et afin de te mettre en état d'être bientôt mariée, elle épousera un honnête homme. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  50. Allons, dénichons ; point tant de caquet. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
  51. J'aime mieux lui céder mes droits, et qu'elle passe avant moi. (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  52. Monsieur, j'étais avec cette femme qui marchande ces singes, et qui veut donner six écus du gros, parce qu'elle dit qu'il ressemble à son mari. (Acte 2, scène 2, PIERROT)
  53. Animal ! (Acte 2, scène 2, BROCANTIN)
  54. Je vois bien que nous ne vivrons pas longtemps ensemble : je ne veux point de bête dans ma maison. (Acte 2, scène 2, BROCANTIN)
  55. C'est comme, par exemple, une chose où l'on est ensemble... Votre père... avait épousé... votre mère... ; ça faisait qu'ils étaient deux ; et comme çà, votre grand-père..., d'un côté..., la nature... (Acte 2, scène 3, PIERROT)
  56. Va, va, mon ami, tu rêves : un homme de ma qualité ne paye pas plus dans les fiacres que sur les ponts. (Acte 2, scène 4, LE-VICOMTE)
  57. Est-ce qu'un homme de ma qualité n'a pas toujours son franc fiacre ? (Acte 2, scène 4, LE-VICOMTE)
  58. Les femmes se pressent aujourd'hui ; elles savent que les quartiers d'hiver seront diablement courts cette année ; je n'ai pas un moment à moi. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  59. Un officier ne peut pas être moins de cinq à six heures à table ; et avant qu'il ait fumé dix ou douze douzaines de pipes, il est heure de s'y remettre pour souper. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  60. Vous n'avez qu'à vous mettre cinq ou six mois dragon dans ma compagnie, vous fumerez de reste. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  61. Les gens du grand volume ont-ils d'autres occupations ? (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
  62. Est-ce que j'y manque jamais ? (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  63. Mais j'ai la précaution, quand je vais en femme, de me rincer la bouche avec trois ou quatre pintes d'eau-de-vie. (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
  64. C'est ce que je dis tous les jours à deux grands haquiers d'avocats, qui sont sans cesse autour de moi à me faire endêver. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  65. Ma foi, le plumet est en amour ce que la moutarde est à la sauce-robert ; il n'y a que cela de piquant. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  66. Je ne sais pas pourquoi mon père a tant d'aversion pour les gens d'épée. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  67. Pour de l'argent, je crois, que tant que les femmes en auront, nous n'en manquerons guère. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  68. Je veux être déshonoré, vous êtes la seule bourgeoise avec qui je déroge ; mais, à vous parler franchement, toutes les femmes que je vois, au prix de vous, c'est, ma foi, de la piquette contre du vin de Sillery. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  69. Vous dites la même chose de moi quand vous êtes auprès d'une autre ? (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  70. Si vous voulez que je vous parle sans fard, cela est vrai, et je vais, au sortir d'ici, à deux ou trois rendez-vous, où il faudra bien dire que vous êtes une guenon comme les autres. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  71. Mais, à propos de guenon, quand nous marions-nous ensemble ? (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
  72. Je ne sais pas ; mais mon père dit qu'il y a quatorze ans que ma mère était grosse de moi. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  73. Quatorze ans ! (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  74. Je ne croyais pas que vous eussiez vaillant plus de dix ou douze années. (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
  75. Je sais déjà bien des choses : j'ai déjà lu cinq ou six comédies de Molière, et j'en suis au troisième tome de Cyrus ; je fais du point à la turque, et j'apprends à chanter. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  76. Vous apprenez à chanter ? (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  77. Puisque vous savez chanter, il faut que vous me décochiez un petit air. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  78. S'il n'y avait que cela, je ne laisserais pas de chanter. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  79. C'est que ma voix ne paraît rien quand je n'ai pas mes fontanges argent et jaune. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  80. Comme si les fontanges faisaient quelque chose à la voix ! (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  81. Jeanneton, m'aimez-vous bien ?... v.1 (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  82. Vous qui m'avez tant fait de bien, v.5 (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  83. Je crois que c'est de Roland. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  84. La jolie chanson ! (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  85. Mais je veux chanter avec vous. (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
  86. Nous chanterons donc une autre fois. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
  87. Infandum, Regina, jubes renovare dolorem. (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
  88. Vous jurez devant les filles. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  89. Vous me le direz pourtant. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  90. Vous saurez donc qu'étant obligé de partir pour l'Allemagne, et ne pouvant trouver d'argent sur mon billet (car les billets des vicomtes ne sont pas autrement réputés argent comptant), j'en fis un que je signai la Harpe (c'est le nom de ce fameux banquier). (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
  91. Je partis : présentement, voyez, je vous prie, le peu de bonne foi qu'il y a dans le commerce ! (Acte 2, scène 7, LE VICOMTE)
  92. Monsieur le Vicomte, je n'ai point d'argent ; mais voilà deux brillants avec lesquels vous pourrez en faire. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  93. Ne vous ai-je pas dit que je faisais litière de diamants. (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
  94. Mais, mais, mademoiselle, vous poussez ma complaisance à bout. (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
  95. Quand on a donné son coeur, cela ne coûte guère à donner. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  96. Ah, charmante princesse ! (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
  97. Que vous savez me prendre par mon faible, et qu'on fait de folies quand on est bien amoureux ! (Acte 2, scène 7, LE VICOMTE)
  98. Voilà un diamant qui me paraît bien jaune. (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
  99. Allez, allez, parmi nous autres vicomtes, la parole fait le jeu. Adieu, charmante. (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
  100. De la manière que je l'aime, je ne sais ce que je ne lui donnerais pas. (Acte 2, scène 8, COLOMBINE)
  101. Ayant appris, monsieur, que vous êtes un homme savant et de bon conseil, je voudrais bien vous parler d'une affaire que je suis sur le point de terminer. (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  102. Parlez ; mais parlez peu : la discrétion dans le parler a toujours été louée. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  103. Au contraire, on a blâmé de tout temps les grands parleurs : c'est pourquoi j'aime la brièveté, et je m'applique uniquement à être concis dans mes discours. (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  104. Que le défaut de jugement vient du manque de raison et que le manque de raison est le caractère de la bête ? (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  105. Ignorez-vous que la nature a donné à l'homme deux pieds pour marcher, deux bras pour agir, deux narines pour sentir, et qu'elle ne lui a donné qu'une langue pour parler ? (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  106. Pythagore faisait observer le silence à ses disciples pendant sept années. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  107. Bias, qu'un grand parleur n'était autre chose qu'une forteresse sans murailles, une ville sans porte, et un vaisseau sans gouvernail. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  108. Anaxagore, qu'une bête féroce échappée était moins à craindre qu'une langue effrénée et pétulante. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  109. Tous vos grands discours sont inutiles. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  110. Je ne vous dis pas qu'il ne faille parler en termes propres, suivant les règles de la grammaire, faire accorder l'adjectif avec le substantif, le nom avec le verbe, le masculin avec le féminin. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  111. Selon Socrate, c'est I'art de persuader ; selon Agathon, c'est l'art de tromper ; selon Gorgias, l'usage du discours ; selon Chrysippe, la clef des coeurs ; selon Cléanthe, la science des sciences ; selon Vatadérius, le boulevard de la vérité ; selon Aristote, le bouclier de l'orateur ; selon Cicéron, l'art de bien dire ; et selon moi, l'art de ne guère parler. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  112. Le temps est cher ; on en perd tant à boire, à manger, à dormir, à s'habiller, à danser, à rire, à chanter ; et l'on ne songe pas que la santé revient après la maladie, le printemps après l'hiver, la paix après la guerre, le beau temps après la pluie ; mais que le temps passé ne revient jamais. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  113. C'est ce qui fait que du savoir au non-savoir il y a autant de différence qu'entre l'homme et la bête, le ciel et la terre, le gentilhomme et le roturier, le marchand et le voleur, le procureur et l'assassin, le bourreau et le médecin. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  114. C'est que l'un paye ses dettes, l'autre se moque de ses créanciers. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  115. Entre le marchand et le voleur ? (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  116. C'est que l'un vole dans les villes, l'autre dans les bois. (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  117. Des trois puissances de l'âme, la mémoire, l'entendement et la volonté ? (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  118. De l'influence des planètes, Jupiter, Mars, Mercure, etc ? (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  119. De la qualité des étoiles majeures, fixes ou errantes ? (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  120. Des comètes crinées, tombantes et volantes ? (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  121. De la disparité des tempéraments flegmatiques, sanguins et mélancoliques ? (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  122. Il y a deux heures que vous me faites chanter inutilement. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  123. Voulez-vous que je vous dise cela par les règles d'astronomie, prophétie, chronologie, analogie, physionomie, chimie, astrologie, hydromancie, éromancie, pyromancie, koscinomancie, chyromancie, nigromancie ? (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  124. Si vous voulez, je me servirai des connaissances de la rhétorique, physique, logique, métaphysique, arithmétique, art magique, poétique, politique, musique, dialectique, éthique, mathématique, téraprectique. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  125. Alba ligustra cadant ; vaccinia nigra leguntur. v.7 (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
  126. Hic niger est : ore hunc tu, Romane, caveto. v.9 (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  127. La blonde est tendre, languissante et amoureuse ; la brune est vive, gaillarde et fringante. (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  128. La blonde pourra bien outrager votre front ; la brune ne vous en quittera pas à meilleur marché. Un savant poète de l'antiquité dit : (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  129. Ainsi vous voyez que c'est une matière bien délicate : Undique ambages, et qu'il est difficile d'y porter un jugement certain ; car, quoique je sois consommé dans toutes sortes de sciences, ne croyez pas que je veuille que mon sentiment prévale. (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  130. Il y a pourtant un peu de différence. (Acte 3, scène 2, PIERROT)
  131. Est-ce que vous allez lever une compagnie de fantassinerie ? (Acte 3, scène 2, PIERROT)
  132. Je ne mets pas cet habit-ci sans raison. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  133. J'ai toujours dit à votre père que je ne croyais pas qu'il fût le mari de votre mère quand elle vous a faite. (Acte 3, scène 2, PIERROT)
  134. Je vous demande pardon. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
  135. On m'avait dit que Mademoiselle Isabelle était dans sa chambre. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR BASSINET)
  136. Dites-moi un peu, monsieur, en vous déterminant à un saut si périlleux, vous êtes-vous bien tâté ? (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  137. Mais quand elle sera votre femme, au moins n'allez pas nous la gâter par vos manières ridicules. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  138. Si vous voulez, je vais la dessiner qu'il n'y manquera pas un trait. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  139. Plantée là... (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  140. Cent autres contes que l'on va souffler aux oreilles d'un fiancé, qui ne manquent pas de rompre un mariage comme un verre ; et si, de tout cela, bien souvent il n'y en a pas la moitié de vrai. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  141. Quand il n'y en aurait que le quart, c'est bien encore assez, de par tous les diables ! (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
  142. Au moins, je veux être de vos amis ; et je prétends, quand vous serez marié, aller sans façon manger chez vous votre chapon. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  143. Monsieur, vous me faites trop d'honneur ; mais je ne mange jamais de volaille. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
  144. Je passe toutes les nuits dans sa chambre. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  145. Dans sa chambre ? (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
  146. Dans sa chambre. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  147. Ensemble ; et cette nuit nous en ferons autant infailliblement. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  148. Elle ne saurait se coucher sans moi. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  149. Monsieur Brocantin, vous voulez donc m'en faire avaler ! (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
  150. Tout franc, monsieur, je crains que vous n'ayez attendu trop tard à marier vos filles. (Acte 3, scène 5, PIERROT)
  151. Serait-il arrivé quelque malheur dans ma famille ? (Acte 3, scène 5, BROCANTIN)
  152. Les filles sont de certains animaux équivoques... (Acte 3, scène 5, PIERROT)
  153. Que veux-tu donc dire avec tes animaux équivoques ? (Acte 3, scène 5, BROCANTIN)
  154. C'est-à-dire, monsieur... tant y a que, je m'entends bien. (Acte 3, scène 5, PIERROT)
  155. C'est comme des armes à feu ; ça tire quelquefois sans qu'on y pense. (Acte 3, scène 5, PIERROT)
  156. On lui en sait grand gré, ma foi, de quitter son séné ; pour une fille drue comme Isabelle ! (Acte 3, scène 5, PIERROT)
  157. Si vous voulez me la bailler, je vous quitte, vous et vos chevaux, dès demain ; et si, je crois que je vous panse avec autant d'honneur qu'un médecin fait ses malades. (Acte 3, scène 5, PIERROT)
  158. Notre vacation est la plus jolie du monde ; nous voyons tout ce qu'il y a de gens de qualité ; il n'y a point de prince qui fasse la dépense que nous faisons ; nous changeons de meubles tous les jours ; on ne voit jamais chez nous la même chose, et notre cabinet est le rendez-vous de tous les fainéants de la ville. (Acte 3, scène 5, BROCANTIN)
  159. Et quelquefois aussi des fainéantes ; Car voyez vous, monsieur, les femmes ont toujours quelque pièce à troquer. (Acte 3, scène 5, PIERROT)
  160. Mon papa, il y a là-bas une troupe de carêmes-prenants qui veulent entrer. (Acte 3, scène 6, COLOMBINE)
  161. Je suis fatigué, j'ai fait un grand voyage, v.10 (Acte 3, scène 7, BROCANTIN)
  162. Pour vous demander Colombine en mariage. v.11 (Acte 3, scène 7, BROCANTIN)
  163. Le friand morceau ! (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
  164. Quel air de santé ! Vous avez la mine v.12 (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  165. Ce n'est pas sans raison que nos anciens modernes ont dit ingénieusement que le mariage était d'une très grande ressource pour de certaines gens, et que les aigrettes, dont quelques femmes galantes faisaient présent à leurs maris, étaient semblables aux dents, qui font du mal quand elles percent et nourrissent quand elles sont venues. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  166. Voilà mes deux filles ; vous n'avez qu'à choisir : c'est encore trop d'honneur pour le sang des Brocantins. (Acte 3, scène 7, BROCANTIN)
  167. Oui, beau-père, je veux brocantiner avec vous ; et de peur de mal choisir, je les prendrai toutes deux. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  168. Monsieur, je vous la garantis tout ce qu'on peut garantir une fille. (Acte 3, scène 7, BROCANTIN)
  169. Méchant mal. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  170. Je vous avertis par avance que si je suis jamais mariée avec vous, je ne vous incommoderai point de toute la nuit ; car je suis la meilleure coucheuse du monde : je me trouve le matin comme je me suis mise le soir. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  171. De demeurer dans son ménage, v.17 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  172. Quand je vois revenir des femmes sans maris, v.20 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  173. J'entends celles qui sont du plus galant étage, v.21 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  174. C'est un grand hasard s'il ne cloche ; v.25 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  175. Dans ma maison il n'entrera, v.29 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  176. Symphoniste, chanteur, ou suppôt de musique. v.32 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  177. Item, point de maître à danser ; v.33 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  178. Tant mieux. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  179. Mais avant de passer outre, il est bon que je vous fasse part de quelques petits avis en vers, que j'ai faits pour servir de niveau à la femme qui tombera sous ma coupe. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  180. Point de maître à danser ? (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  181. J'aime le mien presque autant qu'un mari. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  182. Laquais au-dessous de douze ans, v.41 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  183. Et, trouvant de plain-pied à parler de leurs flammes, v.46 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  184. C'est à cause de cela. Ces messieurs-là ne montrent pas toujours la courante et le menuet. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  185. Qu'est-ce que c'est que de venir pondre dans nos nids ? (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  186. Est-ce que l'on a des oeufs quand on est mariée ? (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  187. C'est une méchante chenille. v.53 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  188. Je vous expliquerai tout cela quand vous serez ma femme. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  189. Je m'en doutais bien, car j'ai eu envie de faire une selle en le voyant. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  190. Il y a encore pis que cela ; cet homme sera pendu avant qu'il soit vingt-quatre heures. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  191. Je n'y manque jamais, à une heure près ; et, si vous voulez, je vous dirai quand vous le serez. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  192. Cela étant, je vais le congédier. (Acte 3, scène 8, BROCANTIN)
  193. Ni moi d'un beau-frère qui postule après une cravate de chanvre. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  194. Ce sera là votre second gendre ; c'est un grand seigneur de mon pays. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  195. Il dit qu'elle est une étoile resplendissante de perfection, et que, si la queue de son manteau était plus longue, il la prendrait pour une comète. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  196. C'est une langue qui s'apprend par infusion ; et s'il vous épousait, vous sauriez le tonquinois dans deux heures. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  197. Puisque cela est ainsi, je veux bien faire le mariage d'Isabelle ; mais dites-moi auparavant, est-il curieux ? (Acte 3, scène 8, BROCANTIN)
  198. C'est le Dautel du pays ; il troque des nippes à tous moments, et je vous réponds qu'avant qu'il soit deux jours, il aura troqué sa femme. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  199. Cela pourrait être ; car il vous ressemble comme deux gouttes d'eau, et vous savez que la ressemblance engendre l'amitié. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  200. Non. Est-ce que j'entends le langage des singes, moi ? (Acte 3, scène 8, BROCANTIN)
  201. Vous avez pourtant la physionomie d'une guenon. Il dit qu'il va prendre sa guitare. La voilà ; écoutez. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
  202. Et pour mousquet un grand verre. v.62 (Acte 3, scène 8, MEZZETIN)
  203. La santé du roi, v.63 (Acte 3, scène 8, MEZZETIN)
  204. La santé du roi, v.71 (Acte 3, scène 8, MEZZETIN)

LES VENDANGES (1731)

  1. Oui, vous dis-je, sans faute ils arrivent ce soir ; v.1 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  2. Étant bailli du lieu, cette charge m'engage v.3 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  3. Çà, pendant la vendange, égayons nos esprits ; v.5 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  4. Que ma fille s'unisse, en lui donnant la main. v.10 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  5. Savoir : messieurs Hardi, Tiran, La Griffaudière. v.12 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  6. Çamon, c'est bien le temps de faire des bombances ! v.13 (Acte 1, scène 1, MADAME-TRIGAUDIN)
  7. Sont-ce là les leçons de feu votre grand-père ? v.18 (Acte 1, scène 1, MADAME-TRIGAUDIN)
  8. Manger son blé en vert est grande extravagance, v.22 (Acte 1, scène 1, MADAME-TRIGAUDIN)
  9. Grandes maisons se font par petite cuisine. v.25 (Acte 1, scène 1, MADAME TRIGAUDIN)
  10. Oui, mon grand-père était fort savant en lésine ; v.26 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  11. Que dépense bien faite est grande économie ; v.30 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  12. Ce sont tous bons bourgeois, ayant pignon sur rue. v.34 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  13. De ces sortes de gens a quelque dépendance ; v.38 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  14. Et beaucoup d'avocats, qui font les grands seigneurs, v.39 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  15. Faites-nous seulement bonne mine et grand'chère. v.42 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  16. N'allez pas pratiquer les leçons de tantôt, v.47 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  17. Là... celles du grand-père. v.48 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
  18. Au fond elle a raison ; dans le temps des vacances, v.49 (Acte 1, scène 2, TRIGAUDIN)
  19. Ne gagnant rien, on doit modérer ses dépenses : v.50 (Acte 1, scène 2, TRIGAUDIN)
  20. Cependant marier ma fille, que je crois, v.51 (Acte 1, scène 2, TRIGAUDIN)
  21. Dans un pays conquis, serait moins difficile. v.54 (Acte 1, scène 2, TRIGAUDIN)
  22. Il lui faudra pourtant faire part de mon bien. v.55 (Acte 1, scène 2, TRIGAUDIN)
  23. En vendange, autrefois, dans les lieux où nous sommes, v.57 (Acte 1, scène 2, TRIGAUDIN)
  24. Mais tout est bien changé, chacun se tient reclus ; v.59 (Acte 1, scène 2, TRIGAUDIN)
  25. Moi, dans mon cabinet, v.63 (Acte 1, scène 3, TRIGAUDIN)
  26. Je vais dresser le plan du contrat de Babet. v.64 (Acte 1, scène 3, TRIGAUDIN)
  27. Et madame Babet, dé Léandre amoureuse, v.65 (Acte 1, scène 4, GRIFFONET)
  28. Dresse un plan pour ne pas devenir procureuse. v.66 (Acte 1, scène 4, GRIFFONET)
  29. Il suffit que Toinon soit dans ses intérêts, v.68 (Acte 1, scène 4, GRIFFONET)
  30. Te voilà sans Babet ? v.70 (Acte 1, scène 5, GRIFONET)
  31. Que de te voir monsieur par les soins de Léandre ? v.77 (Acte 1, scène 5, TOINON)
  32. Le moins, en le servant, que tu puisses prétendre, v.78 (Acte 1, scène 5, TOINON)
  33. Avec un grand plumet ? Tiens, je crois que j'y suis. v.84 (Acte 1, scène 5, TOINON)
  34. Je ne l'ai point encore ouï que dans une cause ; v.89 (Acte 1, scène 5, TOINON)
  35. Je vais auparavant où monsieur votre père v.98 (Acte 1, scène 6, GRIFONET)
  36. andre va venir ; quel est votre souci ? v.103 (Acte 1, scène 7, TOINON)
  37. Je suis dans des frayeurs qu'on ne peut concevoir. v.107 (Acte 1, scène 7, BABET)
  38. La France deviendrait un pays bien désert. v.111 (Acte 1, scène 7, TOINON)
  39. Dans le chagrin que cette peur me donne, v.117 (Acte 1, scène 7, TOINON)
  40. Je ne sais qui me tient que je vous abandonne. v.118 (Acte 1, scène 7, TOINON)
  41. Mais voici votre amant. v.120 (Acte 1, scène 8, TOINON)
  42. Et votre tante, enfin, de l'aveu d'un époux, v.123 (Acte 1, scène 8, LÉANDRE)
  43. Avez-vous pu si tôt changer de sentiment ? v.128 (Acte 1, scène 8, L?ANDRE)
  44. andre ; et n'accusez que ma seule faiblesse. v.130 (Acte 1, scène 8, BABET)
  45. Fait place aux doux transports... v.133 (Acte 1, scène 8, LÉANDRE)
  46. Dans un long entretien votre esprit s'embarrasse ; v.134 (Acte 1, scène 8, TOINON)
  47. Il n'est point maintenant question de cela. v.135 (Acte 1, scène 8, TOINON)
  48. Vous dis-je ; et bannissons tous les discours frivoles : v.137 (Acte 1, scène 8, TOINON)
  49. Dans une heure elle doit être aussi v.140 (Acte 1, scène 8, LÉANDRE)
  50. Lorsque nos paysans commenceront la fête : v.142 (Acte 1, scène 8, TOINON)
  51. Pendant que Griffonet... Mais on vient nous troubler. v.147 (Acte 1, scène 8, TOINON)
  52. J'ai tout prévu... Le bruit de votre grand savoir v.151 (Acte 1, scène 9, LÉANDRE)
  53. Je le débrouillerai mieux que personne en France. v.154 (Acte 1, scène 9, TRIGAUDIN)
  54. Ce fait est important, mais il n'est pas nouveau. v.155 (Acte 1, scène 9, LÉANDRE)
  55. Ayant, ces derniers jours, dans toute une audience, v.157 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  56. Entretenu la cour sur un cas d'importance, v.158 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  57. M'a prié, ne voulant rien faire à la légère, v.181 (Acte 1, scène 10, LÉANDRE)
  58. Mais, malgré mon audace, et trop grande et trop haute, v.193 (Acte 1, scène 10, LÉANDRE)
  59. Ces prières, monsieur, sont un commandement. v.196 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  60. Et j'examine bien avant que m'embarquer : v.203 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  61. En matière de rapt, l'ordonnance est formelle : v.206 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  62. Mais, dans l'occasion, on peut bien quelquefois, v.207 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  63. Quelque bourru, sans doute ? v.212 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  64. Et quand un père usurpe un pouvoir tyrannique, v.217 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  65. On peut, pour s'affranchir, mettre tout en pratique. v.218 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
  66. On vous demande là. v.228 (Acte 1, scène 11, TOINON)
  67. Le voilà tout trouvé, sans procès ni chicane. v.233 (Acte 1, scène 11, TOINON)
  68. Quand le grand Annibal et les Carthaginois, v.239 (Acte 1, scène 11, TRIGAUDIN)
  69. De deux consuls romains triomphant à la fois, v.240 (Acte 1, scène 11, TRIGAUDIN)
  70. Quand ce fils d'Amilcar, du sang des légions, v.243 (Acte 1, scène 11, TRIGAUDIN)
  71. L'aigle prenant la fuite au fameux jour de Canne... v.245 (Acte 1, scène 11, TRIGAUDIN)
  72. Et qu'est-il besoin là de cane ni d'oison ? v.247 (Acte 1, scène 11, TOINON)
  73. On le verra dans ma péroraison. v.248 (Acte 1, scène 12, TRIGAUDIN)
  74. Des moments destinés à vos soins importants. v.252 (Acte 1, scène 12, LÉANDRE)
  75. Il reconduit Léandre. v.258 (Acte 1, scène 12, TRIGAUDIN)
  76. Deux paysans qui vont crever, je pense ; v.261 (Acte 1, scène 13, TOINON)
  77. Que diantre voulez-vous ? Parleras-tu, maroufle ? v.273 (Acte 1, scène 14, TRIGAUDIN)
  78. C'est que tout maintenant, v.275 (Acte 1, scène 14, MATHIEU)
  79. Comme j'allions nous deux... aux champs en dandenant... v.276 (Acte 1, scène 14, MATHIEU)
  80. Eh ! Tant mieux. Bonne affaire, ou je meure. v.281 (Acte 1, scène 14, TRIGAUDIN)
  81. Pis, l'ayant enfarmé dans la grange à Gariau, v.283 (Acte 1, scène 14, GUILLOT)
  82. Il faut y procéder, et j'y vais à l'instant. v.287 (Acte 1, scène 14, TRIGAUDIN)
  83. Mais, dites-moi d'abord, quel est le délinquant ? v.288 (Acte 1, scène 14, TRIGAUDIN)
  84. Le jeu ne vaudrait pas aussi bien la chandelle. v.297 (Acte 1, scène 14, TRIGAUDIN)
  85. Courez devant, si vous avez si hâte. v.302 (Acte 1, scène 15, TRIGAUDIN)
  86. À l'autre ! Au diantre le plat-pied ! v.303 (Acte 1, scène 15, TRIGAUDIN)
  87. Belle demande ! v.308 (Acte 1, scène 15, GRIFONET)
  88. Dans une étable. v.309 (Acte 1, scène 15, GRIFONET)
  89. Laissant le délinquant, j'ai saisi les cochons. v.312 (Acte 1, scène 15, GRIFONET)
  90. Tu seras quelque jour un juge d'importance. v.313 (Acte 1, scène 15, TRIGAUDIN)
  91. Mais, sans perdre de temps, partons en diligence ; v.314 (Acte 1, scène 15, TRIGAUDIN)
  92. Je vous la demandons. v.323 (Acte 1, scène 16, MATHIEU)
  93. Je vais prendre ma robe. Enfants, attendez là. v.324 (Acte 1, scène 16, TRIGAUDIN)
  94. Noutre bailli, tout franc, entend les récritures. v.325 (Acte 1, scène 17, MATHIEU)
  95. Morgué ! Son clerc itou sait bian les proucédures. v.326 (Acte 1, scène 17, GUILLOT)
  96. Y n'y cherche point tant de chose ni de frême. v.330 (Acte 1, scène 17, MATHIEU)
  97. Aux autres, pour avoir un méchant jugement, v.331 (Acte 1, scène 17, MATHIEU)
  98. Y leu faut, palsangué, plus de recoulement, v.332 (Acte 1, scène 17, MATHIEU)
  99. Et plus de con... fron... tra... tanquia, plus de grimoire ! v.333 (Acte 1, scène 17, MATHIEU)
  100. An n'en serait chevir, et c'est la mer à boire : v.334 (Acte 1, scène 17, MATHIEU)
  101. Ma ly, sans barguigner, y va d'abour au fait ; v.335 (Acte 1, scène 17, MATHIEU)
  102. Ma si, tandis qu'il est dans son himeur de penre, v.338 (Acte 1, scène 17, GUILLOT)
  103. C'est très bian avisé ; vengeons-nous tout d'un temps. v.340 (Acte 1, scène 17, MATHIEU)
  104. C'est bian dit. Mais, monsieu, v.344 (Acte 1, scène 18, MATHIEU)
  105. S'il soutiant aux témoins... v.346 (Acte 1, scène 18, MATHIEU)
  106. La chose le requiert. Sans me rompre la tête, v.357 (Acte 1, scène 18, TRIGAUDIN)

DÉMOCRITE (1700)

  1. Que maudit soit le jour où j'eus la fantaisie v.1 (Acte 1, scène 1, STRABON)
  2. Depuis près de deux ans je vis en cet endroit, v.3 (Acte 1, scène 1, STRABON)
  3. Mal vêtu, mal couché, buvant chaud, mangeant froid. v.4 (Acte 1, scène 1, STRABON)
  4. Suivant de Démocrite, en cette solitude, v.5 (Acte 1, scène 1, STRABON)
  5. Fort mal morigénés, et peu divertissants. v.8 (Acte 1, scène 1, STRABON)
  6. Quand je songe d'ailleurs à la méchante femme v.9 (Acte 1, scène 1, STRABON)
  7. Le diable n'eût manqué de l'apporter ici. v.12 (Acte 1, scène 1, STRABON)
  8. Depuis vingt ans et plus son extrême insolence v.13 (Acte 1, scène 1, STRABON)
  9. Me fit quitter Argos, le lieu de ma naissance : v.14 (Acte 1, scène 1, STRABON)
  10. Et j'ai dans ce désert enfin fixé mes pas. v.16 (Acte 1, scène 1, STRABON)
  11. Thaler vient. Le manant, pour notre subsistance, v.21 (Acte 1, scène 1, STRABON)
  12. Chaque jour du village apporte la pitance. v.22 (Acte 1, scène 1, STRABON)
  13. Bon, tant mieux. Aujourd'hui ferons-nous bonne chère ? v.26 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  14. Depuis deux ans je jeûne en ce désert maudit. v.27 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  15. Un jeûne de deux ans cause un rude appétit. v.28 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  16. Voici dans mon panier des dattes, des pignons, v.31 (Acte 1, scène 2, THALER)
  17. Des noix, des raisins secs et quantité d'oignons. v.32 (Acte 1, scène 2, THALER)
  18. Que j'ai prise en passant dans le plus clair ruisseau. v.36 (Acte 1, scène 2, THALER)
  19. Quand on veut mourir tard. v.42 (Acte 1, scène 2, THALER)
  20. Ah, ciel ! Quelle ordonnance ! v.42 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  21. C'est mourir tous les jours que de vivre sans vin. v.43 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  22. Me voir comme un fantôme ; et, quand tu reviendras, v.47 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  23. Entends-tu, mon enfant ? v.51 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  24. Je n'y manquerai pas. v.51 (Acte 1, scène 2, THALER)
  25. Étant, comme je crois, ta fille, v.54 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  26. Ayant de plus tes traits et cet air si charmant, v.55 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  27. Elle ne peut manquer de plaire, assurément. v.56 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  28. Oh ! Ce sont des effets de votre complaisance. v.57 (Acte 1, scène 2, THALER)
  29. Mais elle n'est pas tant ma fille que l'on pense. v.58 (Acte 1, scène 2, THALER)
  30. Qu'on ne se pique pas d'être enfant de son père ? v.62 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  31. Il a l'âme un tantet férue. v.65 (Acte 1, scène 2, THALER)
  32. Je vois qu'il est fâché quand il ne la voit pas. v.68 (Acte 1, scène 2, THALER)
  33. Qu'importe ? Quand on voit une fille jolie... v.70 (Acte 1, scène 2, THALER)
  34. Que diantre faites-vous tout le jour ? v.74 (Acte 1, scène 2, THALER)
  35. Animé d'une ardeur vraiment philosophique, v.77 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  36. Je m'étais figuré que, dans ce lieu rustique, v.78 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  37. Je vivrais affranchi du commerce des sens, v.79 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  38. Et n'aurais pour mon corps nuls soins embarrassants ; v.80 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  39. Les passions sur moi n'auraient nul avantage : v.82 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  40. Sots, vains, extravagants, ridicules et fous. v.88 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  41. Pour les fuir, tout le jour il est dans sa caverne : v.89 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  42. Et la nuit, quand la lune allume sa lanterne, v.90 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  43. Et je m'instruis pour faire un jour des almanachs. v.96 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  44. Des almanachs ! Morgué, j'en voudrais savoir faire. v.97 (Acte 1, scène 2, THALER)
  45. Hé bien, changeons d'état ; ce n'est pas une affaire. v.98 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  46. Demeure dans ces lieux ; et moi, j'irai chez toi. v.99 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  47. Tu deviendrais savant ; tu saurais, comme moi, v.100 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  48. Accrochés dans le vide... Entends-tu bien ? v.104 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  49. Est dans le fond d'un puits. v.107 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  50. Je ne crois pas, tout franc, que j'aille l'y chercher. v.108 (Acte 1, scène 2, THALER)
  51. Non ; le voilà dans ma poche. v.121 (Acte 1, scène 2, THALER)
  52. Le coquin dans le bois a volé quelque coche. v.122 (Acte 1, scène 2, STRABON)
  53. Suivant les anciens, et ce qu'ils ont écrit, v.127 (Acte 1, scène 3, DÉMOCRITE)
  54. L'homme est, de sa nature, un animal qui rit ; v.128 (Acte 1, scène 3, D?MOCRITE)
  55. Cela se voit assez : mais pour moi, sans scrupule, v.129 (Acte 1, scène 3, D?MOCRITE)
  56. Je veux le définir animal ridicule. v.130 (Acte 1, scène 3, D?MOCRITE)
  57. La dupe de lui-même et de son changement. v.132 (Acte 1, scène 3, DÉMOCRITE)
  58. Plus léger que le vent, plus inconstant que l'onde, v.137 (Acte 1, scène 3, D?MOCRITE)
  59. Il est sot, orgueilleux, ignorant, inégal. v.139 (Acte 1, scène 3, D?MOCRITE)
  60. Je puis rire, je crois, d'un pareil animal. v.140 (Acte 1, scène 3, D?MOCRITE)
  61. Dans ce panégyrique où votre esprit s'aiguise, v.141 (Acte 1, scène 3, STRABON)
  62. Oui, sans doute. v.143 (Acte 1, scène 3, DÉMOCRITE)
  63. Nous sommes, dans ces lieux, à l'abri des visites v.149 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  64. Voudriez-vous tâter, dans cette conjoncture, v.153 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  65. Toujours boire et manger ! Carnassier animal, v.155 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
  66. Quand je nourris le corps, l'esprit s'en porte mieux. v.159 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  67. Mais mon corps, en revanche, est maigre, dont j'enrage. v.161 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  68. Je serai bien contraint, moi, de vous planter là. v.164 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  69. Je suis un parchemin ; mon corps est diaphane. v.165 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  70. Va, fuis de devant moi ; retire-toi, profane, v.166 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
  71. Assez d'autres, sans toi, suivront ici mes pas. v.168 (Acte 1, scène 4, D?MOCRITE)
  72. Affranchir ton esprit de l'empire des sens : v.171 (Acte 1, scène 4, D?MOCRITE)
  73. Animal sensuel, qui n'oserais me suivre ! v.173 (Acte 1, scène 4, D?MOCRITE)
  74. Sensuel, j'en conviens ; j'aime à manger pour vivre : v.174 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  75. Et feriez le galant ! J'en rirais tout mon soûl. v.183 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  76. Que je souffre en dedans, et qu'il me mortifie ! v.185 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
  77. Et, lorsque le coeur veut s'émanciper parfois, v.187 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  78. Va, fuis de devant moi ; retire-toi, profane, v.194 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  79. Assez d'autres, sans toi, suivront ailleurs nies pas. v.196 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  80. Animal sensuel ! v.197 (Acte 1, scène 4, STRABON)
  81. Tu te moques de moi. Mais Criséis s'avance. v.209 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
  82. Dans mon âme attendrie v.214 (Acte 1, scène 5, DÉMOCRITE)
  83. Je sens, en la voyant, la raison et l'amour, v.215 (Acte 1, scène 5, D?MOCRITE)
  84. Donné, sans y penser, près de quelque embuscade ? v.218 (Acte 1, scène 5, STRABON)
  85. Des Sylvains pétulants, des Faunes indiscrets, v.220 (Acte 1, scène 5, STRABON)
  86. Dont le charmant murmure et l'onde pure et saine v.226 (Acte 1, scène 5, CRISÉIS)
  87. Son teint n'est point encor nourri dans l'imposture ; v.230 (Acte 1, scène 5, DÉMOCRITE)
  88. Qui voyez face à face étoiles et planètes, v.241 (Acte 1, scène 5, STRABON)
  89. Tant de trouble jamais ne régna dans mon coeur. v.244 (Acte 1, scène 5, DÉMOCRITE)
  90. Un appétit secret dans le coeur répandu, v.247 (Acte 1, scène 5, D?MOCRITE)
  91. Et ce je ne sais quoi, qui paraît si charmant, v.255 (Acte 1, scène 5, STRABON)
  92. Vous me parlez tous deux une langue étrangère ; v.257 (Acte 1, scène 5, CRISÉIS)
  93. Et moins qu'auparavant je connais ce mystère. v.258 (Acte 1, scène 5, CRIS?IS)
  94. Puisqu'on a tant de peine à pouvoir l'expliquer. v.260 (Acte 1, scène 5, CRIS?IS)
  95. Les choses qui me font tant de peine à comprendre. v.262 (Acte 1, scène 5, CRIS?IS)
  96. En exerçant l'amour, vous le comprendrez mieux. v.263 (Acte 1, scène 5, STRABON)
  97. Demeurons dans ce bois ; laissons aller la chasse ; v.265 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  98. Qui vont par les forêts détrousser les passants. v.268 (Acte 1, scène 6, STRABON)
  99. Pour moi, je ne vois rien dans leur air qui m'étonne. v.269 (Acte 1, scène 6, CRISÉIS)
  100. Tout cela ne vaut rien. Ces gens-ci, dans leur course, v.273 (Acte 1, scène 6, STRABON)
  101. Cela se voit assez ; mais, quand il vous plaira, v.279 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
  102. Dans la route bientôt Strabon vous remettra. v.280 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
  103. Nous a, par les détours, conduits dans ces demeures ; v.282 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  104. Interrompre au matin un tranquille sommeil ; v.287 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
  105. Aller dans les forêts prévenir le soleil ; v.288 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
  106. Dans les plus creux vallons fondre en désespérés, v.291 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
  107. Manquer la bête enfin, après avoir couru, v.295 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
  108. Ils mêlent dans leurs jeux l'image de la guerre. v.302 (Acte 1, scène 6, AGÉNOR)
  109. Mais, sans trop témoigner de curiosité, v.303 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  110. Un si charmant objet sans vouloir le connaître. v.306 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  111. Philosophe sublime autant qu'on le peut être, v.313 (Acte 1, scène 6, STRABON)
  112. Suivant de Démocrite ; et vous voyez mon maître. v.314 (Acte 1, scène 6, STRABON)
  113. Cet esprit si vanté, ce Démocrite, enfin, v.316 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  114. Ce sera de bon coeur, et sans cérémonie. v.325 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
  115. De manger à présent je ne sens nulle envie ; v.326 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  116. Mais je veux toutefois, sortant de ce désert, v.327 (Acte 1, scène 6, AG?LAS)
  117. Je veux que dans une heure v.329 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  118. Que je m'en vais manger ! v.332 (Acte 1, scène 6, STRABON)
  119. Moi, que j'aille à la cour ! Grands dieux ! Qu'irais-je faire ? v.333 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
  120. Mon esprit peu liant, mon humeur trop sincère, v.334 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
  121. Ma manière d'agir, ma critique et mes ris, v.335 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
  122. Je vous demande encore une seconde grâce, v.338 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  123. Sans son consentement je ne saurais rien faire : v.342 (Acte 1, scène 6, CRISÉIS)
  124. Mais j'aurais grand plaisir de le suivre en des lieux v.343 (Acte 1, scène 6, CRIS?IS)
  125. Vous avez sur mon père une entière puissance ; v.349 (Acte 1, scène 6, CRISÉIS)
  126. Pour être courtisan, la taille et l'air qu'il faut ? v.352 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
  127. Songez qu'en vous priant, j'ai droit de commander. v.356 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  128. La résistance est vaine. v.357 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  129. J'ai des gens, des chevaux dans la route prochaine ; v.358 (Acte 1, scène 6, AG?LAS)
  130. Qu'à mes soins diligents votre coeur s'abandonne. v.362 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
  131. Sans pouvoir... v.365 (Acte 1, scène 6, THALER)
  132. Pargué, j'irai fort bien, sans répugnance aucune: v.369 (Acte 1, scène 6, THALER)
  133. Partons quand vous voudrez ; mon paquet est tout fait. v.372 (Acte 1, scène 6, STRABON)
  134. Quel voyage, grands dieux ! C'est à votre prière v.373 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
  135. Que je sens là-dedans de trouble et de combats ! v.376 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
  136. Adieu, tigres, ours, cerfs, daims, sangliers et loups. v.379 (Acte 1, scène 8, STRABON)
  137. Je veux qu'une panthère, avec sa dent gloutonne, v.381 (Acte 1, scène 8, STRABON)
  138. Je vais boire et manger. Bonjour, bonsoir, adieu. v.384 (Acte 1, scène 8, STRABON)
  139. Moi, de le demander, et vous de me le dire. v.389 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
  140. Mais, puisque sans parler je ne puis m'en instruire, v.390 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  141. Quel sujet vous oblige à répandre des larmes ? v.393 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  142. Et quand même il romprait une si douce chaîne, v.397 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  143. Je veux bien avouer qu'un manque de couronne v.401 (Acte 2, scène 1, ISMÈNE)
  144. S'il était un peu moins sensible à la grandeur. v.404 (Acte 2, scène 1, ISM?NE)
  145. Ma chère Cléanthis, est venu me surprendre : v.406 (Acte 2, scène 1, ISM?NE)
  146. Et le rang glorieux que le destin vous donne, v.410 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
  147. Abandonnant Argos, où mourut votre père, v.414 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
  148. Que, si d'aucun enfant il ne devenait père, v.417 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  149. La reine eut une fille ; et, l'aimant moins que vous, v.420 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  150. Elle trouva moyen de changer cette fille, v.421 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  151. Et de mettre un enfant, pris d'une autre famille, v.422 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  152. Moi, j'allai cependant, sans tarder davantage, v.425 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  153. Porter nourrir l'enfant dans un lointain village. v.426 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  154. Un pauvre paysan, que l'or sut engager, v.427 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  155. Je lui dis que l'enfant tenait de moi naissance, v.429 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  156. Qu'il devait avec soin élever son enfance: v.430 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  157. Quinze ans se sont passés depuis cette aventure. v.433 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  158. Ah, Cléanthis ! Je crains que quelque amour nouvelle v.445 (Acte 2, scène 1, ISMÈNE)
  159. C'est une étrange chose ! Il faut que les amants v.447 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
  160. Sur quelque objet nouveau qui passe dans la rue ; v.450 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  161. Il faut aller plus doux dans le siècle où nous sommes. v.457 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  162. Fermer souvent les yeux ; bien entendu, pourtant, v.459 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  163. Que tout cela se fait à la charge d'autant. v.460 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  164. Un calme si tranquille est d'un pénible usage. v.462 (Acte 2, scène 1, ISMÈNE)
  165. J'ai fait pis ; dans Argos je me suis mariée. v.466 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
  166. Oui, moi ; mais à mon grand regret. v.467 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
  167. Autant que je le puis, je tiens le cas secret. v.468 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  168. Avant que les destins, touchés de ma misère, v.469 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  169. Comme ils sont presque tous : je l'ai tant tourmenté, v.475 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  170. Autant vaut. Depuis vingt ans et plus v.479 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
  171. Et quand même en ces lieux il viendrait à paraître, v.481 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  172. Nous nous verrions, je crois, tous deux sans nous connaître. v.482 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  173. J'ai bien changé d'état ; et lorsqu'il s'en alla, v.483 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  174. Je n'étais qu'un enfant haute comme cela. v.484 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  175. Pour voir un animal qu'en ces lieux on amène, v.489 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
  176. Et que le prince a pris dans la forêt prochaine. v.490 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
  177. L'animal dont tu fais un portrait non commun v.495 (Acte 2, scène 1, ISMÈNE)
  178. Est un grand philosophe. v.496 (Acte 2, scène 1, ISM?NE)
  179. Quelqu'un s'avance ici. Je m'en vais vous conduire, v.501 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
  180. Quand on a de l'esprit, ma foi, vive la cour ! v.503 (Acte 2, scène 2, STRABON)
  181. C'est là qu'il faut venir se montrer au grand jour ; v.504 (Acte 2, scène 2, STRABON)
  182. Cela me sied bien. Mais quelqu'un ici s'avance... v.509 (Acte 2, scène 2, STRABON)
  183. Oh ! Dame, voyez-vous, tout franc, je n'aime pas v.511 (Acte 2, scène 3, THALER)
  184. Si quelqu'un vient encor se gausser davantage, v.513 (Acte 2, scène 3, THALER)
  185. Je lui sangle d'abord mon poing par le visage. v.514 (Acte 2, scène 3, THALER)
  186. D'où te vient, mon enfant, l'humeur où te voilà ? v.515 (Acte 2, scène 3, STRABON)
  187. Palsangué, le premier... v.520 (Acte 2, scène 3, THALER)
  188. C'est qu'ils sont enchantés v.520 (Acte 2, scène 3, STRABON)
  189. Je n'ai pas méchant air, v.523 (Acte 2, scène 3, THALER)
  190. Je me donne au grand diable d'enfer v.524 (Acte 2, scène 3, STRABON)
  191. Si seigneur à la cour, dans ses airs de conquête, v.525 (Acte 2, scène 3, STRABON)
  192. Je suis, sans vanité, bien tourné quand je veux, v.527 (Acte 2, scène 3, THALER)
  193. Et j'ai, quand il me plaît, tout autant d'esprit qu'eux, v.528 (Acte 2, scène 3, THALER)
  194. D'avoir grand appétit, et l'estomac de même, v.534 (Acte 2, scène 3, THALER)
  195. J'ai mangé comme quatre, et j'ai trinqué d'autant. v.536 (Acte 2, scène 3, THALER)
  196. Plante-toi sur tes pieds ; te voilà comme un sot. v.543 (Acte 2, scène 3, STRABON)
  197. Remue un peu les bras ; balance-toi la tête. v.546 (Acte 2, scène 3, STRABON)
  198. De la vivacité. Danse. Prends du tabac. v.547 (Acte 2, scène 3, STRABON)
  199. Ne tends pas tant le dos. Renfonce l'estomac. v.548 (Acte 2, scène 3, STRABON)
  200. Mille plaisants objets attirer mes regards. v.556 (Acte 2, scène 4, DÉMOCRITE)
  201. Les grands et les petits, la cour comme la ville, v.557 (Acte 2, scène 4, D?MOCRITE)
  202. Et me voyant aussi dans un riche palais, v.559 (Acte 2, scène 4, D?MOCRITE)
  203. Transporté tout d'un coup de mon séjour paisible, v.561 (Acte 2, scène 4, D?MOCRITE)
  204. Que de votre intendant je prenne ici la place ; v.566 (Acte 2, scène 4, L'INTENDANT)
  205. Réglant votre maison, j'aurai soin de tout faire. v.570 (Acte 2, scène 4, L'INTENDANT)
  206. Ah ! Tant mieux. Puisque dans les maisons v.572 (Acte 2, scène 4, DÉMOCRITE)
  207. Ces quatre grands messieurs droit sur leurs pieds plantés. v.576 (Acte 2, scène 4, D?MOCRITE)
  208. Il est de la grandeur d'avoir un gros cortége. v.577 (Acte 2, scène 4, L'INTENDANT)
  209. A quoi bon, s'il vous plaît, payer tant de témoins ? v.587 (Acte 2, scène 4, DÉMOCRITE)
  210. Quand je ne serais pas au rang de vos amis, v.600 (Acte 2, scène 4, LE MAÎTRE D'HÔTEL)
  211. D'homme plus entendu que vous dans les affaires, v.602 (Acte 2, scène 4, LE MA?TRE D'H?TEL)
  212. En aussi peu de temps, sans bruit, sans embarras. v.608 (Acte 2, scène 4, L'INTENDANT)
  213. Que dans une maison un long désordre a faites. v.614 (Acte 2, scène 4, LE MAÎTRE D'HÔTEL)
  214. C'est un homme sans foi, qui prend de toute main, v.615 (Acte 2, scène 4, LE MA?TRE D'H?TEL)
  215. Messieurs, je suis ravi qu'en vous rendant service, v.617 (Acte 2, scène 4, DÉMOCRITE)
  216. Cette rare amitié, cette candeur sublime v.621 (Acte 2, scène 4, D?MOCRITE)
  217. Tu peux juger, Strabon, des grands par les petits. v.624 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
  218. Et dans l'occasion tout bas se désavouent ; v.626 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
  219. Des faux amis du temps reconnais les manières : v.629 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
  220. Mais changeons de propos. Que dis-tu de la cour ? v.631 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
  221. Qui n'ont que l'espérance et les désirs pour rente ; v.638 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
  222. Des complaisants en charge, et payés pour sourire v.641 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
  223. Celui-ci qui, bouffi du rang de son aïeul, v.643 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
  224. Je te laisse à juger si, de tant de matière, v.645 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
  225. Dans ce nouveau pays, v.647 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
  226. Je la voyais tantôt devant une toilette, v.654 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  227. Semble-t-elle répondre à ce muet langage ? v.666 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
  228. Elle a de certains yeux, de certaines manières, v.669 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  229. Des souris attrayants, des mines meurtrières... v.670 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  230. En savoir déjà tant ! v.671 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
  231. Si le prince l'aimait, le cas serait plaisant. v.672 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  232. Que diriez-vous, qu'un roi cherchant à plaire, v.673 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  233. Comme un aventurier donnât dans la bergère ? v.674 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  234. L'amour est, je l'avoue, une belle manie: v.677 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  235. Il ne me manquait plus que d'être encor jaloux. v.680 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
  236. Pourquoi cet air chagrin, à vous qui riez tant ? v.684 (Acte 2, scène 5, STRABON)
  237. Agélas a grand tort d'employer sa puissance v.689 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
  238. À vouloir d'un enfant surprendre l'innocence, v.690 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
  239. Et, pour mieux étouffer cette flamme naissante, v.694 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
  240. D'un feu long et discret dans son harnois s'échauffe. v.698 (Acte 2, scène 6, STRABON)
  241. Le pauvre diable en a tout autant qu'il en faut, v.699 (Acte 2, scène 6, STRABON)
  242. Chacun doit convenir, en voyant vos attraits, v.711 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  243. Ces organes subtils, d'où votre esprit transpire, v.713 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  244. Avant que vous parliez, font que je vous admire. v.714 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  245. À votre air étranger, on devine aisément... v.715 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
  246. À mon air étranger ! Parlez plus congrûment. v.716 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  247. J'en ai, sans me vanter, de la plus fine espèce. v.718 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  248. Un esprit méprisant ne m'a point fait parler ; v.719 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
  249. Et tous nos courtisans voudraient vous ressembler. v.720 (Acte 2, scène 7, CL?ANTHIS)
  250. Je suis, sans me vanter, assez bien avec lui : v.724 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  251. C'est un honneur qu'il fait à peu de courtisans. v.727 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
  252. Suivant de Démocrite, et garçon philosophe. v.730 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  253. On le voit ; votre esprit éclate dans vos yeux. v.731 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
  254. Madame, à bout portant vous tirez la louange. v.733 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  255. Je veux être un maraud, si mes sens, en échange, v.734 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  256. Peu de coeurs devant vous ont conservé leur paix. v.736 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
  257. Commander à ses pleurs de sortir au besoin ; v.743 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  258. Être un jour sans manger, bouder seul en un coin ; v.744 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  259. Quand on manque, à la fin, d'en tirer aile ou pied. v.748 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  260. La nature, en naissant, vous fit l'âme sensible. v.749 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
  261. Mon bonheur serait pur, et ma gloire trop grande, v.757 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
  262. De recevoir ici vos voeux et votre offrande ; v.758 (Acte 2, scène 7, CL?ANTHIS)
  263. Si ma méchante femme avait fini son sort... v.764 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  264. Que d'un charme puissant on se sent ravir l'âme. v.769 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
  265. Qu'en vous voyant paraître, aussitôt on se pâme. v.770 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  266. Adieu, charmante belle : v.774 (Acte 2, scène 7, STRABON)
  267. Cela ne va pas mal. J'arrive dans la cour, v.779 (Acte 2, scène 8, STRABON)
  268. Tu vis naître tantôt cette nouvelle flamme : v.788 (Acte 3, scène 1, AGÉLAS)
  269. J'adore Criséis : à chaque instant, en elle v.791 (Acte 3, scène 1, AG?LAS)
  270. Ses airs dans cette cour ne sont point empruntés ; v.794 (Acte 3, scène 1, AG?LAS)
  271. Son esprit se fait voir, même dans son silence : v.795 (Acte 3, scène 1, AG?LAS)
  272. Elle n'a rien des bois que la seule naissance. v.796 (Acte 3, scène 1, AG?LAS)
  273. Vous a fait souverain, sans aucune autre loi v.801 (Acte 3, scène 1, AGÉNOR)
  274. Mon coeur jusqu'à ce jour, sans nulle répugnance, v.803 (Acte 3, scène 1, AGÉLAS)
  275. M'a charmé, sans avoir nul dessein de me plaire, v.808 (Acte 3, scène 1, AG?LAS)
  276. Mon penchant pour Ismène aussitôt m'a quitté. v.809 (Acte 3, scène 1, AG?LAS)
  277. Ont produit des objets dignes des plus grands rois ; v.814 (Acte 3, scène 1, AGÉNOR)
  278. Cette inégalité, ce défaut de grandeur, v.817 (Acte 3, scène 1, AGÉLAS)
  279. Je ne sais ce qu'annonce une telle aventure ; v.819 (Acte 3, scène 1, AGÉNOR)
  280. Mais un des miens m'a dit qu'en changeant de parure, v.820 (Acte 3, scène 1, AG?NOR)
  281. Ce paysan, de joie ou de vin transporté, v.821 (Acte 3, scène 1, AG?NOR)
  282. A laissé, dans l'habit qu'il avait apporté, v.822 (Acte 3, scène 1, AG?NOR)
  283. Un bracelet d'un prix qui passe sa puissance : v.823 (Acte 3, scène 1, AG?NOR)
  284. On doit me l'apporter. Mais Criséis s'avance. v.824 (Acte 3, scène 1, AG?NOR)
  285. Je m'en vais, palsangué, lui débrider ma chance. v.827 (Acte 3, scène 2, THALER)
  286. Sire, excusez l'affront de notre importunance. v.828 (Acte 3, scène 2, THALER)
  287. Mais on nous fait un tour qui, tout franc, ne vaut rien. v.838 (Acte 3, scène 2, THALER)
  288. J'ai, dans mon autre habit, laissé, par oubliance... v.840 (Acte 3, scène 2, THALER)
  289. Ils m'avont fait bian payer mon écot. v.842 (Acte 3, scène 2, THALER)
  290. Vos valets de chambre. Ah, la maudite engeance ! v.843 (Acte 3, scène 2, THALER)
  291. En me déshabillant en toute diligence v.844 (Acte 3, scène 2, THALER)
  292. Ils m'ont pris un bijou, morgué, dans mon gousset : v.846 (Acte 3, scène 2, THALER)
  293. Je sais pourtant fort bien que ce n'est pas vous, sire ; v.851 (Acte 3, scène 2, THALER)
  294. Suivent ces étrangers qu'Agélas considère. v.856 (Acte 3, scène 2, AGÉLAS)
  295. Ahi ! Vous êtes, seigneur, par trop considérant. v.857 (Acte 3, scène 2, THALER)
  296. Mais, parlant par respect, l'honneur que l'on me rend v.858 (Acte 3, scène 2, THALER)
  297. Me confond ; car, tout franc, sans tant de préambule... v.859 (Acte 3, scène 2, THALER)
  298. Palsangué, te voilà comme une ridicule ! v.860 (Acte 3, scène 2, THALER)
  299. Allez, et n'ayez point de chagrin davantage. v.863 (Acte 3, scène 2, AGÉLAS)
  300. De 1a tranquillité que l'on goûte au village : v.868 (Acte 3, scène 3, AGÉLAS)
  301. Tout au tant de plaisir que j'ai de vous y voir. v.870 (Acte 3, scène 3, AG?LAS)
  302. Le souvenir toujours vivra dans ma mémoire ; v.872 (Acte 3, scène 3, CRISÉIS)
  303. Et j'aurais mauvais goût, si, sortant des forêts, v.873 (Acte 3, scène 3, CRIS?IS)
  304. Font briller leur esprit, ont un air si charmant, v.877 (Acte 3, scène 3, CRIS?IS)
  305. Parmi les courtisans dont la foule épandue v.879 (Acte 3, scène 3, AGÉLAS)
  306. Brille dans cette cour et s'offre à votre vue, v.880 (Acte 3, scène 3, AG?LAS)
  307. Il en est un pourtant, si j'ose ici le dire, v.887 (Acte 3, scène 3, CRISÉIS)
  308. S'attire, sans effort, les coeurs et les regards. v.890 (Acte 3, scène 3, CRIS?IS)
  309. Vous prenez du plaisir en le voyant paraître ? v.891 (Acte 3, scène 3, AGÉLAS)
  310. Les autres, devant lui, timides et défaits, v.893 (Acte 3, scène 3, CRISÉIS)
  311. Non : l'on est dans les bois d'une froideur extrême. v.899 (Acte 3, scène 3, CRISÉIS)
  312. On parle dans ces lieux autrement qu'on ne pense ; v.903 (Acte 3, scène 3, CRISÉIS)
  313. Les plus sincères coeurs... Mais Démocrite avance. v.904 (Acte 3, scène 3, CRIS?IS)
  314. J'ai commandé, par un ordre suprême, v.907 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
  315. Un animal venu d'une terre étrangère : v.912 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
  316. Des airs d'un courtisan faire l'apprentissage ? v.916 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  317. Nous allions tous revoir notre ancienne demeure : v.920 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  318. En ce lieu, plus qu'ailleurs, je suis, moi, dans ma sphère. v.923 (Acte 3, scène 4, STRABON)
  319. Mais, s'il faut devant vous dire ce que l'on pense, v.927 (Acte 3, scène 4, CRISÉIS)
  320. Ce beau lieu me retient sans nulle violence ; v.928 (Acte 3, scène 4, CRIS?IS)
  321. Quel heureux naturel ! Le charmant caractère ! v.931 (Acte 3, scène 4, STRABON)
  322. Où les grands, les petits, sont, d'une ardeur commune, v.939 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
  323. Plus qu'en nul autre endroit, y sont dans leur éclat. v.946 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
  324. Sans doute. v.947 (Acte 3, scène 4, STRABON)
  325. Et que deux yeux charmants, tels qu'à présent j'en vois, v.949 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
  326. Mais, dans cette affaire, v.963 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
  327. Un grand roi comme vous, au milieu de sa cour, v.969 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
  328. Dont je fais avec joie un éclatant aveu. v.974 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
  329. Vous, qui voyez le rang que l'amour lui propose, v.980 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
  330. Vos conseils ont sur elle une entière puissance ; v.983 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
  331. Vantez-lui mon amour bien plus que ma naissance. v.984 (Acte 3, scène 4, AG?LAS)
  332. J'ignore le grand art qui surprend la tendresse. v.988 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
  333. Reculerait, seigneur, plutôt que d'avancer. v.990 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
  334. Se rapporte si bien au penchant de mon coeur ! v.1010 (Acte 3, scène 5, CRISÉIS)
  335. Maintenant que je vois le parti qu'il faut prendre, v.1015 (Acte 3, scène 5, CRIS?IS)
  336. Je puis, par votre avis, suivre un penchant si tendre. v.1016 (Acte 3, scène 5, CRIS?IS)
  337. Quand le prince tantôt s'est offert à ma vue, v.1019 (Acte 3, scène 5, CRISÉIS)
  338. J'ai senti dans mon coeur une flamme inconnue ; v.1020 (Acte 3, scène 5, CRIS?IS)
  339. En cessant de le voir, une tristesse affreuse v.1023 (Acte 3, scène 5, CRIS?IS)
  340. Oui, voilà ce que c'est. Peste ! Quelle ignorante ! v.1027 (Acte 3, scène 5, STRABON)
  341. Vous êtes devenue en un jour bien savante ! v.1028 (Acte 3, scène 5, STRABON)
  342. Vous n'aviez pas besoin tantôt de nos leçons ; v.1029 (Acte 3, scène 5, STRABON)
  343. Vous m'aviez tant promis qu'aucun homme, en votre âme, v.1035 (Acte 3, scène 5, DÉMOCRITE)
  344. Je sens qu'elle a raison, et cependant j'enrage. v.1040 (Acte 3, scène 5, DÉMOCRITE)
  345. Sont bien vides de sens, bien pleins d'extravagance, v.1044 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  346. De se laisser mener par de tels animaux, v.1045 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  347. Connaissant, comme ils font, leur faible et leurs défauts. v.1046 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  348. Cependant on les voit, de nouveaux feux épris, v.1049 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  349. Redonner dans le piège où l'on les a vus pris : v.1050 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  350. À grand-peine échappés de leurs derniers naufrages, v.1051 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  351. Ces ris, dans l'avenir, porteront témoignage v.1055 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  352. Est, sans m'en excepter, l'animal le plus sot. v.1058 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
  353. Vous ne riez plus tant : quel chagrin vous tourmente ? v.1063 (Acte 3, scène 6, STRABON)
  354. La chose me parait cependant fort plaisante. v.1064 (Acte 3, scène 6, STRABON)
  355. La peste ! Quel enfant ! Pour moi je suis surpris v.1065 (Acte 3, scène 6, STRABON)
  356. Ce n'est pas sans raison que mon coeur te déteste. v.1068 (Acte 3, scène 6, DÉMOCRITE)
  357. Oui ; qu'on mette à l'instant sur table, s'il vous plaît. v.1070 (Acte 3, scène 7, STRABON)
  358. Autant. v.1073 (Acte 3, scène 7, LE MAÎTRE D'HÔTEL)
  359. Il creuse son tombeau sans cesse avec ses dents. v.1078 (Acte 3, scène 7, DÉMOCRITE)
  360. Et tâche, autant qu'il peut, d'abréger ses années. v.1080 (Acte 3, scène 7, D?MOCRITE)
  361. Vous êtes, dans votre art, tous de francs assassins, v.1081 (Acte 3, scène 7, D?MOCRITE)
  362. On vous bannirait tous de chaque république. v.1084 (Acte 3, scène 7, D?MOCRITE)
  363. Bon ! C'est, comme dit l'autre, autant de bien perdu. v.1094 (Acte 4, scène 1, THALER)
  364. Que je sommes échus dans une bonne auberge ! v.1100 (Acte 4, scène 1, THALER)
  365. Notre hôte est bon vivant, disons la vérité. v.1102 (Acte 4, scène 1, THALER)
  366. Vous ne devriez pas tenir un tel langage : v.1103 (Acte 4, scène 1, CRISÉIS)
  367. J'ai pourtant, m'est avis, plus d'esprit que vous tous. v.1109 (Acte 4, scène 1, THALER)
  368. Je ne manquerai point à ce que je vous dois. v.1118 (Acte 4, scène 1, CRISÉIS)
  369. C'est bien fait ; quand je parle, il faut que l'on m'écoute. v.1119 (Acte 4, scène 1, THALER)
  370. Sans doute. v.1120 (Acte 4, scène 1, CRISÉIS)
  371. Que c'est un bel emploi que de hanter les cours ! v.1122 (Acte 4, scène 1, THALER)
  372. Tous ces grands monsieurs-là sont des gens bien honnêtes. v.1123 (Acte 4, scène 1, THALER)
  373. Que les hommes y sont cachés et dangereux, v.1129 (Acte 4, scène 1, CRISÉIS)
  374. Dans ce riche attirail, sous ces pompeux habits, v.1138 (Acte 4, scène 2, DÉMOCRITE)
  375. Tous les plus clairvoyants, ma foi, n'y voyont guères. v.1140 (Acte 4, scène 2, THALER)
  376. Et me plaire n'est pas votre plus grand souci. v.1146 (Acte 4, scène 2, DÉMOCRITE)
  377. Qu'elle vous y respecte autant que ma personne : v.1148 (Acte 4, scène 2, THALER)
  378. J'obéis de grand coeur : j'aurai toute ma vie v.1151 (Acte 4, scène 2, CRISÉIS)
  379. Sans blesser mon devoir, ni sans vous offenser. v.1154 (Acte 4, scène 2, CRIS?IS)
  380. Un soin plus important à présent la tourmente. v.1159 (Acte 4, scène 3, DÉMOCRITE)
  381. Aurait-on jamais cru que cette jeune plante, v.1160 (Acte 4, scène 3, D?MOCRITE)
  382. Agélas s'est épris, en la voyant paraître, v.1163 (Acte 4, scène 3, D?MOCRITE)
  383. A de ses faux brillants séduit son jeune coeur. v.1166 (Acte 4, scène 3, DÉMOCRITE)
  384. Car, sans t'en dire plus, tu t'imagines bien v.1169 (Acte 4, scène 3, D?MOCRITE)
  385. Il faut abandonner la cour tout au plus vite. v.1171 (Acte 4, scène 3, DÉMOCRITE)
  386. Abandonner la cour ? v.1172 (Acte 4, scène 3, THALER)
  387. C'est à toi que le roi fait la plus grande offense. v.1175 (Acte 4, scène 3, DÉMOCRITE)
  388. Je le vois bien ; pour faire ici sa manigance, v.1176 (Acte 4, scène 3, THALER)
  389. C'est, morgué, pour cela qu'ils m'avont tant fait boire: v.1180 (Acte 4, scène 3, THALER)
  390. Je vais faire beau bruit. Serviteur cependant. v.1182 (Acte 4, scène 3, THALER)
  391. Pendant que je suis seul, laissons agir mon coeur, v.1185 (Acte 4, scène 4, DÉMOCRITE)
  392. Sur les autres répand une bile cynique : v.1188 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  393. Je veux sans nuls témoins rire à présent de moi ; v.1189 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  394. Un enfant de quinze ans ! Tu prétends la charmer, v.1194 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  395. Adonis suranné ?... Mais un pouvoir suprême v.1195 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  396. Me commande, m'entraîne en dépit de moi-même. v.1196 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  397. Tu ne peux gourmander un penchant trop fatal, v.1201 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  398. Homme pusillanime, imbécile, brutal ! v.1202 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  399. Mais on vient. Finissons un discours si fantasque ; v.1207 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
  400. Vous qui dans les forêts avez passé la vie, v.1211 (Acte 4, scène 5, CLÉANTHIS)
  401. M'a voulu transplanter, et me faire, en un jour, v.1217 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
  402. Et rare en son espèce, étrangement nous choque ? v.1220 (Acte 4, scène 5, CLÉANTHIS)
  403. Je le crois ; sur ce point j'ai peu de vanité, v.1221 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
  404. Pourquoi non ? C'est un droit qu'on acquiert en naissant ; v.1225 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
  405. Et rire l'un de l'autre est fort divertissant. v.1226 (Acte 4, scène 5, D?MOCRITE)
  406. Le roi lui doit sa foi ; cependant, à ses yeux, v.1229 (Acte 4, scène 5, CLÉANTHIS)
  407. Le reproche est plaisant et nouveau, je vous jure: v.1235 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
  408. Vous m'accuseriez peu de ces soins obligeants. v.1238 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
  409. Vous me connaissez mal. C'est une chose étrange, v.1239 (Acte 4, scène 5, D?MOCRITE)
  410. Comme dans ce pays on prend toujours le change ! v.1240 (Acte 4, scène 5, D?MOCRITE)
  411. Quoi ! Le prince tantôt ne vous a pas commis v.1241 (Acte 4, scène 5, CLÉANTHIS)
  412. C'est un fait très constant. v.1247 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
  413. Soit : j'ai pourtant de quoi rire à mon goût, v.1249 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
  414. De votre air. Vos habits, vos moeurs, votre manière, v.1252 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
  415. Pour paraître plus grande, et pour tromper les yeux ; v.1254 (Acte 4, scène 5, D?MOCRITE)
  416. En sorte qu'en ôtant ces secours superflus, v.1257 (Acte 4, scène 5, D?MOCRITE)
  417. Faire, quand nous voulons, bien enrager les hommes. v.1260 (Acte 4, scène 5, CLÉANTHIS)
  418. Mais partez, s'il vous plaît, demain avant le jour : v.1261 (Acte 4, scène 5, CL?ANTHIS)
  419. Que l'aurore en naissant m'en trouve déjà loin. v.1266 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
  420. Il a touché mon coeur en s'offrant à mes yeux ; v.1270 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  421. De mon premier mari. Je le vois s'avancer. v.1274 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  422. C'est mon système à moi : l'esprit croit dans le vin ; v.1277 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  423. Hé ! Vous voilà, princesse, infante de ma vie ! v.1280 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  424. Au disciple fameux du savant Démocrite, v.1284 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  425. Cet honneur, quoique grand, ne me toucherait guère, v.1291 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  426. De morceau si friand à mon goût que vous l'êtes. v.1296 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  427. Qui ne sont amoureux que quand ils ont bien bu ; v.1298 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  428. Exhaler les transports de leurs brûlants désirs, v.1301 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  429. De nos jeunes seigneurs c'est assez là manière. v.1303 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  430. Mon coeur s'est laissé prendre en vous voyant paraître, v.1307 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  431. Ce n'est point un retour de pure complaisance v.1311 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  432. Qui me fait hasarder la même confiance ; v.1312 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  433. En un instant a pu me rend~e si sensible ; v.1316 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  434. Et je n'ai point senti de transports aussi doux v.1317 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  435. En vous réciproquant, vous êtes, je vous jure, v.1319 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  436. De ces heureux transports payés avec usure. v.1320 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  437. Mais ne puis-je savoir, en voyant tant de charmes, v.1323 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  438. A quinze ans je me suis mariée : v.1340 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  439. Mais, depuis le long temps que sans époux je vis, v.1341 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  440. Depuis quand, s'il vous plaît, vivez-vous sans époux ? v.1351 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  441. Depuis près de vingt ans je goûte un sort si doux. v.1352 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  442. Il partit, me laissant, par bonheur, sans enfants. v.1359 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  443. Coquette, sans esprit, menteuse, pie-grièche. v.1366 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  444. Dans Argos. v.1373 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  445. Dans Argos ! v.1373 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  446. Dans Argos. v.1375 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  447. Dans Argos ! v.1375 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  448. Pourrait-on aussi, sans vous déplaire, v.1377 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  449. Cléanthis. v.1379 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  450. Cléanthis ! C'est lui. v.1379 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  451. Au soudain changement qui se fait dans mon âme. v.1381 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  452. Dans mon coeur tout_à_coup ma flamme est amortie, v.1385 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  453. Et fait en ce moment place à l'antipathie. v.1386 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  454. Dis-moi, ma chère enfant, pourquoi n'es-tu pas morte ? v.1390 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  455. Je ressentais pour lui les transports les plus doux, v.1395 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
  456. Évite ma fureur ; retourne dans tes bois. v.1399 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
  457. Revoyager vingt ans, nu-pieds, sur des épines, v.1402 (Acte 4, scène 6, STRABON)
  458. Je suis tout confondu. Quelle étrange aventure ! v.1405 (Acte 5, scène 1, STRABON)
  459. Ma femme en ce pays, et dans cette figure ! v.1406 (Acte 5, scène 1, STRABON)
  460. Mais elle n'aura pas plus longtemps l'avantage v.1409 (Acte 5, scène 1, STRABON)
  461. D'anticiper les droits d'un prétendu veuvage. v.1410 (Acte 5, scène 1, STRABON)
  462. M'a fait souffrir les maux d'un exil tyrannique ; v.1414 (Acte 5, scène 1, STRABON)
  463. Palsangué, je commence à me mettre en souci ; v.1419 (Acte 5, scène 2, THALER)
  464. Vous avez grand tort. v.1423 (Acte 5, scène 2, THALER)
  465. Vous avez vu tantôt ce bracelet ? v.1424 (Acte 5, scène 2, THALER)
  466. Disant que l'autre était trop ignominieux. v.1427 (Acte 5, scène 2, THALER)
  467. Que je n'ai pas songé de fouiller dans ma poche : v.1429 (Acte 5, scène 2, THALER)
  468. J'ai vu manger le roi, tout comme je te vois, v.1444 (Acte 5, scène 2, THALER)
  469. Et, stapendant, j'avais du chagrin dans le coeur. v.1447 (Acte 5, scène 2, THALER)
  470. Voyez le grand malheur ! v.1450 (Acte 5, scène 2, STRABON)
  471. Morgué, dans la famille, v.1450 (Acte 5, scène 2, THALER)
  472. Et l'on ne m'entend point faire tant de fracas. v.1456 (Acte 5, scène 2, STRABON)
  473. C'est tant mieux, animal, si le sort favorable v.1457 (Acte 5, scène 2, STRABON)
  474. Veut élever ta fille en un rang honorable. v.1458 (Acte 5, scène 2, STRABON)
  475. Tant mieux ? Qui dit cela ? v.1459 (Acte 5, scène 2, THALER)
  476. Les uns disent tant mieux, et les autres tant pis. v.1460 (Acte 5, scène 2, THALER)
  477. Hélas ! Mon pauvre enfant, je l'avais oublié ; v.1468 (Acte 5, scène 2, STRABON)
  478. Quoi ! Malgré les transports dont mon âme est émue, v.1473 (Acte 5, scène 3, CLÉANTHIS)
  479. Vous pouvez voyager vingt ans comme j'ai fait ; v.1480 (Acte 5, scène 3, STRABON)
  480. Allez dans les déserts, et suivez Démocrite : v.1482 (Acte 5, scène 3, STRABON)
  481. Je veux, quand il me plaît, moi, me mettre en colère. v.1489 (Acte 5, scène 3, CLÉANTHIS)
  482. N'adoucirez-vous point cet esprit pétulant ? v.1491 (Acte 5, scène 3, STRABON)
  483. Voilà celle qui vint m'apporter son enfant. v.1492 (Acte 5, scène 3, THALER)
  484. Ma haine, en te voyant, s'irrite dans mon âme, v.1493 (Acte 5, scène 3, CLÉANTHIS)
  485. Je vous connais bien, moi. Quinze ans de nourriture v.1498 (Acte 5, scène 3, THALER)
  486. Pour un de vos enfants. v.1499 (Acte 5, scène 3, THALER)
  487. Pour un de mes enfants ? v.1499 (Acte 5, scène 3, CLÉANTHIS)
  488. Pour un de nos enfants ! Ciel ! Qu'est-ce que j'entends ? v.1500 (Acte 5, scène 3, STRABON)
  489. Oui, je le soutiendrai. C'est, palsanguenne, vous v.1507 (Acte 5, scène 3, THALER)
  490. Qui vint, par un matin, mettre un enfant cheux nous, v.1508 (Acte 5, scène 3, THALER)
  491. C'est un gentil enfant. v.1511 (Acte 5, scène 3, THALER)
  492. Sans t'en avoir donné jamais aucun sujet ! v.1512 (Acte 5, scène 3, STRABON)
  493. Un enfant clandestin !... Est-il mâle ou femelle ? v.1514 (Acte 5, scène 3, STRABON)
  494. Seigneur, il ne faut pas m'arrêter davantage : v.1517 (Acte 5, scène 4, DÉMOCRITE)
  495. Et quand vous me forcez à rester dans ces lieux, v.1519 (Acte 5, scène 4, D?MOCRITE)
  496. Après quoi vous pourrez, libres dans vos desseins, v.1527 (Acte 5, scène 4, AGÉLAS)
  497. À ma fille ? Morgué, ces courtisans de cour v.1531 (Acte 5, scène 4, THALER)
  498. Je connais votre rang ; de plus, je me connais : v.1535 (Acte 5, scène 4, CRISÉIS)
  499. Les dieux et les destins en vain, par la naissance, v.1537 (Acte 5, scène 4, AGÉLAS)
  500. Ont mis entre nous deux une vaste distance, v.1538 (Acte 5, scène 4, AG?LAS)
  501. Que le sang, que les lois, que les dieux et le sort. v.1540 (Acte 5, scène 4, AG?LAS)
  502. J'apprends que, vous laissant séduire par l'amour, v.1545 (Acte 5, scène 5, ISMÈNE)
  503. Le bruit qui se répand ne me fait nul outrage : v.1547 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
  504. Et mon choix, l'élevant dans ce rang glorieux, v.1549 (Acte 5, scène 5, AG?LAS)
  505. Jamais aucun espoir n'a tant flatté mon âme. v.1552 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
  506. Éclaircis-nous le fait sans feinte et sans détour. v.1561 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
  507. Le dénouement s'avance. v.1567 (Acte 5, scène 5, CLÉANTHIS)
  508. Et quel est donc celui qui lui donna naissance ? v.1568 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
  509. Qui de son premier lit n'ayant pour fruit qu'Ismène, v.1576 (Acte 5, scène 5, CLÉANTHIS)
  510. Et lui voulant au trône assurer tous les droits, v.1577 (Acte 5, scène 5, CL?ANTHIS)
  511. M'obligea de porter sa fille dans les bois. v.1578 (Acte 5, scène 5, CL?ANTHIS)
  512. Puis-je croire, grands dieux ! Cette étrange aventure ? v.1579 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
  513. Rendent le fait constant. v.1582 (Acte 5, scène 5, CLÉANTHIS)
  514. Maintenant que le ciel, changeant ma destinée, v.1588 (Acte 5, scène 5, CRISÉIS)
  515. Demandez ; je ne puis trop vous récompenser. v.1597 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
  516. Il est temps cependant de me faire connaître. v.1603 (Acte 5, scène 5, DÉMOCRITE)
  517. Vraiment faible au dedans, philosophe au dehors, v.1605 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  518. Deux yeux, deux yeux charmants, avaient, pour ma ruine, v.1607 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  519. Et, comptant nos défauts, je vois, plus je calcule, v.1611 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  520. Dans les retranchements de la philosophie. v.1616 (Acte 5, scène 5, DÉMOCRITE)
  521. La partie animale v.1619 (Acte 5, scène 5, DÉMOCRITE)
  522. À l'univers entier j'en demande pardon. v.1622 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  523. J'ai fait, en m'y montrant, une folie extrême ; v.1627 (Acte 5, scène 5, DÉMOCRITE)
  524. J'y vins comme un franc sot, et je m'en vais de même ; v.1628 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  525. Mais, sans le bracelet, vous étiez le premier. v.1634 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  526. Dans un antre plus creux, achevant mon emploi, v.1637 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
  527. Tâchons de l'arrêter. Nous cependant, madame, v.1639 (Acte 5, scène 6, AGÉLAS)
  528. Je suis bien en courroux : si pourtant aujourd'hui v.1642 (Acte 5, scène 7, CLÉANTHIS)
  529. Je ne serai pas seul qui, d'une âme enchantée, v.1647 (Acte 5, scène 7, STRABON)

LES FOLIES AMOUREUSES (1696)

  1. C'est voler avec confiance. v.4 (Prologue, scène 1, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  2. On vient ici dans l'espérance v.5 (Prologue, scène 1, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  3. Fi, fi, c'est une extravagance. v.13 (Prologue, scène 1, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  4. Avant que la pièce commence. v.15 (Prologue, scène 1, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  5. Parbleu, vous vous chargez d'un soin bien obligeant. v.16 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
  6. De quoi, diantre, vous mêlez-vous ? v.18 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
  7. Vous faites sans doute éclater v.21 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
  8. On ne peut louer davantage ; v.29 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
  9. Sans doute. Je n'en veux pour juge que lui-même ; v.34 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  10. Changé le titre de la pièce, v.38 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  11. Dont peut l'amoureuse manie v.44 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  12. Embarrasser l'organe du génie v.45 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  13. Mais à qui diantre avez-vous ouï dire v.47 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
  14. Tous les grands mots que vous répétez là ? v.48 (Prologue, scène 2, MONSIEUR DANCOUR)
  15. Vous êtes de plaisants crasseux ! v.53 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  16. Qui ? Moi, chercher querelle ! Eh bien, la médisance ! v.59 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  17. Rentrez dans les foyers ; songez à commencer. v.70 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
  18. Votre discours devient lassant ; v.87 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  19. Vous avez beau parler, prier, être pressant, v.92 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  20. L'auteur, dans les foyers, se fait tenir à quatre ; v.95 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-DESBROSSES)
  21. Je n'aime pas qu'on me plaisante. v.113 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  22. Avec votre sang froid... v.114 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  23. Que vous êtes charmante, v.114 (Prologue, scène 3, MONSIEUR-DANCOUR)
  24. Que quand les choses ne vont pas v.117 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  25. Mais quand on me fâche, en ce cas v.119 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  26. Je deviens vive, et je suis pétulante. v.120 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  27. Mais, au moins, point de pétulance. v.124 (Prologue, scène 3, MONSIEUR-DANCOUR)
  28. Diantre soit des censeurs et des donneurs d'avis, v.140 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  29. Que fait imaginer l'amour dans le moment v.147 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  30. Pour attraper un vieux amant ? v.148 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  31. Sans doute. v.148 (Prologue, scène 3, MONSIEUR-DANCOUR)
  32. Et le sujet est tout-à-fait galant. v.152 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  33. Qui font les beaux esprits, les savants connaisseurs. v.155 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  34. La grande affaire v.158 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-DESBROSSES)
  35. Dans le moment vient d'arriver ici v.169 (Prologue, scène 4, MONSIEUR-DUBOCAGE)
  36. Et, partant de la comédie v.181 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  37. Avec la vôtre a quelque ressemblance. v.185 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  38. Font entre eux bientôt connaissance. v.187 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  39. Et les hommes, je crois, quand vous voulez médire, v.192 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  40. Mais en vous avouant ainsi notre confrère, v.200 (Prologue, scène 5, MONSIEUR-DANCOUR)
  41. Vous nous autorisez à trop de vanité. v.201 (Prologue, scène 5, MONSIEUR DANCOUR)
  42. Franchement, là... quelle heureuse aventure v.204 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  43. Vous a fait venir dans ces lieux. v.205 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  44. En faveur du plus grand des dieux v.206 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  45. Et de n'en point changer on se fait une loi. v.213 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  46. Il est bien plus aisé de servir deux amants v.215 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  47. Dans une tendre conjoncture, v.216 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  48. Et, sans trop vous flatter, je crois v.219 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  49. Que vous êtes un fort grand maître v.220 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  50. Et dans l'un et dans l'autre emploi. v.221 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  51. Ne trouvant plus là-haut de sujets de médire v.223 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  52. Quelle diable de fantaisie ! v.230 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  53. Dans ce dessein capricieux, v.231 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  54. Chacun de nous doit, suivant son génie, v.236 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  55. Ne manquera pas de pratique, v.242 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  56. Car il n'y manque pas de fous. v.243 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  57. J'ai grande opinion de votre habileté : v.269 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  58. Mais cependant, avant que de finir l'affaire, v.270 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE BEAUVAL)
  59. De quelques airs vifs et brillants, v.276 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  60. Je n'en manquerai pas, et j'en fais mon affaire. v.288 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  61. Tout-à-l'heure, dans vos foyers, v.289 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  62. En bourdonnant un air étaler ses appas : v.294 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  63. Une savante à toute outrance, v.295 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  64. De l'Andrienne et de Térence : v.298 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  65. Qui, dressant son petit collet, v.300 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  66. Applaudit à son ignorance : v.302 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  67. Qui, prenant un autre exercice, v.307 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  68. Et méprisant de vains lauriers, v.308 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  69. À lorgner dans une coulisse v.310 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  70. Avec tous ces gens-là point de plaisanterie. v.317 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
  71. Je n'en dirai pas davantage. v.320 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  72. Quelques chansons et gentilles gambades, v.324 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  73. Des amusantes bagatelles, v.327 (Prologue, scène 5, MOMUS)
  74. Il serait bien fâcheux qu'après tant de travaux, v.338 (Prologue, scène 6, MOMUS)
  75. Avec un pied de nez, et n'ayant pu vous plaire, v.339 (Prologue, scène 6, MOMUS)
  76. On vît rentrer dans la céleste sphère v.340 (Prologue, scène 6, MOMUS)
  77. Je vous fais donc, messieurs, très instante prière v.342 (Prologue, scène 6, MOMUS)
  78. C'est beaucoup, dans un temps où chacun, dans sa vie, v.350 (Prologue, scène 6, MOMUS)
  79. J'ai cru le voir hier paraître dans ces lieux ; v.359 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  80. Ait du Seigneur Albert trompé la vigilance. v.362 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  81. J'étais à ma fenêtre, en attendant le jour, v.364 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  82. Quand quelqu'un est sorti : voyant la porte ouverte, v.365 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  83. Tant pour prendre le frais, que pour flatter l'espoir v.367 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  84. Je me veux affranchir du pouvoir d'un jaloux ; v.376 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  85. J'ai trop longtemps langui sous son cruel empire : v.377 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  86. Je veux, sans nul égard, lui montrer désormais v.379 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  87. Oui, le diable : du moins, quand il tiendrait sabbat, v.383 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  88. J'aurais quelque repos. Mais, dans mon triste état, v.384 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  89. Tant que le jour est long, il gronde entre ses dents : v.387 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  90. Il s'arrête, il s'agite, il court sans savoir où ; v.391 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  91. Lui, quand il dort d'un oeil, l'autre fait sentinelle ; v.394 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  92. Brutal à toute outrance, avare, dur, hargneux. v.396 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  93. Dès mes plus tendres ans chez sa mère nourrie, v.401 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  94. Et l'amour acheva, par des noeuds plus charmants, v.403 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  95. Et, sous un habit d'homme, en chevalier errant, v.408 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  96. Pour m'affranchir d'Albert et de ses lois si dures, v.409 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  97. Oh ! Sans aller si loin, ici, quand vous voudrez, v.411 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  98. Quand on m'impose un joug à mon humeur contraire. v.414 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  99. J'ai vécu dans le monde au milieu des plaisirs ; v.415 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  100. Et tu verras dans peu des traits de ma façon. v.420 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
  101. Faut-il le demander ? Il rôde dans les champs : v.423 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  102. Il fait toute la nuit sentinelle en dedans, v.424 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  103. J'ai fait dans mon château, toute la nuit la ronde, v.429 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  104. Et dans un plein repos j'ai trouvé tout le monde. v.430 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  105. En dépit de mes soins, cependant m'inquiète. v.434 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  106. Depuis plus de six mois ma lâche complaisance v.437 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  107. Mais j'entends quelque bruit ; et, dans le crépuscule, v.445 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  108. De dormir ce matin n'ayant aucune envie, v.453 (Acte 2, scène 2, AGATHE)
  109. D'être devant le jour sous ces arbres épais, v.455 (Acte 2, scène 2, AGATHE)
  110. Des filles sans intrigues, et qui sont retenues, v.461 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  111. Sont, à l'heure qu'il est, dans leur lit étendues, v.462 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  112. Dorment tranquillement, et ne vont point sitôt v.463 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  113. Prendre dans une cour ni le froid ni le chaud. v.464 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  114. Lorsque, par grand hasard, quelquefois je sommeille, v.469 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  115. Je veux me rendormir, mais point : un juif errant, v.471 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  116. Qui fait du mal d'autrui son plaisir le plus grand ; v.472 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  117. Pour faire aux gens dormants une éternelle guerre, v.474 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  118. Et quel est ce lutin et ce juif errant ? v.476 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  119. Oui, vous. Je croyais que ces brusques manières v.477 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  120. Et, pour mieux m'éclaircir, dans ce fâcheux état, v.479 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  121. En personne d'esprit, sans bruit et sans chandelle, v.485 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  122. J'allai dans certain coin me mettre en sentinelle : v.486 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  123. Avec un fort grand bruit, voilà l'esprit à bas : v.488 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  124. Ses deux jambes à faux dans la corde arrêtées v.489 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  125. Ah ! Malheureuse engeance ! Apanage du diable ! v.497 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  126. Je ne sais maintenant qui retient mon courage, v.501 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  127. De croire qu'en quittant votre triste personne v.510 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  128. Un esclave qui sort des mains des mécréants ; v.515 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  129. Un vieux forçat qui rompt sa chaîne après trente ans ; v.516 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  130. Un époux, quand il suit le convoi de sa femme ; v.518 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  131. N'ont pas le demi-quart tant de plaisir que j'ai v.519 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  132. En recevant de vous ce bienheureux congé. v.520 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  133. C'est le plus grand plaisir que j'aurai de ma vie. v.522 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  134. Oui ! Puisqu'il est ainsi, je change de désir, v.523 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  135. Et vous, sans raisonner, rentrez en diligence. v.526 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  136. Demeure, toi ; je veux te parler sans témoins. v.527 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
  137. Je t'aime dans le fond, et plus que l'on ne pense. v.530 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  138. Si tu veux me servir dans une occasion. v.535 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  139. Sans la précaution que près d'elle je prends. v.540 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  140. Chez la dame du bourg jusqu'à quinze ans nourrie, v.541 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  141. Toujours dans le grand monde elle a passé sa vie : v.542 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  142. Cette dame étant morte, un parent me pria v.543 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  143. L'amour, depuis ce temps, s'est glissé dans mon âme, v.545 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  144. Je n'ai point eu d'enfants de mon hymen passé ; v.551 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  145. Faire des héritiers dont l'heureuse naissance v.553 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  146. De mes collatéraux détruise l'espérance. v.554 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  147. Sans dire la raison, vous la devinez bien. v.560 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  148. Sans trouver quelque embûche on ne peut faire un pas. v.564 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  149. Mais des loups ravissants rôdent pour l'enlever. v.567 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  150. Et que, la nuit passée, un nombre de bandits v.583 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  151. N'a laissé que les murs dans le prochain logis. v.584 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
  152. Plus fou d'être amoureux d'un objet de quinze ans, v.591 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  153. Encor plus fou d'oser la griller là-dedans. v.592 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  154. Ainsi, dans ce dessein, funeste en conséquences, v.593 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  155. Je compte la valeur de trois extravagances, v.594 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  156. Mais si j'avais amant ou mari de ce goût, v.599 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  157. Je vous le dis tout net, votre espérance est vaine. v.602 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  158. Je ne veux point tremper dans vos lâches desseins : v.603 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  159. Qu'il n'est rien plus hideux ; que Satan, Lucifer, v.611 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  160. Et tant d'autres messieurs habitants de l'enfer, v.612 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  161. Sont des objets plus beaux, plus charmants, plus aimables, v.613 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  162. On dirait qu'ils n'ont pas tous de plus grande joie. v.618 (Acte 2, scène 4, ALBERT)
  163. M'envoie ici devant pour sonder le terrain. v.624 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  164. Que faites-vous ici seul, et devant ma porte ? v.626 (Acte 2, scène 5, ALBERT)
  165. J'ai fait tant de métiers, d'après le naturel, v.631 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  166. J'ai servi volontaire un an dans la marine ; v.637 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  167. Et me sentant le coeur enclin à la rapine, v.638 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  168. J'ai porté le mousquet en Flandre, en Allemagne ; v.641 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  169. Et j'étais miquelet dans les guerres d'Espagne. v.642 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  170. Qui rôdent pour entrer la nuit dans les maisons. v.648 (Acte 2, scène 5, ALBERT)
  171. Tandis que le hasard dans ce séjour m'arrête, v.650 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  172. Ayant pour bien des maux des secrets merveilleux, v.651 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  173. Je m'amuse à chercher des simples dans ces lieux. v.652 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  174. Cet habit cependant n'est pas de compétence. v.661 (Acte 2, scène 5, ALBERT)
  175. Voyez la médisance ! v.666 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  176. Certain jour, me trouvant le long d'un grand chemin, v.667 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  177. Moi troisième, et le jour étant sur son déclin, v.668 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  178. J'ai, dans le Milanais, payé de ma personne. v.681 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  179. Savez-vous bien, monsieur, que j'étais dans Crémone ? v.682 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  180. Se promener ici, sans offenser personne. v.686 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  181. Serviteur. Avant de nous quitter, v.688 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
  182. La demande est plaisante ! À ce qu'on peut connaître, v.698 (Acte 2, scène 5, ALBERT)
  183. Vous me croyez ici mis, comme les cadrans, v.699 (Acte 2, scène 5, ALBERT)
  184. Pour, du haut d'un clocher, montrer l'heure aux passants : v.700 (Acte 2, scène 5, ALBERT)
  185. Votre aspect me fatigue autant que vos discours. v.703 (Acte 2, scène 5, ALBERT)
  186. Tant mieux ; c'est où je brille, et j'aime à ferrailler. v.708 (Acte 2, scène 6, CRISPIN)
  187. Cher Crispin ? Dans ces lieux as-tu vu cette belle ? v.710 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  188. De venir de Milan ici tout d'une haleine, v.714 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  189. Vous souvient-il, monsieur, quand ma maudite mule v.718 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  190. Ne badine donc point ; parle d'autre manière. v.721 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  191. Il faudra du canon pour emporter la place. v.725 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  192. Et je ne prétends point abandonner ces lieux, v.727 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  193. Que je ne sois nanti de l'objet de mes voeux. v.728 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  194. L'amour, de ce brutal, vaincra la résistance. v.729 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  195. J'aurais pour le succès assez bonne espérance, v.730 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  196. Quand elle n'aurait rien, je l'aime cent fois mieux v.735 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  197. Dès ses plus tendres ans chez ma mère élevée, v.737 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  198. Quand ma mère mourut. Dans cette décadence, v.742 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  199. De moi, ni de mon nom, n'a nulle connoissance. v.746 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  200. Défiant, dur, brutal. v.748 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  201. Il faut savoir d'abord si dans la forteresse v.749 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  202. La tête doit toujours agir avant le bras. v.755 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  203. J'ai même déserté deux fois dans la milice. v.757 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  204. Quand on veut, voyez-vous, qu'un siège réussisse, v.758 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  205. Quand on est bien instruit de tout ce qui se passe, v.761 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  206. On ouvre la tranchée, on canonne la place, v.762 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  207. On avance en bon ordre, et l'on donne l'assaut ; v.764 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  208. C'est de même à peu près quand on prend une fille ; v.766 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  209. La suivante Lisette est dans nos intérêts. v.768 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  210. Tant mieux. Plus dans la ville on a d'intelligence, v.769 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  211. Et plus pour le succès on conçoit d'espérance. v.770 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  212. Il la faut avertir que, sans bruit, sans tambours, v.771 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
  213. Et pour ne point donner des soupçons dangereux, v.775 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
  214. Cependant, n'en déplaise à ce docteur habile, v.785 (Acte 3, scène 1, ALBERT)
  215. Je veux faire sortir Agathe et sa suivante, v.789 (Acte 3, scène 1, ALBERT)
  216. De peur qu'à cet aspect leur coeur ne s'épouvante : v.790 (Acte 3, scène 1, ALBERT)
  217. Quand j'aurai sur ce point satisfait ma prudence, v.793 (Acte 3, scène 1, ALBERT)
  218. Pendant quelques moments, prendre avec moi le frais. v.796 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  219. Par votre ordre étonnant, depuis plus de six mois, v.799 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  220. Il faut changer de lieu quelquefois dans la vie : v.801 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  221. Le plus charmant séjour à la fin nous ennuie. v.802 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  222. Quand je suis près de vous, plus que je ne respire. v.806 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
  223. J'ai le coeur plus sincère, et je vous dis sans fard, v.815 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
  224. Et de se retrancher du nombre des vivants ? v.819 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  225. Il était des maris bien avant des couvents ; v.820 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  226. Et la plus ancienne, et la plus à la mode. v.822 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  227. Le parti d'un époux est le plus ancien, v.823 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  228. Qui paraissent pour moi d'un très grand avantage : v.829 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  229. Et pourquoi, mon enfant ? v.840 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  230. On aime sans raison, et sans raison on hait. v.844 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
  231. Ne nous emportons point ; voyons tranquillement v.847 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  232. Si l'amour vous a fait un objet bien charmant. v.848 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  233. Elle n'a pas seize ans, et vous êtes fort vieux ; v.851 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  234. Vous n'en avez plus qu'une, encore branle-t-elle, v.854 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  235. Et mettre en sûreté ses dangereux appas. v.859 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  236. Loin de tous damoiseaux, où de son arrogance v.861 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  237. Vous le saurez tantôt ; marchons sans tant parler. v.864 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  238. Quel triste contre-temps dans cette conjoncture ! v.865 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
  239. Étranger dans ces lieux, et ravi de vous voir, v.871 (Acte 3, scène 3, ERASTE)
  240. Vous rendant mes respects, je remplis mon devoir. v.872 (Acte 3, scène 3, ERASTE)
  241. Et qu'il est dangereux et mortel aux passants. v.880 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
  242. Je languis nuit et jour dans un cruel martyre. v.882 (Acte 3, scène 3, AGATHE)
  243. De pouvoir, de cent ans, attenter à ma vie. v.886 (Acte 3, scène 3, CRISPIN)
  244. On ne croira jamais qu'avec tant de beauté, v.887 (Acte 3, scène 3, ERASTE)
  245. Et cet air si fleuri, vous manquiez de santé. v.888 (Acte 3, scène 3, ERASTE)
  246. Enchante mes regards ; et jamais la nature v.893 (Acte 3, scène 3, ERASTE)
  247. N'étala ses attraits avec tant de parure. v.894 (Acte 3, scène 3, ERASTE)
  248. Je pars dans le moment. Dites-moi, je vous prie... v.901 (Acte 3, scène 3, ERASTE)
  249. Puisque de babiller vous avez tant d'envie, v.902 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
  250. Mais, devant ces messieurs, tout haut je vous dirai v.912 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  251. Depuis plus de six mois, dans ce cloître nouveau, v.915 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  252. Tout, dans cette maison, est sujet à visite. v.918 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  253. Ah ! Je t'arracherai ta langue de vipère. v.922 (Acte 3, scène 4, ALBERT)
  254. Je ne veux point sitôt rentrer dans le logis, v.923 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
  255. J'en suis ravi dans l'âme. v.930 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  256. Ne suive la manière et le train de ce temps. v.936 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  257. Et je suis si ravi, quand quelques bonnes âmes v.938 (Acte 3, scène 5, CRISPIN)
  258. Qui, sans être jamais de soupçons combattu, v.943 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  259. Compte tranquillement sur sa frêle vertu ; v.944 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  260. Quand elle veut gronder, crier encor plus haut. v.948 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  261. Chaque jour, là-dedans, j'invente quelque adresse v.953 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
  262. Ma foi, vous aurez beau, messieurs leurs partisans, v.955 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
  263. Débonnaires maris, doucereux courtisans, v.956 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
  264. Dans le fond de mon coeur je me rirai de vous. v.960 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
  265. Quand vous seriez jaloux, devez-vous vous défendre v.961 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  266. Sans être un peu jaloux, on ne peut être amant. v.963 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  267. Bien des gens cependant raisonnent autrement. v.964 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  268. Un jaloux, disent-ils, qui sans cesse querelle, v.965 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  269. Est plutôt le tyran que l'amant d'une belle : v.966 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  270. Sans relâche agité de fureur et d'ennui, v.967 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  271. Il ne met son plaisir que dans le mal d'autrui. v.968 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  272. C'est dans le monde ainsi qu'on parle d'ordinaire : v.973 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  273. Et dis qu'un galant homme, et qui fait tant d'aimer, v.975 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  274. Par de jaloux transports peut se voir animer, v.976 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  275. Céder à ce penchant, et qu'il faut, dans la vie, v.977 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
  276. Pour le montrer aux sots qui blâment ma manière. v.981 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
  277. Je vous l'écrirai tout, sans qu'il vous coûte rien. v.983 (Acte 3, scène 5, CRISPIN)
  278. Quand, par votre ordre exprès, elle a vu travailler v.999 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  279. J'ai, dans le même instant, vu ses yeux s'égarer, v.1003 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  280. Elle tient des discours remplis d'extravagance ; v.1005 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  281. Elle court, elle grimpe, elle chante, elle danse. v.1006 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  282. Elle prend un habit, puis le change soudain v.1007 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  283. Tout-à-l'heure elle a mis, dans votre garde-robe, v.1009 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  284. Votre large calotte et votre grande robe ; v.1010 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  285. Puis prenant sa guitare, elle a, de sa façon, v.1011 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  286. Chanté différents airs en différent jargon. v.1012 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  287. Maudite prévoyance, et malheureuses grilles ! v.1018 (Acte 3, scène 6, ALBERT)
  288. J'ai voulu dans sa chambre un moment l'enfermer ; v.1019 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  289. Elle change de forme et de déguisement. v.1024 (Acte 3, scène 7, LISETTE)
  290. Fort vains, fort altérés, fort peu d'argent comptant : v.1036 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  291. Enfant de G ré sol ; et de plus, je m'en pique ; v.1038 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  292. D'un bout du monde à l'autre on vante mon talent. v.1039 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  293. Parce qu'il est de moi, je veux, sans complaisance, v.1041 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  294. Bizarre, pétulante, et fort récréative ; v.1050 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  295. Pour détremper un peu l'humeur mélancolique v.1053 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  296. Dès que j'eus mis en chant un certain rigaudon, v.1055 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  297. Trois sages médecins venus dans la maison, v.1056 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  298. Sans respect du métier, se prenant par la main, v.1059 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  299. Se mirent à danser jusques au lendemain. v.1060 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  300. Voir une faculté faire en rond une danse, v.1061 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  301. Et sortir dans la rue ainsi tout en cadence, v.1062 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  302. Pouah ! C'est un diésis que j'avais dans la gorge. v.1070 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  303. Or donc, dans le duo dont il est question, v.1071 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  304. Je réussis des mieux et dans l'un et dans l'autre. v.1073 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  305. Agathe, mon enfant, ton erreur est extrême. v.1077 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
  306. Parbleu, vous chanterez. v.1079 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  307. Eh bien ! Je chanterai ; v.1079 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
  308. Et, si c'est ton désir encor, je danserai. v.1080 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
  309. Ignorant par nature, ainsi que par bécarre. v.1086 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  310. Sais-tu, dans un concert, ou croasser, ou braire ? v.1089 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  311. Je vous ai déjà dit, sans vouloir vous déplaire, v.1090 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
  312. Pourquoi donc, ignorant, viens-tu, ne sachant rien, v.1092 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  313. Cause des contre-temps et de la discordance ? v.1094 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  314. Et se mêler au chant des tendres rossignols ? v.1096 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  315. Et jamais, dans les bois un sinistre hibou, v.1099 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  316. Pour chanter un concert, sortit-il de son trou ? v.1100 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  317. Mon maître, comme il faut, chantera sa partie : v.1102 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  318. Dans une sérénade, il montre son savoir ; v.1104 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  319. Et que je sais, de plus, chanter à livre ouvert. v.1112 (Acte 3, scène 7, ERASTE)
  320. Che, cercando di quà, di là, v.1115 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  321. Va trovando la libertà ; v.1116 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  322. E cercando di quà, di là, v.1121 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
  323. "Vous serez surpris du parti que je prends ; mais l'esclavage où je me trouve devenant plus dur chaque jour, j'ai cru qu'il m'était permis de tout entreprendre. (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  324. Vous, de votre côté, essayez tout pour me délivrer de la tyrannie d'un homme que je hais autant que je vous aime. " (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  325. Quand il est agité de l'amoureux lutin. v.1132 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  326. Il faut que, cette nuit, sans plus longue remise, v.1133 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  327. D'accord. Mais, vous rendant service, v.1137 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  328. Il me vient un dessein... tu connais bien Clitandre ? v.1141 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  329. Me choisir un asile en partant de ces lieux. v.1144 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  330. Là, bravant du jaloux le dépit et la rage, v.1145 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  331. La joie et le plaisir règnent dans ce séjour, v.1147 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  332. Il a daigné tantôt me faire confidence : v.1154 (Acte 3, scène 11, ALBERT)
  333. Mais vous m'avez tantôt traité d'une manière ! ... v.1158 (Acte 3, scène 11, CRISPIN)
  334. Pourrez-vous, sans pitié, voir éteindre les jours v.1163 (Acte 3, scène 11, ALBERT)
  335. D'un objet si charmant, sans lui donner secours ? v.1164 (Acte 3, scène 11, ALBERT)
  336. Rentrez. Je vais voir dans mon livre v.1169 (Acte 3, scène 11, CRISPIN)
  337. Vous me verrez tantôt dans l'opération. v.1171 (Acte 3, scène 11, CRISPIN)
  338. C'est que tantôt, sa vue ayant su m'interdire v.1178 (Acte 3, scène 12, CRISPIN)
  339. J'ai dit que je cherchais des simples dans ces lieux ; v.1180 (Acte 3, scène 12, CRISPIN)
  340. Il en faut profiter. Je ressens dans mon coeur v.1184 (Acte 3, scène 12, ERASTE)
  341. Renaître en ce moment l'espérance et la joie. v.1185 (Acte 3, scène 12, ERASTE)
  342. Nous pourrons réussir dans nos nobles projets, v.1187 (Acte 3, scène 12, ERASTE)
  343. D'entreprendre un projet, sans ce premier mobile. v.1190 (Acte 3, scène 12, CRISPIN)
  344. Nous sommes sans argent ; qui nous en donnera ? v.1191 (Acte 3, scène 12, CRISPIN)
  345. Il semble à ces messieurs, dans leur manie étrange, v.1193 (Acte 3, scène 13, CRISPIN)
  346. Que leurs billets d'amour soient des lettres-de-change. v.1194 (Acte 3, scène 13, CRISPIN)
  347. Quand l'amour une fois s'emparant de son âme, v.1197 (Acte 3, scène 1, ERASTE)
  348. Son accès de folie à chaque instant redouble. v.1206 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  349. Ah ! Monsieur, suis-je assez au rang de vos amis, v.1207 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  350. Cet homme qui tantôt m'a vanté sa science, v.1209 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  351. Mais il m'en a parlé dans des termes si nets, v.1219 (Acte 3, scène 2, ERASTE)
  352. En me développant la cause et les effets, v.1220 (Acte 3, scène 2, ERASTE)
  353. Comme le ciel envoie ici, sans y songer, v.1223 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  354. Je ne garantis point sa science profonde, v.1225 (Acte 3, scène 2, ERASTE)
  355. Apprendre, en voyageant, des secrets surprenants. v.1236 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
  356. Bonjour, mes doux amis : Dieu vous gard', mes enfants. v.1239 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  357. Que le ciel pour longtemps la santé vous envoie, v.1241 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  358. Je la trouve charmante ; et, malgré sa vieillesse, v.1245 (Acte 3, scène 4, ERASTE)
  359. Je me porte encor mieux que tous tant que vous êtes. v.1249 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  360. Je fais quatre repas, et je lis sans lunettes. v.1250 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  361. Oui vraiment, du champagne encor, sans qu'il en reste. v.1254 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  362. On peut voir dans ma bouche encor toutes mes dents. v.1255 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  363. J'ai pourtant, voyez-vous, quatre-vingt-dix-huit ans, v.1256 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  364. Tout autant : mais je suis encore verdelette ; v.1258 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  365. Les hommes d'aujourd'hui, c'est piètre marchandise, v.1262 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  366. À mon âge, je vaux encor mon pesant d'or. v.1267 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  367. Les enfants cependant m'ont beaucoup fait de tort : v.1268 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  368. Si l'on ne m'avait mise à treize ans en ménage. v.1270 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  369. C'est tuer la jeunesse, à vous en parler franc, v.1271 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  370. Que la mettre sitôt en un péril si grand. v.1272 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  371. À vingt-sept ans, j'avais déjà quatorze enfants. v.1275 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  372. Oui, tout grouillants, v.1276 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  373. Ils m'ont, jusqu'à présent, chicané mon douaire ? v.1282 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  374. J'aurais très grand besoin de quelque cent pistoles ; v.1286 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  375. Tu rêves, mon enfant : mais pour te satisfaire, v.1289 (Acte 3, scène 4, ALBERT)
  376. J'avancerai les frais, et j'en fais mon affaire. v.1290 (Acte 3, scène 4, ALBERT)
  377. Mais songe, mon enfant... v.1293 (Acte 3, scène 4, ALBERT)
  378. Il me souvient que vous avez tantôt v.1299 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  379. Il est vrai qu'à l'instant je pourrai lui reprendre. v.1302 (Acte 3, scène 4, ALBERT)
  380. Il n'y manquera pas. v.1309 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  381. Pour aller avec vous, dans ce besoin pressant, v.1312 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  382. Solliciter mon juge, et demander justice. v.1313 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  383. Quand elle a mis au jour de méchants garnements ! v.1316 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
  384. Voilà de quoi, Monsieur, avancer votre affaire. v.1317 (Acte 3, scène 5, LISETTE)
  385. Un savant philosophe a dit élégamment : v.1327 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  386. « Dans tout ce que tu fais hâte-toi lentement.» v.1328 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  387. J'ai depuis peu de temps pourtant bien fait des choses, v.1329 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  388. Réside dans la basse ou haute région : v.1331 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  389. Tant mieux. Vous saurez que, depuis tantôt, la belle v.1337 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
  390. En ces lieux écartés, n'ayant nuls médecins, v.1339 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
  391. Sans doute elle serait beaucoup mieux dans les siennes ; v.1341 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  392. Il entre dans mon art quelque peu de magie. v.1345 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  393. Je guéris une fois l'infante de Congo, v.1347 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  394. Je voudrais qu'à-la-fois vous fussiez maniaque, v.1353 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  395. Je vous suis obligé, monsieur, d'un si grand zèle. v.1357 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
  396. Sans perdre plus de temps, entrons chez cette belle. v.1358 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
  397. A su tirer d'Albert ces cent louis comptants. v.1363 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  398. Nous avons maintenant, sans chercher davantage, v.1365 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  399. Tant qu'il suivra ses pas, nous ne saurions rien faire. v.1369 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  400. Sans en avoir rien su, puisse prêter la main ? v.1384 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  401. Et lorsque dans ces lieux Agathe reviendra, v.1387 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
  402. Ah ! Messieurs, sa folie à chaque instant augmente ; v.1393 (Acte 3, scène 9, ALBERT)
  403. Un transport martial à présent la tourmente. v.1394 (Acte 3, scène 9, ALBERT)
  404. Elle ne parle plus que de sang, de combats : v.1399 (Acte 3, scène 9, ALBERT)
  405. Pour le plus grand coquin, le plus juif, le plus chien v.1412 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  406. Il faut, avec prudence, entrer dans sa manie. v.1418 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  407. J'ai mille qualités, de l'esprit, des manières ; v.1421 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  408. La gloire est mon penchant, cette gloire inhumaine v.1425 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  409. À son char éclatant en esclave m'enchaîne. v.1426 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  410. Sans que je sois tenté de rien faire pour lui. v.1428 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  411. Quelque accès violent sans doute va la prendre, v.1434 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  412. Que de veuves en deuil ! Que d'amantes en pleurs ! v.1439 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  413. Enfants, suivez-moi tous ; ranimez vos ardeurs. v.1440 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  414. Je vois dans vos regards briller votre courage. v.1441 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  415. Frappez. Serrez vos rangs ; percez cet escadron. v.1444 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
  416. En peu de temps, voilà bien du sang répandu. v.1447 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  417. Sans espoir de retour elle a l'esprit perdu. v.1448 (Acte 3, scène 10, ALBERT)
  418. Est bien fort, et pourrait dans peu nous l'enlever. v.1456 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  419. Si j'avais un sujet, dans cette maladie, v.1457 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  420. Qui, sans aller plus loin, vous servira d'objet. v.1460 (Acte 3, scène 10, ALBERT)
  421. Hâtez-vous donc. Son mal augmente à chaque instant. v.1463 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  422. Malepeste ! Ceci n'est pas un jeu d'enfant. v.1464 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  423. Quand dans le corps d'un homme un démon prend séance, v.1466 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  424. Je puis, sans me flatter, l'en tirer aisément ; v.1467 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  425. Mais dans un corps femelle, il tient bien autrement. v.1468 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  426. Votre main dans la sienne étroitement serrée. v.1478 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  427. Tant mieux. Sans plus attendre, v.1481 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  428. Quel tumulte confus dans mes sens se redouble ! v.1486 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  429. Laissez-moi de son flanc v.1491 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  430. Tirer des flots mêlés de poison et de sang. v.1492 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
  431. Aux accès violents dont son coeur se transporte, v.1493 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  432. De bon esprit de vin, des gouttes d'Angleterre, v.1497 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  433. Et le laissons tout seul exhaler son transport. v.1512 (Acte 3, scène 11, LISETTE)
  434. J'apporte un élixir d'une force étonnante... v.1513 (Acte 3, scène 12, ALBERT)
  435. Mais je ne vois plus rien. Quel soupçon m'épouvante ? v.1514 (Acte 3, scène 12, ALBERT)
  436. Où marcher ? Où courir ? Je chancelle ; je tombe. v.1518 (Acte 3, scène 12, ALBERT)

LA COQUETTE, OU L'ACADÉMIE DES DAMES. (1691)

  1. On est plus assuré au milieu des bois que dans ce maudit pays-ci : on ne saurait faire un pas qu'on ne trouve un filou. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  2. Il n'y a pas une demi-heure que je suis arrivé dans Paris, et me voilà déjà presque tout déshabillé... (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  3. À peine suis-je entré dans la ville, qu'on fait derrière mon cheval l'opération à ma valise ; on en tire les hardes, et on la fait accoucher avant terme. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  4. En descendant à l'hôtellerie, on m'escamote ma casaque. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  5. Je fais deux pas dans la rue, un fiacre me couvre de boue depuis les pieds jusqu'à la tête ; un porteur de chaise me donne d'un de ses bâtons dans le dos : il vient un homme me saluer ; je lui ôte mon chapeau, un coquin par derrière m'arrache ma perruque ; et, pour comble de friponneries, on veut me faire payer l'entrée à la porte comme bête à cornes, parce que je viens pour me marier... (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  6. D'où vient, petit garçon, qu'il faut vous appeler tant de fois ? (Acte 1, scène 4, COLOMBINE)
  7. Mademoiselle, c'est que j'achevais ma main au lansquenet. (Acte 1, scène 4, BAGATELLE)
  8. N'est-il venu personne me demander ? (Acte 1, scène 4, COLOMBINE)
  9. Il est venu aussi cette grande femme qui a le visage si creux, qui vous viendra voir tantôt, quand elle aura été chez son libraire. (Acte 1, scène 4, PIERROT)
  10. J'ai beau arranger mes traits, il me semble qu'il y en a toujours quelqu'un qui se révolte contre mon économie. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  11. Je sais bien, sans vanité, que j'ai quelque agrément ; mais avec un peu de beauté, et trois ou quatre mouches sur le nez, une fille ne va pas loin dans le siècle où nous sommes. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  12. Je sens quelquefois qu'une fille n'est pas née pour vivre seule ; je t'avouerai même que j'emploie tout mon esprit pour attirer quelque amant dans le filet conjugal. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  13. Leur répugnance pour le mariage vient de la simplicité des filles qui ne savent pas jouer leur rôle. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  14. L'homme est un animal qui veut être trompé. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  15. Je relève, avec art, les agréments que la nature m'a donnés : je joins à quelque brillant d'esprit les talents de la poésie et de la musique : pour mes manières, elles sont douces et insinuantes ; et, avec tout cela, point d'épouseurs. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  16. On sait bien qu'il y a de certaines avances qui accrochent quelquefois. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  17. Mais vous en aurez menti, messieurs les soupirants ; et si j'accorde quelque faveur, ce ne sera, ma foi, que par-devant notaire, et en vertu d'un bon parchemin bien signé. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  18. Cependant ce n'est pas une chose si difficile que tu le penses, d'engager un homme. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  19. Savoir risquer un billet dans son temps, marcher sur le pied à l'un, tendre la main à l'autre, se brouiller avec celui-ci, se raccommoder avec celui-là : crois-moi, avec ce petit manège-là, il faut, bon gré, mal gré, que quelque bête donne dans les toiles. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  20. Cousine, le monde m'en a plus appris qu'à toi, et je te suis caution qu'une fille n'est piquante qu'autant qu'elle a pris sel dans la coquetterie. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  21. Ce ne sont pas là les maximes de ma mère, qui me prône tous les jours que la coquetterie est l'antipode du mariage ; et j'ai ouï dire cent fois à mon oncle qu'une fille coquette ressemble à ces vins pétillants dont tout le monde veut tâter, et dont personne ne veut acheter pour son ordinaire. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  22. Voilà-t-il pas mes contes de grand'mères, qui condamnent dans leurs enfants les plaisirs que l'âge leur refuse ! (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  23. Un époux parmi ses amants, v.2 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  24. Doit changer à tous les moments v.3 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  25. Et de visage et de manière ; v.4 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  26. Tantôt, d'un air modeste, elle entre dans un coeur, v.5 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  27. Sous un faux semblant de sagesse ; v.6 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  28. Et tantôt, rallumant un feu de belle humeur, v.7 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  29. Elle sait finement, par un mélange heureux, v.9 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  30. Du frein ou de l'épron usant avec adresse, v.11 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  31. Suivant que l'animal est vif ou paresseux. v.12 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  32. Elle tient toujours la balance v.14 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  33. Entre la crainte et l'espérance, v.15 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  34. Laissant un pauvre amant doucement s'enferrer. v.16 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  35. Lui parle-t-on d'amour, vante-t-on ses appas, v.24 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  36. Elle impose silence en faisant la novice ; v.25 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  37. D'un rire obéissant son visage est paré ; v.28 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  38. Et, dispensant ainsi la rigueur, la tendresse, v.30 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  39. C'est jouer de malheur, après tant de souplesse, v.32 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  40. Il entre bien des ingrédients dans la composition d'une coquette. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  41. Savante comme tu l'es, tu devrais te mettre à montrer le coquettisme en ville : tu serais bientôt riche. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
  42. Dans le fond, on n'a que de bonnes intentions. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  43. Et quel reproche peut faire un homme quand une fille ne le trompe qu'en vue de mariage ? (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  44. Ta mère t'attend : va, va, elle est la maîtresse, elle attendra tant qu'elle voudra : demeure ici ; tu en apprendras plus avec moi en un quart_d_heure, que tu ne feras en toute ta vie avec ta mère. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  45. Ne t'ai-je pas dit cent fois que j'aime tout le monde sans aimer personne. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  46. Mon père m'a défendu de le voir, parce qu'il me destine à un bailli du Maine, qui doit arriver dans peu. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  47. Malgré la rigueur de votre père, je viens vous assurer, mademoiselle, que je perdrai plutôt la vie que l'espérance d'être un jour votre époux. (Acte 1, scène 8, OCTAVE)
  48. Ne parlons point d'amour, si ce n'est en chansons. (Acte 1, scène 8, COLOMBINE)
  49. Vous chantez bien : voilà ma cousine qui accompagne parfaitement du clavecin : je veux vous entendre ensemble. (Acte 1, scène 8, COLOMBINE)
  50. Mais, mademoiselle, chanter dans l'état où je suis ; pénétré de douleur, désespéré... (Acte 1, scène 8, OCTAVE)
  51. Si vous n'avez pas la force de chanter, vous soupirerez : c'est la langue la plus familière aux amants. (Acte 1, scène 8, COLOMBINE)
  52. Mais, monsieur, encore une fois, je n'ai que faire de vos révérences : répondez à ce que je vous demande. (Acte 1, scène 9, TRAFIQUET)
  53. Vous ferez bien, messieurs de la révérence, de ne regarder ma porte qu'avec une lunette ; je vous saluerais d'une manière... (Acte 1, scène 10, TRAFIQUET)
  54. Quelle plaisante conversation ! (Acte 1, scène 10, TRAFIQUET)
  55. Va, va, tu n'as qu'à y revenir ; je te ferai danser un branle de sortie sans violons. (Acte 1, scène 10, PIERROT)
  56. Savez-vous que quand je commande, je veux être obéi ? (Acte 1, scène 10, TRAFIQUET)
  57. Elles ont appris à danser du même maître. (Acte 1, scène 10, PIERROT)
  58. Ne t'ai-je pas dit que je ne voulais pas que tu songeasses davantage à cet homme-là pour être ton époux ? (Acte 1, scène 10, TRAFIQUET)
  59. Écoutez, ne m'échauffez pas les oreilles ; il y a des maisons à Paris où l'on réduit les filles désobéissantes. (Acte 1, scène 10, TRAFIQUET)
  60. Voilà une nouvelle manière de répondre. (Acte 1, scène 11, TRAFIQUET)
  61. Allons, allons, il faut faire cesser tout ce manége-là. (Acte 1, scène 11, TRAFIQUET)
  62. Je veux que tu passes chez monsieur Fesse-Mathieu, pour le prier de venir ici ; et que tu ailles de là dans la rue de la Huchette, savoir si le messager du Mans est arrivé. (Acte 1, scène 11, TRAFIQUET)
  63. Vous attendez donc quelque panier de volaille ? (Acte 1, scène 11, PIERROT)
  64. Est-ce que tu n'entends pas que je demande une bougie pour cacheter une lettre ? (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
  65. Pour moi, je ne sais plus quelle maladie a attaqué le cerveau de cet animal-là : il ne voit plus, il n'entend plus ; il a assurément quelque chose de brouillé dans son timbre. (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
  66. Tu veux donc que je cachette une lettre avec un manchon ? (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
  67. Je te demande une bougie, m'entends-tu ? Je crois qu'il me fera perdre l'esprit. (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
  68. Depuis quand as-tu perdu la parole ? (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
  69. Je n'oserais ; je sens là un tourbillon, un étouffement de la nature... heurtant contre l'amour. (Acte 1, scène 12, PIERROT)
  70. Je trouve cela assez plaisant. (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
  71. Comme il n'y a point d'animal dans le monde qui n'aime quelque autre animal, c'est ce qui fait que je vous aime. (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
  72. Autre chose ne peut vous dire votre très humble serviteur et fidèle amant, Pierrot. (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
  73. Mon très humble serviteur et fidèle amant, Pierrot. (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
  74. La conquête de Pierrot n'est pas bien illustre : je sens néanmoins une secrète joie de voir que rien ne m'échappe. (Acte 1, scène 13, COLOMBINE)
  75. En vérité, monsieur Nigaudin, j'ai lieu de louer votre diligence : nous ne devons partir pour la Comédie que dans deux heures, et je suis ravie de pouvoir pendant ce temps-là profiter de votre conversation. (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
  76. Mademoiselle, quand il s'agira de venir vous offrir ses hommages, on n'obtiendra point de défaut contre moi : en cas de rendez-vous auprès des dames, je ne me laisse jamais contumacer, et je me rends bien vite à l'ajournement personnel. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  77. Vous avez un tour aisé et naturel dans les expressions, que les autres n'ont point ; et il semble toujours que vous demandiez le coeur, quelque indifférente chose que vous puissiez dire. (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
  78. Moi, mademoiselle ! Je ne vous demande rien ; vous me prenez donc pour un escroc ? (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  79. Il est vrai que nous autres gens de robe, la plupart, nous avons la belle élocution à commandement. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  80. Tout franc, mademoiselle, les gens d'épée n'ont point le boute-dehors comme nous. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  81. Pour moi, je ne conçois pas bien la manie de la plupart des femmes d'aujourd'hui ; on ne saurait leur plaire, si l'on ne revient de Flandre ou d'Allemagne, et si l'on ne rapporte à leurs pieds un coeur tout persillé de poudre à canon. (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
  82. Ma foi, il y a bien de l'entêtement ; car, entre nous, il n'y a point de gens qui tiennent une procédure si irrégulière auprès des dames que les gens de guerre : ils sont brusques et entreprenants sur le fait des faveurs, et n'observent jamais les délais fixés par l'ordonnance de l'amour. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  83. Il est vrai qu'on n'est point en sûreté contre leurs entreprises ; et quand ils sont chez les dames, ils s'imaginent être dans un quartier d'hiver à vivre à discrétion. (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
  84. À propos de quartier d'hiver, mademoiselle, il me semble qu'ils sont venus cette année quinze jours plus tôt pour moi. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  85. J'avais hypothèque spéciale sur votre coeur, sans ce visage d'épetier qui est arrivé, et qui se prétend privilégié sur la chose : mais, ventrebleu ! (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  86. Que craint-on, monsieur, quand on est fait comme vous ? (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
  87. J'étais né pour la guerre : mais mon père, voyant que j'avais trop d'esprit pour ce métier-là, me mit dans notre présidial de Beauvais, et m'acheta une charge d'assesseur. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  88. Si vous débrouillez aussi bien un procès que vous savez vous faire jour dans un coeur, que vous êtes un juge éclairé ! (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
  89. Tout franc, mademoiselle, je ne me plains pas de mes lumières, et je vous avoue que j'ai une pénétration d'esprit qui me surprend quelquefois. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  90. Dans tous les procès, il n'y a qu'une routine. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
  91. Il faudra qu'il soit bien lâche, s'il me bat sans épée. (Acte 1, scène 16, NIGAUDIN)
  92. Pour plus grande sûreté, vite, qu'on me donne ma robe. (Acte 1, scène 16, NIGAUDIN)
  93. Je ne vais jamais sans cela : on ne sait pas ce qui peut arriver. (Acte 1, scène 16, NIGAUDIN)
  94. Si vous ne changez de portier, ma foi, il faudra rompre tout commerce avec vous. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
  95. Je ne suis pas mal fait, oui ; je dois ma taille à une douzaine de bouteilles de vin que je bois réglément par jour : un grand ventre sied bien à la tête d'un bataillon. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
  96. Voyez-vous, mademoiselle, je suis le gentilhomme de France du meilleur commerce ; mais, ventrebleu ! (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
  97. Je me distingue en voyant des gens de cour ; les officiers me font plaisir ; je trouve des ressources avec les financiers : et pour peu qu'on aime les bagatelles, c'est le moins qu'on puisse avoir que deux ou trois petits abbés dans une maison. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
  98. Pour les abbés, passe : on sait bien que cette graine-là est nécessaire aux femmes : mais j'enrage de voir à vos trousses un tas de gens de robe, qui sont pour la plupart des croquants, à qui l'esprit n'a été donné que comme le sel aux jambons pour les conserver. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
  99. Et puis les affaires viennent sans qu'on y pense ; on a tous les jours, malgré soi, des procès ; et vous savez qu'auprès d'un juge sensible, l'enjouement d'une jolie femme est toujours la meilleure pièce d'un sac. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
  100. Vous voyez entre autres un certain... Trigaudin... Nigaudin ; un petit friquet de chicane. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
  101. Je le crois, ma foi, qu'il est hon ; il y a plus de trente ans que je m'en sers jour et nuit ; je ne suis pas comme ces femmes qui le mettent le soir sur leur toilette. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
  102. Mon capitaine, ne voulez-vous pas arrêter les parties de ce marchand a fourni les justaucorps de la compagnie ? (Acte 1, scène 17, LE-SERGENT)
  103. C'est-à-dire, monsieur le capitaine, que vous ne manquez pas de moyens pour trouver de l'argent. (Acte 1, scène 17, COLOMBINE)
  104. Monsieur le capitaine, vous êtes un extravagant de vous emporter sans raison. (Acte 1, scène 17, COLOMBINE)
  105. Tant pis pour vous, si vous allez chercher où vous n'avez que faire. (Acte 1, scène 17, COLOMBINE)
  106. Il n'y a qu'un homme de robe et officier d'un présidial capable de tousser quand on le cache sous une table. (Acte 1, scène 17, COLOMBINE)
  107. Adieu, monsieur ; nous ne serons pas toujours seul à seul ; et s'il vous tombe jamais quelque décret sur le corps, je vous apprendrai ce que c'est que de scandaliser un juge chez des femmes. (Acte 1, scène 18, NIGAUDIN)
  108. Va, va, petit regrattier de la justice, je me moque de toi et de tes décrets ; je suis en garnison dans une bonne citadelle. (Acte 1, scène 18, LE-CAPITAINE)
  109. Je me déferai peut-être à la fin de ma fille, et je ne verrai plus dans ma maison des animaux de toute sorte d'espèces, et particulièrement cette assemblée de femmes, ou plutôt cette académie de folles qui s'y tenait. (Acte 2, scène 1, TRAFIQUET)
  110. Tout franc, monsieur, je commençais à être bien las de toutes ces visageresses, et j'étais résolu de prendre mon congé ou de vous donner le vôtre. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
  111. Mais, monsieur, je voudrais bien vous lâcher un petit mot, tandis que je sommes sur la chose du mariage. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
  112. Je suis un garçon, une fois, et elle est une fille ; et puis, monsieur, je ne sais ce que c'est que de faire le blêche : vous me donnez quinze écus par an ; j'aime mieux n'en gagner que dix et être votre gendre. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
  113. Vous avez une fille : ergo vous êtes pourvu d'une drogue dont vous voudriez être défait ; car une fille, c'est une fleur qui se fane, si elle n'est cueillie dans sa saison ; c'est un quartaut de vin de Champagne qui jaunit, s'il n'est bu dans sa primeur. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  114. J'espère, monsieur, que vous ne vous repentirez pas de l'affaire que vous faites ; car je puis vous assurer que je vous livre une fille toute neuve, et qui vous fera dans la suite un très bon usé. (Acte 2, scène 2, TRAFIQUET)
  115. Cette marchandise-là ne dure toujours que trop. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  116. Vous pouvez aussi vous vanter que vous serez le beau-père de France le mieux engendré. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  117. Je n'ai aucune mauvaise qualité ; je hais le vin à la mort ; j'ai une aversion incroyable pour le jeu, et je suis fort aisé à vivre : je ne crois pas avoir assommé plus de vingt paysans ; et si, ce n'était que pour des bagatelles, quelques rentes seigneuriales. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  118. Je porte quelquefois des cartes et des dés par complaisance ; mais je ne m'en sers qu'en compagnie, et je vous assure que si j'étais seul je ne jouerais jamais. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  119. Je vois pourtant là quelque chose qui a assez la physionomie d'une bouteille. (Acte 2, scène 2, TRAFIQUET)
  120. Apparemment vous n'épouserez pas ma fille sans la voir ? (Acte 2, scène 2, TRAFIQUET)
  121. Si on me l'emprunte comme cela quand elle sera ma femme, elle ne durera pas si longtemps que je pensais. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  122. Mon garçon, la fille de monsieur se prête donc quelquefois de main en main quand on la demande ? (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  123. En tout cas, si dans six mois ou un an je ne m'accommodais pas de votre fille, en perdant quelque chose dessus, vous la reprendriez. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  124. Monsieur, je ne vous rends pas un méchant office de vous laisser seul avec votre maîtresse. (Acte 2, scène 3, TRAFIQUET)
  125. Il est vrai que pour des compliments, il n'y a personne dans notre province qui ose me prêter le collet. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  126. J'ai harangué une fois notre intendant pendant deux heures, avec tant d'éloquence, qu'il s'endormit tout debout, et ne s'éveilla qu'une heure après que j'eus fini. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  127. Sitôt qu'il y a un fat dans un pays, on l'y envoie ; c'est le rendez-vous de tous les sots de la France ; et, de tous les Parisiens, je ne vois que les Normands et les Manceaux qui aient un peu de brillant. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  128. La la ; elles sont d'assez bonne amitié : j'en ai trouvé quelques unes de jolies en mon chemin ; mais, tout franc, je n'en ai point encore vu une de votre calibre. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  129. Il faut pourtant tomber d'accord qu'elles ont un tour d'esprit et des manières de se mettre que les femmes de province n'ont pas. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
  130. Et, s'il vous plaît, quand une femme revient du bal à cinq heures du matin avec un cavalier, qu'elle éveille toute la maison, que disent les maris à Paris ? (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  131. Mais, je vous prie, lorsqu'une femme vend ses pierreries pour faire l'équipage de quelque galant homme qui va à l'armée, que disent les maris à Paris ? (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  132. Vaille que vaille, puisque j'ai fait les frais du voyage, je vous épouserai ; mais à condition que, dès le lendemain de la noce, vous vous mettrez dans la carriole du Mans pour venir régenter les chapons de ma basse-cour : l'air de Paris donne trop de maux de tête. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  133. J'ai une grâce à vous demander : les filles, comme vous savez, ont beaucoup d'ambition sur le fait du mariage ; j'ai eu toute ma vie une noble horreur pour les baillis du Maine ; ne pourriez-vous point changer de charge, et vous faire homme de qualité ? (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
  134. Très volontiers ; rien n'est plus aisé : aussi bien je suis en pourparler avec un marquis de nos cantons qui s'en va à l'armée ; et, comme il a besoin d'argent, il veut me vendre sa charge de marquis avec sa pratique. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  135. Mais, en achetant une charge de marquis, n'oubliez pas, s'il vous plaît, de vous faire donner les airs déhanchés de ces messieurs-là. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
  136. Je n'en ai que faire : quand on a été toute sa vie élevé dans le Bas-Maine, les airs de cour ne sont que trop familiers. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  137. Adieu, ma belle enfant ; touchez là : dans une heure au plus tard je vous fais marquise ou baillivesse ; vous choisirez. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  138. Une fille un peu savante sur l'article le manie comme un chamois. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
  139. Je vous prie, mademoiselle ma fille, de ne point m'échauffer les oreilles ; je sais ce qu'il vous faut, et c'est à vous d'obéir quand je vous ai choisi un mari, entendez-vous ? (Acte 2, scène 6, TRAFIQUET)
  140. Comme je suis une partie des plus intéressées dans l'affaire, je crois, mon père, que mon choix est du moins aussi nécessaire que le vôtre ; et je vous dirai franchement que cet homme-là n'est point fait pour moi. (Acte 2, scène 6, COLOMBINE)
  141. Tant mieux, s'il entre tout de suite en matière ; en fait de mariage, je n'aime point à voir préluder. (Acte 2, scène 6, TRAFIQUET)
  142. Oui, s'il vous plaît ; il ne faut point tant faire de gestes et de grimaces : est-ce qu'il lui manque quelque chose ? (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
  143. Je trouve sa taille dégagée et engageante. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  144. Voyez, je vous prie, quand on ne s'entend pas. (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
  145. Et moi, pour reconnaître ton obéissance, je te promets d'augmenter ton trousseau de six chemises, et d'aller te voir toutes les fêtes et dimanches quand tu seras au Maine. (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
  146. Depuis quand donc ? (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  147. C'est donc ainsi, coquine, que tu fais état de mes remontrances, et que tu te moques de moi ! (Acte 2, scène 8, TRAFIQUET)
  148. Va, je t'abandonne. (Acte 2, scène 8, TRAFIQUET)
  149. Criez tant qu'il vous plaira. (Acte 2, scène 9, COLOMBINE)
  150. Je n'irai pas perdre un amant pour la mauvaise humeur d'un père : nous sommes dans un temps où il faut garder le peu qu'on en a. (Acte 2, scène 9, COLOMBINE)
  151. Enfin, Pierrot, te voilà dans le bourbier jusqu'au cou. De quoi t'avises-tu d'être amoureux ? (Acte 2, scène 10, PIERROT)
  152. Je dis, mademoiselle, que quand je serai mort, je ne verrai plus goutte. (Acte 2, scène 10, PIERROT)
  153. Tu te moques, Pierrot ; quand on est bien amoureux, on n'est pas à un étage près. (Acte 2, scène 10, COLOMBINE)
  154. Mademoiselle, voilà la comtesse de Flamèche et la marquise de Bistoquet qui demandent à vous voir. (Acte 2, scène 11, LE-LAQUAIS)
  155. Ce sont des dames qui disent qu'elles demeurent depuis peu dans le quartier. (Acte 2, scène 11, LE-LAQUAIS)
  156. Il y a mille ans que j'ai envie de vous venir voir, et de profiter de l'honneur de votre voisinage. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  157. En vérité, mesdames, je suis dans la dernière confusion d'avoir si mai profité de l'honneur de votre visite. (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
  158. Vous êtes toujours dans le grand monde ; on dit que c'est vous qui faites l'honneur du quartier. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  159. Apparemment que vous l'avez pris du bon faiseur ; je n'ai jamais rien vu d'aussi charmant. (Acte 2, scène 12, PASQUARIEL)
  160. Quand vous voudrez, nous jouerons ensemble ; mais je vous avertis que je suis la plus malheureuse fille du monde. (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
  161. Il est vrai ; mais je n'avais que quinze ans pour lors ; vous savez que c'est un âge terriblement scabreux pour une fille. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  162. Pourrez-vous abandonner votre taille aux accidents du mariage ? (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  163. Cela est fort bon pour vous, madame la Marquise, qui avez quantité d'enfants de votre premier lit ; mais une fille qui se marie est bien aise de savoir au juste à quoi elle est propre. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  164. En vérité, madame, l'état vous est bien obligé de lui donner tant de bons sujets. (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
  165. J'en aurais bien eu vingt-cinq ou trente, si tout était venu à profit ; mais les fausses couches ont fait de terribles brèches dans ma famille. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  166. Depuis deux ans, Dieu merci, j'en suis un peu la maîtresse ; j'ai obligé monsieur le Comte à faire lit à part ; car je suis présentement bien revenue de la bagatelle. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
  167. Voilà deux femmes qui vont me demeurer dans les mains. (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
  168. Elles n'ont que faire de me tant dégoûter du bailli ; si je l'épouse, ce ne sera qu'à mon corps défendant. (Acte 2, scène 13, COLOMBINE)
  169. Quand vous serez las de chanter, vous me direz peut-être ce que vous me voulez. (Acte 2, scène 14, ARLEQUIN)
  170. Monsieur, ce sont des filles surnaturelles, qui connaissent les astres, les langues, et tout ce qu'il y a de plus extraordinaire au monde et hors du monde ; elles ne parlent qu'en vers : enfin, ce sont des filles d'un mérite sublime. (Acte 2, scène 14, MEZZETIN)
  171. Puisque ces créatures -là savent tant de belles choses, elles pourront donc bien me déterminer sur un mariage ? (Acte 2, scène 14, ARLEQUIN)
  172. Un... là... quelque Arlequin qui demande passage. v.37 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  173. Dans leur langue, à mon tour, il faut que je m'explique. v.41 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  174. Vous m'entendez donc bien : enfin, sans tant parler, v.42 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  175. C'est manquer de bon sens que de vivre sans femme. v.45 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
  176. C'est le port assuré: dans le libertinage, v.49 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
  177. La porte des plaisirs qu'on goûte sans remords, v.51 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
  178. J'en connais bien pourtant de plus d'une fabrique, v.56 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  179. Qui ne furent jamais faits dans cette boutique ; v.57 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  180. Enfants du pur hasard ; et, sans aller plus loin, v.58 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  181. Un grand chemin rempli de voleurs dangereux, v.62 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
  182. Un magasin de fraude, où l'on fait de commande v.64 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  183. Marchandise mêlée et bien de contrebande ; v.65 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  184. Un homme ne saurait vivre content sans femme ; v.69 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
  185. Sans elle une maison irait tout de travers : v.70 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
  186. La femme est dans le monde un miroir de sagesse, v.73 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
  187. La beauté fut son lot, l'esprit son apanage, v.75 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
  188. Oui, cela se disait du temps de Jean-de-Vert. v.77 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  189. La femme est en tout temps un éminent danger, v.82 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
  190. Appréhende le calme autant qu'il fait l'orage ; v.84 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  191. L'inconstance en tout temps ou l'escorte ou la suit, v.86 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  192. Et la vengeance, enfin, est toujours devant elle. v.87 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  193. Devient des animaux le plus vindicatif. v.90 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  194. Quand on la nomme un mal et doux et nécessaire, v.91 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
  195. Il aura sur l'esprit répandu ses trésors ; v.94 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
  196. La sotte d'ordinaire a l'esprit complaisant, v.97 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
  197. Dans une femme, enfin, toujours quelque mérite v.99 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
  198. La savante ne dit que vers, métamorphose, v.107 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
  199. Celle qui d'un beau sang voit ses pères issus, v.109 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  200. Non, quelque qualité qui règne dans son âme, v.111 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  201. C'est-à-dire attentive à l'amant qui languit, v.113 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
  202. Que les femmes devraient jeter dans la rivière : v.116 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  203. Mais parlez-moi français ;... là, si je me marie, v.119 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  204. Peut-être votre époux dans le temps qu'il vivait. v.122 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  205. Et pour les grands parfois. v.127 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  206. Ce sont elles, morbleu, qui nous les plantent là, v.129 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  207. Vous avez de l'esprit, le port fier, l'air charmant ; v.134 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
  208. Animal défiant, v.145 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
  209. Ma foi ! Je crois à l'ascendant. v.146 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  210. Ce grand front, cet aspect... Dans cette conjoncture, v.147 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  211. Tous les frais de la guerre. Allons, tant que quelqu'un v.149 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  212. En ces occasions, on court plus de danger v.153 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  213. À bâtir sur son fonds que sur un étranger. v.154 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  214. Avant de vous quitter, il faut que je vous voie v.163 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
  215. Un accord : je serai six mois de l'an garçon, v.169 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
  216. Car vous êtes la fille de France la plus introuvable. (Acte 3, scène 3, MADAME-PINDARET)
  217. Les calendes, mademoiselle ; c'est la manière de compter des Romains, et la mienne. (Acte 3, scène 3, MADAME-PINDARET)
  218. Si ma servante datait sa dépense autrement, elle ne coucherait pas chez moi deux jours de suite. (Acte 3, scène 3, MADAME PINDARET)
  219. Je veux de l'érudition jusque dans ma cuisine. (Acte 3, scène 3, MADAME PINDARET)
  220. Que vous êtes heureuse, madame, de savoir tant de belles choses ! (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
  221. Si j'avais l'avantage de vous voir souvent, je crois que je deviendrais une habile fille. (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
  222. Cela ne coûte rien à une femme comme moi, qui se joue des auteurs ; j'entretiens commerce avec les anciens, et je fraye aussi avec les modernes. (Acte 3, scène 3, MADAME-PINDARET)
  223. Avec les anciens, madame ! (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
  224. Ce livre in-quarto que je vous ai donné tantôt. (Acte 3, scène 4, MADAME-PINDARET)
  225. Le petit ignorant ! (Acte 3, scène 4, MADAME-PINDARET)
  226. Je prends toujours la précaution de me faire escorter de ce livre-là, quand je vais en visite de femmes, pour me dédommager des minuties de leur conversation. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
  227. Vous auriez de la chalandise. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
  228. J'allai voir, il y a quelque temps, une marquise ; je ne fus qu'un quart_d_heure avec elle, c'était pendant la canicule : sa conversation ne laissa pas de m'enrhumer si fort, que je me suis mise au gruau pendant trois semaines pour en revenir. (Acte 3, scène 5, MADAME PINDARET)
  229. Cela étant, madame, quand vous allez en visite de marquise, de crainte de vous enrhumer une seconde fois, il faudrait faire porter un manteau fourré avec votre Juvénal. (Acte 3, scène 5, COLOMBINE)
  230. Vous ne sauriez vous imaginer jusqu'où va l'ignorance de cette femme-là. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
  231. Une femme de qualité ignorante ! (Acte 3, scène 5, COLOMBINE)
  232. Ignorantissime ! (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
  233. Mais non ; cela n'entre point dans l'esprit. (Acte 3, scène 5, MADAME PINDARET)
  234. Croiriez-vous qu'elle ne put jamais me dire dans quelle olympiade mourut Épaminondas ? (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
  235. Quelle ignorance ! (Acte 3, scène 5, COLOMBINE)
  236. MADRIGAL, Sur l'inconstance d'une maîtresse qui changea d'amant, parce qu'il avait soupiré par le derrière. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
  237. Et se fait un nouvel amant ! v.174 (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
  238. Qu'il change au moindre petit vent. v.177 (Acte 3, scène 5, MADAME PINDARET)
  239. J'ai d'assez belles humanités, comme vous voyez ; mais je vais me donner à la physique. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
  240. Vous allez voir comme je vous chamarre une danse sérieuse. (Acte 3, scène 6, ARELQUIN)
  241. Lâche-nous un coup de chanterelle. (Acte 3, scène 6, ARELQUIN)
  242. Il faut donc que madame danse à votre place ? (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
  243. Excusez-moi, s'il vous plaît ; je ne danse point, je fais des vers. (Acte 3, scène 6, MADAME-PINDARET)
  244. Madame, vous danserez en vers, ou vous crèverez en prose. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
  245. Voilà un vers à qui il manque un pied. v.179 (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
  246. Cela est, parbleu, comme je vous le dis ; et je veux que le diable m'emporte si jamais j'ai eu d'autres livres qu'un almanach avec un Parfait Maréchal. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  247. Vous avez des inquiétudes horribles dans les jambes, et vous ne sauriez vous tenir un moment en place. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  248. Il n'y a que le théâtre de l'Opéra où je me trouve un peu en brassière ; je n'y saurais pirouetter à ma fantaisie. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  249. C'est-à-dire que vous n'oseriez pas y faire le fanfaron comme ailleurs. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  250. Je suis pourtant toujours sur le bord du théâtre. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  251. Je ne sais pas, pour moi, quel plaisir prennent certaines gens, à la Comédie, de venir étouffer un acteur jusque sur les chandelles. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  252. Ma foi, quand il n'aurait que ce plaisir-là, cela vaut bien une mauvaise comédie. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  253. Assurément ; c'est ce qui fait qu'il s'est mis en droit de vous siffler aussi bien que les méchantes pièces. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  254. Savez-vous bien que cet été ils l'ont traité de monseigneur dans un placet ? (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  255. Vous avez beau pester, le parterre fait du bien à tout le monde ; il redresse les auteurs, il tient les comédiens en haleine ; un fat ne se campe point impunément devant lui sur les bancs du théâtre : en un mot, c'est l'étrille de tous ceux qui exposent leurs sottises au public. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  256. Que ne vous mettez-vous dans les loges ? (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
  257. Moi, dans les loges ! (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  258. Je vous baise les mains : je n'entends point la comédie dans une loge comme un sansonnet ; je veux, morbleu ! (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  259. Qu'on me voie de la tête aux pieds, et je ne donne mon écu que pour rouler pendant les entr'actes, et voltiger autour des actrices. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
  260. Hé bien, Margot, m'apportez-vous mon manteau ? (Acte 3, scène 9, COLOMBINE)
  261. Ni moi de fille si ragoûtante. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
  262. Tant mieux. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
  263. Vous voulez bien, monsieur le Marquis ; me permettre d'essayer mon manteau ? (Acte 3, scène 9, COLOMBINE)
  264. Margot est, ma foi, toute des plus jolies, et il y aurait plaisir de lui margotter le coeur ; je m'assure qu'elle n'a pas quinze ans. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
  265. C'est un des gros fermiers, qui est mon parrain ; il fait du bien à toute notre famille, et il a déjà donné un bon emploi à mon grand frère. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
  266. J'entends, j'entends ; monsieur Harpillon a mis le frère dans un bureau, et mettra, s'il peut, la soeur en chambre. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
  267. Il y a les plus maudites langues dans notre montée. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
  268. Croyez-moi, les environs de Paris sont terriblement dangereux. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
  269. Je suis votre servante, monsieur ; on ne travaille point en homme au logis. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
  270. Mais il me semble, Margot, que ce manteau-là monte bien haut ; on ne voit point ma gorge. (Acte 3, scène 9, COLOMBINE)
  271. Ce n'est peut-être pas la faute du manteau, mademoiselle. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
  272. Taisez-vous, Margot ; vous êtes une sotte : tenez, remportez votre manteau ; j'y suis faite comme je ne sais quoi. (Acte 3, scène 9, COLOMBINE)
  273. Plus je vois cette enfant-là, plus elle me plaît... (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
  274. Adieu, mademoiselle ; dans un quart_d_heure je vous rapporterai votre manteau avec de la gorge. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
  275. Elle n'est, morbleu, pas sotte, et je m'aimerais presque autant que vous. (Acte 3, scène 10, ARLEQUIN)
  276. Je vous dirai, monsieur le Marquis, qu'avant que de vous épouser, je vous demande encore une grâce. (Acte 3, scène 10, COLOMBINE)
  277. Nous sommes un certain nombre de filles qui avons fait serment de ne point prendre de mari qui n'ait été reçu auparavant dans notre académie. (Acte 3, scène 10, COLOMBINE)
  278. Moi, dans votre académie de filles ! (Acte 3, scène 10, ARLEQUIN)
  279. Quand on a de cette besogne-là toute taillée chez soi, on n'a guère envie d'aller travailler en ville. (Acte 3, scène 10, ARLEQUIN)
  280. Voilà qui est bien drôle, qu'il faille, pour vous épouser, commencer par se déshumaniser ! (Acte 3, scène 10, ARLEQUIN)
  281. Je suis, mon père, disposée à vous obéir ; mais je ne crois pas que vous vouliez me donner pour mari un homme qui est capable de pareilles extravagances. (Acte 3, scène 12, COLOMBINE)
  282. Moi, je vous ai fait faire ces extravagances-là ? (Acte 3, scène 12, COLOMBINE)
  283. Monsieur, quand je vous ai dit que j'étais mieux le fait de votre fille que cet homme-là, est-ce que je me trompais ? (Acte 3, scène 12, PIERROT)
  284. Il faudra pourtant que vous y veniez. (Acte 3, scène 12, PIERROT)
  285. Ce que j'ai vu tantôt, et ce que je vois présentement, m'oblige de vous dire, monsieur le bailli, que vous pouvez, tout de ce pas, vous en retourner dans le Bas-Maine, manger vos chapons ; car pour ma fille, vous n'en croquerez que d'une dent. (Acte 3, scène 12, TRAFIQUET)
  286. Adieu, la belle ; je ne crois pas qu'il y ait au monde un animal plus méchant que vous. (Acte 3, scène 12, ARLEQUIN)

LE DISTRAIT (1697)

  1. Quand on vous en parle, on vous met en courroux. v.3 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
  2. Ce fameux partisan, par exemple, pourquoi... ? v.11 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
  3. Gagne-t-on en cinq ans un million sans crime ? v.14 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  4. Et ce jeune marquis, cet homme d'importance ? v.17 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
  5. Vous ne lui pouvez pas reprocher sa naissance : v.18 (Acte 1, scène 1, VAL?RE)
  6. Il a les airs de cour, parle haut, chante, rit ; v.19 (Acte 1, scène 1, VAL?RE)
  7. Dans vos brusques humeurs je ne puis vous comprendre. v.25 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
  8. Qu'il ait, avec du bien, une honnête naissance ; v.29 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  9. Qu'il ne fasse point voir ces traits de pétulance, v.30 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  10. Elle court grand hasard de vivre et mourir fille. v.42 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
  11. Non : Léandre est l'époux que je veux lui donner. v.43 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  12. andre ! v.44 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
  13. Et je le trouve, moi, selon ma fantaisie. v.46 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  14. Je sais bien qu'à parler de lui sans passion, v.47 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  15. On ne le voit jamais à lui dans nulle chose : v.50 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  16. Je croyois, à parler aussi sans artifice, v.53 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
  17. andre est allé voir cet oncle à l'agonie, v.61 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  18. Vous qui logez céans avecque votre nièce, v.65 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  19. Mais m'assurerez-vous que Léandre, en son coeur, v.67 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
  20. andre aime ma fille ; et ma fille fera, v.71 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  21. Son coeur s'expliquera sans rien dissimuler. v.76 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
  22. On ne vit dans Paris femme si mal servie. v.78 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
  23. Oh ! Vous grondez sans cesse. v.84 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  24. Toujours à sa toilette, et devant un miroir ! v.87 (Acte 1, scène 2, MADAME GROGNAC)
  25. Dites-lui de ma part qu'ici je la demande. v.94 (Acte 1, scène 2, MADAME GROGNAC)
  26. Plus bas ; encor plus bas. Ô ciel ! Quelle ignorance ! v.101 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  27. Depuis trois ans et plus qu'elle apprend à danser ! v.103 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  28. Son maître tous les jours vient pourtant l'exercer : v.104 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  29. Mais que peut-on apprendre en trois ans ? v.105 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  30. Qui doit venir tantôt. v.108 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  31. Faut-il tendre toujours le dos quand vous marchez ? v.112 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  32. Avancez, s'il vous plaît, et répondez à tout. v.115 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  33. Elle rit. Bon, tant mieux ; j'en tire un bon augure. v.117 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  34. Quoi ! Vous avez le front de rire, et devant nous ! v.119 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  35. Vous ne rougissez pas quand on parle d'époux ! v.120 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  36. Je dois vous obéir ; et, quand je l'entendrai, v.123 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
  37. Vous n'avez pas laissé d'en prendre un étant fille. v.129 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
  38. Vous êtes dans l'erreur. Rodillard De Choupille, v.130 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  39. Noble au bec de corbin, grand gruyer de Berry, v.131 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  40. Et qui fut votre père, étant bien mon mari, v.132 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  41. M'enleva malgré moi ; sans cela, de ma vie, v.133 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  42. Je n'en demande point : v.144 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
  43. Avec elle agissons sans aigreur. v.147 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  44. Allons, parlez-nous sans rien craindre. v.149 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  45. Qui vous fait ressentir ce mouvement naissant ? v.156 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  46. Il pleure quand il veut. Tu sais comme il est fait, v.159 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
  47. Qu'on voit toujours sautant, dansant, gesticulant ; v.163 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  48. Qui vous parle en sifflant, et qui siffle en parlant ; v.164 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  49. Se peigne, chante, rit, se promène, s'agite ; v.165 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  50. Qui près du sexe encor vit assez sans façon : v.167 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  51. Il est tout fait pour moi, l'on ne peut davantage. v.174 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
  52. De quel front, s'il vous plaît, sans mon consentement, v.175 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  53. Le dédit pour Léandre en est une assurance. v.181 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  54. Que votre chevalier cherche une autre alliance : v.182 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  55. Rentrez ; et là-dedans allez voir si j'y suis. v.195 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  56. Si vous vouliez pourtant écouter quelque avis... v.196 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  57. Je ne prends point d'avis : je suis indépendante. v.197 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  58. Adieu. Je suis votre servante. v.198 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
  59. Mais, Monsieur, entre nous, quand de votre façon, v.200 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  60. De vos enfants alors vous pourrez disposer v.203 (Acte 1, scène 4, VAL?RE)
  61. Tout à votre plaisir, sans que j'aille y gloser. v.204 (Acte 1, scène 4, VAL?RE)
  62. À l'hymen que tantôt vous vouliez contracter. v.208 (Acte 1, scène 5, LISETTE)
  63. J'avais dessein de faire une double alliance ; v.209 (Acte 1, scène 5, VALÈRE)
  64. andre a pour Clarice un penchant dans le coeur ; v.211 (Acte 1, scène 5, VAL?RE)
  65. Le temps et la raison la changeront peut-être ; v.217 (Acte 1, scène 5, VALÈRE)
  66. Le sujet si plaisant qui vous excite à rire. v.222 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  67. Oh ! Parbleu, si je ris, ce n'est pas sans sujet. v.223 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  68. andre, ce rêveur, cet homme si distrait, v.224 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  69. Le bon est qu'en courant il a perdu sa botte, v.226 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  70. Et que, marchant toujours, enfin il s'est trouvé v.227 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  71. Une botte de moins quand il est arrivé. v.228 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  72. Pour aller voir mourir son oncle en Normandie, v.233 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  73. Que quand il découvrit les clochers de Noyon. v.236 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  74. Faudra-t-il qu'en tous lieux vos airs extravagants, v.243 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  75. Et, dans ce beau conflit, ce que je trouve bon, v.247 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  76. De tout ce que je vois tous les jours dans la vie. v.250 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  77. Cette vieille qui va marchander des galants, v.251 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  78. Comme un autre ferait du drap chez les marchands ; v.252 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  79. Lucinde, qui, pour rendre un adieu plus touchant, v.255 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  80. Jusque sur la frontière accompagne un amant, v.256 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  81. Celles dont vous vantez mille faveurs reçues, v.261 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  82. Sur ce cruel défaut ne changerez-vous point ? v.263 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  83. Je suis déjà charmé. Que dis-tu de ma danse, v.265 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  84. Vous dansez tout-à-fait en cadence. v.266 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  85. Vous vous faites honneur d'être un franc libertin ; v.267 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  86. Et lorsque, tout fumant d'une vineuse haleine, v.269 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  87. Sur vos pieds chancelants vous vous tenez à peine, v.270 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  88. Et, pour vous faire voir jusque sur les chandelles, v.274 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  89. Poussant l'un, heurtant l'autre, et comptant vos exploits, v.275 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
  90. Votre père en mourant, ainsi que votre mère, v.285 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  91. Mais que fais-je donc tant, Monsieur, ne vous déplaise, v.289 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  92. Rien qui puisse attirer ces réprimandes-là. v.292 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  93. À tous mes créanciers. v.294 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  94. De là, je pars sans bruit, v.295 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  95. Quand le jour diminue et fait place à la nuit, v.296 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  96. Là, nous perçons la nuit d'une ardeur sans égale ; v.301 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  97. Nous sortons au grand jour pour ôter tout scandale ; v.302 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  98. Sans bruit, au petit pas se retire chez soi. v.304 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  99. Ne faire qu'un repas dans toute une journée ! v.306 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  100. Car à cinq chevaliers, en nous cotisant tous, v.312 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  101. Et ramassant écus, livres, deniers, oboles, v.313 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  102. Vous voilà cinq seigneurs bien en argent comptant ! v.316 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  103. Savez-vous que dans peu, Monsieur, je me marie ? v.318 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  104. Je veux apprivoiser cet animal farouche. v.330 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
  105. Vous, cependant, tâchez, avec des airs plus doux, v.343 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
  106. Une ample effusion ; et cependant, la belle, v.349 (Acte 1, scène 7, LE CHEVALIER)
  107. Modérez les transports de vos convulsions. v.351 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  108. Quel amant ! Pour raison importante il diffère v.357 (Acte 1, scène 8, LISETTE)
  109. Avec plaisir, Carlin, je te vois dans ces lieux. v.367 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  110. Hier encore, en mangeant un oeuf sur son assiette, v.373 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  111. Il prit, sans y songer, son doigt pour sa mouillette, v.374 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  112. Et se mordit, morbleu, jusques au sang. v.375 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  113. Sortant d'une maison, l'autre jour, par bévue, v.377 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  114. Pour son carrosse il prit celui qui dans la rue v.378 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  115. andre arrive, il monte, il va, rien ne l'arrête ; v.381 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  116. Il croit être en sa chambre ; et, d'un air de franchise, v.385 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  117. Et bientôt il allait se mettre dans le lit, v.388 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  118. Quand mon maître étonné se sauva de ce lieu v.391 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  119. Ton récit est charmant. Mais, raillerie à part, v.395 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  120. Nous venons, mon enfant, de courre un bénéfice. v.397 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  121. Notre espoir dans le port vient de faire naufrage. v.402 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  122. Quand, un beau jour enfin, le ciel, par charité, v.408 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  123. Nous partons aussitôt, faisant partout flores , v.411 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  124. Vous êtes arrivés sans doute un peu trop tard, v.416 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  125. Et quelque autre avant vous... v.417 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  126. Il a déclaré, se voyant sur sa fin, v.419 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  127. Quelque enfant provenu d'un hymen clandestin ? v.420 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  128. Non. Il ne fit jamais d'enfants, par avarice. v.421 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  129. Le pauvre agonisant en languît un peu moins : v.428 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  130. Et le bonhomme enfin, à quatre-vingt-neuf ans, v.431 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  131. Son crachement de sang, et ses trois pleurésies, v.434 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  132. Votre course n'a pas produit grand avantage. v.437 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  133. Sans avoir donc rien fait, vous voilà de retour ! v.443 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  134. Je sais que ta maîtresse a de naissants appas, v.451 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  135. Et surtout de grands biens, que Clarice n'a pas ; v.452 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  136. De la plus fine fleur de la galanterie : v.454 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  137. Il ne ressemble pas à quantité d'amants ; v.455 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  138. Il le fera fort bien dans sa distraction. v.460 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  139. C'est un homme étonnant et rare en son espèce : v.461 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  140. Il rêve fort à rien, il s'égare sans cesse ; v.462 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  141. Il cherche, il trouve, il brouille, il regarde sans voir ; v.463 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  142. Quand on lui parle blanc, soudain il répond noir ; v.464 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  143. Prend souvent l'un pour l'autre ; il va sans savoir où. v.467 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  144. Aimant, comme j'ai dit, sa maîtresse en héros : v.471 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  145. Si Léandre ressent une tendresse extrême v.473 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  146. Tant mieux. Il nous faudra travailler de concert v.476 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  147. Soit. Adieu donc. Mon maître est dans son cabinet ; v.480 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  148. Apprendre, en arrivant, ta santé par ta bouche. v.482 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  149. En très bonne santé j'arriverais ici, v.484 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  150. Mon grand mal est celui que m'ont fait tes beaux yeux ; v.488 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
  151. Je ne sais si l'absence, aux amants peu propice, v.493 (Acte 2, scène 3, LEANDRE)
  152. Qui, dans l'éloignement, sachent garder leurs feux : v.496 (Acte 2, scène 3, LEANDRE)
  153. Me mettant face à face, il me verra peut-être. v.498 (Acte 2, scène 3, CARLIN)
  154. andre heurte Carlin sans s'en apercevoir. v.499 (Acte 2, scène 3, CARLIN)
  155. Je serais bien à plaindre, aimant comme je fais, v.500 (Acte 2, scène 3, CARLIN)
  156. Je ne puis demeurer dans cette incertitude ; v.503 (Acte 2, scène 3, CARLIN)
  157. Je veux entrer chez elle, et sans perdre de temps. v.504 (Acte 2, scène 3, CARLIN)
  158. Carlin, va me chercher mon épée et mes gants. v.505 (Acte 2, scène 3, CARLIN)
  159. Je suis plus que jamais dans une peine extrême. v.507 (Acte 2, scène 4, LEANDRE)
  160. Je ne trouve, Monsieur, ni les gants ni l'épée. v.511 (Acte 2, scène 5, CARLIN)
  161. Je te dis qu'à l'instant ils étaient sur ma table. v.514 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
  162. À chaque instant du jour me charme et me ravit. v.521 (Acte 2, scène 5, CARLIN)
  163. Hé ! Sont-ce là vos gants ? Est-ce là votre épée ? v.523 (Acte 2, scène 5, CARLIN)
  164. Biens, fortune, intérêts, gloire, sceptre, grandeur, v.532 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
  165. Rien ne saurait bannir Clarice de mon coeur ; v.533 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
  166. Je l'avais ce matin en montant à cheval. v.540 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
  167. Riez, c'est fort bien fait, le trait est sans égal. v.541 (Acte 2, scène 5, CARLIN)
  168. J'allais m'offrir à vous, flatté de l'espérance v.546 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
  169. Chaque jour, chaque instant augmente vos attraits ; v.549 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
  170. À chaque instant aussi mon amoureuse flamme v.550 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
  171. Chaque amant parle ainsi : mais souvent, de retour, v.552 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  172. Notre sexe autrefois changeait, c'était la mode ; v.554 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  173. Qu'ils sont dans ce grand art bien plus savants que nous. v.557 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  174. Si je vous aimais moins, je serais plus tranquille. v.562 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  175. Je crains autant que j'aime ; et mes faibles appas v.564 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  176. L'amour prend dans ses yeux ses plus puissantes armes ; v.571 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
  177. Je suis au désespoir ; et je sens dans mon coeur v.576 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  178. Mon amour outragé se changer en fureur. v.577 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  179. Et je veux que du ciel la vengeance et la foudre v.586 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
  180. Vous aimez Isabelle ; et de quelle assurance v.590 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
  181. Moi, parler devant vous d'autre que de vous-même, v.594 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
  182. Vos yeux vous sont garants qu'il ne m'est pas possible v.598 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
  183. Auprès du rapporteur que j'ai dans mon procès. v.601 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
  184. Du coeur de ton amant te porter héritière ? v.623 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  185. C'est un charmant objet qu'un nouvel héritier ; v.625 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  186. Un amant en grand deuil a toujours son mérite ; v.627 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  187. Et quand comme Carlin on serait mal formé, v.628 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  188. Comment ! Comme Carlin ! Sachez que, sans reproche, v.630 (Acte 2, scène 7, CARLIN)
  189. Chacun vaut bien son prix. Carlin, dans certains cas, v.632 (Acte 2, scène 7, CARLIN)
  190. Je te le veux chanter ; j'en ai fait la musique, v.642 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  191. Mais je dis que dans cet air si doux v.655 (Acte 2, scène 7, CARLIN)
  192. La scène, prend Clarice par le bras, croyant parler v.659 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
  193. Et je vous veux servir de la bonne manière. v.663 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
  194. Que diantre ! Est-ce pour rire ? v.667 (Acte 2, scène 7, CARLIN)
  195. D'accord. Il vous ressemble en cela davantage. v.671 (Acte 2, scène 7, CLARICE)
  196. Il faut vous distinguer dans un poste d'honneur. v.673 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
  197. Madame ; et maintenant je vois que je m'abuse. v.675 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
  198. Cependant vous l'aimez ? v.686 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  199. Et le chant, entre nous, m'en paraît trop usé. v.689 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
  200. Cet amant-là, ma soeur, est tout-à-fait comique. v.691 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
  201. Vous chantiez à l'instant ; et ne parliez-vous pas v.692 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
  202. Si je l'aime, grands dieux ! v.696 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
  203. Prends de ce tabac... non, tu n'iras que tantôt. v.713 (Acte 2, scène 9, LEANDRE)
  204. Souffrez ici sans peine v.714 (Acte 2, scène 10, LEANDRE)
  205. Dans vos distractions défiez-vous de vous. v.721 (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
  206. Ma soeur n'est pas ingrate ; et, sans égard aux frais, v.724 (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
  207. N'étant plus en ce lieu, vous ne sauriez la voir. v.728 (Acte 2, scène 11, CARLIN)
  208. J'avais dans ce moment cent choses à lui dire. v.731 (Acte 2, scène 11, LEANDRE)
  209. Je ne suis plus à moi quand je ne la vois pas. v.733 (Acte 2, scène 11, LEANDRE)
  210. Et quand vous la voyez, c'est cent fois pis encore. v.734 (Acte 2, scène 11, CARLIN)
  211. On m'a toujours bien dit qu'il fallait dans la vie v.738 (Acte 2, scène 12, CARLIN)
  212. Fuir autant qu'on pouvait mauvaise compagnie : v.739 (Acte 2, scène 12, CARLIN)
  213. Il me semble pourtant que j'aurai peine à plaire, v.746 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
  214. Elle enrage à vous voir si grande et si bien faite. v.750 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  215. Quand la beauté la quitte, ainsi que les amants, v.752 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  216. Et qu'elle a fait sa charge environ cinquante ans, v.753 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  217. De faire recevoir sa fille en survivance. v.755 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  218. Oui, la chanson le dit. Dites-moi, je vous prie, v.758 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  219. Oh ! Je n'en sais pas tant. v.760 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
  220. Par un destin puissant, et des charmes secrets, v.764 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
  221. Je rougis, je pâlis, quand il s'offre à ma vue : v.766 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
  222. S'il me quitte, des yeux je le suis dans la rue ; v.767 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
  223. Ses manières, son air, occupent mon esprit ; v.769 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
  224. Et souvent, quand je dors, d'agréables mensonges v.770 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
  225. Le chevalier, tout franc, est bien mieux votre fait. v.776 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  226. andre a de l'esprit, mais il est trop distrait. v.777 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  227. Il vous faut un mari d'une humeur plus fringante, v.778 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  228. Léger dans ses propos, qui toujours danse ou chante ; v.779 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  229. Laissant vivre sa femme au gré de ses désirs, v.781 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  230. S'embarrassant fort peu si ce qu'elle dépense v.782 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  231. Vient d'un autre ou de lui. C'est cette nonchalance v.783 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  232. Qui nourrit la concorde, et fait que dans Paris v.784 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  233. Tu sais bien que ma mère est d'une humeur étrange ; v.786 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
  234. Crois-tu que son esprit à ce parti se range ? v.787 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
  235. Sans se voir, on ne peut pourtant se marier. v.789 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  236. Et la mère d'amour, sortant du sein des mers, v.796 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  237. Depuis dix ans et plus je cherche une cruelle, v.807 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  238. Et je n'en trouve point, tant je suis malheureux ! v.808 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  239. Je le crois bien, Monsieur, vous êtes dangereux ! v.809 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  240. J'ai bien bu cette nuit ; et, sans fanfaronnades, v.810 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  241. Mon feu, qui dans le vin s'éteint le plus souvent, v.812 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  242. Reprend vigueur pour vous, et s'irrite en buvant. v.813 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  243. La manière est plaisante. v.814 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  244. Vous voulez nous montrer votre tête naissante ; v.815 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  245. Un homme là-dedans est tout enveloppé ; v.820 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  246. Je ne me trouve bien que dans un canapé. v.821 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  247. J'enrage quand je vois des gens qu'à tout moment v.824 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  248. Couchés dans des fauteuils, barrer une ruelle. v.826 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  249. Soyez dans le respect. Nos pères autrefois v.828 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  250. Lisette est en courroux. çà, changeons de discours. v.832 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  251. Cette maman encor fait-elle la hargneuse ? v.834 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  252. De me voir ? Elle a tort. Sans me faire valoir, v.837 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  253. Quel abus ! Nous faisons tous les jours alliance v.842 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  254. Avec tout ce qu'on voit de femmes dans la France. v.843 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  255. Ne vous y jouez pas. Il me vient dans la tête v.847 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  256. Nous attendons un maître en langue italienne ; v.850 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  257. J'ai par bonheur été deux ans en Italie. v.854 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
  258. Qui vient montrer sa langue. v.858 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  259. Un grand homme disait que s'il parlait aux dieux, v.861 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
  260. L'amour par son accent se glisse dans leurs âmes : v.863 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
  261. À des hommes, français ; et suisse à des chevaux. v.864 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
  262. Sa langue lui suffit, et je la trouve bonne. v.867 (Acte 3, scène 3, MADAME GROGNAC)
  263. Or je vous disais donc tantôt que l'adjectif v.868 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
  264. Devait être d'accord avec le substantif. v.869 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
  265. Amante fedele, c'est moi, l'amant fidèle ; v.871 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
  266. Car moi, dans mes leçons, je suis expéditif. v.877 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
  267. Elle a pour vos leçons l'esprit obéissant. v.880 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  268. Vous ne le dites pas du ton que je demande. v.884 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
  269. Vous me pardonnez bien si je la réprimande. v.885 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
  270. Le charmant naturel, Madame, que voilà ! v.889 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
  271. Elle en dit déjà trop, Monsieur ; et dans les suites v.894 (Acte 3, scène 3, MADAME GROGNAC)
  272. Madame, vous voyez, sans trop de complaisance, v.898 (Acte 3, scène 4, VALÈRE)
  273. Un gentilhomme ici d'assez belle espérance ; v.899 (Acte 3, scène 4, VAL?RE)
  274. Cela n'empêche pas que, dans quelques familles, v.906 (Acte 3, scène 4, LE CHEVALIER)
  275. N'allez pas, devant moi, gronder mes écolières. v.910 (Acte 3, scène 4, LE CHEVALIER)
  276. J'aime mieux vous baiser, maman. v.914 (Acte 3, scène 4, MADAME GROGNAC)
  277. Je ne suis point, monsieur, femme que l'on plaisante. v.916 (Acte 3, scène 4, MADAME GROGNAC)
  278. Je veux que nous dansions ensemble une courante. v.917 (Acte 3, scène 4, LE CHEVALIER)
  279. Dans votre appartement rentrez, je vous en prie. v.920 (Acte 3, scène 5, VALERE)
  280. N'as-tu pas ri, Lisette, à voir danser ma mère ? v.929 (Acte 3, scène 7, ISABELLE)
  281. andre vient ; il faut nous ranger du passage. v.933 (Acte 3, scène 7, ISABELLE)
  282. Il ne manquera pas d'en faire ici paraître. v.936 (Acte 3, scène 7, ISABELLE)
  283. Je le veux. Demeurons sans nous faire connaître. v.937 (Acte 3, scène 7, LISETTE)
  284. Je ne te vois jamais, quand j'ai besoin de toi. v.939 (Acte 3, scène 8, LEANDRE)
  285. Vous m'avez commandé de même d'acheter v.946 (Acte 3, scène 8, CARLIN)
  286. Dont on frauda les droits en revenant de Flandre. v.949 (Acte 3, scène 8, CARLIN)
  287. D'avoir manqué tantôt à lui donner la main. v.959 (Acte 3, scène 8, LEANDRE)
  288. De fixer le penchant d'un homme raisonnable. v.969 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  289. Et que mon oncle en vain veut faire une alliance v.976 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  290. Et qui, dans un besoin, pourrait montrer en ville. v.982 (Acte 3, scène 9, CARLIN)
  291. Par des dégoûts cruels qu'ils ont dans leurs amours ! v.988 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  292. C'est pendant trop de temps nous cacher à sa vue ; v.990 (Acte 3, scène 9, LISETTE)
  293. Sans ce fâcheux dédit qui vient troubler ma joie, v.993 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  294. De fixer le penchant d'un homme raisonnable : v.1011 (Acte 3, scène 9, ISABELLE)
  295. Lisette, tu devrais, dans le soin qui t'anime, v.1014 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  296. Votre panégyrique a pour nous des appas. v.1020 (Acte 3, scène 9, LISETTE)
  297. Ah ! Maraud de Carlin, dans peu ton imprudence v.1022 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
  298. C'est un point résolu, Monsieur, dans mon cerveau ; v.1048 (Acte 3, scène 10, MADAME GROGNAC)
  299. Si dans mon cabinet vous vouliez bien écrire, v.1066 (Acte 3, scène 14, LEANDRE)
  300. Dans votre cabinet, Monsieur, j'entends du bruit. v.1076 (Acte 3, scène 17, CARLIN)
  301. En plaçant là Clarice, en mon esprit distrait, v.1080 (Acte 3, scène 17, LEANDRE)
  302. Je n'ai pas réfléchi que dans le même endroit v.1081 (Acte 3, scène 17, LEANDRE)
  303. Vous pouvez dans ce lieu tout à votre aise écrire, v.1086 (Acte 3, scène 18, ISABELLE)
  304. Et tant qu'il vous plaira ; pour moi je me retire. v.1087 (Acte 3, scène 18, ISABELLE)
  305. D'y pouvoir, sans témoins, remplir votre désir. v.1089 (Acte 3, scène 18, CLARICE)
  306. Le hasard, malgré moi, dans ce lieu vous assemble, v.1090 (Acte 3, scène 18, LEANDRE)
  307. Votre mère tantôt... v.1092 (Acte 3, scène 18, LEANDRE)
  308. Devant moi gardez-vous de paraître. v.1095 (Acte 3, scène 19, CLARICE)
  309. Dans peu, Monsieur Carlin, nous en feront raison. v.1097 (Acte 3, scène 20, LISETTE)
  310. Mais, depuis un moment, mon âme est bien changée. v.1103 (Acte 4, scène 1, CLARICE)
  311. D'où vous peut donc venir un si prompt changement ? v.1105 (Acte 4, scène 1, VALÈRE)
  312. À cette liberté que l'on perd sans retour : v.1108 (Acte 4, scène 1, CLARICE)
  313. Cependant vous vouliez de moi ce bon office. v.1114 (Acte 4, scène 1, VALÈRE)
  314. Plus nos sens étonnés frémissent du danger. v.1116 (Acte 4, scène 1, CLARICE)
  315. andre est pris ailleurs ; et, pour le dégager, v.1117 (Acte 4, scène 1, CLARICE)
  316. Calmez-vous ; je prétends y réussir sans peine. v.1119 (Acte 4, scène 1, VALÈRE)
  317. andre sent pour vous une sincère ardeur : v.1120 (Acte 4, scène 1, VAL?RE)
  318. Et ce n'est qu'un devoir de pure obéissance v.1122 (Acte 4, scène 1, VAL?RE)
  319. Qui retient jusqu'ici son esprit en balance. v.1123 (Acte 4, scène 1, VAL?RE)
  320. Si j'en faisais autant, je passerais chez vous v.1128 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
  321. Pour un franc étourdi. Là, là, répondez-nous. v.1129 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
  322. Je m'étais introduit tantôt chez Isabelle, v.1131 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
  323. C'est un étrange cas. Faut-il que la jeunesse v.1138 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
  324. Apprenne maintenant à vivre à la vieillesse, v.1139 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
  325. Je n'y connais plus rien. Dans le siècle où nous sommes, v.1142 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
  326. Il faut fuir dans les bois, et renoncer aux hommes. v.1143 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
  327. Cela n'est point dans l'ordre ; et l'on sait qu'une fille, v.1147 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
  328. Je prétends lui donner cinquante mille écus, v.1152 (Acte 4, scène 2, VALÈRE)
  329. Vous réservant, à vous, de mon bien le surplus ; v.1153 (Acte 4, scène 2, VAL?RE)
  330. Et le premier enfant te gâterait la taille. v.1159 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
  331. Mon frère, cependant, tu veux te marier. v.1161 (Acte 4, scène 3, CLARICE)
  332. Mon frère, cependant, tu veux te marier. v.1165 (Acte 4, scène 3, CLARICE)
  333. Notre mère l'était, dit-on, en son vivant ; v.1168 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
  334. Nous chassons tous de race, et le mal n'est pas grand. v.1169 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
  335. Si quelque amant venait frapper ta fantaisie, v.1170 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
  336. Mon frère, cependant... v.1172 (Acte 4, scène 3, CLARICE)
  337. Mon frère, cependant, tu veux te marier. v.1173 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
  338. Qu'elle veut dès ce soir finir avec Léandre. v.1179 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  339. Elle m'a commandé de lui faire venir un notaire. v.1180 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  340. Quelque nouvel amant, en dépit des jaloux, v.1184 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  341. andre a bien voulu m'ouvrir son cabinet, v.1189 (Acte 4, scène 4, CLARICE)
  342. Avant le mariage on me fait de ces tours ! v.1192 (Acte 4, scène 4, LE CHEVALIER)
  343. Le mal est donc bien grand pour faire un tel vacarme ! v.1195 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  344. Et de cette courante à contre-coeur ? v.1197 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  345. Qui pestait contre nous, et jurait dans son âme, v.1199 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  346. Nous avons fait retraite au cabinet, sans bruit : v.1200 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  347. Lisette, tu remets le calme dans mon âme ; v.1206 (Acte 4, scène 4, CLARICE)
  348. Mais Léandre aujourd'hui triomphe encor de moi. v.1209 (Acte 4, scène 4, CLARICE)
  349. Mets-toi dans un couvent, tu ne saurais mieux faire. v.1211 (Acte 4, scène 4, LE CHEVALIER)
  350. Mais l'avis ne vaut pas cinquante mille écus. v.1213 (Acte 4, scène 4, CLARICE)
  351. Le maudit instrument qu'une langue femelle ! v.1215 (Acte 4, scène 5, LE CHEVALIER)
  352. C'est Léandre ; tant mieux, j'ai deux mots à lui dire. v.1219 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  353. Elle est riche en vertus ; pour en argent comptant, v.1224 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  354. Je crois, sans la flatter, qu'elle ne l'est pas tant. v.1225 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  355. Quand mon père mourut, il nous laissa, pour vivre, v.1226 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  356. Ses dettes à payer, et sa manière à suivre : v.1227 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  357. L'erreur est pardonnable ; il ne faut point tant rire. v.1231 (Acte 4, scène 6, CARLIN)
  358. Je sais votre naissance et votre probité, v.1232 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  359. Dans le fond cependant c'est une bagatelle ; v.1235 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  360. Doit donner rarement créance à ce qu'on dit. v.1249 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  361. De louange et d'encens les hommes sont avares ; v.1250 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  362. Au lieu qu'avec plaisir, d'une langue sans frein, v.1252 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  363. De leurs traits médisants ils chargent le prochain. v.1253 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  364. On n'insultera pas ma naissance, je crois. v.1257 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  365. Nul dans l'univers ne peut dire, je gage, v.1258 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  366. Que dans l'occasion je manque de courage. v.1259 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  367. Fat, insolent, ingrat, suffisant, imposteur ? v.1261 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
  368. Mais on ne me dit pas de vous autant de bien v.1264 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  369. Qu'on ne peut se soustraire à votre médisance ; v.1267 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  370. Que vous parlez toujours avant que de penser ; v.1268 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  371. Que tout votre mérite est de chanter, danser ; v.1269 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  372. À souffler dans vos doigts, et prendre vos ébats v.1272 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
  373. Se livre tout entière à ses transports jaloux, v.1289 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  374. Vous avez tort. Faut-il que chaque instant du jour v.1292 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
  375. Mais sais-tu bien, maraud, qu'avec ta remontrance, v.1298 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  376. Ma manière est fort bonne, et n'en veux point changer. v.1301 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  377. Dans le fond de mon coeur d'indigne menterie ; v.1307 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  378. Je dis ce que je pense, et sans déguisement ; v.1308 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  379. Je suis, sans réfléchir, mon premier mouvement ; v.1309 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  380. Un esprit naturel me conduit et m'anime : v.1310 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  381. Ce n'est pas un grand mal. Pour être bel-esprit, v.1312 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
  382. Rêver dans un fauteuil, répondre en coq-à-l'ânes, v.1314 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
  383. Et voir tous les mortels ainsi que des profanes. v.1315 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
  384. Pour un plaisant qui vient de son bruit m'enivrer, v.1332 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  385. Carlin, remettant son justaucorps. v.1336 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
  386. Mandez-lui que tantôt ce que vous avez fait v.1345 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
  387. Font souvent embrasser des amants bien brouillés. v.1350 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
  388. Dissiper son erreur. Oui, charmante Clarice, v.1355 (Acte 4, scène 8, LÉANDRE)
  389. Et dans le poudrier vous trempiez votre plume. v.1375 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  390. L'écriture est un art bien utile aux amants ! v.1377 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  391. Cette ferme en un an produirait plus de rente v.1383 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  392. Que le papier timbré ne peut rendre en quarante. v.1384 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  393. Vous versez à grands flots l'encre sur votre écrit. v.1386 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  394. Il faut recommencer, le mal n'est pas bien grand. v.1393 (Acte 4, scène 9, LEANDRE)
  395. Soit. Quand d'une cruelle on veut toucher le coeur, v.1397 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  396. Quand une belle voit, comme par supplément, v.1401 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  397. Hors du corps de la lettre, et qu'avant sa lecture, v.1403 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  398. Deux mille écus comptant, aussitôt lettre vue, v.1407 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  399. À damoiselle, en blanc, d'elle valeur reçue... » v.1408 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
  400. De ton zèle empressé j'attends tout dans ce jour, v.1421 (Acte 4, scène 9, LEANDRE)
  401. Remettons deux amants... mais qu'est-ce que je vois ? v.1426 (Acte 4, scène 10, CARLIN)
  402. Il me semble pourtant que, selon tout indice, v.1431 (Acte 4, scène 10, CARLIN)
  403. Ah ! Qu'un maître est heureux quand un valet habile v.1439 (Acte 4, scène 10, CARLIN)
  404. Il peut se fourvoyer sans rien appréhender ; v.1441 (Acte 4, scène 10, CARLIN)
  405. Et de tels serviteurs sont nés pour commander. v.1442 (Acte 4, scène 10, CARLIN)
  406. Dans son petit cerveau v.1445 (Acte 5, scène 1, LISETTE)
  407. Pour m'outrager encore, il a mis tant d'étude v.1448 (Acte 5, scène 1, ISABELLE)
  408. Mais d'un autre côté le chevalier s'avance. v.1460 (Acte 5, scène 2, LISETTE)
  409. Tout est bien avancé, v.1469 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
  410. Avant d'accorder tout à mon juste transport, v.1473 (Acte 5, scène 3, LE CHEVALIER)
  411. Nous la flatterons tant, qu'il faudra bien enfin v.1478 (Acte 5, scène 3, LE CHEVALIER)
  412. Et quelle intention est maintenant la tienne ? v.1484 (Acte 5, scène 4, LE CHEVALIER)
  413. Mon oncle avec Léandre unira mon destin. v.1486 (Acte 5, scène 4, CLARICE)
  414. Tant mieux. Mais puisque enfin vous épousez Léandre, v.1487 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
  415. De Léandre ? v.1490 (Acte 5, scène 4, CLARICE)
  416. Mais il vient ; vous pouvez l'étrangler : le voilà. v.1514 (Acte 5, scène 6, CARLIN)
  417. J'ai peine, en le voyant, à tenir ma colère. v.1515 (Acte 5, scène 7, CLARICE)
  418. Faire tant de procès. v.1532 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
  419. Parle sans imposture. v.1532 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
  420. Je l'ai mise avec soin dans les mains d'Isabelle. v.1536 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
  421. Viens, tête sans cervelle, v.1547 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
  422. Vous tâchez, inconstant, à me séduire en vain ; v.1554 (Acte 5, scène 7, CLARICE)
  423. Mais si vous avez lu le dedans de ma lettre, v.1559 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
  424. En changeant le dessus, nous changeons bien la thèse. v.1563 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
  425. Monsieur, par la présente, il vous plaira payer à damoiselle, en blanc, d'elle valeur reçue, et dieu sait la valeur. » (Acte 5, scène 7, CLARICE)
  426. Votre méprise ici me paraît fort étrange. v.1567 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
  427. Quoi ! Vos billets d'amour sont des lettres de change ? v.1568 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
  428. C'est ce malheureux-là qui, pendant que j'écris, v.1570 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
  429. Vous trouvez maintenant les termes plus coulants ; v.1573 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
  430. Et vous ne venez plus pour étrangler les gens. v.1574 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
  431. Et que, sans nul effort, on fait un prompt retour v.1577 (Acte 5, scène 7, CLARICE)
  432. Des mouvements jaloux aux transports de l'amour ! v.1578 (Acte 5, scène 7, CLARICE)
  433. Nul autre objet que vous ne règne dans mon âme. v.1580 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
  434. Nous nous trouvons toujours dans une peine extrême. v.1591 (Acte 5, scène 8, VALÈRE)
  435. Il me vient dans l'esprit un petit stratagème. v.1592 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
  436. La vieille ne songeait, dans votre engagement, v.1593 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
  437. Non, sans doute. v.1595 (Acte 5, scène 8, LEANDRE)
  438. J'ai déjà dans ma poche un contrat. v.1597 (Acte 5, scène 8, VALÈRE)
  439. Bon, tant mieux. v.1597 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
  440. Laissez-moi, l'affaire est dans le sac. v.1601 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
  441. Et vous, ne manquez pas de pousser à la roue. v.1604 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
  442. Je vous trouve plaisant ! Au gré de mes souhaits v.1610 (Acte 5, scène 9, MADAME GROGNAC)
  443. Monsieur, je ne veux point de fou dans ma famille. v.1612 (Acte 5, scène 9, MADAME GROGNAC)
  444. Vous, calmez, s'il vous plaît, votre langue indiscrète, v.1615 (Acte 5, scène 9, MADAME GROGNAC)
  445. Ennuyeux harangueur. C'est une affaire faite, v.1616 (Acte 5, scène 9, MADAME GROGNAC)
  446. J'ai mandé tout exprès en ces lieux un notaire. v.1619 (Acte 5, scène 9, MADAME GROGNAC)
  447. Vous êtes là debout planté comme un piquet. v.1622 (Acte 5, scène 9, MADAME GROGNAC)
  448. Quand il ne voudrait point encor se marier, v.1625 (Acte 5, scène 9, MADAME GROGNAC)
  449. Et qui lui fait danser quelquefois la courante. v.1628 (Acte 5, scène 9, VALÈRE)
  450. En apprenant le coup le plus fatal du monde, v.1640 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
  451. Jusque dans l'avenir de nos neveux derniers. v.1642 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
  452. À grand'peine au bonhomme aviez-vous dit adieu, v.1645 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
  453. Et n'écoutant alors qu'un aveugle caprice, v.1647 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
  454. Refusant d'épouser celle dont il fit choix ; v.1650 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
  455. Sans avoir, en mourant, égard à ma prière, v.1651 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
  456. Il a testamenté tout d'une autre manière ; v.1652 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
  457. Et l'avare défunt, descendant au cercueil, v.1653 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
  458. Dans peu je me propose v.1667 (Acte 5, scène 10, LE CHEVALIER)
  459. Euh ! J'ai cette courante encore sur le coeur. v.1670 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
  460. Et vous me permettrez maintenant de vous dire v.1680 (Acte 5, scène 10, VALÈRE)
  461. À d'autres qu'à Léandre, avait laissé son bien ? v.1685 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
  462. Il ne faut point ici tant faire l'étonnée ; v.1688 (Acte 5, scène 10, LISETTE)
  463. Quand votre époux, jadis grand-gruyer de Berri, v.1690 (Acte 5, scène 10, LISETTE)
  464. Et je prétends, de plus, qu'en formant ces liens, v.1705 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
  465. Toi, Carlin, à l'instant prépare ce qu'il faut v.1713 (Acte 5, scène 12, LEANDRE)
  466. Laissez votre oncle en paix. Quel diantre de langage ! v.1715 (Acte 5, scène 12, CARLIN)

LE RETOUR IMPRÉVU (1700)

  1. Aussi sérieusement qu'il vous plaira, Madame Bertrand. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  2. Savez-vous bien que je suis fort mécontente de la conduite et des manières de ma nièce ? (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
  3. Elle ne fait rien que de mal ; et le pis que j'y trouve, c'est qu'elle garde auprès d'elle une coquine comme vous, qui ne lui donnez que de mauvais conseils, et qui la poussez dans un précipice où son penchant ne l'entraîne déjà que trop. (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
  4. Voilà un discours très sérieux au moins, madame ; et si je répondais aussi sérieusement, la fin de la conversation pourrait bien faire rire ; mais le respect que j'ai pour votre âge, et pour la tante de ma maîtresse, m'empêchera de vous répondre avec aigreur. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  5. Il serait à souhaiter, madame, que vous en eussiez autant : vous ne seriez pas la première à scandaliser votre nièce, et à la décrier, comme vous faites, dans le monde, par des discours qui n'ont point d'autre fondement que le dérèglement de votre imagination. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  6. Y a-t-il rien de plus scandaleux que la dépense que Lucile fait tous les jours ? (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
  7. Fort innocemment : elle boit, mange, chante, rit, joue, se promène ; les biens nous viennent en dormant, je vous assure. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  8. Premièrement, ma fille unique ne veut plus être religieuse ; je m'en vais la marier : mon frère le chanoine, qui lui en veut depuis longtemps, la déshéritera ; car il est vindicatif. (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
  9. Nous ferons bien nos affaires sans vous ; ne vous mettez pas en peine. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  10. Je crois que ce sera quelque belle alliance ! (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
  11. Ce sera un mariage dans toutes les formes ; et quand il sera fait, vous serez trop heureuse de nous faire la cour, et d'être la tante de votre nièce. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  12. Bonjour, ma chère enfant. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  13. Tu ne connais pas madame Bertrand, la tante de ma maîtresse ? (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  14. S'il lui mourait trois oncles, deux tantes, trois couples de cousins germains, deux paires de neveux et autant de nièces, elle se trouverait une fort grosse héritière. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  15. Le mariage est sujet à de grandes révolutions. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  16. Tu es encore un plaisant visage, de croire que Clitandre puisse jamais se repentir d'avoir épousé Lucile, une fille que j'ai élevée ! (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  17. Tant pis. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  18. Tiens, veux-tu que je te parle franchement ? (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  19. Cette alliance ne me plaît point du tout ; et je ne prévois pas que nous y trouvions notre compte ni I'un ni l'autre. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  20. Clitandre fait de la dépense, parce qu'il est amoureux : l'amour rend libéral ; le mariage corrige l'amour. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  21. Tant mieux ; j'aime la bonne chère. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  22. Comment te portes-tu, mon enfant ? (Acte 1, scène 3, CLITANDRE)
  23. Elle s'ennuie à la mort quand elle ne vous voit point : elle ne tardera pas, je vous en réponds. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  24. Mais, s'il vous plaît, qu'allons-nous faire en attendant le retour de monsieur votre père, qui est en Espagne depuis un an pour les affaires de son commerce ? (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  25. Et que ferons-nous quand il sera revenu ? (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  26. Mon ami, jouissons du présent ; n'ayons point de regret au passé, et ne lisons point des choses fâcheuses dans l'avenir. (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
  27. Il n'y a que trois semaines que j'ai touché une demi-année d'avance de ce fermier à qui vous avez donné quittance de l'année entière. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  28. J'ai reçu, l'autre semaine, dix-huit cents livres de ce curieux, pour ces deux grands tableaux dont votre père avait refusé deux mille écus quelque temps avant que de partir. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  29. J'ai encore eu deux cents louis d'or de ce fripier, pour cette tapisserie que monsieur votre père avait achetée, il y a deux ans, cinq mille francs, à un inventaire. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  30. Oui, oui, nous avons fait de bons marchés pendant son absence, n'est-ce pas ? (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  31. Travaillez-y donc vous-même ; car pour moi je fais conscience d'être l'instrument et la cheville ouvrière de votre ruine ; c'est par mes soins que vous avez trouvé le moyen de dissiper plus de dix mille écus, sans compter douze ou quinze mille francs que vous devez encore à plusieurs quidams, usuriers ou notaires (c'est presque la même chose), qui nous vont tomber sur le corps au premier jour. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  32. Celui qui m'embarrasse le plus, c'est ce persécutant monsieur André ; et si, je ne lui dois que trois mille cinq cents livres. (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
  33. Il a, depuis quatre jours, obtenu contre vous une sentence des consuls ; et il ne serait pas plaisant que, le jour de la noce, il vous coucher au Châtelet. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  34. Nous avons fait argent de tout : les revenus sont touchés d'avance ; la maison de la ville est démeublée à faire pitié ; nous avons abattu les bois de la maison de campagne, sous prétexte d'avoir de la vue. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  35. Si mon père peut être encore cinq ou six mois sans revenir, j'aurai tout le temps de réparer, par mon économie, les premiers désordres de ma jeunesse. (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
  36. Sans doute. (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
  37. Il vaut mieux que vous fassiez toutes ces sottises-là de son vivant qu'après sa mort ; il ne serait plus en état d'y remédier. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  38. Allez, monsieur, vous n'avez pas tant de tort qu'on dirait bien. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  39. Monsieur votre père fera un gros profit pendant son voyage ; vous aurez fait une grosse dépense pendant son absence : quand il reviendra, de quoi aura-t-il à se plaindre ? (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  40. Entre nous, ce n'est pas un grand génie que monsieur votre père ; je l'ai mené autrefois par le nez, comme vous savez ; je lui fais accroire ce que je veux : et quand il reviendrait présentement, je me sens encore assez de vigueur pour vous tirer des affaires les plus épineuses. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  41. Allons, monsieur, grande chère et bon feu ; le courage me revient. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  42. Et votre bon ami le Marquis, soi-disant tel, qui vous aide à manger si généreusement votre bien, et qui n'est qu'un fat au bout du compte, y sera-t-il ? (Acte 1, scène 4, MERLIN)
  43. Mais voici la charmante Lucile et sa cousine. (Acte 1, scène 5, CLITANDRE)
  44. Les démarches que vous me faites faire, Clitandre, ne peuvent être justifiées que par le succès qu'elles vont avoir ; et je serais entièrement perdue dans le monde, si le mariage ne mettait fin à toutes les parties de plaisir où je me laisse engager tous les jours. (Acte 1, scène 5, LUCILE)
  45. Mais moi qui n'entre pour rien dans l'aventure, et qui n'ai point en vue de conclusion, quel personnage est-ce que je fais dans tout ceci ? (Acte 1, scène 5, CIDALISE)
  46. On dira qu'on se fait pendre par compagnie ; et par compagnie, il ne tiendra qu'à vous de vous faire épouser : mon maître a tant d'amis ! (Acte 1, scène 5, MERLIN)
  47. Je me donne au diable, pendant que nous sommes en train, il me prend envie d'épouser Lisette aussi par compagnie, moi ; c'est une chose bien contagieuse que l'exemple. (Acte 1, scène 5, MERLIN)
  48. Non ; ces sortes d'alliances-là ne me plaisent point. (Acte 1, scène 5, CIDALISE)
  49. Je ne dépends de personne ; je veux prendre un mari aussi indépendant que moi. (Acte 1, scène 5, CIDALISE)
  50. Vous connaissez ce cheval barbe et cette jument arabe que je mets ordinairement à ma chaise ; il n'y a pas deux meilleurs animaux pour un rendez-vous de vitesse. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  51. Si nous n'avions pas, nous autres, de ces voitures volantes-là, nous manquerions ln moitié de nos occasions. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  52. Et depuis quand, monsieur le Marquis, vous mêlez- vous d'aller à Versailles ? (Acte 1, scène 6, LUCILE)
  53. Te voilà au comble des plaisirs ; tu vas nager dans les délices : tu sais l'intérêt que je prends à tout ce qui te touche. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  54. là, qu'on se voit à la queue du roman. (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
  55. Sangaride, ce jour est un grand jour pour vous. (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
  56. Je ressens mon bonheur dans toute son étendue. (Acte 1, scène 6, CLITANDRE)
  57. Mais, dis-moi, je te prie, as-tu passé, comme tu m'avais promis, chez ce joaillier, pour ces diamants ? (Acte 1, scène 6, CLITANDRE)
  58. Ne voulez-vous point, en vous mariant, payer vos dettes à l'amour et à la nature ? (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  59. Que cela est vilain d'être une grande inutile dans le monde ! (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
  60. Ce sera quand il vous plaira, au moins, que nous ferons quelque marché de coeur ensemble : je suis fait pour les dames ; et les dames, sans vanité, sont aussi faites pour moi. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  61. Je veux être déshonoré, si je ne vous trouve fort à mon g é : je me sens même de la disposition à vous aimer un jour à l'adoration, à la fureur ; mais point de mariage au moins, point de mariage ; j'aime les amours sans conséquence : vous m'entendez bien ? (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
  62. Il n'est pas connaissable depuis qu'il me hante, ce petit homme. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  63. Il est vrai que je n'ai pas mon pareil pour débourgeoiser un enfant de famille, le mettre dans le monde, le pousser dans le jeu, lui donner le bon goût pour les habits, les meubles, les équipages. (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
  64. Je le mène un peu raide ; mais ces petits messieurs-là ne sont-ils pas trop heureux qu'on leur inspire les manières de cour, et qu'on leur apprenne à se ruiner en deux ou trois ans ? (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
  65. Je ne le vois point ici : c'est un joli garçon ; je l'aime ; je le trouve admirable pour faire une ressource, pour écarter les créanciers, amadouer des usuriers, persuader des marchands, démeubler une maison en un tour de main. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  66. Que ton père a eu de prévoyance, d'esprit, de jugement, de te laisser un gouverneur aussi sage, un économe aussi entendu ! (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
  67. Ce coquin-là vaut vingt mille livres de rente, comme un sou, à un enfant de famille. (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
  68. Messieurs et mesdames, quand vous voudrez entrer, le souper est tout prêt. (Acte 1, scène 7, MERLIN)
  69. Les moments sont trop chers aux amants ; n'en perdons aucun. (Acte 1, scène 7, CLITANDRE)
  70. Voilà, Dieu merci, les affaires en bon train : nos amants sont en joie ; fasse le ciel que cela dure longtemps ! (Acte 1, scène 8, MERLIN)
  71. Tu vois, mon enfant, le mieux du inonde. (Acte 1, scène 9, JAQUINET)
  72. Vraiment non ; je suis arrivé avec mon maître ; et pendant qu'il est allé avec le carrosse de voiture faire visiter à la douane quelques ballots de marchandises, il m'a fait prendre les devants pour venir dire à monsieur son fils qu'il est de retour en parfaite santé. (Acte 1, scène 9, JAQUINET)
  73. Et, dis-moi, le bon homme a-t-il affaire pour longtemps à cette douane ? (Acte 1, scène 9, MERLIN)
  74. Non ; il sera ici dans un moment. (Acte 1, scène 9, JAQUINET)
  75. Dans un moment ! (Acte 1, scène 9, MERLIN)
  76. Ce retour imprévu ne dérangerait-il point un peu vos petites affaires ? (Acte 1, scène 9, JAQUINET)
  77. Non ; elles sont toutes dérangées, de par tous les diables. (Acte 1, scène 9, MERLIN)
  78. Tant pis. (Acte 1, scène 9, JAQUINET)
  79. Allons, Merlin, de la vivacité, mon enfant, de la présence d'esprit, Ceci est violent : un père qui revient en impromptu d'un long voyage ; un fils dans la débauche, sa maison en désordre, pleine de cuisiniers ; les apprêts d'une noce prochaine ! (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  80. Il faut se tirer d'embarras pourtant. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  81. Enfin, après bien des travaux et des dangers, voilà, grâce au ciel, mon voyage heureusement terminé ; je retrouve ma chère maison, et je crois que mon fils sera bien sensible au plaisir de me revoir en bonne santé. (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
  82. Nous le serions bien davantage à celui de te savoir encore bien loin d'ici. (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  83. Les enfants ont bien de l'obligation aux pères qui se donnent tant de peine pour leur laisser du bien. (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
  84. Je ne veux pas différer davantage à rentrer chez moi, et à donner à mon fils le plaisir que lui doit causer mon retour : je crois que le pauvre garçon mourra de joie en me voyant. (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
  85. Sérieusement parlant, serait-ce vous, mon cher maître ? (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  86. Vous y deviez bien demeurer, monsieur, pour votre santé,.... (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  87. A-t-il eu grand soin de mes affaires ; et mes deniers ont-ils bien profité entre ses mains ? (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
  88. Pour cela, je vous en réponds ; il s'en est servi d'une manière... (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  89. Vous ne sauriez comprendre comme ce jeune homme-là aime l'argent : il a mis vos affaires dans un état... (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  90. Et non, vous dis-je : ce garçon-là est bien meilleur ménager que vous ne pensez ; il suit vos traces ; il fatigue son argent à outrance ; et sitôt qu'il a des pistoles, il les fait travailler jour et nuit. (Acte 1, scène 11, MERLIN)
  91. Voilà ce que c'est de donner aux enfants de bonnes leçons et de bons exemples à suivre. (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
  92. Votre valet, monsieur André, votre valet. (Acte 1, scène 12, MERLIN)
  93. Voilà un coquin d'usurier qui prend bien son temps pour venir demander de l'argent. (Acte 1, scène 12, MERLIN)
  94. Savez-vous bien, monsieur Merlin, que je suis las de venir tous les jours sans trouver votre maître, et que, s'il ne me paie aujourd'hui, je le ferai coffrer demain, afin que vous le sachiez. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR-ANDRÉ)
  95. Je vous l'expliquerai tantôt : ne vous mettez pas en peine. (Acte 1, scène 12, MERLIN)
  96. Clitandre vous doit deux mille écus ? (Acte 1, scène 12, GÉRONTE)
  97. Oui, justement, Clitandre, un enfant de famille, dont le père est allé je ne sais où, et qui sera bien surpris, à son retour, quand il apprendra la vie que son fils mène pendant son absence. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR-ANDRÉ)
  98. Autant que le fils est joueur, dépensier et prodigue, autant le père, à ce qu'on dit, est un vilain, un ladre, un fesse-mathieu. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR-ANDRÉ)
  99. Ce n'est pas de vous dont je veux parler ; c'est du père de Clitandre, qui est un sot, un imbécile. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR-ANDRÉ)
  100. Il vous dit vrai, monsieur ; Clitandre lui doit deux mille écus. (Acte 1, scène 12, MERLIN)
  101. Quand vous saurez le fond de cette affaire-là, vous serez charmé de monsieur votre fils ; il a acheté une maison de dix mille écus. (Acte 1, scène 12, MERLIN)
  102. Qui en vaut plus de quinze ; et comme il n'avait que vingt-quatre mille francs d'argent comptant, pour ne pas manquer un si bon marché, il a emprunté les deux mille écus en question de l'honnête fripon que vous voyez. (Acte 1, scène 12, MERLIN)
  103. Oh çà, monsieur, ce Clitandre, qui vous doit de l'argent, est mon fils. (Acte 1, scène 12, GÉRONTE)
  104. Revenez demain, c'est de l'argent comptant. (Acte 1, scène 12, GÉRONTE)
  105. Et, dis-moi un peu, dans quel endroit de la ville mon fils a-t-il acheté cette maison ? (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  106. Dans quel endroit ? (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  107. Mais vraiment, c'est aussi dans celui-ci qu'il l'a achetée. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  108. Bon, tant mieux. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  109. Tenez, voyez-vous bien cette maison couverte d'ardoise, dont les fenêtres sont reblanchies depuis peu ? (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  110. Cette grande porte cochère qui est vis-à-vis de cette autre qui est vis-à-vis d'elle, là.... (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  111. Dans cette autre rue. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  112. Ne serait-ce point la maison de madame Bertrand ? (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  113. Justement, de madame Bertrand ; la voilà : c'est une bonne acquisition, n'est-ce pas ? (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  114. Il lui est survenu un grand malheur ; elle est devenue folle. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  115. Mais elle n'avait point de fils quand je suis parti. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  116. Nous voilà dans la crise. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  117. M'aurait-on volé pendant mon absence ? (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  118. Votre maison, cette chère maison que vous aimez tant... (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  119. Oui, monsieur : il y revient des lutins si lutinants... (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  120. C'est ce qui a obligé votre fils à acheter cette autre maison ; nous ne pouvions plus demeurer dans celle-là. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  121. Il n'y a sorte de niches qu'ils ne m'aient faites ; tantôt ils me chatouillaient la plante des pieds, tantôt ils me faisaient la barbe avec un fer chaud ; et, toutes les nuits régulièrement, ils me donnaient des camouflets qui puaient le soufre... (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  122. Nous avons vu là-dessus les meilleures devineresses de Paris, la Duverger même ; il n'y a pas moyen de les faire déguerpir : ce diable-là est furieusement tenace ; c'est celui qui possède ordinairement les femmes, quand elles ont le diable nu corps. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  123. Et dis-moi, je te prie, n'ont-ils point été dans ma cave ? (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  124. Je suis perdu ; j'ai caché en terre un sac de cuir où il y n vingt mille francs. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  125. Vingt mille francs ! (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  126. Il y a vingt mille francs dans votre maison ? (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  127. Tout autant, mon pauvre Merlin. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  128. Dans la cave. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  129. Dans la cave ? (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  130. À gauche en entrant, sous une grande pierre noire qui est à côté de la porte. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  131. Sous une grande pierre noire ! (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  132. Vingt mille francs ! (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  133. C'est à gauche en entrant, dites-vous ? (Acte 1, scène 10, MERLIN)
  134. J'ai peine à me persuader tout ce que tu me dis : cependant on fait tant de contes sur ces matières-là, que je ne sais qu'en croire. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
  135. Je m'en vais au-devant de mes hardes, et je reviens sur mes pas, pour voir ce qu'il faut faire en cette occasion. (Acte 1, scène 10, G?RONTE)
  136. Qu'il y a de traverses dans la vie ! (Acte 1, scène 10, G?RONTE)
  137. Il y a dans la cave, en entrant, à gauche, sous une grande pierre noire, un sac de cuir qui contient vingt mille francs. (Acte 1, scène 15, MERLIN)
  138. Vingt mille francs ! (Acte 1, scène 15, LISETTE)
  139. Oui, mon enfant ; je te dirai cela plus amplement : cours au sac, au sac ; c'est le plus pressé. (Acte 1, scène 15, MERLIN)
  140. Nous voilà dans un joli petit embarras ! (Acte 1, scène 16, MERLIN)
  141. J'ai trouvé mes gens à deux pas d'ici, et je les ai fait demeurer, parce qu'il m'est venu en pensée de mettre mes ballots dans cette maison que mon fils a achetée. (Acte 1, scène 17, GÉRONTE)
  142. Le diable ne s'est pas emparé de celle-1à ; mais madame Bertrand y loge encore. (Acte 1, scène 17, MERLIN)
  143. On est convenu qu'elle achèverait le terme ; et comme elle a l'esprit faible, elle se met dans une fureur épouvantable quand on lui parle de la vente de cette maison ; c'est là sa plus grande folie, voyez-vous. (Acte 1, scène 17, MERLIN)
  144. Je lui en parlerai d'une manière qui ne lui fera pas de peine. (Acte 1, scène 17, GÉRONTE)
  145. Il a quelque chose d'égaré dans la vue. (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
  146. Comme sa physionomie est changée ! (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
  147. On dit qu'il revient des esprits dans ma maison ; il faudra bien qu'ils en délogent, quand ils seront las d'y demeurer. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
  148. Des esprits dans sa maison ! (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
  149. Je voudrais bien, madame Bertrand, mettre dans votre maison quelques ballots que j'ai rapportés de mon voyage. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
  150. Dites-moi, madame Bertrand, êtes-vous toujours aussi sage, aussi raisonnable qu'à présent ? (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
  151. Mais si vous n'êtes pas ordinairement plus fou qu'à présent, je trouve qu'on a grand tort de vous faire enfermer. (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
  152. Ça, çà, changeons de propos. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
  153. Qu'est-ce, madame Bertrand ? (Acte 1, scène 18, G?RONTE)
  154. La, la, ne vous chagrinez point ; je prétends que vous y ayez toujours votre appartement comme si elle était à vous, et que vous fussiez dans votre bon sens. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
  155. Qu'est-ce à dire, comme si j'étais dans mon bon sens ? (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
  156. Êtes-vous sage, de vous emporter contre un extravagant ? (Acte 1, scène 18, MERLIN)
  157. L'extravagant ! (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
  158. Vient-on, s'il vous plaît, faire tapage à la porte d'un honnête homme, et scandaliser toute une populace ? (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
  159. Les diables de chez vous sont un peu ivrognes ; ils se plaisent dans la cave. (Acte 1, scène 20, MERLIN)
  160. Il y a ici quelque fourberie ; je ne donne point là-dedans. (Acte 1, scène 20, GÉRONTE)
  161. C'est quelque chose de beau que les voyages, et cela façonne bien un jeune homme : il faut savoir comme monsieur votre fils s'est façonné pendant le vôtre ; les jolies manières... (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
  162. Nous avons eu bien du chagrin, bien du souci, bien de la tribulation de votre retour ; je veux dire, de votre absence : votre fils en a pensé mourir de douleur, en vérité ; il a pris toutes les choses de la vie en dégoût ; il s'est défait de toutes les vanités qui pouvaient l'attacher à la terre ; richesses, meubles, ajustements. (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
  163. Il serait mort, je crois, de chagrin pendant votre absence, sans cet honnête monsieur-là. (Acte 1, scène 20, MERLIN)
  164. Ne le voyez-vous pas bien sans que je vous le dise ? (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
  165. Halte là, s'il vous plaît, je ne souffrirai pas que vous entriez là-dedans. (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
  166. Je n'entrerai pas dans ma maison ? (Acte 1, scène 20, GÉRONTE)
  167. Il serait beau, vraiment, qu'au retour d'un voyage, après une si longue absence, un fils qui sait vivre, et que j'ai façonné, eût l'impolitesse de recevoir son très cher et honoré père dans une maison où il n'y a que les quatre murailles ! (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
  168. Le sujet était lugubre ; elle représentait la brûlure de Troie : il y avait là-dedans un grand vilain cheval de bois qui n'avait ni bouche ni éperons : nous en avons fait un ami. (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
  169. N'aviez-vous pas aussi deux grands tableaux qui représentaient quelque chose ? (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
  170. Ces nudités-là sont scandaleuses pour la jeunesse. (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
  171. Vraiment, je viens d'apprendre de jolies choses, monsieur Géronte ; et votre fils, à ce qu'on dit, engage ma nièce dans de belles affaires. (Acte 1, scène 21, MADAME-BERTRAND)
  172. Je ne sais ce que c'est que votre nièce ; mais mon fils est un coquin, madame Bertrand. (Acte 1, scène 21, GÉRONTE)
  173. Ne nous plaignons point les uns des autres, et ne parlons point mal des absents ; il ne faut point condamner les personnes sans les entendre. (Acte 1, scène 21, LE-MARQUIS)
  174. Il est constant que si.... (Acte 1, scène 21, LE MARQUIS)
  175. quand vous serez content, tout le monde le sera... (Acte 1, scène 21, LE MARQUIS)
  176. D'ailleurs, comme dans tout ceci il n'y a pas de votre faute, vous n'avez qu'à ne point faire de bruit, on n'aura pas le mot à vous dire. (Acte 1, scène 21, LE MARQUIS)
  177. Mon sac et mes vingt mille francs qu'on emporte. (Acte 1, scène 22, GÉRONTE)
  178. Tout ceci est un effet du zèle et de l'imagination de Merlin, pour vous empêcher d'entrer chez vous, où j'étais avec Lucile dans le dessein de l'épouser. (Acte 1, scène 23, CLITANDRE)
  179. Je vous demande pardon de ma conduite passée : consentez à ce mariage, je vous prie : on vous rendra votre argent ; et je promets que vous serez content de moi dans la suite. (Acte 1, scène 23, CLITANDRE)

ATTENDEZ-MOI SOUS L'ORME (1694)

  1. Pour m'expliquer en termes plus clairs, j'ai avancé la dépense du voyage depuis notre garnison jusqu'à ce village-ci ; nous y avons déjà séjourné quinze jours sur mes crochets : je vous prie que nous comptions ensemble, et je vous demande mon congé. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  2. Oui, monsieur, j'ai fait depuis peu des réflexions morales sur la vanité des plaisirs mondains : je suis las d'être bien battu et mal nourri ; je suis las de passer la nuit à la porte d'un lansquenet, et le jour à vous détourner des grisettes ; je suis las enfin d'avoir de la condescendance pour vos débauches, et de m'enivrer au buffet, pendant que vous vous enivrez à table. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  3. Il y a huit ans que je vous sers ; à vingt-cinq écus de gages, somme totale, six cents livres ; sur quoi j'ai reçu quelques coups de canne, coups de pied au cul ; partant reste toujours six cents livres, que je vous prie de me donner présentement. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  4. J'ai eu la patience de garder huit ans un coquin comme toi ! (Acte 1, scène 1, DORANTE)
  5. Tout autant, monsieur. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  6. Huit ans, un valet à pendre ! (Acte 1, scène 1, DORANTE)
  7. Vous avez été jusqu'à présent très content de mon service, et vous cessez de l'être dans le moment que je vous demande mes gages. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  8. Vraiment, monsieur, ce n'est pas vous qui me chassez ; c'est moi qui vous demande mon congé, et les six cents livres. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  9. La vie champêtre ne convient point à un intrigant, à un fourbe. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
  10. Je sais bien que j'ai tous les talents pour faire fortune à la ville ; mais je borne mon ambition à Lisette, à qui j'apporte en mariage les six cents livres dont je vais vous donner quittance. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  11. J'ai si bien fait, par mon manège, que le père est à présent aussi amoureux de moi que sa fille. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
  12. Agathe m'attend chez elle à quatre heures ; et, avant que d'y aller, j'ai à régler certaines choses avec le notaire. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
  13. Si ce n'était pas pour une occasion aussi pressante... (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  14. Voici la quittance. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
  15. Tu m'attendris, Pasquin ; je ne veux pas te voir davantage. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
  16. Je lui demandais mon congé et mes gages : il a partagé le différend par moitié ; il m'a donné mon congé, et me retient mes gages. (Acte 1, scène 3, PASQUIN)
  17. Ce n'était que fêtes, danses et chansons préparées pour les noces de Colin et d'Agathe ; et depuis que ton officier réformé est venu nous enlever le coeur de cette jolie fermière, toute notre galanterie poitevine est en deuil. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  18. Je ne manque pas de bonne volonté ; mais je considère... (Acte 1, scène 3, PASQUIN)
  19. Je suis bien sotte de prier quand j'ai droit de commander. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  20. C'est un jeune amant à la franquette, qui n'est capable que de se trémousser à contretemps. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  21. Il va, il vient, il piétine, il peste contre son infidèle, et a toujours quelque raisonnement d'enfant qu'il veut qu'on écoute ; enfin, c'est un petit obstiné que j'ai été contrainte d'enfermer, afin qu'il me laissât en paix travailler à ses affaires. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  22. J'ai sauté par la fenêtre de la salle où tu m'avais enfermé, pour te venir dire que tout le tripotage de veuve que tu veux faire pour attraper ce Dorante, par-ci, par-là, tant y a que tout ça ne vaut rien. (Acte 1, scène 4, COLIN)
  23. Tenez, si Pasquin me dit que je n'ai pas pus d'esprit que toi, pour ce qui est d'Agathe, je veux bien m'en retourner dans la salle. (Acte 1, scène 4, COLIN)
  24. C'est que j'ai eune ruse pour faire venir Agathe dans un endroit où je vous cacherai tous deux. (Acte 1, scène 4, COLIN)
  25. Et pis, quand a sera là, je li dirai : Çà, gnia personne qui nous écoute ; n'est-y pas vrai, Agathe, qu'ou m'avez dit cent fois qu'ou m'aimiez ? (Acte 1, scène 4, COLIN)
  26. N'est-y pas vrai, li redirai-je, que quand vous me dites ça, je dis, moi, que les paroles étaient belles et bonnes, mais que ça ne tient guère, à moins qui n'y ait quelque chose, là, qui signifie qu'ou n'oseriez pus prendre d'autre mari .que moi ? (Acte 1, scène 4, COLIN)
  27. Donc, je dirai à Agathe : N'est-y pas vrai, quand j'eu entr'ouvart votre collet, que je pris dessous un papier dans votre sein, et que sur ce papier vous m'aviez fagoté en lacs d'amour votre nom parmi le mien, pour montrer ce que je devions être l'un à l'autre ? (Acte 1, scène 4, COLIN)
  28. A dira peut-être que c'est qu'a dormait ; mais je sais bien qu'a ne faisait que semblant ; car a se réveillit tout juste quand... (Acte 1, scène 4, COLIN)
  29. Quand elle aura tout dit... (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  30. Non, gnia point de femme comme ça dans tout le monde. (Acte 1, scène 4, COLIN)
  31. Partant, condamné à retourner dans la salle jusqu'à ce que nous ayons besoin de lui. (Acte 1, scène 4, PASQUIN)
  32. Quand l'amour s'est une fois emparé d'un coeur aussi simple que celui d'Agathe, il est difficile de l'en chasser ; il se trouve mieux logé là que chez une coquette. (Acte 1, scène 5, PASQUIN)
  33. J'avoue que les grands airs de ton maître ont saisi la superficie de son imagination ; mais le fond du coeur est encore pour Colin. (Acte 1, scène 5, LISETTE)
  34. Dorante doit être aujourd'hui amoureux de moi à la folie ; car il m'a promis que son amour augmenterait tous les jours, et il m'aimait déjà bien hier. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
  35. En une nuit, il arrive de grandes révolutions dans le coeur d'un Français. (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  36. Oui, sur la fin de ce siècle-ci, les amants et les saisons se sont bien déréglés ; le chaud et le froid n'y dominent plus que par caprice. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  37. Vous voulez me persuader tous deux que Dorante sera inconstant ; mais il faudrait que je fusse folle pour craindre qu'il change. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
  38. Quand Colin me disait tout simplement qu'il me serait fidèle, je le croyais ; et je ne croirais pas Dorante qui est gentilhomme, et qui fait des serments horribles qu'il m'aimera toujours ? (Acte 1, scène 6, AGATHE)
  39. En amour, les serments d'un courtisan ne prouvent rien ; c'est le langage du pays. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  40. Si vous vouliez m'écouter une fois en votre vie, je vous ferais voir que Dorante... (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  41. Dis-moi, Pasquin, lequel aimera-t-il mieux de l'innocente ou de la gourgandine ? (Acte 1, scène 6, AGATHE)
  42. La gourgandine a toujours été du goût de mon maître. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  43. Falbala par haut pour celles qui n'ont point de hanches ; celles qui en ont trop le portent plus bas. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  44. Je ne pourrai jamais venir à bout d'arranger tant de machines sur ma tête ; il n'y a pas de place pour en mettre seulement la moitié. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
  45. Quand il s'agit de placer des fadaises, la tête d'une femme a plus d'étendue qu'on ne pensé. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  46. Et savant ! (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  47. La fontange, le chou, v.2 (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  48. Le mousquetaire, le croissant, v.4 (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  49. Pour le premier, il ne contient qu'une table alphabétique des principales pièces qui entrent dans la composition d'une commode, comme : (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  50. J'ai un noeud de ruban qui s'appelle comme cela. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
  51. « Petits tours blonds à boucles fringantes pour les fronts étroits et les nez longs. » (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  52. « Cornettes fuyantes pour faire sortir les yeux en avant. » (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  53. Voici ce que vous demandez. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  54. « La souris est un petit noeud de nompareille qui se place dans le bois. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  55. Allez vite arranger votre toilette ; je vous, enverrai mon maître sitôt qu'il aura fini une petite affaire. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
  56. On vient à bout de tout en ce monde, quand on sait prendre chacun par son faible ; les hommes par les femmes, les femmes par les habits. (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  57. Il est chez le notaire ; il faut qu'il repasse par ici ; pour aller chez Agathe, et je l'arrêterai pendant que tu iras te déguiser en veuve. (Acte 1, scène 7, PASQUIN)
  58. Sur la réputation qu'elle a dans Poitiers d'être fort riche, mon fanfaron s'est vanté qu'elle était amoureuse de lui. (Acte 1, scène 7, PASQUIN)
  59. Pour se venger, elle a pris plaisir à se trouver masquée à deux ou trois assemblées où il était, de faire la passionnée ; en un mot, de se moquer de lui, trouvant toujours des excuses pour ne se point démasquer. (Acte 1, scène 7, PASQUIN)
  60. C'est une gaillarde qui fait mille plaisanteries de cette nature pour égayer son veuvage. (Acte 1, scène 7, PASQUIN)
  61. Tant pis ; car on ne saurait bien contrefaire la veuve, qu'on n'ait contrefait la femme mariée. (Acte 1, scène 7, PASQUIN)
  62. Amuse-le pendant que je me déguiserai ; et après, tu iras avertir Agathe qu'elle vienne nous surprendre ; tu la feras écouter notre conversation. (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  63. Mais il ne faut pas tant de façon avec mon maître. (Acte 1, scène 8, PASQUIN)
  64. Quand on a le coeur pris... (Acte 1, scène 9, DORANTE)
  65. Que votre amour pour Agathe vous fait manquer cette veuve de cinquante mille écus. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
  66. Apparemment elle voulait éprouver votre constance. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
  67. En rabattant sur les gages. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
  68. On est convenu avec moi que le hasard amènerait la veuve sous cet orme dans un quart_d_heure. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
  69. Il faut que vous vous promeniez, sans faire semblant de rien. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
  70. Elle va venir, sans faire semblant de rien. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
  71. Pour lors vous l'aborderez, vous, en faisant semblant de rien ; elle vous écoutera en faisant semblant de rien. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
  72. Cachez-vous un oeil avec votre chapeau, la main dans la ceinture, le coude en avant, le corps d'un côté et la tête de l'autre ; surtout, gardez-vous bien de vous promener sur une ligne droite, cela est trop bourgeois. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
  73. Ce maraud-là en sait presque autant que moi. (Acte 1, scène 9, DORANTE)
  74. Voici l'occasion monsieur, de faire profiter les talents que vous avez pour le grand art de la minauderie. (Acte 1, scène 9, DORANTE)
  75. Voici la veuve, monsieur ; faites semblant de rien ; hem, semblant de rien. (Acte 1, scène 10, PASQUIN)
  76. Vous avez reçu des lettres de Flandre. (Acte 1, scène 10, PASQUIN)
  77. Je me sers de mes avantages. (Acte 1, scène 10, DORANTE)
  78. Si elle vous entendait chanter, elle serait charmée, monsieur. (Acte 1, scène 10, PASQUIN)
  79. Sans égard pour ma naissance, v.10 (Acte 1, scène 10, DORANTE)
  80. Comme un amant du tiers-état. v.12 (Acte 1, scène 10, DORANTE)
  81. Il n'est point de belle en France v.14 (Acte 1, scène 10, DORANTE)
  82. Je vais chanter, pour me désennuyer, un petit air que je fis à Poitiers pour cette charmante veuve. (Acte 1, scène 10, DORANTE)
  83. C'est assez la faire languir. (Acte 1, scène 10, DORANTE)
  84. Par quel bonheur, madame, vous trouve-t-on dans ce village ? (Acte 1, scène 10, DORANTE)
  85. Retirons-nous donc, monsieur : il est dangereux d'interrompre les larmes d'une veuve. (Acte 1, scène 10, PASQUIN)
  86. La vue d'un joli homme fait rentrer la douleur en dedans. (Acte 1, scène 10, PASQUIN)
  87. Je vous l'ai dit cent fois, charmante spirituelle, je suis le cavalier de France le plus spécifique pour la consolation des dames. (Acte 1, scène 10, DORANTE)
  88. N'achevez pas, monsieur ; je crains que vous ne me fassiez des propositions que je ne pourrais entendre sans horreur ; car, enfin, il n'y a encore que huit ans que mon mari est mort. (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  89. Le pauvre défunt m'aimait tant ! (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  90. Il m'a fait promettre, en mourant ... (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  91. Nous sommes seuls, madame ; accordez-moi donc enfin ce que vous m'avez tant de fois refusé à Poitiers ; levez ce voile cruel... (Acte 1, scène 11, DORANTE)
  92. Monsieur, l'affliction m'a si fort changée... (Acte 1, scène 11, LISETTE)
  93. Je ne dors point ; la fatigue du carrosse, la chaleur, la poussière, le grand jour... (Acte 1, scène 11, LISETTE)
  94. Je vous trouverai charmante. (Acte 1, scène 11, DORANTE)
  95. C'est donc pour cela qu'il me faisait tant attendre ? (Acte 1, scène 12, AGATHE)
  96. Je l'avoue finalement ; à votre refus, j'avais baissé les yeux sur une petite fermière ; parce que je trouvais une somme d'argent pour nettoyer de gros biens que j'ai en direction : mais d'honneur je ne l'ai jamais regardée que comme un enfant, une poupée avec quoi on se joue ; et depuis les charmantes conversations de Poitiers, vous n'avez point désemparé mon coeur. (Acte 1, scène 13, DORANTE)
  97. Mais, avant toutes choses, il faut que vous disiez à Agathe, en ma présence, que vous ne l'avez jamais aimée. (Acte 1, scène 13, LISETTE)
  98. Je suis galant homme. (Acte 1, scène 13, DORANTE)
  99. Allez promptement, et revenez dans une demi-heure m'attendre sous cet orme. (Acte 1, scène 13, LISETTE)
  100. Vous m'aviez enlevé mon amant ; mais je suis déjà vengée, puisqu'il vous a sacrifiée à moi. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
  101. Ne le croyez pas au moins, madame ; c'est un méchant qui en dira tout autant de vous. (Acte 1, scène 14, AGATHE)
  102. Dorante ne saurait mentir ; il est gentilhomme. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
  103. Je crois, comme je l'ai toujours cru, que vous êtes fort sage, et que Dorante est le plus grand scélérat ; mais je suis contente, vous avez tout entendu. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
  104. Il fera tout comme s'il vous aimait ; et sitôt que vous lui aurez dit un mot, il ne songera plus qu'à se venger de Dorante. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
  105. Qu'il ne s'y joue pas : Dorante m'a dit qu'il était bien méchant. (Acte 1, scène 14, AGATHE)
  106. Il s'agit d'une vengeance qui servira de divertissement à toute notre petite société galante. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
  107. Il sera berné... qu'il ne manquera rien. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
  108. Pasquin me vient de dire que tout allait bien, pourvu que je patientisse ; mais, quand je devrais tout gâter, je ne saurais plus me tenir en place ; je sis trop amoureux. (Acte 1, scène 15, COLIN)
  109. changeuse ! (Acte 1, scène 15, COLIN)
  110. Je n'aime pas trop à changer ; mais c'est que cela me vint malgré moi tout d'un coup, parce que je n'avais jamais vu d'homme fait comme Dorante. (Acte 1, scène 15, AGATHE)
  111. Ne vous avais-je pas averti que je voulais aimer Dorante ? (Acte 1, scène 15, AGATHE)
  112. Vous allez user toute votre tendresse ; gardez-en un peu pour quand vous serez mariés, vous en aurez besoin. (Acte 1, scène 15, LISETTE)
  113. Çà, Dorante va venir m'attendre sous l'orme ; nous avons résolu de nous moquer de lui. (Acte 1, scène 15, LISETTE)
  114. Pierrot, Nanette et Licas nous doivent aider ; ils sont là tout prêts. (Acte 1, scène 15, LISETTE)
  115. Que je suis honteuse, Nanette, d'avoir été trompée par un homme ! (Acte 1, scène 16, AGATHE)
  116. Mais nous allons faire voir à ce petit coquet de Dorante qu'il ne sait pas son métier, puisqu'il donne le temps à une fille de faire des réflexions. (Acte 1, scène 16, NANETTE)
  117. Voici Dorante. (Acte 1, scène 16, NANETTE)
  118. J'ai bien fait de ne voir ni le père ni la fille : si la veuve m'allait manquer, je serais bien aise de retrouver Agathe. (Acte 1, scène 17, DORANTE)
  119. J'entends des villageois qui chantent ; laissons-les passer. (Acte 1, scène 17, DORANTE)
  120. Mon pauvre Nicaise, tu perds ton temps et ta chanson. (Acte 1, scène 18, NANETTE)
  121. Il est vrai que ma franchise v.25 (Acte 1, scène 18, NANETTE)
  122. Par tes discours trompeurs et par ton air charmant ; v.27 (Acte 1, scène 18, NANETTE)
  123. Mais j'ai passé l'écueil du dangereux moment. v.28 (Acte 1, scène 18, NANETTE)
  124. Ces poitevines sont galantes naturellement. (Acte 1, scène 19, DORANTE)
  125. La veuve est partie, monsieur ; une de ses tantes est venue l'enlever à ma barbe. (Acte 1, scène 20, PASQUIN)
  126. Monsieur, j'ai sellé votre anglais ; le voilà attaché, à la porte : si vous voulez suivre le carrosse, il n'est pas encore bien loin. (Acte 1, scène 20, PASQUIN)
  127. Pardon, ma charmante ; j'ai eu une affaire indispensable. (Acte 1, scène 21, DORANTE)
  128. La sotte coutume pour les amants qui sont bien pressés ! (Acte 1, scène 21, PASQUIN)
  129. Nous irons dans un moment trouver mon père ; et, s'il nous fait trop attendre, nous nous marierons tous deux tout seuls. (Acte 1, scène 21, AGATHE)
  130. Ma foi, je m'en vais danser. (Acte 1, scène 23, PASQUIN)
  131. Ils s'avancent, cédons-leur la place. (Acte 1, scène 24, DORANTE)
  132. Pasquin, voici bien des circonstances. (Acte 1, scène 24, DORANTE)
  133. Fort bien, mes enfants. v.38 (Acte 1, scène 24, DORANTE)
  134. Au changement : v.45 (Acte 1, scène 24, DORANTE)
  135. En tout cas, il faut faire bonne contenance. (Acte 1, scène 24, DORANTE)
  136. Ne vous manqueront pas : v.53 (Acte 1, scène 24, LISETTE)
  137. Agathe, chante à Dorante. v.59 (Acte 1, scène 24, LISETTE)
  138. Voilà de mauvais plaisants, monsieur. (Acte 1, scène 24, PASQUIN)

LES MÉNECHMES, ou LES JUMEAUX (1705)

  1. Vous savez, grand dieu du Parnasse, v.5 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  2. J'ai tant de différents emplois, v.7 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  3. Du couchant jusqu'aux lieux où l'aurore étincelle, v.8 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  4. Vous êtes le bras droit du grand dieu du tonnerre ; v.11 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  5. Lorsque je vois tant de dieux fainéants v.16 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  6. Dans ce métier pénible et dangereux v.26 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  7. Quoi qu'il en soit, parlons sans feindre ; v.30 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  8. Sont pour lui par trop surannées : v.38 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  9. Depuis trois ou quatre mille ans, v.39 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  10. Il faut à Jupiter des morceaux plus friands : v.42 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  11. Elle suit les transports de son humeur jalouse ; v.47 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  12. Quand un époux a fait quelque intrigue nouvelle, v.50 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  13. Quand la dame, en revanche, a formé le dessein v.52 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  14. Et qu'un galant se rend patron v.54 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  15. Je suis l'agent du dieu qui lance le tonnerre ; v.65 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  16. Ma planète préside aux fous, v.69 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  17. Aux marchands, ainsi qu'aux filous : v.70 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  18. M'appelle, suivant mon emploi, v.74 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  19. Entre tant de métiers mis dans votre apanage, v.77 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  20. Qui vous occupe davantage. v.80 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  21. Et tant d'honnêtes gens exercent mon emploi, v.83 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  22. Ils y sont presque tous aussi savants que moi. v.85 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  23. J'aurais aujourd'hui grand besoin v.92 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
  24. Hé quoi ! Sans vous donner la peine v.95 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  25. Que le destin a fait au théâtre français, v.108 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  26. Il tient ici son rang parmi les beaux esprits : v.113 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  27. Il faut consulter ce grand homme. v.114 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
  28. Pendant que tu vivais, je t'ai comblé de gloire, v.121 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
  29. Autant que de son temps auteur le fut jamais ; v.122 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
  30. Et si j'avais à reprendre naissance, v.132 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  31. D'un traitant ou d'un sous-fermier, v.134 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  32. Laissant le dieu des vers, que j'étais las de suivre, v.141 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  33. Ne pouvant me donner de pain, v.142 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  34. Un poète aisément s'endort dans la mollesse. v.149 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
  35. L'abondance souvent, unie à la paresse, v.150 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
  36. Vous demander une pièce comique, v.155 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  37. De celles que dans Rome on vit de votre temps, v.156 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  38. Pour savoir si le goût antique v.157 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  39. Trouverait à Paris encor ses partisans. v.158 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  40. Les esprits, les moeurs, les manières, v.160 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  41. En près de deux mille ans ont bien changé, je crois. v.161 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  42. À Rome, de mon temps, libres dans leurs soupirs, v.165 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  43. Et, faisant du divorce un légitime usage, v.167 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  44. Elles changeaient d'époux au gré de leurs désirs. v.168 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  45. D'avoir autant d'amants qu'elles en peuvent faire. v.174 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  46. De fades et mauvais plaisants v.179 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  47. Qui chez les grands de Rome allaient chercher à vivre, v.180 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  48. De ces lâches flatteurs, des complaisants serviles, v.183 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  49. Que dans mes vers j'ai souvent exprimés ? v.184 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  50. De ces importants inutiles, v.186 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  51. Qui tous les jours dans les maisons, v.187 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  52. Le goût étant changé, comme enfin je le vois, v.191 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  53. D'un auteur comique et français, v.194 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  54. Qui pût accommoder le tout à sa manière, v.195 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  55. Porter la scène ailleurs, changer, faire et défaire : v.196 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  56. S'il pouvait réussir dans ce noble dessein, v.197 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  57. Moitié français, moitié romain, v.198 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
  58. Un auteur, qui parfois erre dans ces détours, v.201 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
  59. Et qui fut applaudi dans Rome. v.204 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
  60. Agréez donc mes soins, et, pour reconnaissance v.221 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  61. Avocats babillards, insolents créanciers ; v.227 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  62. Possédant femme ou maîtresse fidèle, v.230 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  63. Quelques moments de complaisance ; v.236 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  64. Quant à présent, monsieur, je ne vous puis rien dire ; v.244 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  65. Je ne sais qui me tient, que de vingt coups de canne... v.248 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  66. Quoi, maraud ! Pour aller jusques à la douane v.249 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  67. Retirer ma valise, il te faut tant de temps ? v.250 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  68. Quand on a besoin d'eux, sont plus fiers que leurs maîtres. v.257 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  69. Toujours à la douane ? v.259 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  70. Voyant que le commis qui gardait ma valise v.260 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  71. Faudra-t-il que le vin te commande sans cesse ? v.264 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  72. Me retient, malgré moi, dans le mauvais chemin. v.267 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  73. Mais pourquoi hantes-tu mauvaise compagnie ? v.269 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  74. De parler librement me donne l'avantage. v.273 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  75. Mais ton maudit penchant à mille autres te porte : v.284 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  76. Quand vous percez les nuits dans certains noirs brelans, v.287 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  77. Je jure comme vous quand le jeu me transporte ; v.289 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  78. Vous jurez dans la chambre, et moi sur l'escalier. v.291 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  79. Consommé dans cet art, m'apprîtes le métier. v.295 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  80. Faisant rafle partout, de la brune à la blonde. v.297 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  81. Je la vis chez sa tante, où j'en fus enchanté ; v.302 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  82. Autrefois cependant pour sa tante Araminte, v.304 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  83. J'y trouvais mon profit : vous cajoliez la tante, v.308 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  84. Et moi je pourchassais Finette la suivante. v.309 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  85. J'obéis : cependant, si je voulais parler, v.314 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  86. Quand je veux, je parle mieux qu'un autre. v.316 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  87. J'ai longtemps, comme vous, été dans le soupçon ; v.319 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  88. Cependant à la vôtre elle ressemble fort. v.327 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  89. En revenant de Flandre, où par trop brusquement v.330 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  90. Et passant à Péronne, où fut le dernier gîte, v.332 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  91. Ainsi je n'ai rien fait que bien dans tout ceci. v.338 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  92. C'est de quoi, dans l'instant, je veux être éclairci. v.339 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  93. Dans un moment, monsieur, je vais vous satisfaire. v.341 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  94. Je ne vois là-dedans pas une de vos hardes. v.345 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  95. Et je ne crois pas, moi, que dans votre valise v.348 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  96. Nous eussions pour vingt francs de bonne marchandise. v.349 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  97. Sais-tu que les railleurs et les mauvais plaisants v.354 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  98. Mais sans perdre de temps faisons notre inventaire. v.357 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  99. Ce meuble de chicane appartient sûrement v.358 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  100. À quelque homme du Maine, ou quelque Bas-Normand. v.359 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  101. Tu ne la croiras pas quand je te la dirai. v.366 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  102. D'un sang dont la valeur ne le cède à personne. v.369 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  103. Tu sais qu'ayant perdu père, mère et parents, v.370 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  104. Et demeurant sans bien dès mes plus tendres ans, v.371 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  105. Las de passer mes jours dans le fond d?une terre, v.372 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  106. Je suivis à quinze ans le métier de la guerre. v.373 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  107. Sans que l'on ait de moi reçu nouvelle aucune ; v.377 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  108. Mourut en accouchant de vous et de ce frère ; v.381 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  109. Que vos airs dans les siens sont si reconnaissables, v.384 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  110. Et notre père même, en commençant à croître, v.388 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  111. Ce n'est pas sans raison que j'ai l'âme surprise, v.392 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  112. Et j'apprends, en lisant la lettre que je tiens, v.394 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  113. Qui travaillait pour nous du vivant de mon père. v.401 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  114. Dans mes préventions confirment mon esprit. v.403 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  115. Et dans le même temps, ce rapport de grandeur, v.406 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  116. Et je conclus enfin, sans être fort habile, v.408 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  117. Je vous attends, monsieur, pour vous remettre « comptant les soixante mille écus que votre oncle vous a laissés par testament, et pour épouser mademoiselle Isabelle, dont je vous ai plusieurs fois parlé dans mes lettres : le parti vous convient fort, et son père Démophon souhaite cette affaire avec passion. (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  118. Ne manquez donc point de vous rendre au plus tôt à Paris, et faites-moi la grâce de me croire votre très humble et très obéissant serviteur, (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
  119. Des effets surprenants que le hasard a faits. v.411 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  120. Qui laisse de grands biens dont il vous a frustré : v.415 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  121. Je conçois dans mon coeur un favorable augure. v.421 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  122. Soixante mille écus nous feraient grand besoin. v.422 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  123. Ils sont à moi, du moins, tout autant qu'à mon frère ; v.424 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  124. Qui, dans une heure au plus, m'en diront des nouvelles. v.429 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  125. Retourne à la douane, au coche, au messager. v.439 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
  126. Charmante. v.444 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  127. Votre beauté surprend, ravit, enlève, enchante. v.445 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  128. Il semble que l'Amour, dans ce jour si charmant, v.446 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  129. L'Amour ! Le pauvre enfant ! v.452 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  130. Non, je ne vois que vous qui, sans art, sans secours, v.454 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
  131. Votre portrait charmant, et qui fait tout mon bien, v.458 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  132. Que je reçus de vous, quand vous prîtes le mien, v.459 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  133. Je me suis figuré, dans mon premier sommeil, v.466 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
  134. Être dans un jardin, au lever du soleil, v.467 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  135. Là, sur les bords charmants d'un superbe canal, v.470 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  136. Qui reçoit dans son sein un torrent de cristal, v.471 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  137. Où cent flots écumants, et tombant en cascades, v.472 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  138. Semblent être poussés par autant de Naïades ; v.473 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  139. Là, dis-je, reposant sur un lit de roseaux, v.474 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  140. Et les zéphyrs badins, volant de toutes parts, v.478 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  141. Et j'étais la Vénus flottant sur ce canal ? v.482 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  142. L'esprit donc enchanté d'un si noble spectacle, v.484 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
  143. Je me suis avancé près de vous sans obstacle. v.485 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  144. De grâce, dites-moi, parlant sincèrement, v.486 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  145. Sous l'habit de Vénus, avais-je l'air charmant, v.487 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  146. M'étant donc avancé pour vous donner la main, v.490 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
  147. Et je me suis trouvé dans une grotte obscure, v.492 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  148. Là, dans un plein repos, et couronné de fleurs, v.494 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  149. Mon valet, en entrant, a causé mon réveil. v.499 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  150. Je suis au désespoir de cette circonstance ; v.500 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  151. Mais j?en crains le retour : dans le siècle où nous sommes, v.508 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  152. Le dégoût dans l'hymen est naturel aux hommes ; v.509 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  153. Votre mort... Ah, grands dieux ! Ciel affreux désespoir ! v.515 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
  154. Mon âme, en y pensant, de douleur possédée... v.516 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
  155. Je veux que nous dînions ensemble dans ce jour. v.519 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
  156. Madame, cet honneur m'est bien avantageux. v.522 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
  157. Ici, dans un moment, je reviens sur mes pas. v.526 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
  158. Mais, en revanche aussi, je l'aime à la folie. v.528 (Acte 2, scène 4, ARAMINTE)
  159. Possédant, qui plus est, soixante mille écus v.539 (Acte 2, scène 5, DÉMOPHON)
  160. Étant pour la famille un fort grand avantage, v.545 (Acte 2, scène 5, DÉMOPHON)
  161. Et vous voyant déjà, ma soeur, sur le retour, v.546 (Acte 2, scène 5, D?MOPHON)
  162. N'ayant, comme je crois, nul penchant pour l'amour, v.547 (Acte 2, scène 5, D?MOPHON)
  163. Vous gardant l'usufruit jusques à votre mort. v.550 (Acte 2, scène 5, D?MOPHON)
  164. D'aspirer à l'hymen ; et d'avoir des enfants. v.554 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  165. Vous moquez-vous, ma soeur ? Vous avez cinquante ans. v.555 (Acte 2, scène 5, DÉMOPHON)
  166. Moi, j'ai cinquante ans ! Moi ! Finette ? v.556 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  167. Ma soeur, dans mon calcul je crois vous faire grâce ; v.560 (Acte 2, scène 5, DÉMOPHON)
  168. Et je raisonne ainsi : J'en ai cinquante, et passe ; v.561 (Acte 2, scène 5, D?MOPHON)
  169. Vous êtes mon aînée ; ergo, dans un seul mot, v.562 (Acte 2, scène 5, D?MOPHON)
  170. Que je me porte mieux que tous tant que vous êtes ; v.568 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  171. Les enfants que j'aurai, vous et ma nièce. Adieu. v.571 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  172. Ou prenez, s'il vous plaît, de meilleurs almanachs. v.575 (Acte 2, scène 6, FINETTE)
  173. Votre frère est trouvé, mais ce n'est pas sans peine ; v.584 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  174. Où quelque créancier ne m'ait choqué la vue : v.589 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  175. À qui, depuis un an, nous devons cent louis... v.591 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  176. Il me l'a, tu le sais, prêtée en galant homme ; v.593 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
  177. Tant mieux. Ne sachant plus enfin quel parti prendre, v.596 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  178. À la douane encor j'ai bien voulu me rendre ; v.597 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  179. Je l'ai connu de loin ; et cette ressemblance, v.600 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  180. Dont vous m'avez parlé, passe toute croyance : v.601 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  181. Et c'est un franc Picard qui tient de son pays. v.607 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  182. Dans un provincial nourri sans politesse : v.609 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
  183. Et quand il est sorti, j'ai fait briller mon zèle ; v.613 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  184. Moi, dans les hauts projets dont mon âme est remplie, v.617 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  185. Il doit dans un moment me venir joindre ici. v.619 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  186. Tantôt, chemin faisant, j'ai cru, sans me flatter, v.622 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  187. Que de la ressemblance on pourrait profiter, v.623 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  188. À notre campagnard nous donnerions la tante ; v.628 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  189. Pour vous serait la nièce, et pour moi la suivante. v.629 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  190. Mais comment ferions-nous, dans ce hardi dessein, v.630 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
  191. Autant que vous pourrez, à toucher cet argent. v.639 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  192. Nantissez-vous de tout sans rien mettre au hasard ; v.642 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  193. Et n'ayant pour tout bien que la cape et l'épée, v.652 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
  194. Toute mon espérance aurait été trompée. v.653 (Acte 2, scène 1, LE CHEVALIER)
  195. Sur cet engagement bannissez votre crainte. v.657 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  196. Bon ! Si l'on épousait autant qu'on le promet, v.658 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  197. Il porte le grand deuil ; son linge est effilé ; v.662 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  198. Allez vous encrêper sans perdre un seul instant. v.666 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  199. Vous avez maintenant bien autre chose à faire ; v.668 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  200. Mais, dis-moi cependant... v.672 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
  201. De tout, dans un moment, je saurai vous instruire. v.673 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
  202. Je n'ai jamais couru tant de risque en mes jours. v.679 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
  203. Là, l'épée à la main, des archers malfaisants, v.682 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
  204. Conduisant leur capture, insultent les passants. v.683 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
  205. Un fiacre, me couvrant d'un déluge de boue, v.684 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
  206. Et, voulant me sauver, des porteurs inhumains v.686 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
  207. De leur maudit bâton me donnent dans les reins. v.687 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
  208. Contre la foi publique, en arrivant, m'est prise ; v.693 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
  209. On la change en une autre, où ce qui fut dedans, v.694 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
  210. À le bien estimer, ne vaut pas quinze francs : v.695 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
  211. Heureusement encor, laissant ma malle au coche, v.700 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
  212. J'ai mis fort prudemment mon argent dans ma poche. v.701 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
  213. Je vous ai, dans ce lieu, fait préparer un lit, v.703 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  214. Dans un appartement fort propre et fort tranquille. v.704 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  215. C'est pourtant une affaire v.708 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  216. J'y viens pour prendre aussi soixante mille écus, v.710 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
  217. Depuis près de vingt ans, à la fleur de son âge, v.716 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
  218. Et dans tous vos desseins vous donne un plein succès ! v.719 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  219. À servir mes amis sans aucun intérêt. v.723 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
  220. Que diantre fais-tu là, planté comme un piquet ? v.735 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  221. J'allais, au-devant de vos pas, v.738 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  222. C'est l'humeur du pays ; et, sans beaucoup d'instance, v.748 (Acte 2, scène 3, VALENTIN)
  223. Avec les étrangers elles font connaissance. v.749 (Acte 2, scène 3, VALENTIN)
  224. Vous en avez pourtant déjà fait quelque épreuve : v.756 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  225. Quand vous souhaiterez, vous serez son époux. v.758 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  226. Avant votre retour, v.763 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  227. Mille amants sont venus s'offrir à ma maîtresse ; v.764 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  228. Ma foi, tant pis pour vous, v.771 (Acte 2, scène 3, MÉNESCHME)
  229. Elle a, dans ce repas, invité son amie, v.777 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  230. A pu, dans un moment, déranger sa cervelle ? v.781 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  231. Tantôt il paraissait assez sage ; et peut-on v.786 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  232. Non plus qu'à de l'algèbre, ou bien à l'Alcoran ? v.795 (Acte 2, scène 3, MÉNESCHME)
  233. C'est un vilain emploi que celui d'intrigante ; v.801 (Acte 2, scène 3, MÉNESCHME)
  234. Faites votre profit de cette remontrance. v.804 (Acte 2, scène 3, M?NESCHME)
  235. Nous verrons si dans peu vous aurez l'insolence v.805 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  236. Je vais lui dire tout, sans oublier un mot. v.807 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  237. J'espère que dans peu nous nous ferons connaître. v.809 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  238. Quelle ville, bon Dieu ! Quel étrange pays ! v.811 (Acte 2, scène 4, MÉNESCHME)
  239. Les femmes à Paris ont des attraits tentants, v.823 (Acte 2, scène 4, VALENTIN)
  240. Votre conseil est bon ; entrons sans plus attendre. v.825 (Acte 2, scène 4, MÉNESCHME)
  241. Tandis que de vous voir je meurs d'impatience, v.828 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  242. Que je suis fort surpris... et que dans ma surprise... v.833 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
  243. Je trouve surprenant... Je ne m'attendais pas v.834 (Acte 2, scène 5, M?NESCHME)
  244. Quoiqu'un peu... dérangés... pourraient bien me confondre : v.836 (Acte 2, scène 5, M?NESCHME)
  245. Ne m'annoncent-ils point de triste événement ? v.839 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  246. Parlez, mon cher enfant. Daignez ne me rien taire. v.841 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  247. Quand on s'aime, et qu'on a pour but de chastes chaînes, v.844 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  248. Tout, entre deux amants, doit ne devenir qu'un. v.846 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  249. Que vous m'offrez, madame, avec tant de bonté. v.851 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
  250. Bon ! Madame, il m'en a tantôt tenu bien d'autres. v.853 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
  251. Dans ses discours, parfois, il est impertinent. v.854 (Acte 2, scène 5, VALENTIN)
  252. Je ne puis maintenant ; v.855 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
  253. Quel diantre de discours ! Passez, et laissez-nous. v.858 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
  254. Quand j'irai, je consens, pour punir ma folie, v.864 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
  255. N'avez-vous pas tantôt envoyé voir au coche v.868 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
  256. C'est le vin qui le porte à ces extravagances. v.876 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
  257. Je suis las, à la fin, de tant d'impertinences. v.877 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
  258. Des soins plus importants me mettent en souci : v.878 (Acte 2, scène 5, M?NESCHME)
  259. Les deux plus grands fripons... Si vous m'en voulez croire, v.884 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
  260. Je ne me suis jamais senti tant de vigueur. v.887 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
  261. Ah ! Maudit renégat, le plus méchant du monde ! v.900 (Acte 2, scène 6, FINETTE)
  262. Si nous avions bien fait, nous t'aurions étranglé. v.902 (Acte 2, scène 6, FINETTE)
  263. J'ai senti cependant un tendre mouvement ; v.907 (Acte 2, scène 7, MÉNESCHME)
  264. Le diable m'a tenté. J'ai trouvé la suivante v.908 (Acte 2, scène 7, M?NESCHME)
  265. D'un minois revenant, et fort appétissante. v.909 (Acte 2, scène 7, M?NESCHME)
  266. Mais entrons au plus tôt dans cette hôtellerie, v.912 (Acte 2, scène 7, VALENTIN)
  267. Je brûle cependant d'aller voir ma maîtresse : v.916 (Acte 2, scène 7, MÉNESCHME)
  268. Lorsque vous aurez fait un tour dans la maison, v.918 (Acte 2, scène 7, VALENTIN)
  269. Rien n'est plus surprenant ; et votre ressemblance v.924 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
  270. Avec votre jumeau passe la vraisemblance. v.925 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
  271. Vous et lui ce n'est qu'un : étant vêtu de deuil, v.926 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
  272. Il m'a reçu d'abord d'un accueil obligeant ; v.938 (Acte 3, scène 1, LE-CHEVALIER)
  273. Et dans une heure il doit me compter mon argent. v.939 (Acte 3, scène 1, LE CHEVALIER)
  274. Soixante mille écus ? v.941 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
  275. Tout autant. v.941 (Acte 3, scène 1, LE-CHEVALIER)
  276. Lui, surpris, interdit, et ne sachant que dire, v.945 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
  277. Croyant qu'elle tendait un piège à sa vertu, v.946 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
  278. Mais n'a-t-il point sur moi quelques soupçons naissants ? v.950 (Acte 3, scène 1, LE-CHEVALIER)
  279. Quel soupçon voulez-vous qu'il ait ? Depuis vingt ans v.951 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
  280. L'aventure est plaisante, et j'en ris à mon tour. v.954 (Acte 3, scène 1, LE-CHEVALIER)
  281. Dans cet embrassement à vos yeux se déploie, v.965 (Acte 3, scène 2, LE-CHEVALIER)
  282. Votre taille, votre air, votre esprit, tout m'enchante v.968 (Acte 3, scène 2, DÉMOPHON)
  283. Pour voir cette alliance était encor vivant. v.971 (Acte 3, scène 2, D?MOPHON)
  284. Et combien, à sa mort, j'ai répandu de pleurs. v.975 (Acte 3, scène 2, LE-CHEVALIER)
  285. Cinquante ans environ. v.980 (Acte 3, scène 2, DÉMOPHON)
  286. En diverses façons, suivant qu'on le veut prendre. v.981 (Acte 3, scène 2, VALENTIN)
  287. Je dis qu'il était vieux pour son peu de santé ; v.982 (Acte 3, scène 2, VALENTIN)
  288. Point du tout ; et je crois que, dans toute sa vie, v.984 (Acte 3, scène 2, DÉMOPHON)
  289. Il est vrai... cependant... v.987 (Acte 3, scène 2, VALENTIN)
  290. Vous avez très grand tort, vous devez y compter ; v.994 (Acte 3, scène 2, DÉMOPHON)
  291. Et du premier coup d'oeil vous saurez l'enchanter. v.995 (Acte 3, scène 2, D?MOPHON)
  292. Quand vous ne seriez pas au gré de son désir v.999 (Acte 3, scène 2, D?MOPHON)
  293. Et, sans être aperçu, vous l'entendrez parler. v.1003 (Acte 3, scène 2, D?MOPHON)
  294. Mais je ne pourrai pas, dans son ardent transport, v.1007 (Acte 3, scène 3, VALENTIN)
  295. Un homme de province, assez bien fait pourtant, v.1014 (Acte 3, scène 4, DÉMOPHON)
  296. Doit, pour vous épouser, arriver à l'instant. v.1015 (Acte 3, scène 4, D?MOPHON)
  297. La naissance, le bien, tout m'en est agréable ; v.1017 (Acte 3, scène 4, DÉMOPHON)
  298. Mon père, sans pousser ce discours jusqu'au bout, v.1019 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
  299. Et sans vouloir pour vous manquer d'obéissance, v.1021 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
  300. Vous n'avez pas tenu toujours un tel langage. v.1024 (Acte 3, scène 4, DÉMOPHON)
  301. J'en connais les dangers. Aujourd'hui les époux v.1026 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
  302. Sont tous, pour la plupart, inconstants ou jaloux ; v.1027 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
  303. Celui-ci te plaira quand tu l'auras connu. v.1030 (Acte 3, scène 4, DÉMOPHON)
  304. Tel qu'il soit, je le hais avant de l'avoir vu : v.1031 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
  305. Et je n'en voudrais pas, quand ce serait un prince. v.1033 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
  306. C'est Ménechme, grands dieux ! C'est lui, c'est mon amant. v.1039 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
  307. Dont l'esprit est égal au bien, à la naissance. v.1048 (Acte 3, scène 4, DÉMOPHON)
  308. J'avais tort de porter si haut mon espérance. v.1049 (Acte 3, scène 4, LE-CHEVALIER)
  309. Eh ! Oui, si dans mon choix vous ne me traversiez. v.1051 (Acte 3, scène 4, DÉMOPHON)
  310. Et votre oeil sans dédain s'accoutume à me voir ? v.1058 (Acte 3, scène 4, LE-CHEVALIER)
  311. Oses-tu dans ces lieux soutenir ma présence ! v.1061 (Acte 3, scène 5, ARAMINTE)
  312. Sans connaître le tien et toute sa noirceur. v.1071 (Acte 3, scène 5, ARAMINTE)
  313. Vous oblige à venir, en faisant le lutin, v.1079 (Acte 3, scène 5, DÉMOPHON)
  314. Scandaliser ici monsieur, qui, de sa vie, v.1080 (Acte 3, scène 5, D?MOPHON)
  315. Depuis plus de deux ans l'ingrat vit sous mes lois ; v.1083 (Acte 3, scène 5, ARAMINTE)
  316. À m'entendre tenir des discours insultants. v.1091 (Acte 3, scène 5, LE-CHEVALIER)
  317. Il faut, ma fille et moi, vous demander pardon. v.1111 (Acte 3, scène 8, DÉMOPHON)
  318. Des esprits de travers dans toutes les familles. v.1113 (Acte 3, scène 8, D?MOPHON)
  319. Et par même moyen, amant tendre et fidèle, v.1116 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
  320. Qu'elle suit maintenant l'amour et le devoir. v.1123 (Acte 3, scène 8, DÉMOPHON)
  321. Elle a senti d'abord un peu de répugnance ; v.1124 (Acte 3, scène 8, D?MOPHON)
  322. Mais, vous voyant, son coeur n'a plus fait de défense. v.1125 (Acte 3, scène 8, D?MOPHON)
  323. À l'instant, v.1126 (Acte 3, scène 8, DÉMOPHON)
  324. Oui, sans doute, vous-même : v.1128 (Acte 3, scène 8, DÉMOPHON)
  325. Quand ma soeur est venue, avec ses sots discours, v.1130 (Acte 3, scène 8, D?MOPHON)
  326. Et ce début, tout franc, ne me satisfait guère. v.1137 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
  327. Cet homme, dans l'abord, me paraissait plus sage. v.1141 (Acte 3, scène 8, DÉMOPHON)
  328. Madame, on m'a vanté, par écrit, vos appas : v.1142 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
  329. Quand l'esprit ne va pas de pair avec les charmes. v.1144 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  330. J'en dirai mon avis quand vous aurez parlé. v.1146 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  331. J'aime les gens d'esprit plus que personne en France : v.1148 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
  332. J'en ai du plus brillant, et le tout sans science. v.1149 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  333. Aussi je n'ai jamais mis le nez dans un livre ; v.1152 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  334. Et quand un gentilhomme, en commençant à vivre, v.1153 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  335. Sait tirer en volant, boire, et signer son nom, v.1154 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  336. Il est aussi savant que défunt Cicéron. v.1155 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  337. Mon âme dans ce choix est indéterminée. v.1157 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
  338. La cour aurait pour moi d'assez puissants appas, v.1158 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  339. Ne m'avaient assuré que je vivrai cent ans : v.1162 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  340. Quoique mon nom fameux put voler dans l'Europe, v.1164 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  341. Cependant ce regard amoureux et fripon v.1174 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
  342. J'en tire un argument, sans être philosophe, v.1176 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
  343. Mon gendre avait d'abord de plus belles manières. v.1184 (Acte 3, scène 9, DÉMOPHON)
  344. Oh ! Parbleu, je suis franc. v.1186 (Acte 3, scène 9, MÉNESCHME)
  345. C'est bien fait. Vous aurez, je crois, la complaisance v.1189 (Acte 3, scène 9, DÉMOPHON)
  346. Mais le bien qu'il apporte est un grand avantage. v.1197 (Acte 3, scène 9, DÉMOPHON)
  347. Tout franc, qu'en dites-vous ? v.1199 (Acte 3, scène 10, MÉNESCHME)
  348. Mais, si vous souhaitez que je parle sans feinte, v.1200 (Acte 3, scène 10, VALENTIN)
  349. Un de nos créanciers tourne vers nous ses pas : v.1203 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  350. C'est le marchand fripier qui nous rend sa visite. v.1204 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  351. Nous étions tous pour vous dans une peine extrême ; v.1208 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
  352. Car, dans notre maison, tout le monde vous aime, v.1209 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR COQUELET)
  353. M'aimer sans m'avoir vu ! Voilà de bonnes âmes ! v.1212 (Acte 3, scène 11, MÉNESCHME)
  354. Je n'aurais jamais cru tant être aimé des femmes ! v.1213 (Acte 3, scène 11, M?NESCHME)
  355. Une espèce de fou d'un plaisant caractère, v.1217 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  356. Qui s'est mis dans l'esprit que tous les gens qu'il voit v.1218 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  357. Votre bonne santé, plus que l'on ne peut croire, v.1224 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
  358. Qu'avant votre départ je vous fis arrêter, v.1226 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR COQUELET)
  359. Et que vous me paierez, je crois, sans contester. v.1227 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR COQUELET)
  360. J'ai, pendant votre absence, v.1228 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
  361. Mais, bénin créancier, v.1230 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
  362. D'où le canon tirait avec tant de furie, v.1245 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  363. Qu'il s'est fait dans sa tête une commotion v.1246 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  364. De son faible cerveau... la membrane trop tendre... v.1248 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  365. Oh ! L'effet du canon ne saurait se comprendre. v.1249 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  366. Oui, je sais, sans en faire aucun doute, v.1252 (Acte 3, scène 11, MÉNESCHME)
  367. Qu'à votre régiment l'an passé je fournis. v.1255 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
  368. Je suis marchand fripier, v.1258 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
  369. Sans faire tant de bruit, v.1266 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  370. Par vos cris redoublés, ébranler son cerveau ? v.1275 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
  371. Oui, je pars : mais peut-être, avant qu'il soit une heure, v.1276 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
  372. Je lui ferai changer de ton et de demeure. v.1277 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR COQUELET)
  373. Qu'il prenne un autre champ pour ses extravagances. v.1281 (Acte 3, scène 12, MÉNESCHME)
  374. Dans peu, pour l'aller voir, je reviendrai vous prendre. v.1285 (Acte 3, scène 12, VALENTIN)
  375. Certain devoir pressant m'appelle à quatre pas. v.1286 (Acte 3, scène 12, VALENTIN)
  376. Je m'en vais un moment tranquilliser ma bile. v.1288 (Acte 3, scène 12, MÉNESCHME)
  377. Tout est devenu fou, je crois, dans cette ville. v.1289 (Acte 3, scène 12, M?NESCHME)
  378. Le poisson, de lui-même, entre dans notre nasse : v.1293 (Acte 3, scène 13, VALENTIN)
  379. Personne du logis n'est sorti dans la rue : v.1297 (Acte 4, scène 1, VALENTIN)
  380. De crainte que notre homme, allant chez le notaire, v.1300 (Acte 4, scène 1, VALENTIN)
  381. Déjà d'un créancier il m'a débarrassé. v.1302 (Acte 4, scène 1, VALENTIN)
  382. Se sent, en la voyant, brûler de nouveaux feux, v.1307 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  383. En attendant qu'il vienne, v.1308 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  384. Et que j'offre mon coeur à tes charmants attraits. v.1310 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  385. Ton maître m'a traitée avec tant d'insolence, v.1312 (Acte 4, scène 2, FINETTE)
  386. Qu'il faut sur le valet que j'en prenne vengeance. v.1313 (Acte 4, scène 2, FINETTE)
  387. Et ma maîtresse en est si fort scandalisée, v.1317 (Acte 4, scène 2, FINETTE)
  388. Que, rompant avec lui désormais tout à fait, v.1318 (Acte 4, scène 2, FINETTE)
  389. Je viens lui demander et lettres et portrait. v.1319 (Acte 4, scène 2, FINETTE)
  390. Quand le besoin d'argent nous presse et nous harcèle, v.1324 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  391. Tu sais, ma pauvre enfant, qu'on troque la vaisselle. v.1325 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  392. Mous nous sommes trouvés dans de grands embarras. v.1327 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  393. A bien voulu descendre aux ténébreux manoirs, v.1330 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  394. Soixante mille écus d'argent sec et liquide v.1332 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  395. Quoi ! Dans si peu de temps vous auriez hérité ? v.1335 (Acte 4, scène 2, FINETTE)
  396. Dans le temps que tu mets à me le demander. v.1338 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  397. S'il se piquait encor d'avoir des feux constants : v.1342 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  398. Il faut bien, dans la vie, aller selon le temps. v.1343 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  399. Nous nous passerons bien d'amants tels que vous êtes. v.1344 (Acte 4, scène 2, FINETTE)
  400. Mon amour veut dompter des coeurs d'un plus haut rang : v.1346 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  401. Je prends un vol plus fier, et suis haussé d'un cran. v.1347 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  402. Et je vais me jeter, je crois, dans les affaires. v.1349 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  403. Dans les affaires, toi ? v.1350 (Acte 4, scène 2, FINETTE)
  404. Devant qu'il soit deux ans, v.1350 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  405. Je veux que l'on me voie, avec des airs fendants, v.1351 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  406. Dans un char magnifique, allant à la campagne, v.1352 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  407. Ébranler les pavés sous six chevaux d'Espagne. v.1353 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  408. Intendants, cuisiniers, rempliront mon palais : v.1355 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  409. Le vin y coulera, comme l'eau dans la Seine : v.1357 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  410. Quand je voudrai donner des soupers clandestins, v.1359 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  411. Et devant qu'il soit peu, t'y régaler un jour. v.1363 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
  412. Ma maîtresse, rompant avec vous tout à fait, v.1370 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  413. M'envoie ici, monsieur, demander son portrait, v.1371 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  414. Ses lettres, ses bijoux. En nous rendant les nôtres, v.1372 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  415. Elle m'a commandé de vous rendre les vôtres. v.1373 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  416. Quand il est survenu rupture ou brouillerie, v.1376 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  417. Oui, monsieur ; on n'y manque jamais. v.1379 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  418. Pour moi, dans pareil cas, toujours j'en use ainsi. v.1382 (Acte 4, scène 3, VALENTIN)
  419. M'ennuie étrangement, me lasse et me fatigue ; v.1384 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
  420. Oui, sans doute, le vôtre, v.1389 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  421. Que ma maîtresse prit en vous donnant le sien. v.1390 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  422. Si vous l'avez reçu, dites-le sans façon : v.1398 (Acte 4, scène 3, VALENTIN)
  423. Votre portrait n'est pas dans cette boîte ronde ? v.1401 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  424. Par ma foi, c'est vous-même ; et vous voilà parlant : v.1410 (Acte 4, scène 3, VALENTIN)
  425. Jamais peintre ne fit portrait si ressemblant. v.1411 (Acte 4, scène 3, VALENTIN)
  426. Vous verrez qu'en venant par le coche, à leurs frais, v.1414 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
  427. Savez-vous bien qu'avant de partir de ces lieux, v.1422 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  428. Vous savez ce que c'est qu'une amante en courroux : v.1426 (Acte 4, scène 3, VALENTIN)
  429. Mais, quand elle serait mille fois plus diablesse, v.1428 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
  430. Tu reviendras tantôt, je te ferai tout rendre. v.1432 (Acte 4, scène 3, VALENTIN)
  431. Mais si l'on manque après à me faire raison, v.1434 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  432. Je reviens, et je mets le feu dans la maison. v.1435 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  433. Mais peut-on sur les gens être tant acharnée ? v.1436 (Acte 4, scène 4, MÉNESCHME)
  434. Quand on est, comme vous, jeune, aimable et bien fait, v.1438 (Acte 4, scène 4, VALENTIN)
  435. Entre amants, tel dépit n'est qu'une bagatelle ; v.1440 (Acte 4, scène 4, VALENTIN)
  436. Lé jour mé scandalise, et voudrais contré quatre, v.1448 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
  437. Sans doute, et des plus chers. v.1455 (Acte 4, scène 5, VALENTIN)
  438. D'un maudit lansquénet lé caprice outrageant v.1459 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
  439. Me prêter cent louis, ne m'ayant jamais vu ? v.1467 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
  440. Il né vous souvient pas qu'allant en Allémagne, v.1472 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
  441. Étant vide d'argent pour fairé la campagne, v.1473 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
  442. Sans âne, ni mulet, prêt à demeurer là... v.1474 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
  443. Et qué, sans déplacer, jé vous ouvris ma bourse ? v.1477 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
  444. Il m?en vient dans l'esprit quelque confuse idée v.1485 (Acte 4, scène 5, VALENTIN)
  445. Quand on mé doit, voilà lé sergent qué jé porte. v.1496 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
  446. Qué jé dévienne atome, ou qu'à l'instant jé meure, v.1500 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
  447. Si vous né mé payez lé tout dans un quart_d_heure. v.1501 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
  448. Il nous tuera tous deux. Quand vous ne serez plus, v.1502 (Acte 4, scène 5, VALENTIN)
  449. De quoi vous serviront quarante mille écus ? v.1503 (Acte 4, scène 5, VALENTIN)
  450. Il est pourtant bien rude... v.1505 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
  451. Si vous êtes si prompt, monsieur, tant pis pour vous ; v.1506 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
  452. Je n'ai pas cent louis, mais en voilà soixante. v.1508 (Acte 4, scène 5, M?NESCHME)
  453. Je lui conseille encor de me chanter injure. v.1520 (Acte 4, scène 6, MÉNESCHME)
  454. Hommes, femmes, passants, marchands, Gascons, commis, v.1522 (Acte 4, scène 6, M?NESCHME)
  455. Et j'appréhende encor, dans mon soupçon extrême, v.1532 (Acte 4, scène 6, MÉNESCHME)
  456. De tous ses créanciers mon maître sera quitte. v.1537 (Acte 4, scène 7, VALENTIN)
  457. Mon bonheur est si grand qu'à peine je le crois. v.1539 (Acte 4, scène 8, LE-CHEVALIER)
  458. Deux ou trois marquisats des mieux rentés de France. v.1545 (Acte 4, scène 8, LE CHEVALIER)
  459. Est venu brusquement lui demander la somme. v.1560 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
  460. Et, mettant à profit mon conseil salutaire, v.1565 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
  461. Il en a délivré plus de moitié comptant, v.1566 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
  462. Que le Marquis a pris toujours en rabattant. v.1567 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
  463. Ainsi que j'ai tantôt eu l'honneur de vous dire : v.1572 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
  464. Je vous parais sans foi, sans esprit, sans appas. v.1586 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
  465. De dire, de sang-froid, ces duretés en face. v.1589 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
  466. Écoutez, sans tant vous émouvoir. v.1591 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  467. Mon_Dieu ! Non. Sans sujet vous en venez aux prises. v.1593 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  468. Je vais dans un moment dissiper ce soupçon : v.1594 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  469. Monsieur vous a tantôt tenu certains propos v.1599 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  470. Hors de toute créance. v.1600 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
  471. Paix donc, point tant de pétulance. v.1601 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  472. C'est lui, sans être lui : ce n'est que son image, v.1604 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  473. Tous les deux ne font qu'un, et cependant font deux. v.1607 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  474. Le portrait de monsieur, qui vous a chanté pouilles. v.1609 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  475. Sans l'entendre parler, ne vous emportez pas. v.1611 (Acte 4, scène 9, LE-CHEVALIER)
  476. Dont la langue à tantôt sur vous lancé ses traits. v.1615 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  477. Quelque étrange que soit ce surprenant récit, v.1618 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
  478. Souffrez que mon transport... v.1622 (Acte 4, scène 9, LE-CHEVALIER)
  479. Je me méprends aussi : transporté de plaisirs, v.1623 (Acte 4, scène 9, LE-CHEVALIER)
  480. Il doit, dans l'embarras, vous servir de fanal. v.1627 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  481. Mais n'allez pas tantôt, par-devant le notaire, v.1628 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  482. Sans ce coeur j'y renonce, et je n'en veux aucune. v.1633 (Acte 4, scène 9, LE-CHEVALIER)
  483. Trêve de compliments. Quand vous serez époux, v.1634 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
  484. Et, voulant mettre un frein au dégoût des amants, v.1654 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  485. Mais que leur sert d'user de cette prévoyance v.1656 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  486. Si les écrits trompeurs n'ont pas plus de puissance ? v.1657 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  487. Je vois bien maintenant que, dans ce siècle ingrat, v.1658 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  488. Mais c'est notre destin : toujours, tant que nous sommes, v.1660 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  489. Vit, j'ai bien résolu, dans mon coeur courroucé, v.1662 (Acte 5, scène 1, ARAMINTE)
  490. Sans en venir après à la conclusion ! v.1671 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  491. Non, c'est une noirceur qui crie au ciel vengeance. v.1672 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  492. Et, quand ce ne serait que pour vous en venger, v.1674 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  493. Mais, s'il ne m'aime point, quel sera l'avantage v.1676 (Acte 5, scène 1, ARAMINTE)
  494. D'épouser sans amour et même sans estime. v.1681 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  495. Il faut se marier : vous êtes dans un temps v.1682 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  496. Ce conseil bienfaisant que mon zèle vous donne, v.1684 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  497. Que tout ce que l'hymen a de plus dangereux. v.1687 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  498. Finissez, croyez-moi, n'allez pas davantage v.1696 (Acte 5, scène 2, DÉMOPHON)
  499. Sans rime ni raison vous babillez toujours ; v.1698 (Acte 5, scène 2, ARAMINTE)
  500. Oui, sans doute, ma tante, v.1704 (Acte 5, scène 2, ISABELLE)
  501. Sans mentir, vous êtes fort plaisante v.1705 (Acte 5, scène 2, ARAMINTE)
  502. Quand on est une fois frappé de vos attraits, v.1710 (Acte 5, scène 2, ISABELLE)
  503. Vos yeux vous sont garants qu'on ne change jamais. v.1711 (Acte 5, scène 2, ISABELLE)
  504. Ce sont ces yeux charmants qui les volent aux autres. v.1712 (Acte 5, scène 2, ISABELLE)
  505. L'un, du bout de la place accourant à grands pas, v.1723 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
  506. Me vient de ma santé demander des nouvelles ; v.1725 (Acte 5, scène 3, M?NESCHME)
  507. Un autre, à toute force, et me serrant la main, v.1726 (Acte 5, scène 3, M?NESCHME)
  508. Celui-ci, m'arrêtant au détour d'une rue, v.1728 (Acte 5, scène 3, M?NESCHME)
  509. Tu te veux engager dans un autre hyménée, v.1733 (Acte 5, scène 3, ARAMINTE)
  510. Tu me vois expirante et cédant à mon sort, v.1738 (Acte 5, scène 3, ARAMINTE)
  511. Sans donner seulement une larme à ma mort ! v.1739 (Acte 5, scène 3, ARAMINTE)
  512. Faudra-t-il que toujours je sois dans l'embarras v.1742 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
  513. Vous, qui pour nous jadis eûtes tant de tendresse, v.1744 (Acte 5, scène 3, FINETTE)
  514. Verrez-vous dans mes bras expirer ma maîtresse ? v.1745 (Acte 5, scène 3, FINETTE)
  515. Qu'on payât son amour de tant de cruauté ? v.1747 (Acte 5, scène 3, FINETTE)
  516. Je veux bien à vos yeux, et devant que je sorte, v.1761 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
  517. Que Satan... Lucifer... v.1762 (Acte 5, scène 3, M?NESCHME)
  518. Je vous crois sans jurer. v.1762 (Acte 5, scène 3, DÉMOPHON)
  519. Dans un jour plein de joie, en ce lieu réunie. v.1769 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  520. Malgré tous ses attraits, manquait à sa personne : v.1773 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  521. Elle n'a maintenant plus rien à désirer. v.1774 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  522. De pareils sentiments n'entrent point dans mon âme. v.1777 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
  523. Votre beauté le charme autant que votre esprit. v.1779 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  524. Et dans lui l'on renomme v.1781 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  525. La franchise du coeur qu'il a par préciput. v.1782 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  526. Et j'en ai dans les mains une très juste cause. v.1789 (Acte 5, scène 4, ARAMINTE)
  527. Avant tout, finissons une certaine affaire v.1793 (Acte 5, scène 4, MÉNESCHME)
  528. Qui, plus que celle-là, me tient sans doute au coeur. v.1794 (Acte 5, scène 4, M?NESCHME)
  529. Je n'aurais pas usé de tant de diligence, v.1796 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  530. Si vous n'étiez venu chez moi me faire instance v.1797 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  531. Quand ? v.1799 (Acte 5, scène 4, MÉNESCHME)
  532. Tantôt... v.1799 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  533. Mais je l'ai bien payé. Soixante mille écus v.1802 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  534. N'avez-vous pas chez vous soixante mille écus v.1810 (Acte 5, scène 4, MÉNESCHME)
  535. Sans doute. v.1813 (Acte 5, scène 4, MÉNESCHME)
  536. En bon argent comptant, ou billets au porteur, v.1814 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  537. Dont j'ai votre quittance ; et c'est là le meilleur. v.1815 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
  538. De dire que j'ai pris soixante mille écus ? v.1818 (Acte 5, scène 4, MÉNESCHME)
  539. Sans doute, en belle espèce. v.1832 (Acte 5, scène 5, VALENTIN)
  540. Soixante mille écus, que votre oncle vous laisse, v.1833 (Acte 5, scène 5, VALENTIN)
  541. A tantôt été mise entre les mains d'un homme v.1837 (Acte 5, scène 5, VALENTIN)
  542. Vous voyez s'il se peut un plus méchant esprit, v.1843 (Acte 5, scène 5, ROBERTIN)
  543. Je vous embarquais là dans une belle affaire ! v.1845 (Acte 5, scène 5, ROBERTIN)
  544. Sans autre procédure, il faut qu'il soit pendu. v.1851 (Acte 5, scène 5, FINETTE)
  545. Des hommes, des démons si méchants que vous tous ; v.1854 (Acte 5, scène 5, MÉNESCHME)
  546. Et... je ne puis parler, tant je suis en courroux. v.1855 (Acte 5, scène 5, M?NESCHME)
  547. Pour découvrir le fond d'un surprenant mystère. v.1857 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
  548. Mon père, en son vivant, se fit nommer ainsi. v.1870 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
  549. Le mien, tant qu'il vécut, porta ce nom aussi. v.1871 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
  550. En accouchant de moi l'on vit mourir ma mère. v.1872 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
  551. La mienne est morte aussi de la même manière. v.1873 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
  552. Et dont, depuis quinze ans, je n'ai nouvelle aucune. v.1876 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
  553. Ce frère, étant jumeau, dans tout me ressemblait. v.1878 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
  554. Mais j'avais cependant compté sur votre mort. v.1887 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
  555. L'un de vous a touché soixante mille écus. v.1902 (Acte 5, scène 6, ROBERTIN)
  556. C'est moi qui, pour la mienne, ayant pris sa valise, v.1904 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
  557. C'est moi qui, dans l'ardeur d'une feinte tendresse, v.1908 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
  558. Et c'est moi qui, depuis, brûlant des plus beaux feux, v.1910 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
  559. Je n'ai rien fait de mal dans toute cette affaire, v.1913 (Acte 5, scène 6, ROBERTIN)
  560. Pourvu que, sans éclat, vous vouliez à l'instant, v.1919 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
  561. En épousant madame, acquitter ma parole. v.1920 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
  562. Je vous trouve plaisant de disposer de moi ! v.1923 (Acte 5, scène 6, ARAMINTE)
  563. Nous nous sommes tous deux chanté pouilles à tort, v.1931 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
  564. Moi vous nommant friponne, et vous m'appelant traître. v.1932 (Acte 5, scène 6, M?NESCHME)
  565. Bien d'autres, avant nous, en formant ce lien, v.1934 (Acte 5, scène 6, M?NESCHME)
  566. S'en sont dit tout autant, et se connaissaient bien. v.1935 (Acte 5, scène 6, M?NESCHME)
  567. Moi, quand ce ne serait que pour la ressemblance, v.1936 (Acte 5, scène 6, FINETTE)
  568. Je voudrais l'épouser, sans tant de résistance. v.1937 (Acte 5, scène 6, FINETTE)
  569. Mais, en me mariant, votre attente est déçue. v.1941 (Acte 5, scène 6, ARAMINTE)
  570. Puisqu'un coup du hasard vous met dans ma famille. v.1945 (Acte 5, scène 6, DÉMOPHON)
  571. Je voulais un Ménechme : en lui donnant la main, v.1946 (Acte 5, scène 6, D?MOPHON)
  572. Vous ne changerez rien à mon premier dessein. v.1947 (Acte 5, scène 6, D?MOPHON)
  573. Dans l'excès du bonheur que le destin m'envoie, v.1948 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
  574. À ne t'en point mentir, j'en aurais grande envie ; v.1952 (Acte 5, scène 6, FINETTE)
  575. J'en fais une cent fois bien plus grande que toi ; v.1954 (Acte 5, scène 6, VALENTIN)
  576. Messieurs, j'ai réussi dans l'hymen qui s'apprête ; v.1956 (Acte 5, scène 6, VALENTIN)

LA CRITIQUE DE L'HOMME À BONNES FORTUNES. (1690)

  1. Tenez, voilà tout ce que j'ai pu sauver de mon manteau ; j'ai laissé le reste au parterre. (Acte 1, scène 1, LE BARON)
  2. Franchement, vous autres gens d'épée, vous avez quelque sujet de la fronder : il me semble que parfois on vous donne sur la crête. (Acte 1, scène 1, NIVELET)
  3. L'amour par articles ; c'est un endroit bien appétissant pour les femmes. (Acte 1, scène 1, LE BARON)
  4. Ma foi, s'il y a quelque chose de passable, c'est quand le Vicomte dépouille cette innocente jusqu'à un jonc d´or qu'elle a au doigt. (Acte 1, scène 1, NIVELET)
  5. Ces couleurs ne crayonnent pas mal les gens d'épée, qui pendant un quartier d'hiver vous sucent une femme jusqu'au dernier bijou. (Acte 1, scène 1, NIVELET)
  6. Dans le fond, on n'a en vue que le service du roi. (Acte 1, scène 1, LE BARON)
  7. J'en refuse autant d'un autre. (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  8. Vous arrêterez-vous, grands baguenaudiers ? (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  9. Ces frelampiers-là sont toujours à lanterner autour d'une fille. (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  10. Je suis ce que je suis ; ce ne sont pas là vos affaires : je n'ai jamais vu une diantre de maison comme celle-ci. (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  11. Enfin, si ma tante m'avait crue, je n'aurais jamais demeuré dans une auberge ; mais puisqu'on m'y a forcée, m'y voilà ; j'enrage pourtant assez. (Acte 1, scène 2, NIVELET)
  12. Je suis toujours par voie et par chemin, pour aller quérir les drogues à cette grande halbreda de Comtesse. (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  13. Il y a sans cesse à refaire autour d'elle : tantôt c'est du blanc ; tantôt c'est du rouge ; tantôt c'est un gros bourgeon qu'il faut raboter ; et que sais-je ? (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  14. Tant y a qu'il y a toujours quelque chose à calfeutrer sur son visage. (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  15. Voilà encore un plaisant fretin que des hommes ! (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  16. Les rues en seraient pavées, que je ne voudrais pas en ramasser un ; et puis, en cas de mari, comme vous savez, pour quinze écus on ne peut pas avoir grand'chose... (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
  17. Ma foi, Monsieur Nivelet, si nous n'y prenons garde, voilà deux femmes qui vont nous crever dans la main. (Acte 1, scène 3, LE BARON)
  18. Monsieur Nivelet, vous qui savez la procédure, à telle fin que de raison, il faut faire assigner les comédiens en garantie de couche. (Acte 1, scène 3, LA COUSINE)
  19. Moi, manger ! (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
  20. Claudine, courez vite chez le médecin, demander une potion pour rassurer une femme qui a pensé accoucher dans la presse. (Acte 1, scène 3, LE BARON)
  21. Claudine, tu lui demanderas aussi s'il n'a rien pour faire retrouver ce qu'une fille a perdu à la comédie. (Acte 1, scène 3, LA COUSINE)
  22. Françoise, Eustache, la maîtresse ! (Acte 1, scène 3, LE BARON)
  23. Portez vite madame dans sa chambre. (Acte 1, scène 3, LE BARON)
  24. Pour vous, mademoiselle, tenez-vous en repos dans ce fauteuil, en attendant qu'on serve. (Acte 1, scène 3, NIVELET)
  25. Et moi, je suis si soûl de la comédie, que je m'en vais me mettre au lit sans boire et sans manger, et, qui pis est, je m´en sortirai, ou le diable m'entraîne, que lorsque l'on aura renvoyé tous ces gueux de comédiens-là en Italie. (Acte 1, scène 3, LE BARON)
  26. De la chandelle, du feu, une bassinoire. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  27. Ma foi, mademoiselle, il ne me reste présentement pas grand'chose ; je n'ai qu'un parement de manche, le cuir de mes poches, et quelques lambeaux de chemise. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  28. J'ai levé le nez tantôt au coin d'une rue ; j'ai vu un papier rouge, j'ai demandé à mon laquais, qui lit ordinairement pour moi, ce que c'était : le brutal m'est venu dire que c'était encore cette comédie dont tant de femmes m'avaient rompu la tête. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  29. C'est une chose qui crie vengeance que le mauvais goût de Paris, et l'âpreté que l'on a en ce pays-ci pour les sottises. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
  30. Je suis sûre que si l'on jouait cette comédie-là en province, en trente ans il n'y aurait pas un chat. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
  31. L'impertinente scène que celle de ce Docteur qui recommande le silence, et qui parle toujours ! (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
  32. Ce qui me console de mon argent, c'est qu'il faut que Colombine crève sous ce rôle-là ; elle n'a pas encore huit jours dans le ventre. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
  33. Et que dites-vous, s'il vous plaît, de ce fat de Vicomte, avec ses boutons à jouer à la boule, et cette valise en forme de manchon ? (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  34. J'enrage quand je vois le parterre s'efflanquer de rire à des sottises qui n'ont pas le sens commun. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  35. Il y a comme cela cent endroits dans la pièce qui me font presque vomir. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
  36. On ne laisse pas de s'égosiller de rire ; comme, par exemple, le tuyau d'orgue, la fille de hasard, le cheval de louage, et cette autre innocente qui va dire à son père que si son apothicaire ne lui donne que quarante-cinq ans, c'est qu'il ne le voit que par derrière. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
  37. Ma foi, je ne fais pas mal la roue quand je me donne au public. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  38. Je ne vous ai point vu, car il y avait tant de monde... (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
  39. Avez-vous remarqué, quand les tableaux ont paru, comme je me suis tenu ferme au milieu du théâtre, en dépit des sifflets ? (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  40. Écoutez, c'est un dangereux ennemi ; je le craindrais plus avec ses sifflets, que bien des marquis avec leurs épées. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
  41. Un homme qui a séance sur le théâtre ne fait point de comparaison avec des gens qui entendent la comédie debout. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
  42. Quand je suis grosse, je ne lave jamais ; cela m'enrhume. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  43. Ma foi, madame, ne nous faites plus de ces frayeurs-là ; l'ai cru que vous nous serviriez votre enfant sur table. (Acte 1, scène 5, NIVELET)
  44. Pour moi, je ne saurais manger ; j'ai fait cinq ou six repas aujourd'hui, dont le moindre a duré quatre heures. (Acte 1, scène 5, LE-MARQUIS)
  45. Je fais gloire d'obéir à vos ordres ; mais il est bien difficile de parler et de souper tout ensemble, et j'ai grand'faim. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
  46. Quand j'étais bel esprit, cadédis, j'étais quelquefois quatre jours sans souper. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  47. Et moi, quand j'étais Gascon, lorsque l'on me donnait un repas, c'était pour toute ma semaine. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
  48. À cette heure, ces deux filles,... parce que leur père, Monsieur Brocantin, est un curieux... (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
  49. Vous voilà dans le fil de l'histoire. (Acte 1, scène 6, LA COUSINE)
  50. Or, il y a là-dedans un garçon qu'on appelle Pierrot ; et puis il survient un Vicomte avec un singe, qui est le plus beau rôle de la pièce. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
  51. C'est à dire que le singe épouse Monsieur Brocantin. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  52. Monsieur Brocantin, c'est le père des filles : mais il y a là un nommé Octave qui est un drôle ;... avec cela, deux filous... (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
  53. Je suis toujours dans les coulisses à badiner avec les actrices ; mais j'ai envoyé mes porteurs au parterre, qui m'ont dit que la pièce ne valait pas le diable. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
  54. Monsieur, dans une auberge, on n'engraisse pas à faire des récits. (Acte 1, scène 6, CLAUDINE)
  55. Je suis votre serviteur, Mademoiselle ; je ne me coucherai pas bredouille ; il me faut de la viande. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
  56. L'ami, les épaules vous démangent. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)

LA CRITIQUE DU LÉGATAIRE (1708)

  1. Messieurs, nous aurons l'honneur de vous donner demain la tragédie de... et, le jour suivant, vous aurez encore une représentation du Légataire. (Acte 1, scène 1, LE-COMÉDIEN)
  2. Holà, ho, monsieur l'annonceur ! (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
  3. Monsieur, nous ne nous lassons jamais des pièces, tant qu'elles nous donnent de l'argent. (Acte 1, scène 2, LE-COMÉDIEN)
  4. Je suis las de voir ce Poisson avec son bredouillement et son item. Ma foi, c'est un mauvais plaisant ; tu vaux mieux que lui. (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
  5. C'est le public qui détermine le sort des ouvrages d'esprit, et le nôtre ; et, lorsque nous le voyons venir en foule à quelque comédie nouvelle, nous jugeons que la pièce est bonne, et nous n'en voulons point d'autre garant. (Acte 1, scène 2, LE-COMÉDIEN)
  6. Palsambleu, voilà un beau garant que le public ! (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
  7. À moi, morbleu, à moi : il y a plus de sens, de raison et d'esprit dans cette tête-là qu'il n'y en a sur votre théâtre, dans vos loges, et dans votre parterre, quand ces trois ordres seraient réunis ensemble. (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
  8. Cette maxime est bonne pour les sots ; mais non pas pour moi. Je ne me laisse jamais entraîner au torrent : je fais tête au parterre ; et quand il approuve quelque endroit, c'est justement celui que je condamne. (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
  9. Je vous dirai, monsieur, que nous autres comédiens nous sommes d'un sentiment bien contraire : c'est de ce tribunal-là que nous attendons nos arrêts ; et, quand il a prononcé, nous n'appelons point de ses décisions. (Acte 1, scène 2, LE-COMÉDIEN)
  10. Quelque succès qu'ait notre pièce, nous n'espérons pas, monsieur, qu'elle passe aux siècles futurs : il nous suffit qu'elle plaise présentement à quantité de gens d'esprit, et que la peine de nos acteurs ne soit pas infructueuse. (Acte 1, scène 2, LE-COMÉDIEN)
  11. Si j'étais de vous autres comédiens, j'aimerais mieux tirer la langue d'un pied de long que de représenter de pareilles sottises : mourez de faim, morbleu, mourez de faim avec constance plutôt que de vous enrichir avec une aussi mauvaise pièce : et qu'est ce que c'est encore que cette Critique dont vous nous menacez ? (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
  12. Je vous dirai, monsieur, par avance, que ce n'est qu'une bagatelle ; deux ou trois scènes qu'on a ajoutées pour donner à la comédie une juste longueur, et pour vous amuser jusqu'à l'heure du souper. (Acte 1, scène 2, LE-COMÉDIEN)
  13. Monsieur, je vous laisse avec lui : tâchez à le faire convenir qu'il a tort ; mais ne lui exposez que de bonnes raisons : il ne se paie pas de mauvais discours, je vous en avertis, et il a souvent imposé silence à des gens qui avaient autant d'esprit que vous. (Acte 1, scène 2, LE-COMÉDIEN)
  14. Remuez-vous donc, Monsieur Boniface ; vous voilà comme une idole : faites donc avancer mon équipage. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  15. Sitôt que votre carrosse sera devant la porte, on viendra vous avertir ; mais vous en avez encore pour un quart_d_heure tout au moins. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  16. On m'attend au Marais pour faire une reprise de lansquenet ; je vais souper proche les Incurables ; nous devons courir le bal toute la nuit ; et, sur les huit heures du matin, il faut que je me trouve à un réveillon à la porte Saint-Bernard. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  17. Ma vivacité fournira à tout ; et si vous ne voulez pas me suivre, voilà Monsieur Boniface qui ne m'abandonnera point dans l'occasion : c'est un jeune poète que je produis dans le monde, un bel esprit qui fait des vers pour moi quand j'en ai besoin : je l'ai amené à la comédie pour m'en dire son sentiment. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  18. Il me sert de chaperon ; il a une mine sans conséquence : que voulez-vous qu'une femme fasse d'un visage comme le sien ? (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  19. Mais, avant tout, tirez-moi de la foule, monsieur le Marquis, tirez-moi de la foule. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  20. Mon carrosse, en arrivant, a été une heure dans la rue Dauphine sans pouvoir avancer ni reculer ; le voilà présentement dans le même embarras. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  21. Cela est étrange, que dans une ville policée comme Paris les rues ne soient pas libres, et que messieurs les comédiens empêchent la circulation des voitures. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  22. Cela crie vengeance. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  23. Parbleu, Monsieur Boniface, je suis bien aise de vous rencontrer dans les foyers. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  24. Vous venez de voir cette comédie qui a fait courir tant de monde ; je serai charmé que vous m'en disiez votre sentiment : j'ai autrefois entendu des petits vers de votre façon qui n'étaient pas impertinents. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  25. C'est une source d'imagination vive, hardie, échauffée ; rien ne l'arrête, rien ne l'embarrasse : je lui trouve un fonds de science qui m'étonne, une fécondité qui m'épouvante. Croiriez-vous, monsieur le Marquis, qu'il a fait vingt-cinq comédies, et, pour le moins, autant de tragédies ? (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  26. Madame_la_Comtesse est, à son ordinaire, vive et pétulante ; il faut qu'elle se divertisse toujours aux dépens de quelqu'un. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  27. Parlez, parlez, Monsieur Boniface ; mais soyez court : votre récit commence déjà à m'ennuyer : je n'aime point les grands parleurs ; c'est le défaut des gens de votre métier. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  28. Je rencontrai dernièrement un auteur dans la rue, qui fit à toute force arrêter mon carrosse ; il me fatigua de ses vers pendant une heure entière ; il en récita au laquais, au cocher, aux chevaux ; et, si un autre carrosse ne fût survenu, qui lui serra les côtes de fort près, et lui fit quitter prise, je crois qu'il parlerait encore, ou qu'il serait devenu lui-même la catastrophe de sa tragédie. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  29. Je ne suis encore qu'un jeune candidat dans la république des lettres, un nourrisson des Muses ; mais je soutiens que la pièce est vicieuse a capite ad calcem, c'est-à-dire de la tête aux pieds. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  30. Un jeune candidat ! (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  31. Un jeune candidat ! (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  32. Quand serez-vous sevré, Monsieur Boniface ? (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  33. Il faut avouer que cette langue grecque est admirable : il faut que vous me l'appreniez, Monsieur Boniface... (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  34. Mais cela serait tout à fait plaisant. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  35. Oui, madame, cela serait tout à fait plaisant et nouveau. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  36. Je ne m'arrête point à la diction, je laisse cette critique aux esprits subalternes ; c'est à l'analyse, à la conduite, à la texture d'une pièce que je m'attache ; et, par là, je vous prouverai que celle-ci est impertinente. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  37. N'est-il pas vrai qu'il s'agit dans cette pièce d'un testament qui fait le noeud et le dénouement de toute l'intrigue ? (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  38. Or est-il que le code Justinien, titre douze, paragrapho primo de testamentis, nous apprend que ceux qui sont sous la puissance d'autrui ne peuvent pas tester. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  39. Le valet est sous la puissance de son maître ; ergo je soutiens que le valet n'a pu faire de testament ; et, de là, je conclus que la pièce est détestable. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  40. Te voilà, Marquis, confondu, écrasé, anéanti. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  41. Qu'avons-nous affaire ici d'épopée, et de tous les grands mots grecs et latins dont Monsieur Boniface fait une parade fastueuse ? (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  42. Apprenez, monsieur le jurisprudent hors de saison, qu'il n'est point question, dans une comédie, du droit romain ni de Justinien : il s'agit de divertir les gens d'esprit avec art ; et je vous soutiens, moi, que la conduite de cette pièce est très sensée. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  43. C'est dont nous ne convenons pas parmi nous autres savants. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  44. Le premier acte expose le sujet ; le second fait le noeud ; dans le troisième commence l'action ; elle continue dans les suivants : tout concourt à l'événement ; l'embarras croît jusqu'à la dernière scène ; le dénouement est tiré des entrailles du sujet. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  45. Tous les acteurs sont contents, et les spectateurs seraient bien difficiles s'ils ne l'étaient pas, puisqu'il me paraît qu'ils ont été divertis dans les règles. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  46. Pour moi, je n'entends point vos règles de comédie : mais mon frère le Chevalier, qui a bon goût, et qui est presque aussi sage que moi, m'a dit qu'elle ne valait rien ; il ne l'a pourtant point encore vue. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  47. Il n'a cependant manqué aucune représentation. La première, il ne vit rien ; la seconde, il n'entendit pas un mot ; la troisième, il ne vit ni n'entendit ; et, toutes les autres fois, il était dans les foyers occupé devant le miroir à rajuster sa personne, ranimer sa perruque, se renouveler de bonne mine, pour être en état de donner la main quelque femme de qualité, et la conduire avec succès dans son carrosse. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  48. Pour moi, ne trouvant plus de place dans les premières loges, je l'ai vue la première fois dans l'amphithéâtre, où je me trouvai entourée de cinq ou six jeunes seigneurs qui ne cessèrent de folâtrer autour de moi : jamais jolie femme ne fut plus lutinée ; et, si la pièce n'avait promptement fini, je ne sais, en vérité, ce qu'il en serait arrivé. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  49. Vous avez bien raison, madame la Comtesse, de pester ; vous n'avez jamais tant couru de risque en vos jours qu'à cette comédie. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  50. Pour moi, j'étais dans le parterre à la première représentation ; il ne m'en a jamais tant coûté pour voir une mauvaise comédie : une moitié de mon justaucorps fut emportée par la foule, et j'eus bien de la peine à sauver l'autre au milieu des flots de laquais qui m'inondèrent de cire en sortant, et me brûlèrent tout un côté de ma perruque. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  51. Les auteurs qui ont des habits aussi mûrs que le vôtre, Monsieur Boniface, ne doivent point se trouver dans le parterre à une première représentation. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  52. Vous êtes là un tas de mauvais poètes cantonnés par peloton (je ne parle pas de ceux qui sont avoués d'Apollon, dont on doit respecter les avis) ; vous êtes là, dis-je, comme des âmes en peine, tout prêts à donner l'alarme dans votre quartier, et à sonner le tocsin sur un mot qui ne vous plaira pas. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
  53. Tu te rends, Marquis ; tu fléchis ; tu demandes quartier. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  54. Courage, Monsieur Boniface ; remettez-vous ; l'ennemi plie ; tenez bon, quand il devrait aujourd'hui vous en coûter votre manteau. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  55. C'est le plus bel esprit du siècle ; il a voix délibérative aux cafés ; et c'est lui qui fait un livre qui aura pour titre : le Diable partisan, ou l'Abrégé des soupirs auprès des cruelles. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  56. Comment appelez-vous donc ces pirouettes, ces caracoles, ces chaudes embrassades qui se font sur le théâtre pendant qu'on mouche les chandelles ? (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  57. Demandez plutôt au parterre, je suis sûr qu'il sera de mon avis. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
  58. Dans un moment, madame, je viens vous rendre réponse. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
  59. Allez toujours devant, j'y serai aussitôt que vous ; ayez soin seulement que nous buvions bien frais, et que le rôt soit cuit à propos. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
  60. Madame, vous voyez devant vous l'homme de France qui fait la meilleure chère, et qui a cinquante bonnes mille livres de rente. (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
  61. Je la trouve excellente : je ne me suis jamais tant diverti ; et monsieur Clistorel m'a guéri de toute la mauvaise humeur que j'y avais apportée. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
  62. Et pleures-tu, par avance, le malheur qui nous menace de ne point avoir de glace pendant l'été ? (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  63. Mon cuisinier avait, à dîner, manqué sa soupe ; ses entrées ne valaient pas le diable, et le coquin avait laissé brûler un faisan qu'on m'avait envoyé de mes terres. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
  64. Si je te faisais l'anatomie de cette pièce-là, tu tomberais dans un dégoût qui t'ôterait l'appétit pendant tout le carnaval. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  65. Ne me la faites donc pas ; il n'est point ici question d'anatomie. Est-ce que le testament ne vous a pas réjouie ? (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
  66. Il y a là deux item qui valent chacun une comédie. Et cette veuve, morbleu, cette veuve, n'est-elle pas à manger ? (Acte 1, scène 5, MONSIEUR BREDOUILLE)
  67. Ce Poisson est plaisant, il me divertit : j'aime à rire, moi ; cela me fait faire digestion. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR BREDOUILLE)
  68. Et c'est justement la scène de la veuve qui m'a donné un dégoût pour la pièce ; j'ai une antipathie extrême pour cet habit ; et si mon mari mourait aujourd'hui je me remarierais demain pour n'être pas obligée de me représenter sous un si lugubre équipage. Je crois que je ne ferais pas mal dès à présent de choisir quelqu'un pour lui succéder. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  69. Et que dites-vous, s'il vous plaît, de ce gentilhomme normand, monsieur Alexandre Choupille, de l'enfant posthume, du Clistorel, et de la servante qui ne veut pas être interloquée ? (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  70. Où est donc le grand mal ? (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
  71. N'ai-je pas été interloqué, moi qui vous parle, dans un procès que j'ai avec un de mes fermiers ? (Acte 1, scène 5, MONSIEUR BREDOUILLE)
  72. Pour moi, je n'y entends point tant de façon ; quand une chose me plaît, je ne vais point m'alambiquer l'esprit pour savoir pourquoi elle me plaît. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
  73. Madame_la_Comtesse, par exemple, je ne la détaille point par le menu ; il suffit qu'elle me plaise en gros : je n'examine point si elle a les yeux petits, le nez rentrant, la taille renforcée ; elle me plaît, je n'en veux point davantage. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
  74. Monsieur Bredouille, par exemple, je n'examine point s'il est gros ou menu, gras ou maigre ; il a de bon vin, on le va voir : en faut-il davantage ? (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  75. Je vais souper à la Place Royale, où nous devons attaquer un aloyau dans les formes ; et je serais au désespoir que la scène commençât sans moi. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
  76. C'est très bien fait, monsieur Bredouille ; ne manquez pas d'en couper une douzaine de tranches à mon intention, et de boire autant de rasades à ma santé. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
  77. Voilà un plaisant original ! (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
  78. Les comédiens sont bien plaisants, de jouer sur leur théâtre un corps aussi illustre que celui des apothicaires ; et ce petit myrmidon de Clistorel bien impertinent de s'attaquer à un homme comme moi ! (Acte 1, scène 7, CLISTOREL)
  79. C'est donc vous, mon petit ami, qui empruntez mon nom et ma personne pour les mettre dans vos comédies ? (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
  80. La plaisante figure pour un doyen ! (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
  81. Depuis deux cents ans nous tenons boutique d'apothicaire, de père en fils, dans le faubourg Saint-Germain. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
  82. Je puis me vanter qu'il n 'y a point d'homme en France qui ait plus raccommodé de visages que moi. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
  83. Je suis jeune encore, comme vous voyez ; mais quand j'ai bu du vin de Champagne, j'ai le lendemain le coloris obscur, les nuances brouillées, et des erreurs au teint, qui me vieillissent de dix années. (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
  84. Pourquoi donc, mon petit comédien, connaissant mon mérite, êtes-vous assez impudent pour me jouer en plein théâtre ? (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
  85. Savez-vous que personne n'approche de plus près que nous les princes et les grands seigneurs ? (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
  86. Je suis apothicaire, et médecin quand il le faut. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
  87. Je joue, moi, dans le comique et dans le sérieux. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
  88. J'ai fait, dans Paris, quatre cours de chimie. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
  89. Vous jouez dans le sérieux ! (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
  90. Voilà un plaisant visage pour avoir fait quatorze enfants à sa femme ! (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
  91. Tant mieux, pourvu qu'ils soient tous de votre façon. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
  92. Vous, monsieur Clistorel l'apothicaire, retournez dans votre boutique, et vous, monsieur Clistorel le comédien, je veux que vous me meniez au bal, et que nous dansions ensemble le rigaudon, la chasse, les cotillons, la jalousie, et toutes les autres danses nouvelles, où j'excelle assurément ; et je puis me vanter qu'il n'y a point de femme qui se trémousse dans un bal avec plus de noblesse, de cadence, de vivacité, de légèreté et de pétulance. (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
  93. Madame, votre carrosse est à la porte, et vous descendrez quand il vous plaira. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR BONIFACE)
  94. Il a bien fait de venir ; j'allais me jeter dans le premier venu. (Acte 1, scène 9, LA COMTESSE)
  95. Voilà ce qui s'appelle une comédie dans les règles ! (Acte 1, scène 10, LE MARQUIS)
  96. Je conseille à l'assemblée d'en faire autant. (Acte 1, scène 10, LE MARQUIS)

LE LÉGATAIRE UNIVERSEL (1704)

  1. Le bon homme, chargé de fluxions, d'années, v.5 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  2. Nous prévoyons dans peu qu'un petit ou grand deuil v.11 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  3. Aussi, sans me targuer d'une vaine science, v.21 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  4. J'entends ce métier-là mieux que fille de France. v.22 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  5. Je lui dis, à son nez, des mots assez piquants : v.27 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  6. Voilà tous les profits que j'ai depuis cinq ans. v.28 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  7. Il trouve tous les jours, dans son fécond cerveau, v.31 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  8. Il croit qu'étant petit, il lui faut moins d'argent ; v.35 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  9. Et qu'attendu sa taille, il ne paiera pas tant. v.36 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  10. Mais dans son testament ses grâces départies v.38 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  11. Dans peu de temps, j'espère v.41 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  12. Sans t'aller mettre encore au rang des aspirants ? v.48 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  13. Il a tant d'héritiers, le bon seigneur Géronte, v.49 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  14. Il en a tant et tant, que parfois j'en ai honte : v.50 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  15. Cent sept mâles vivants : juge encor des femelles. v.54 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  16. Ou pour neveu, suivant la mode de Bretagne. v.66 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  17. Mais, raillerie à part, nous avons grand besoin v.67 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  18. Madame Argante, avant de couronner ses feux, v.72 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  19. Ainsi tant de raisons sont autant de moyens v.80 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  20. Comment diable ! Crispin, tu plaides comme un ange ! v.85 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  21. Je le crois. Mon talent te paraît-il étrange ? v.86 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  22. J'ai brillé dans l'étude avec assez d'honneur, v.87 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  23. Et l'on m'a vu trois ans clerc chez un procureur. v.88 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  24. Sa femme était jolie ; et, dans quelques affaires, v.89 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  25. Sur sa femme il m'a fait des chicanes de diable. v.94 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  26. J'ai bataillé, ma foi, deux ans sans en sortir ; v.95 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
  27. Excite dans mon coeur de tristes sentiments. v.107 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
  28. Quand ma femme passa les rives du Cocyte v.109 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
  29. J'en avais dans le coeur un plaisir plein d'appas, v.111 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
  30. Comme tant de maris l'auraient en pareil cas ; v.112 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
  31. Cependant la nature, excitant la tristesse, v.113 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
  32. Qui par certains ressorts et mélanges confus, v.115 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
  33. Mais ce que je puis dire, en vous accusant vrai, v.119 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
  34. Je donne dans son sens en tout pour lui complaire ; v.122 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
  35. Quoi qu'il dise ou qu'il fasse, ayant le droit ou non, v.123 (Acte 1, scène 2, ?RASTE)
  36. Il faut que le vieillard soit mal dans ses affaires, v.125 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  37. Puisqu'il m'a commandé d'aller chez deux notaires. v.126 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  38. Hé ! Dis-moi, mon enfant, en pleine confidence, v.129 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
  39. Puis-je, sans me flatter, former quelque espérance ? v.130 (Acte 1, scène 2, ?RASTE)
  40. Avec madame Argante il tient certains discours v.132 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  41. Je n'ai de leur dessein rien appris davantage. v.134 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  42. Votre maîtresse est mise aussi dans l'entretien. v.135 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  43. Ce n'est point l'intérêt qui m'anime aujourd'hui ; v.139 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
  44. Un dieu beaucoup plus fort et plus puissant que lui, v.140 (Acte 1, scène 2, ?RASTE)
  45. L'Amour, parle en mon coeur : la charmante Isabelle v.141 (Acte 1, scène 2, ?RASTE)
  46. Par tant de campagnards, de pieds-plats, de nigauds, v.148 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  47. Va, tranquillise-toi ; v.151 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
  48. Sans trop vanter mes soins, j'en suis un peu la cause : v.154 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  49. Plus doux, plus complaisants, ni plus respectueux ; v.156 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  50. Je dois, dans peu de temps, contracter avec elle. v.161 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
  51. Monsieur Géronte vient, il faut changer de ton. v.164 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  52. Charmé de vous revoir en meilleure santé. v.172 (Acte 1, scène 3, ÉRASTE)
  53. Et je viens d'essuyer un dangereux assaut : v.178 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  54. Enfin ne vous laisser manquer de nulles choses. v.187 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
  55. Mais il faut tant d'argent pour se faire soigner, v.189 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  56. Que, puisqu'il faut mourir, autant vaut l'épargner. v.190 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  57. De son vivant, sans doute, épargnerait beaucoup. v.194 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  58. Oui, vous avez raison ; c'est une tyrannie : v.195 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
  59. La santé dans le monde étant le premier bien, v.197 (Acte 1, scène 4, ?RASTE)
  60. De vos maux négligés vous guérirez sans doute. v.199 (Acte 1, scène 4, ?RASTE)
  61. C'est tout argent perdu dans cette occasion ; v.201 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  62. Oui, monsieur, et dans peu vous les verrez ici. v.205 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  63. Et dans peu vous saurez mes sentiments aussi ; v.206 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  64. Dans le fond de leur coeur dévorent par avance v.211 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  65. Une succession qui fait leur espérance. v.212 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  66. Votre santé me touche, et me plaît davantage v.215 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
  67. Non, je ne comprends pas de plus charmant plaisir v.222 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  68. Quoiqu'un sable brûlant cause ma néphrétique, v.231 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  69. Fait souvent qu'en marchant je dissimule un peu ; v.234 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  70. Dans vos yeux un certain éclat brille. v.239 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  71. J'ai toujours reconnu du bon dans cette fille. v.240 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  72. Je veux pourtant songer à mettre ordre à mon bien, v.241 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  73. Avant qu'un prompt trépas m'en ôte le moyen. v.242 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  74. Tu connais et tu vois parfois madame Argante ? v.243 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  75. Oui : dans ses procédés elle est toute charmante. v.244 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
  76. Tu conviens que le ciel a versé dans son âme v.247 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  77. Je voudrais, comme vous, en pouvoir faire autant. v.258 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
  78. Que même ma santé veut que je me marie. v.264 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
  79. Je pourrai, dans mes maux, tirer de grands secours. v.266 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  80. De gens qui, furetant les clefs du coffre-fort, v.269 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  81. Me détendront mon lit peut-être avant ma mort ? v.270 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  82. Et de son chaste amour recueillant tout le fruit, v.273 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  83. Je me verrai mourir en repos et sans bruit. v.274 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
  84. Monsieur, madame Argante v.284 (Acte 1, scène 5, UN-LAQUAIS)
  85. Elles ont toutes deux bon nez ; dans un moment v.289 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  86. Ils me voudraient déjà voir dans la sépulture : v.295 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  87. D'un galant de trente ans. v.298 (Acte 1, scène 7, ÉRASTE)
  88. Ma fille, en ce moment vous voyez devant vous v.301 (Acte 1, scène 7, MADAME-ARGANTE)
  89. Monsieur, vous épousant, vous fait un avantage v.311 (Acte 1, scène 7, MADAME-ARGANTE)
  90. Une si belle cure et de si grands effets. v.322 (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  91. Avant qu'il soit neuf mois, sans trop me signaler, v.325 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  92. Dans le monde on saura, dans peu, de mes nouvelles. v.327 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
  93. Bien fait, et de bon air, qui n'ait pas vingt-cinq ans ; v.333 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  94. De femme, de contrats, d'enfants, de mariage. v.340 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  95. Vous avez très grand tort de parler de la sorte ; v.347 (Acte 1, scène 7, ÉRASTE)
  96. Ma fille sait toujours obéir quand j'ordonne. v.359 (Acte 1, scène 7, MADAME-ARGANTE)
  97. Malgré sa répugnance et l'orgueil de ses sens, v.361 (Acte 1, scène 7, ÉRASTE)
  98. Et mon oncle, après tout, n'a pas un si grand âge, v.363 (Acte 1, scène 7, ?RASTE)
  99. Et soixante et huit ans, est-ce un si grand déclin, v.365 (Acte 1, scène 7, ?RASTE)
  100. Je ne les aurai qu'à la Saint-Jean prochain. v.366 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  101. Ils m'ont même assuré que, dans fort peu de temps, v.373 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  102. Je pourrais de mon chef avoir quelques enfants. v.374 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
  103. Et je jurerais, moi, cependant du contraire. v.376 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
  104. Mon oncle, qu'avez-vous ? Vous changez de visage. v.379 (Acte 1, scène 7, ÉRASTE)
  105. Mon neveu, je n'y puis résister davantage. v.380 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
  106. Certain devoir pressant m'appelle en certain lieu. v.382 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
  107. Moi, je vais là-dedans vaquer à mon emploi ; v.393 (Acte 1, scène 9, LISETTE)
  108. Le bon homme m'attend, et ne fait rien sans moi. v.394 (Acte 1, scène 9, LISETTE)
  109. Que vous ne me flattiez d'un rayon d'espérance. v.399 (Acte 2, scène 1, ÉRASTE)
  110. Après m'avoir promis la charmante Isabelle ? v.403 (Acte 2, scène 1, ÉRASTE)
  111. Pourrai-je, sans mourir, me voir séparé d'elle ? v.404 (Acte 2, scène 1, ?RASTE)
  112. Quand je vous la promis, vous me fîtes serment v.405 (Acte 2, scène 1, MADAME-ARGANTE)
  113. En épousant ma fille, il offre de le faire : v.408 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANTE)
  114. Qu'une fille, malgré la répugnance extrême v.412 (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  115. Et que, heurtant de front, vous ne gagnez jamais. v.418 (Acte 2, scène 1, ÉRASTE)
  116. De tourner aujourd'hui son esprit de manière v.423 (Acte 2, scène 1, ÉRASTE)
  117. Je vais d'un mot d'écrit lui mander que son âge, v.427 (Acte 2, scène 1, MADAME-ARGANTE)
  118. Que sa frêle santé répugne au mariage ; v.428 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANTE)
  119. Mais Lisette s'avance, et j'entends quelque bruit. v.433 (Acte 2, scène 1, ÉRASTE)
  120. Mais, avant de partir, je vais là-bas écrire. v.436 (Acte 2, scène 3, MADAME-ARGANTE)
  121. Fasse, devant vos yeux, un si sot mariage ; v.440 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  122. Hélas ! Ma pauvre enfant, j'en suis au désespoir. v.442 (Acte 2, scène 3, ÉRASTE)
  123. La mère, en ma faveur, change de volonté, v.445 (Acte 2, scène 3, ?RASTE)
  124. Je veux dans le complot entrer conjointement. v.449 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  125. Sur lequel nous fondons toutes nos espérances, v.451 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  126. Et qui doit cimenter un jour nos alliances, v.452 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  127. C'est un petit mutin, qui doit venir tantôt, v.457 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  128. Je ne veux pas rester dans une nonchalance v.459 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  129. Qu'il faut laisser aux sots. Mais Géronte s'avance. v.460 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  130. Je n'ai senti jamais à la fois tant de maux. v.462 (Acte 2, scène 4, GÉRONTE)
  131. Je dirai cependant qu'en entrant en matière, v.467 (Acte 2, scène 4, LISETTE)
  132. Suffit qu'en épousant il ait fait un bon choix. v.470 (Acte 2, scène 4, ÉRASTE)
  133. Il est vrai. Cependant j'ai quelque répugnance v.471 (Acte 2, scène 4, GÉRONTE)
  134. De songer, à mon âge, à faire une alliance : v.472 (Acte 2, scène 4, G?RONTE)
  135. Ne va pas m'embarquer dans un si grand festin. v.482 (Acte 2, scène 4, GÉRONTE)
  136. Il faut que l'abondance, avec soin répandue, v.483 (Acte 2, scène 4, LISETTE)
  137. Et je veux avec vous danser les cotillons. v.486 (Acte 2, scène 4, LISETTE)
  138. Je valais, dans mon temps, mon prix tout comme un autre. v.487 (Acte 2, scène 4, GÉRONTE)
  139. Cela fait que bien peu vous valez dans le nôtre. v.488 (Acte 2, scène 4, LISETTE)
  140. Ma maîtresse, qui sort dans ce moment d'ici, v.489 (Acte 2, scène 5, LE-LAQUAIS)
  141. Pour ma santé, sans doute, elles sont inquiètes. v.491 (Acte 2, scène 5, GÉRONTE)
  142. Cela vaut-il le soin de vous tant préparer ? v.493 (Acte 2, scène 5, LISETTE)
  143. Depuis notre entrevue, monsieur, j'ai fait réflexion sur le mariage proposé, et je trouve qu'il ne convient ni à l'un ni à l'autre ; ainsi vous trouverez bon, s'il vous plaît, qu'en vous rendant votre parole, je retire la mienne, et que je sois votre très humble et très obéissante servante, (Acte 2, scène 5, LISETTE)
  144. Vous pouvez maintenant, sans que l'on vous punisse, v.495 (Acte 2, scène 5, ISABELLE)
  145. Mais, sans vous arrêter à cet écrit frivole, v.499 (Acte 2, scène 5, ÉRASTE)
  146. Je me précipitais dans ce péril extrême : v.504 (Acte 2, scène 5, GÉRONTE)
  147. Sans jurer, je le crois. v.506 (Acte 2, scène 5, LISETTE)
  148. Que diantre voulez-vous que l'amour aille faire v.507 (Acte 2, scène 5, LISETTE)
  149. Dans un corps moribond, à ses feux si contraire ? v.508 (Acte 2, scène 5, LISETTE)
  150. Je vais faire, à l'instant, réponse à ta maîtresse. v.512 (Acte 2, scène 5, GÉRONTE)
  151. Il faut chanter, monsieur, votre nom par la ville. v.515 (Acte 2, scène 6, LISETTE)
  152. C'était témérité, dans l'âge où vous voilà, v.517 (Acte 2, scène 6, ÉRASTE)
  153. Mais tu louais tantôt mon dessein et mes feux. v.521 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
  154. Tantôt vous faisiez bien, et maintenant bien mieux. v.522 (Acte 2, scène 6, ÉRASTE)
  155. Puisque je suis tranquille, et qu'un conseil plus sage v.523 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
  156. Je ne puis, sans soupir, vous ouïr prononcer v.529 (Acte 2, scène 6, ÉRASTE)
  157. Le mot de testament ; il semble m'annoncer, v.530 (Acte 2, scène 6, ?RASTE)
  158. Avant qu'il soit longtemps, le sort qui doit le suivre, v.531 (Acte 2, scène 6, ?RASTE)
  159. Je frémis, quand je pense à ce moment cruel. v.533 (Acte 2, scène 6, ?RASTE)
  160. Tant mieux ; c'est un effet de ton bon naturel. v.534 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
  161. J'ai deux parents encor pour qui le sang s'explique : v.536 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
  162. Gentilhomme normand, assez gueux, ce dit-on ; v.538 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
  163. Qui jadis dans le Maine épousa, quoique vieux, v.541 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
  164. Leur laisser à chacun vingt mille écus comptant, v.545 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
  165. Vingt mille écus ! Le legs serait exorbitant. v.546 (Acte 2, scène 6, LISETTE)
  166. Un neveu bas-normand, une nièce du Maine, v.547 (Acte 2, scène 6, LISETTE)
  167. Fi ! C'est trop des trois quarts pour ces deux cancres-là. v.550 (Acte 2, scène 6, LISETTE)
  168. Qu'ils voulaient à Paris venir dans peu de temps, v.553 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
  169. Je vais l'expédier, et reviens à l'instant. v.562 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
  170. Qui de madame Argante émouvra la bile ; v.568 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
  171. Ah ! Te voilà, Crispin ! Et d'où diantre viens-tu ? v.573 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  172. Dans un jardin, à table, en un petit réduit, v.578 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  173. Mais dans une heure au plus ils seront ici. v.581 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  174. Sais-tu pourquoi Géronte ici les mandait ? v.582 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  175. Et, frustrant des neveux l'espérance uniforme, v.587 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  176. Il pense maintenant à faire un testament v.590 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  177. Et qu'un épanchement de joie et de tendresse, v.595 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  178. En te congratulant... L'amour qui m'intéresse... v.596 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  179. La nouvelle est charmante, et vaut seule un trésor. v.597 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  180. Il faut, ma chère enfant, que je t'embrasse encor. v.598 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  181. Dans tes emportements sois sage et plus modeste. v.599 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  182. Hé, dis-moi, mon enfant, quelle est-elle ? v.604 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  183. De son argent comptant quarante mille écus v.605 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  184. Quarante mille écus d'argent sec et liquide ! v.607 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  185. C'est de l'argent comptant dont je fais plus de cas. v.609 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  186. Vous avez fait sans moi trop vite votre compte. v.612 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  187. L'un est un Bas-Normand v.613 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  188. L'autre est une baronne et veuve sans douaire, v.615 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  189. Qui dans le Maine fait sa demeure ordinaire, v.616 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  190. Qui, de vingt-cinq procès, en perd trente par an. v.618 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  191. Puisque pour les procès elle a si bonne chance, v.620 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  192. Bon. Mon maître sait-il ce dangereux projet, v.633 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  193. Il ne le sait que trop : dans son coeur il enrage, v.635 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  194. Eux et leurs descendants à perpétuité, v.641 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  195. Va, demeure tranquille ; v.643 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
  196. Va m'attendre là-bas : dans peu j'irai t'instruire v.655 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  197. Je voudrais que quelqu'un me contât la manière v.660 (Acte 2, scène 9, GÉRONTE)
  198. Et ce qu'elle aura fait en lisant votre écrit. v.666 (Acte 2, scène 9, ÉRASTE)
  199. Que je vais à l'instant te nommer légataire. v.672 (Acte 2, scène 9, GÉRONTE)
  200. Je suis, quand je vous vois, plus vif et plus joyeux. v.682 (Acte 2, scène 11, GÉRONTE)
  201. De faire extravagance égale à celle-là ? v.690 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  202. Comment donc ! Dans la vie, v.695 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  203. Et quand cela serait : pourquoi vous récrier, v.697 (Acte 2, scène 11, GÉRONTE)
  204. Je vous trouve plaisant ! Et vous avez raison v.701 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  205. J'ai fait quatorze enfants à ma première femme, v.703 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  206. Et, si dans mes travaux la mort ne me surprend, v.705 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  207. J'espère à la seconde en faire encore autant. v.706 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  208. J'ai lu dans Hippocrate, il n'importe en quel lieu, v.709 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  209. « Tout vieillard qui prend fille alerte et trop fringante, v.711 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  210. Vous pourriez, dans un jour, vous faire médecin. v.714 (Acte 2, scène 11, LISETTE)
  211. Ou du moins les trois quarts : ils m'ont fait cent chicanes v.716 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  212. Et que tous nos garçons ne fussent qu'assistants. v.721 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  213. Fi donc ! Ces médecins sont de plaisantes gens ! v.722 (Acte 2, scène 11, LISETTE)
  214. C'était, à soixante ans, nous mettre à l'ABC. v.725 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  215. Vous avez fort bien fait, dans cette procédure, v.727 (Acte 2, scène 11, GÉRONTE)
  216. D'y manger ma boutique, et jusqu'à mon mortier. v.730 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  217. Je suis, quand je m'y mets, plus têtu qu'une mule. v.732 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  218. Avec de bons sirops et drogues anodines ; v.740 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  219. Dans un péril extrême, v.747 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  220. Le plaisant mariage ! v.752 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
  221. Non, je ne vis jamais animal de la sorte : v.756 (Acte 2, scène 12, LISETTE)
  222. Que ce qu'on vous vendait quatre fois davantage. v.768 (Acte 2, scène 12, LISETTE)
  223. Je n'y manquerai pas. v.769 (Acte 2, scène 12, LISETTE)
  224. Souvenez-vous toujours, quand vous serez tranquille, v.772 (Acte 2, scène 12, LISETTE)
  225. Dans votre testament de me faire du bien. v.773 (Acte 2, scène 12, LISETTE)
  226. Qu'est-ce que ce délai me prédit et m'annonce ? v.776 (Acte 3, scène 1, GÉRONTE)
  227. Et pourquoi, s'il vous plaît, vous inquiéter tant ? v.777 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
  228. Je suis content de moi dans cette occasion, v.781 (Acte 3, scène 1, GÉRONTE)
  229. Tout est-il mort ici, laquais, valet, servante ? v.787 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  230. Eh ! Qui diantre chez nous heurte de la façon ? v.790 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  231. Tu ne te trompes pas, ma chère enfant ; c'est moi. v.794 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  232. Touchez là derechef. Le plaisir me transporte v.800 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  233. Vous paraissez surpris autant qu'on le peut être. v.803 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  234. Mais feu monsieur mon père, Alexandre Choupille, v.807 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  235. Gentilhomme normand, prit pour femme une fille v.808 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  236. Qu'il est vrai que ma mère, en faisant ses enfants, v.813 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  237. Et qu'elle ne manquait qu'à la chronologie. v.816 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  238. En me mettant au jour, soit disgrâce ou faveur, v.821 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  239. Je le crois : cependant, tant qu'elle fut vivante, v.827 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  240. On tient que sa vertu fut un peu chancelante. v.828 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  241. De plus, votre héritier, venant de Normandie v.832 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  242. Quand vous en allez-vous ? v.835 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
  243. Dans quatre ais de sapin reposer à votre aise. v.839 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  244. À te dire le vrai, j'en suis épouvanté. v.842 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
  245. Que je vais manier de l'or à pleine main ; v.845 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  246. Vous vous feriez fesser dans la place publique. v.848 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  247. Savez-vous, mon neveu, qui tenez ce langage, v.851 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
  248. Oui, vous ; et, dans l'instant, sortez. v.854 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
  249. Je vous trouve plaisant de parler de la sorte ! v.855 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  250. Bonne chère, grand feu : que la cave enfoncée v.863 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  251. Cent louis neufs comptant, en avance d'hoirie ; v.868 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  252. Je mettrai, de ma main, le feu dans la maison. v.870 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  253. Grands dieux ! Vit-on jamais insolence semblable ? v.871 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
  254. Mon neveu, c'est à tort qu'avec tant de hauteur v.874 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
  255. D'accord. Mais quand viendra ce jour ? v.878 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  256. N'allez pas me manquer de parole, ou dans peu v.882 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
  257. Pour élever son fils dans un air si sauvage : v.888 (Acte 3, scène 3, GÉRONTE)
  258. Cependant, à le voir, il a quelque air de vous : v.890 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  259. Dans ses yeux, dans ses traits, un je ne sais quoi brille ; v.891 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  260. Vingt mille écus comptant, à ce beau gentilhomme ? v.896 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  261. Quand ils n'assomment pas un oncle assez âgé, v.909 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  262. Tu m'as abandonné dans un grand embarras. v.913 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
  263. Je les trouve étonnants. v.917 (Acte 3, scène 4, ÉRASTE)
  264. Il peste, il jure, il veut mettre le feu céans. v.918 (Acte 3, scène 4, ?RASTE)
  265. J'ai bien changé d'avis : je te donne parole v.923 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
  266. Votre lettre a produit un effet qui m'enchante. v.927 (Acte 3, scène 4, ÉRASTE)
  267. D'un faux air de mépris voulant couvrir leur jeu, v.929 (Acte 3, scène 4, ?RASTE)
  268. Mais quand je leur ai dit que vous vouliez me faire v.931 (Acte 3, scène 4, ?RASTE)
  269. C'est que madame Argante, aimant votre famille, v.939 (Acte 3, scène 4, ÉRASTE)
  270. M'a proposé, tout franc, de me donner sa fille, v.940 (Acte 3, scène 4, ?RASTE)
  271. Sans avoir, sur ce point, su votre sentiment, v.945 (Acte 3, scène 4, ÉRASTE)
  272. Qu'errant près du tombeau, vous n'êtes plus qu'une ombre, v.956 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
  273. Qui porte le grand deuil, vient vous rendre visite, v.964 (Acte 3, scène 5, LE LAQUAIS)
  274. Entre tant de parents, ce serait bien le diable v.971 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  275. Elle sait vraiment vivre, et sa taille est charmante. v.984 (Acte 3, scène 7, ÉRASTE)
  276. Et ce que c'est d'avoir des enfants en bas âge : v.988 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  277. À vingt ans mon mari m'a laissé mère et veuve. v.992 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  278. Et faite comme on est, ayant quelques appas, v.994 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  279. Votre époux, vous laissant mère et veuve à vingt ans, v.1005 (Acte 3, scène 8, GÉRONTE)
  280. Ne vous a pas laissé, je crois, beaucoup d'enfants. v.1006 (Acte 3, scène 8, G?RONTE)
  281. Deux ans encore après j'accouchai d'un posthume. v.1008 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  282. Deux ans après ! Voyez quelle fidélité ! v.1009 (Acte 3, scène 8, LISETTE)
  283. On ne le croira pas dans la postérité. v.1010 (Acte 3, scène 8, LISETTE)
  284. Peut-on vous demander, sans vous faire de peine, v.1011 (Acte 3, scène 8, GÉRONTE)
  285. Quel sujet si pressant vous fait quitter le Maine ? v.1012 (Acte 3, scène 8, G?RONTE)
  286. Pour certain four banal sis en mon territoire. v.1015 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  287. Et, sans nuire à mon droit, j'anticipe l'appel. v.1018 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  288. Ayant appris, monsieur, par gens dignes de foi, v.1033 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  289. Qui hantiez certains lieux et le jour et la nuit, v.1037 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  290. Et que vous en aviez déjà plusieurs enfants. v.1045 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  291. Avec moi ! Juste ciel ! Voyez les médisants ! v.1046 (Acte 3, scène 8, LISETTE)
  292. Et pour vous empêcher, dans ce désordre extrême, v.1051 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  293. De manger notre bien et vous perdre vous-même, v.1052 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  294. De vous faire interdire, en observant les lois. v.1054 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  295. Sortez d'ici, vous dis-je, et sans vous arrêter... v.1061 (Acte 3, scène 8, GÉRONTE)
  296. Voilà, je vous avoue, une grande coquine. v.1064 (Acte 3, scène 8, GÉRONTE)
  297. Quoi ! Contre votre sang vous osez blasphémer ! v.1065 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  298. Oui ma mie, et sans bruit. v.1069 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
  299. Que l'on m'aille à l'instant chercher un commissaire. v.1072 (Acte 3, scène 8, ÉRASTE)
  300. Et dans peu nous saurons, avec un tel tumulte, v.1075 (Acte 3, scène 8, ÉRASTE)
  301. Vous, mon oncle, rentrez dans votre appartement ; v.1077 (Acte 3, scène 8, ?RASTE)
  302. Je vous rendrai raison de tout dans un moment. v.1078 (Acte 3, scène 8, ?RASTE)
  303. Oui, tous ces parents-là méritent le carcan. v.1082 (Acte 3, scène 8, LISETTE)
  304. Si vous m'aviez vu tantôt faire merveille, v.1095 (Acte 3, scène 9, CRISPIN)
  305. Mon air de Bas-Normand vous aurait enchanté. v.1098 (Acte 3, scène 9, CRISPIN)
  306. L'adresse et l'artifice ont passé dans mon coeur. v.1102 (Acte 3, scène 9, CRISPIN)
  307. Est-il dans l'univers un mortel plus heureux ? v.1106 (Acte 3, scène 9, ÉRASTE)
  308. Il ne vaut guère mieux, tant le pauvre homme est bas. v.1110 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
  309. Arrivant dans sa chambre et se traînant à peine, v.1111 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
  310. Il s'est mis sur son lit sans force et sans haleine ; v.1112 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
  311. Et, raidissant les bras, la suffocation v.1113 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
  312. Enfin il est tombé, malgré mon assistance, v.1115 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
  313. Sans voix, sans sentiment, sans pouls, sans connaissance. v.1116 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
  314. Je suis au désespoir. C'est ce dernier transport v.1117 (Acte 3, scène 10, ÉRASTE)
  315. Et le défunt, tout franc, a fort mal pris la chose. v.1120 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  316. Il tombe assez souvent dans une léthargie v.1124 (Acte 3, scène 10, ÉRASTE)
  317. Non oncle mourra donc sans faire un testament ; v.1130 (Acte 3, scène 10, ÉRASTE)
  318. De l'espoir d'obtenir la charmante Isabelle ! v.1132 (Acte 3, scène 10, ?RASTE)
  319. Allons, mes chers enfants, il faut agir de tête, v.1135 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  320. Il n'est pas temps ici de répandre des pleurs ; v.1137 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  321. Personne n'entrera sans ma permission. v.1146 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
  322. N'emporte pas trop loin votre bouillant courage ; v.1148 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  323. Surtout, dans l'action, gardons le jugement. v.1149 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  324. Plutôt que tant de bien passe en des mains profanes, v.1151 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
  325. Ah ! Mon pauvre Crispin, je perds toute espérance. v.1155 (Acte 4, scène 1, ÉRASTE)
  326. Mon oncle ne saurait reprendre connaissance : v.1156 (Acte 4, scène 1, ?RASTE)
  327. Quarante mille écus que je tiens dans mes mains, v.1166 (Acte 4, scène 1, ÉRASTE)
  328. Ce petit lénitif, en attendant le reste, v.1171 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
  329. Offraient bien à mon coeur de plus charmants appas. v.1178 (Acte 4, scène 1, ÉRASTE)
  330. Ce n'est qu'avec ce bien, qu'avec ces avantages, v.1183 (Acte 4, scène 1, ?RASTE)
  331. J'entre dans vos raisons ; elles sont très plausibles : v.1187 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
  332. Tu nous aurais tous mis dans un parfait repos, v.1193 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
  333. En stériles regrets passe et s'évanouisse ? v.1196 (Acte 4, scène 1, ÉRASTE)
  334. Tantôt tu méditais un héroïque ouvrage : v.1199 (Acte 4, scène 1, ?RASTE)
  335. C'est dans les grands dangers qu'on voit un grand courage. v.1200 (Acte 4, scène 1, ?RASTE)
  336. Oui, je croyais tantôt réparer cet échec ; v.1201 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
  337. Soustraire, escamoter sans bruit un testament v.1205 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
  338. Et cependant, monsieur, le diable n'est pas bête. v.1212 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
  339. Je les ai mis tous deux dans cette salle basse. v.1215 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
  340. Fais-en, ma pauvre enfant, tout ce que tu voudras. v.1218 (Acte 4, scène 2, ÉRASTE)
  341. Savent-ils que mon oncle a perdu connaissance, v.1219 (Acte 4, scène 2, ?RASTE)
  342. Peste soit l'animal, avec sa vision ! v.1234 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
  343. Laisse-moi donc rêver... Oui-da... Non... Si, pourtant... v.1237 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
  344. Ne rêve donc point tant ; v.1238 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
  345. Les Notaires là-bas sont dans l'impatience : v.1239 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
  346. Toi, qui parais dans tout si légère et si vive, v.1243 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
  347. L'amour doit ranimer ton adresse passée. v.1247 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
  348. Dans un fauteuil assis... v.1249 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
  349. Un grand bonnet fourré jusque sur les oreilles ; v.1251 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
  350. Oui, monsieur, dans ce jour, au gré de vos souhaits, v.1253 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
  351. Allons, Lisette, allons, ranimons notre zèle ; v.1255 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
  352. Cependant une terreur secrète v.1267 (Acte 4, scène 3, CRISPIN)
  353. L'ardeur dont j'ai besoin pour un si grand ouvrage. v.1280 (Acte 4, scène 3, CRISPIN)
  354. La robe ; dépêchons, passez-la dans mes bras. v.1285 (Acte 4, scène 4, CRISPIN)
  355. Les pantoufles. Fort bien. L'équipage est fantasque. v.1288 (Acte 4, scène 4, CRISPIN)
  356. Je veux te mettre encor ce vieux manteau fourré, v.1297 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  357. Tu peux, quand tu voudras, appeler les Notaires ; v.1299 (Acte 4, scène 4, CRISPIN)
  358. Me voilà maintenant en habits mortuaires. v.1300 (Acte 4, scène 4, CRISPIN)
  359. Je vais dans un moment les amener ici. v.1301 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
  360. Secondez-moi bien tous dans cette affaire-ci. v.1302 (Acte 4, scène 4, CRISPIN)
  361. Avancez cette table. Approchez ce fauteuil. v.1305 (Acte 4, scène 5, CRISPIN)
  362. Un dieu, dont le pouvoir sert d'excuse aux amants, v.1313 (Acte 4, scène 5, ÉRASTE)
  363. De vous voir tous les deux en parfaite santé. v.1318 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  364. Répand au fond du coeur un repos sympathique, v.1327 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-SCRUPULE)
  365. Qui, se communiquant après dans tous les sens, v.1329 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR SCRUPULE)
  366. Rétablit la santé dans quantité de gens. v.1330 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR SCRUPULE)
  367. Que ces actes secrets se passent sans témoins. v.1334 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-GASPARD)
  368. Et l'on le réduira dans le style ordinaire. v.1344 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-SCRUPULE)
  369. Par-devant... fut présent... Géronte... et caetera. v.1345 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR SCRUPULE)
  370. Dites-nous maintenant tout ce qu'il vous plaira. v.1346 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR SCRUPULE)
  371. Je dois quatre cents francs à mon marchand de vin, v.1349 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  372. De quelque procureur chicaneur et mauvais ; v.1354 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  373. Il ne manquerait pas de me faire querelle ; v.1355 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  374. Jamais, de mon vivant, je n'aimai la dépense ; v.1364 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  375. C'est à vous maintenant, s'il vous de nous dire v.1367 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-GASPARD)
  376. C'est à quoi nous allons nous employer dans peu. v.1369 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  377. Lui laissant tout mon bien, meubles, propres, acquêts, v.1373 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  378. Vaisselle, argent comptant, contrats, maisons, billets ; v.1374 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  379. Déshéritant, en tant que besoin pourrait être, v.1375 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  380. Qui depuis cinq ans me tient lieu de servante, v.1384 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  381. Le bon maître, grands dieux ! Que je vais perdre là ! v.1389 (Acte 4, scène 6, LISETTE)
  382. Deux mille écus comptant en espèce. v.1390 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  383. Méritant peu le bien que vous voulez lui faire. v.1407 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
  384. Quinze cents francs de rentes viagères, v.1411 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  385. Pour avoir souvenir de moi dans ses prières. v.1412 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  386. Comment ! Quinze cents francs ! v.1415 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
  387. Oui, sans laquelle clause v.1415 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  388. Soit, je ne dirai mot ; cependant, de ma vie, v.1423 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
  389. J'en aurais grande envie ; v.1431 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  390. Que de signer son nom il est dans l'impuissance, v.1435 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-GASPARD)
  391. De ce l'interpellant au gré de l'ordonnance. v.1436 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR GASPARD)
  392. Qu'un testament à faire est un pesant fardeau ! v.1437 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
  393. Qui reste dans nos mains ; je reviendrai tantôt, v.1442 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-SCRUPULE)
  394. C'est maintenant, monsieur, ce qui presse le moins. v.1446 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-GASPARD)
  395. Et, dans l'occasion, sais-je jouer mon rôle, v.1448 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
  396. Deux mille écus comptant ! v.1453 (Acte 4, scène 7, ÉRASTE)
  397. Votre oncle, si l'on croit le lardon scandaleux, v.1457 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
  398. Et j'ai dû lui laisser, un peu de subsistance, v.1459 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
  399. Et de ta conscience ! Et ces quinze cents francs v.1461 (Acte 4, scène 7, ÉRASTE)
  400. De pension, à toi payables tous les ans, v.1462 (Acte 4, scène 7, ?RASTE)
  401. Que tu t'es fait léguer avec tant de prudence, v.1463 (Acte 4, scène 7, ?RASTE)
  402. Sans former d'entreprise, v.1471 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
  403. Il s'élève, aussi bien, dans le fond de mon coeur v.1474 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
  404. Certain remords cuisant, certaine syndérèse, v.1475 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
  405. Ou que, dans ce moment, pour le moins il expire. v.1479 (Acte 4, scène 7, ÉRASTE)
  406. Ne peut avoir un prix ni trop grand, ni trop prompt. v.1482 (Acte 4, scène 7, ÉRASTE)
  407. Il faut donc, s'il vous plaît, m'avancer une année v.1483 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
  408. Vous ne sauriez me faire un plus charmant plaisir. v.1485 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
  409. Qu'as-tu donc, mon enfant, à crier de la sorte ? v.1488 (Acte 4, scène 8, ÉRASTE)
  410. Un grand fantôme noir... v.1493 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
  411. Après avoir conduit ces messieurs dans la rue, v.1495 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
  412. Où la mort du bon homme est déjà répandue, v.1496 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
  413. De la chambre, où gisait votre oncle sans escorte, v.1499 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
  414. Et, montant l'escalier, j'ai trouvé nez pour nez, v.1501 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
  415. Comme un grand revenant, Géronte sur ses pieds. v.1502 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
  416. T'abuse et te fais voir un fantôme en idée. v.1504 (Acte 4, scène 8, CRISPIN)
  417. Pourquoi ce grand cri ? v.1505 (Acte 4, scène 8, CRISPIN)
  418. Excuse, mon enfant, je te prenais pour lui. v.1506 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
  419. Enfin criant, courant, sans détourner la vue, v.1507 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
  420. Essoufflée et tremblante, ici je suis venue v.1508 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
  421. Avec quelle constance, au branle de sa roue, v.1511 (Acte 4, scène 8, ÉRASTE)
  422. Vous le voulez, grands dieux ! Ma constance est à bout. v.1517 (Acte 4, scène 8, CRISPIN)
  423. Je ne sais où j'en suis, et j'abandonne tout. v.1518 (Acte 4, scène 8, CRISPIN)
  424. Toi que j'ai vu tantôt si grand, si magnanime, v.1519 (Acte 4, scène 8, ÉRASTE)
  425. Un seul revers te rend faible et pusillanime ! v.1520 (Acte 4, scène 8, ?RASTE)
  426. Offrons-nous aux dangers ; viens signaler ta foi : v.1522 (Acte 4, scène 8, ?RASTE)
  427. Je vais, sans perdre temps, remettre ces billets v.1525 (Acte 4, scène 8, ÉRASTE)
  428. Dans les mains d'Isabelle : ils feront leurs effets ; v.1526 (Acte 4, scène 8, ?RASTE)
  429. Et nous en tirerons peut-être un avantage v.1527 (Acte 4, scène 8, ?RASTE)
  430. Maintenant que votre oncle a pu, malgré son âge, v.1543 (Acte 5, scène 1, MADAME-ARGANTE)
  431. Le parti le meilleur, sans user de délais, v.1545 (Acte 5, scène 1, MADAME ARGANTE)
  432. Les nobles sentiments qui règnent dans votre âme : v.1548 (Acte 5, scène 1, ÉRASTE)
  433. Je le prends à témoin, si, dans ce que j'ai fait, v.1553 (Acte 5, scène 1, ?RASTE)
  434. Hélas ! Pour mériter la charmante Isabelle, v.1555 (Acte 5, scène 1, ?RASTE)
  435. Mais on pardonnera ces transports amoureux : v.1557 (Acte 5, scène 1, ?RASTE)
  436. Et tous les vains brillants dont la fortune éclate v.1564 (Acte 5, scène 1, ISABELLE)
  437. Tous ces beaux sentiments sont fort bons dans un livre. v.1567 (Acte 5, scène 1, MADAME-ARGANTE)
  438. Quand on est marié, qu'autant qu'on a de bien. v.1570 (Acte 5, scène 1, MADAME ARGANTE)
  439. Mon oncle maintenant, par sa convalescence, v.1571 (Acte 5, scène 1, ÉRASTE)
  440. Fait revivre en mon coeur la joie et l'espérance ; v.1572 (Acte 5, scène 1, ?RASTE)
  441. Pour revoir ce dépôt rentrer en sa puissance, v.1579 (Acte 5, scène 1, ÉRASTE)
  442. Il accordera tout, sans trop de résistance. v.1580 (Acte 5, scène 1, ?RASTE)
  443. Être un peu, dans ce jour, avec nous de concert. v.1582 (Acte 5, scène 1, ?RASTE)
  444. Et quand il sera temps, tous unanimement v.1597 (Acte 5, scène 2, ÉRASTE)
  445. Nous voilà, grâce au ciel, dans un grand embarras. v.1601 (Acte 5, scène 3, CRISPIN)
  446. Et mon faible cerveau, de ce choc ébranlé, v.1605 (Acte 5, scène 4, GÉRONTE)
  447. Ai-je été bien longtemps dans cette léthargie ? v.1607 (Acte 5, scène 4, G?RONTE)
  448. Pas tant que nous croyions. Mais votre maladie v.1608 (Acte 5, scène 4, LISETTE)
  449. Nous a tous mis ici dans un dérangement, v.1609 (Acte 5, scène 4, LISETTE)
  450. Qu'il n'est pas bien aisé, dans le fond, de décrire : v.1611 (Acte 5, scène 4, LISETTE)
  451. Demandez à Crispin, il pourra vous le dire. v.1612 (Acte 5, scène 4, LISETTE)
  452. Quand il a vu vos yeux tourner droit à la mort, v.1622 (Acte 5, scène 4, CRISPIN)
  453. Que, n'écoutant plus rien que sa douleur amère, v.1623 (Acte 5, scène 4, CRISPIN)
  454. Où donc ? Dans la rivière ? v.1624 (Acte 5, scène 4, GÉRONTE)
  455. Lui montrer des effets de sa reconnaissance. v.1631 (Acte 5, scène 4, GÉRONTE)
  456. Nous vous avons cru mort pendant une heure entière. v.1635 (Acte 5, scène 5, LISETTE)
  457. Et, sans perdre de temps, faire mon testament. v.1637 (Acte 5, scène 5, GÉRONTE)
  458. Que dans le même instant je veux les faire écrire. v.1640 (Acte 5, scène 5, GÉRONTE)
  459. Ils reviendront dans peu. v.1641 (Acte 5, scène 5, LISETTE)
  460. Pour pouvoir maintenant exécuter l'envie v.1648 (Acte 5, scène 6, GÉRONTE)
  461. Vous jouissiez déjà d'une santé meilleure. v.1660 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  462. Je savais bien qu'ayant fait votre testament, v.1661 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  463. Dans un parfait repos. v.1664 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  464. Oui, sans doute, monsieur. v.1669 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  465. C'est m'arracher le coeur trop tyranniquement. v.1682 (Acte 5, scène 7, ÉRASTE)
  466. Je sens, dans mon gosier, que ma voix s'embarrasse. v.1684 (Acte 5, scène 7, LISETTE)
  467. Qu'on vous l'ait vu tantôt absolument écrire ; v.1688 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  468. Assis dans un fauteuil auprès de deux notaires, v.1691 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  469. Vous m'avez dit tantôt d'aller chez le notaire ? v.1700 (Acte 5, scène 7, LISETTE)
  470. Qu'il est arrivé dans votre cabinet ; v.1701 (Acte 5, scène 7, LISETTE)
  471. Et que vous lui dictiez à votre fantaisie ? v.1703 (Acte 5, scène 7, LISETTE)
  472. Qu'il est venu tantôt certain neveu normand, v.1706 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  473. Et certaine baronne, avec un grand tumulte v.1707 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  474. Ou quelque bonne rente au moins pendant ma vie ? v.1711 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  475. Pourquoi tant répéter cet interrogatoire ? v.1715 (Acte 5, scène 7, ÉRASTE)
  476. Du notaire mandé, du testament écrit. v.1717 (Acte 5, scène 7, ?RASTE)
  477. Fut présent devant nous, dont les noms sont au bas, v.1721 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  478. Étant en son bon sens, comme on a pu connaître v.1723 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  479. Quoique de corps malade, ayant sain jugement ; v.1725 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  480. Que tout est ici-bas fragile et transitoire... v.1727 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  481. Ne se fendrait en quatre, en entendant ces mots ? v.1729 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  482. Hélas ! Je ne saurais arrêter mes sanglots. v.1730 (Acte 5, scène 7, LISETTE)
  483. En les voyant pleurer, mon âme est attendrie. v.1731 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  484. Considérant que rien ne reste en même état, v.1733 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  485. Ne voulant pas aussi décéder intestat... v.1734 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  486. Considérant que rien ne reste en même état, v.1737 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  487. Ne voulant pas aussi décéder intestat... v.1738 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  488. Je dois quatre cents francs à mon marchand de vin, v.1749 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  489. Je dois quatre cents francs ! C'est une fourberie. v.1751 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  490. Mais il me les a, lui, mille fois demandés. v.1754 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  491. Quand ils y seraient tous, on ne les plaindrait guère. v.1756 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  492. Déshéritant, en tant que besoin pourrait être, v.1759 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  493. Item. Je donne et lègue, en espèce sonnante, v.1767 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  494. Ah ! Grands dieux ! v.1768 (Acte 5, scène 7, LISETTE)
  495. Qui me sert de servante, v.1768 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  496. Non... jamais... car enfin... ma bouche... quand j'y pense... v.1771 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  497. Je me sens suffoquer par la reconnaissance, v.1772 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  498. Deux mille écus comptant ! v.1775 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  499. Comment ! Six mille francs ! Quinze ou vingt écus, passe. v.1780 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  500. Pour tous les obligeants, bons et loyaux services v.1787 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  501. Qu'il rend à mon neveu dans divers exercices, v.1788 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  502. Quinze cents francs de rentes viagères, v.1791 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
  503. Pour avoir souvenir de moi dans ses prières. v.1792 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
  504. Quoi ! Moi, j'aurais légué, sans aucune raison, v.1801 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  505. Quinze cents francs de rente à ce maître fripon, v.1802 (Acte 5, scène 7, G?RONTE)
  506. Voulez-vous, démentant un généreux effort, v.1805 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
  507. Ne m'a-t-on point vole mes billets dans mes poches ? v.1807 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  508. Tantôt, pour Isabelle, v.1811 (Acte 5, scène 7, ÉRASTE)
  509. Je suis las, à la fin, de tant de léthargies. v.1816 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
  510. Cours chez elle ; dis-lui que, quand j'ai fait ce don, v.1817 (Acte 5, scène 7, G?RONTE)
  511. Et plus le legs est gros, plus le mérite est grand. v.1826 (Acte 5, scène 8, LISETTE)
  512. Et je vous la demande en qualité de femme. v.1835 (Acte 5, scène 8, ÉRASTE)
  513. Que, lorsqu'en écoutant un sentiment plus sain, v.1837 (Acte 5, scène 8, ÉRASTE)
  514. Votre coeur moins épris a changé de dessein. v.1838 (Acte 5, scène 8, ?RASTE)
  515. Nous verrons : mais, avant de conclure l'affaire, v.1840 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
  516. Convenons de nos faits avant que de rien rendre. v.1843 (Acte 5, scène 8, LISETTE)
  517. Hé bien ! S'il est ainsi, par-devant le notaire, v.1851 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
  518. Mais, surtout, au plus tôt procréez des enfants v.1858 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
  519. De tous collatéraux l'engeance est trop maligne. v.1860 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
  520. Détestez à jamais tous neveux bas-normands, v.1861 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
  521. Et nièces que le diable amène ici du Mans ; v.1862 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
  522. Fléaux plus dangereux, animaux plus funestes v.1863 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
  523. Laissons-le dans l'erreur, nous sommes héritiers. v.1865 (Acte 5, scène 9, CRISPIN)
  524. Mais n'y mets rien de plus pendant le mariage. v.1867 (Acte 5, scène 9, CRISPIN)
  525. J'ai du bien maintenant assez pour être sage. v.1868 (Acte 5, scène 9, LISETTE)
  526. En faveur des vivants je fais revivre un mort ; v.1870 (Acte 5, scène 9, CRISPIN)
  527. J'acquiers quinze cents francs de rente viagère, v.1872 (Acte 5, scène 9, CRISPIN)

LE DIVORCE (1688)

  1. Cela est de la dernière impertinence, de se trouver mal quand il faut gagner de l'argent. (Prologue, scène 1, ARLEQUIN)
  2. Messieurs, ce que je vais vous dire vous déplaira peut-être ; mais, en vérité, j'en suis plus fâché que vous, et personne n'y perd tant que moi. (Prologue, scène 1, ARLEQUIN)
  3. Nous ne pouvons pas jouer la comédie aujourd'hui ; voilà notre portier qui vient de se trouver mal, et Pantalon, qui devait faire un rôle de Patrocle, est indisposé. (Prologue, scène 1, ARLEQUIN)
  4. Dans votre sort Jupiter s'intéresse, v.2 (Prologue, scène 2, MERCURE)
  5. Qu'un changement favorable v.5 (Prologue, scène 3, MERCURE)
  6. Nous arrête dans ces lieux, v.6 (Prologue, scène 3, MERCURE)
  7. Ne te mets pas en peine ; j'ai fait provision de quantité de foudres de poche ; et le premier siffleur qui branlera, par la mort ! (Prologue, scène 3, JUPITER)
  8. Je me suis amusé, en venant, à jouer à la boule aux petits-carreaux, contre quatre procureurs qui ne m'ont laissé que trente sous. (Prologue, scène 3, JUPITER)
  9. Monsieur Jupiter, si vous vouliez me laisser votre monture, je la ferais mettre à la daube : aussi bien les dieux de l'opéra, qui sont bien montés quand ils viennent, s'en retournent toujours à pied. (Prologue, scène 3, ARLEQUIN)
  10. Je le sais bien ; j'étais la chambre de madme votre soeur quand son mari, monsieur Sotinet, mon maître et votre beau-frère, la surprit comme elle vous écrivait la dernière lettre que vous avec reçue d'elle, où elle vous mande de venir au plus tôt à Paris, afiun de prendre des mesures avec vous pour se mettre à couvert du chagrin que son vieux mari lui fait tous les jours. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  11. Mais quand on ne peut pas changer sa condition, et qu'elle est mauvaise, il faut tâcher de l'adoucir autant qu'il est possible. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  12. J'ai une dent contre lui, pour certains coups de bâton qu'il me donna une fois, à cause qu'il me surprit à la cave avec la servante du logis. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
  13. E che cosa facevi in cantina con la serva ? (Acte 1, scène 1, AURELIO)
  14. Tu pensa in tanto a quelle vieni di promettermi. (Acte 1, scène 1, AURELIO)
  15. Oui, Messieurs, étranger, étranger, arrivé tout-à-l'heure dans cette ville ! (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  16. Mais ce manteau-là m'appartient. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  17. Tu arrives fort à propos pour rendre service à Monsieur Aurélio, dans une affaire de conséquence. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  18. Qui ? Monsieur Aurélio, mon ancien maître ? (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  19. Celui qui a tant de noblesse, et qui n'a jamais le sou ? (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  20. Tant pis ; car je ne suis pas aussi sot que je l'ai été, moi ; et je ne m'emploierai jamais pour qui que ce soit, qu'auparavant je ne sois assuré de la récompense. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  21. Tu sais bien que j'ai toujours aimé les grandes choses : dès le temps même que nous avions l'honneur de servir ensemble le roi sur ses galères... (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  22. Je n'eus pas plus tôt quitté la rame, que je me jetai malheureusement dans les médailles. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  23. Comment, dans les médailles ? (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  24. Dans les antiques ? (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  25. Non, dans les médailles ; c'est-à-dire que quand je n'avais rien à faire, pour me désennuyer, je m'amusais à mettre le portrait du roi sur des pièces de cuivre, que je couvrais d'argent, et que je donnais à mes amis pour du pain, du vin, de la viande, et autres choses nécessaires : mais comme il y a toujours des envieux dans le monde (voyez, je vous prie, comme on empoisonne les plus belles actions de la vie !), on fut dire à la justice que je me mêlais de faire de la fausse-monnaie. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  26. Ces messieurs montèrent donc dans ma chambre, et, le plus honnêtement du monde, me prièrent, de la part de la justice, de lui aller parler tout-à-l'heure ; qu'il y avait un carrosse à la porte, qui m'attendait. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  27. L'un m'avait pris par un bras, aussi m'avait fait l'autre, en me disant le plus obligeamment du monde : "Oh ! Puisque nous avons été assez heureux que de vous trouver, vous ne nous échapperez pas, et nous aurons le plaisir de vous emmener avec nous" ; et à force de civilités, ils m'entraînèrent dans leur carrosse, et me conduisirent à la justice. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  28. Vous êtes un honnête homme, ajouta-t-il ; tout-à-l'heure nous allons parler à vous ; asseyez-vous toujours en attendant. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  29. Dans un fauteuil ? (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  30. Ces messieurs donc, après s'être parlé à l'oreille, me demandèrent encore si véritablement c'était moi qui avais cet heureux talent ? (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  31. Je leur répliquai qu'oui, que je leur demandais excuse si je ne faisais pas aussi bien que je l'aurais souhaité ; mais que j'avais grande envie de travailler, et qu'avec le temps, j'espérais devenir plus habile. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  32. Je remarquai que mon discours les avait réjouis ; mais cela n'empêcha pas qu'ils ne me condamnassent sur l'heure à être pendu et étranglé à la Croix Du Trahoir. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  33. Quand j'entendis qu'on m'allait pendre, je commençai à crier : mais, messieurs, vous n'y pensez pas. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  34. Je ne suis qu'un jeune homme qui ne fais que d'entrer dans le monde ; et d'ailleurs, je n'ai pas l'âge compétent pour être pendu. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  35. Aussi y eurent-ils beaucoup d'égard ; et, pour faire les choses dans l'ordre, ils me firent expédier une dispense d'âge. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  36. Me voilà donc dans la charrette. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  37. Comme j'étais fort fatigué du voyage, j'avais soif, je demandai à boire : on me proposa si je voulais de la bière. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  38. On se range en haie ; je m'approche de la fontaine ; je donne un coup d'oeil autour de moi, et zest, je m'élance la tête en avant dans le robinet de la fontaine. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  39. Les archers, surpris, courent à moi, et me tirent par les pieds ; et moi je m'enfonce toujours avec les mains, de manière que j'entrai tout entier dans le tuyau de la fontaine, et il ne resta aux archers que mes souliers pour les pendre. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  40. Du robinet de la fontaine, je descendis dans la Seine ; de là, je fus à la nage jusqu'au Havre-de-Grace ; au Havre-de-Grace, je m'embarquai pour les Indes, d'où me voilà présentement de retour ; et voici mon histoire achevée. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  41. Il ne me reste qu'une difficulté, qui est de savoir comment, gros comme tu es, tu as pu te fourrer dans le robinet de la fontaine. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  42. Va, va, mon ami, quand on est près d'être pendu, on est diablement mince. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  43. Va m'attendre au Petit Trianon ; dans un moment je suis à toi, et je te ménerai chez Monsieur Aurélio. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
  44. Mon maître m'a ordonné tantôt de lui amener un barbier : il ne faut pas manquer cette occasion pour lui voler sa bourse ; elle servira à mettre nos affaires en train. (Acte 1, scène 3, MEZZETIN)
  45. Oui, monsieur ; vous me dites d'empêcher que madame n'entre dans la maison, et de lui fermer la porte au nez. (Acte 1, scène 4, PIERROT)
  46. Animal, c'est tout le contraire : je te dis de ne laisser entrer personne pour voir ma femme, et de fermer la porte au nez de tous ceux qui se présenteront. (Acte 1, scène 4, SOTINET)
  47. Cela est plaisant ! (Acte 1, scène 4, PIERROT)
  48. Impertinent, tes épaules te démangent bien. (Acte 1, scène 4, SOTINET)
  49. Il y a là-dedans un barbier. (Acte 1, scène 4, PIERROT)
  50. Ne vous mettez pas en peine, monsieur ; dans deux petites heures votre affaire sera faite. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  51. Comment, dans deux heures ! Je crois que vous vous moquez. (Acte 1, scène 5, SOTINET)
  52. Que cela ne vous étonne pas : j'ai bien été trois mois entiers après une barbe, et tandis que je rasais d'un côté, le poil revenait de l'autre : mais présentement je suis plus habile ; vous allez voir. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  53. Ma foi, je vous demande pardon : l'empressement de vous raser m'a fait prendre mon manteau pour votre linge à barbe. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  54. La bourse est de ce côté-ci ; ne la manque pas. (Acte 1, scène 5, MEZZETIN)
  55. Voilà un plaisant homme ! (Acte 1, scène 5, SOTINET)
  56. On m'étrangle ! (Acte 1, scène 5, SOTINET)
  57. La peste m'étouffe, si vous branlez, je vous coupe la gorge. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  58. J'étais auparavant tailleur de pierres ; et comme on disait que j'avais beaucoup de légèreté dans la main, je crus que je serais plus propre à ce métier-ci. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  59. Tant, que je n'y saurais suffire. C'est moi qui fais la barbe et les cheveux à tous les limousins qui viennent ici travailler, et j'ai une pension de la ville pour faire tous les quinze jours le crin au cheval de bronze. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  60. Une colique épouvantable qui me prend... (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  61. Point du tout, Monsieur ; cela n'en valait pas la peine : j'ai changé d'avis, et j'ai mieux aimé insulter la doublure de ma culotte que de vous faire attendre plus longtemps. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  62. Colombine, quel bruit épouvantable ! (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
  63. Mais il faut qu'on ait perdu l'esprit, de faire un tintamarre semblable dans mon antichambre ! (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
  64. Je crois, Colombine, que je suis faite d'une jolie manière. (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
  65. Je ne veux qu'une petite couche de rouge pour réparer de trente méchantes nuits la plus obstinée. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
  66. J'ai une conscience si délicate, que je me reprocherais les conquêtes qui ne se seraient pas faites de bonne guerre, et je crois que je mourrais de honte d'avoir dix années de plus que mon visage. (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
  67. Bon, bon, mademoiselle, vous avez là un plaisant scrupule ; la beauté que l'on achète n'est-elle pas à soi ? (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
  68. Qu'importe que vos joues portent les couleurs d'un marchand ou les vôtres, pourvu que cela vous fasse honneur ? (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
  69. Pour moi, je trouve quelques femmes d'aujourd'hui d'un parfaitement bon goût ; de toute l'année elles en ont fait un carnaval perpétuel ; elles peuvent aller au bal à coup sûr, sans crainte d'être connues. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
  70. Les femmes ne sont-elles pas assez déguisées sans se masquer encore ? (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
  71. Il n'y a plus que le rouge qui se met à la toilette qui marque la pudeur des femmes d'aujourd'hui ; elles ne rougiraient jamais sans cela. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
  72. Et que serait-ce donc, madame, s'il vous fallait peler avec de certaines eaux, comme la dernière maîtresse que je servais, qui changeait tous les six mois de peau. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
  73. Si je l'ai vu ? C'étoit moi qui faisois l'opération ; elle me faisait prendre la peau de son front, que je tirais de toute ma force ; elle criait comme un beau diable, et moi je riais comme une folle ; il me semblait habiller un levraut : mais ce qui est de meilleur, c'est qu'elle portait toujours sur elle, dans une boîte, la peau de son dernier visage calcinée, et disait qu'il n'y avait rien de si bon pour les élevures et les bourgeons. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
  74. Mademoiselle, voilà un homme qui demande à vous parler. (Acte 1, scène 6, UN-LAQUAIS)
  75. Je crois, mademoiselle, que vous n'avez pas l'honneur de me connaître ; mais quand vous saurez que je m'appelle Monsieur De La Gavotte, sieur de Trotenville, vous devinerez aisément que je suis maître à danser. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  76. Votre nom, monsieur, est assez connu dans Paris ; et j'espère devenir une bonne écolière, ayant pour maître le plus habile homme du métier. (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  77. Vous mettez ma modestie hors de cadence ; et quand on n'a, comme moi, qu'un mérite léger et cabriolant, pour peu qu'on l'élève par des louanges un peu fortes, il court risque, en tombant, de se casser le cou. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  78. Il est vrai que voilà une pensée qui est tout-à-fait bien mise en oeuvre ; c'est un brillant. (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  79. Je sors présentement de chez la femme d'un élu, où je me suis fait admirer par mon esprit ; j'ai deviné une énigme du Mercure galant. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  80. J'avais autrefois un carrosse à un cheval ; mais mes amis m'ont conseillé de changer de voiture, afin de ne pas causer une erreur dans le public, qui prend souvent, dans cet équipage-là, un maître à danser pour un lévrier d'Hippocrate. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  81. Vous devriez bien avoir un carrosse à deux chevaux : depuis que l'on ne joue plus, il y a tant de chevaliers qui en ont à vendre. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  82. Nous appelons ces petits animaux-là, parmi nous, un tendre engagement. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  83. Vous dis-je : j'en ai été autrefois ; mais il m'a fallu plus de vingt lavements et autant de médecines pour me purifier du mauvais air que j'y avais respiré. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  84. Quand on me donnerait un tiers dans l'opéra, je n'y rentrerois pas. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  85. Nous sommes glorieux comme tous les diables dans notre profession. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  86. Voulez-vous que je vous parle franchement ? (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  87. Je le crois bien : ces personnes-là ont grande raison ; et si j'étais d'elles, je leur ferais rendre jusqu'à la moindre petite faveur qu'elles auraient reçue. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  88. Là, là, donnez-vous patience ; on leur fera peut-être tout rendre : mais cependant elles usent en toute rigueur de leurs privilèges ; et un amant qui n'exprime son amour qu'avec des fontanges et des bas de soie, se morfond dix ans derrière leur porte. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  89. Je vous trouve un fonds de bon air que vous répandez sur tout. (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  90. Que peut-on avoir pour cinquante ou soixante pistoles ? (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  91. Je voudrais que vous vissiez ma garde-robe ; elle est des plus magnifiques, et si, sans vanité, elle ne me coûte guère. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  92. Ho bien, monsieur, nous la verrons une autre fois ; mais présentement je vous prie de danser un menuet avec moi. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  93. Tel que vous le voyez, il n'y a point d'homme au monde qui gourmande une chanterelle comme lui ; il ferait danser, s'il l'avait entrepris, tous les invalides et leur hôtel. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  94. Que dites-vous de ma danse ? (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  95. Ne voulez-vous point que j'aie l'honneur de danser avec vous ? (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  96. Mais avant que de me quitter, je vous prie de me dire combien vous prenez par mois. (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  97. C'est bon pour les maîtres à danser fantassins. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  98. Vous avez été plus de vingt ans à faire toutes ces leçons-là. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  99. C'est le travail d'une semaine ; et si, ce que je vous montre-là, c'est de l'argent comptant. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  100. Je n'ai qu'à aller chez le premier banquier, je suis sûr de toucher un demi-louis d'or de chaque billet. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  101. Il est vrai ; mais dans ce temps-là les maîtres à danser n'étaient pas obligés d'être dorés dessus et dessous, comme à présent ; et une paire de galoches était la voiture qui les menait par toute la ville. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  102. Mademoiselle, voilà votre maître à chanter, Monsieur Amilaré-Bécarre. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  103. Je veux que vous entendiez chanter cet homme-là ; c'est un italien. (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
  104. Très volontiers, madame ; cela me fera bien du plaisir : car tel que vous me voyez, je suis à deux mains, et je chante aussi bien que je danse. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
  105. Les musiciens italiens sont de plaisants originaux. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  106. Ne dirait-on pas que ce serait là un siamois échappé d'un écran ? (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  107. L'on n'est pas malheureux, quand on peut unir deux illustres. (Acte 1, scène 8, ISABELLE)
  108. Je vous prie, monsieur, de vouloir bien chanter un air. (Acte 1, scène 8, ISABELLE)
  109. C'est là un maître à chanter ? (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  110. Monsieur, que dites-vous de ce chant-là ? (Acte 1, scène 8, ISABELLE)
  111. Il faut se jeter par les fenêtres, quand on a entendu chanter ainsi. (Acte 1, scène 8, COLOMBINE)
  112. Monsieur apparemment n'aime pas l'italien ; mais j'ai fait depuis peu un petit duo en français, que je veux chanter avec lui, et je suis sûr qu'il ne lui déplaira pas. (Acte 1, scène 8, AMILARE)
  113. Et moi, monsieur, je n'y chante jamais. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  114. Je vous trouve plaisant. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  115. Voilà un air bien puant. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  116. Chantez donc juste, si vous voulez. (Acte 1, scène 8, AMILARE)
  117. Chantez juste vous-même ; je sais bien ce que je dis. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  118. Est-ce que je ne vois pas bien qu'il faut marquer là une dissonance, et que l'octave s'entrechoquant avec l'unisson, vient à former un dièse bémol. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  119. Mais, voyez cet ignorant ! (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  120. Monsieur, avec votre permission, si les musiciens n'en savent pas plus que vous, ce sont de grands ânes. (Acte 1, scène 8, AMILARE)
  121. Je vous apprendrai à insulter ainsi la croche française. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  122. Par le sang ! ... (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
  123. De la manière qu'il s'y prenait, je croyais qu'il allait tout tuer. (Acte 1, scène 9, COLOMBINE)
  124. J'ai fait le barbier ; j'ai volé la bourse ; il y avait cent louis d'or dedans ; vous m'en avez promis dix : je prétends les avoir, ou je ne me mêle plus de rien. (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
  125. Pour épouser Colombine, j'en ferais cinquante, des fourberies. (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
  126. C'est la boutonomancie. (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
  127. Que le diable t'emporte, toi et la boutonomancie ! (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  128. Console-toi donc, et ne m'interromps pas davantage. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  129. Pour vous empêcher de complimenter davantage, venez çà. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  130. Et y dansera-t-on, à la noce ? (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
  131. On y dansera ; oui, bourreau. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  132. On dansera à ma noce, et je danserai avec Colombine ! (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
  133. Imaginez-vous que vous êtes dans un lit, et que vous dormez. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  134. Je suis dans un lit ? (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
  135. Oui, dans un lit, et Colombine est couchée avec vous. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  136. À la fin, il faudra que je change de nom. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
  137. Madame, je vous déclare, pour la dernière fois, que je ne veux plus voir tout ce train-là dans ma maison. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  138. Je ne vois ici que des marchands qui apportent des parties, ou des maîtres qui demandent des mois. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  139. Vraiment, je vous trouve plaisant ! (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  140. Et depuis quand les maris prennent-ils ces hauteurs-là avec leurs femmes ? (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  141. Sachez, s'il vous plaît, monsieur, qu'un homme comme vous, qui a épousé une fille de qualité comme moi, est trop heureux quand elle veut bien s'abaisser à porter son nom. Mon mérite n'est-il pas bien soutenu d'avoir pour piédestal le nom de Monsieur Sotinet ! (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  142. Je sens un soulèvement de coeur, quand j'entends seulement prononcer le nom de Monsieur Sotinet. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  143. Et que n'en changez-vous, madame ? (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
  144. Pourquoi voulez-vous qu'elle se taise, quand elle a raison ? (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  145. Ne sait-on pas assez dans le monde l'honneur que je vous ai fait, quand je vous ai épousé ? (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  146. Nous demeurons dans la même maison, et il y a huit jours que je ne vous ai rencontrée. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  147. Vous vous allez promener quand je me couche, et vous ne vous couchez que quand je me lève. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  148. Non, madame ; mais, si vous voulez, je vais vous en chanter un que je viens d'apprendre. (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
  149. C'est toi qui me la gâtes, et un grand traîneur d'épée qui ne bouge d'ici. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  150. Je ne pourrai pas mettre dehors une coquine de servante quand il me plaira ? (Acte 2, scène 2, SOTINET)
  151. Je vous prie, monsieur, de vous en aller dans votre appartement, et de me laisser en repos dans le mien. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  152. Sitôt que je suis un moment avec vous, mes vapeurs me prennent d'une violence épouvantable. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  153. Hé ! Monsieur, retirez-vous ; voilà madame qui trépasse, et je la garantis morte, si vous ne décampez tout-à-l'heure. (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
  154. C'est un homme qui n'est jamais dans la route de la raison ; il a des travers d'esprit qui me désolent. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  155. Je suis mariée ; c'est un mal sans remède. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  156. Vous en aurez menti, messieurs les maris ; et quand il n'y auroit que moi, j'y brûlerai mes livres, ou cela sera autrement. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
  157. Je dois aller passer l'après-dînée chez la marquise : viens achever de m'habiller dans mon cabinet. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
  158. Un dévoiement, madame, causé à ma bourse par les fréquentes crudités d'une fortune indigeste, m'a obligé d'avoir recours au remède astringent d'un petit billet payable au porteur, que j'apportais à monsieur votre époux ; mais n'y étant pas, j'ai cru qu'un homme de ma qualité pouvait entrer de volée chez les dames, et que vous ne seriez pas fâchée de connaître le chevalier De Fondsec. (Acte 2, scène 4, LE-CHEVALIER)
  159. Il est vrai que de mémoire d'homme on n'a jamais vu venir une lettre-de-change de ce pays-là. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
  160. Ma foi, madame, je ne sais pas si je pourrai me prostituer à votre visite ; car c'est aujourd'hui mon grand jour de femmes. (Acte 2, scène 4, LE-CHEVALIER)
  161. Vouloir que je rende une visite pour une épée qui ne pèse que soixante louis ! (Acte 2, scène 4, LE CHEVALIER)
  162. Allons, madame, je suis à vous pendant toute l'après-dînée, et pendant toute la nuit, si vous voulez : il en coûtera la vie à trois ou quatre femmes ; mais qu'y faire ? (Acte 2, scène 4, LE CHEVALIER)
  163. Monsieur, vos laquais sont là-bas, qui demandent à vous parler. (Acte 2, scène 5, LE-LAQUAIS)
  164. Ils font un bruit de diable ; ils disent qu'il y a trois jours qu'ils n'ont mangé. (Acte 2, scène 5, LE-LAQUAIS)
  165. Voilà de plaisants marauds ! Est-ce à faire à ces coquins-là à manger ? (Acte 2, scène 5, LE-CHEVALIER)
  166. Dites là-bas qu'on leur donne à manger. (Acte 2, scène 5, ISABELLE)
  167. Ils sont quelquefois trois jours sans manger ; mais aussi je crois que vous leur donnez de gros gages. (Acte 2, scène 6, COLOMBINE)
  168. Je le crois, vraiment ; au bout de trois ans je leur donne congé pour récompense. (Acte 2, scène 6, LE-CHEVALIER)
  169. Quand je n'ai plus que deux ou trois plaisirs à prendre dans le reste du jour, je suis dans une langueur mortelle ; et je m'ennuie presque toujours, dans la crainte que j'ai de m'ennuyer bientôt. (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
  170. Je ne sais, madame, ce que vous voulez faire ; mais je vous avertis que monsieur a enfermé une roue du carrosse dans son cabinet, pour vous empêcher de sortir. (Acte 2, scène 8, COLOMBINE)
  171. Nous irons dans le carrosse de monsieur le chevalier. (Acte 2, scène 8, ISABELLE)
  172. Peut-on revenir à la demi-Hollande, quand on s'est si longtemps servi de batiste ? (Acte 2, scène 8, ISABELLE)
  173. J'y allai dès deux heures à la première représentation ; j'eus tout le temps de m'ennuyer avant que l'on commençât ; mais ce fut bien pis, quand on eut une fois commencé. (Acte 2, scène 8, ISABELLE)
  174. Excepté cet homme qui parle normand dans l'empereur de la lune, tout le reste ne vaut pas le diable. (Acte 2, scène 8, LE-CHEVALIER)
  175. Je m'en allai aussitôt, pestant comme un diable contre ces nigauds-là, et je n'en voulus pas voir davantage. (Acte 2, scène 8, LE CHEVALIER)
  176. Non. Ne savez-vous pas bien que monsieur ne mange point à table quand il y a compagnie ? (Acte 2, scène 9, ISABELLE)
  177. Parle, mon ami ; mets deux couverts pour moi ; je mangerai bien pour deux personnes. (Acte 2, scène 9, LE-CHEVALIER)
  178. Dieu merci, madame, ce que je demandais est enfin arrivé : nous plaiderons, morbleu ! (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  179. Il dit que cela ira son grand chemin, et qu'il y aurait là de quoi faire casser aujourd'hui vingt mariages. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  180. On va me tympaniser par la ville, et je vais donner la comédie à tout Paris. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  181. On va vous tympaniser ! (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  182. Dites-moi, je vous prie, auroit-on tant d'empressement à lire l'histoire galante de certaines femmes, si une séparation ne les avait rendues célèbres ? (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  183. Saurait-on la magnificence de Madame Lycidas, en justaucorps de soixante pistoles, les discrétions qu'elle perd avec son galant, si elle n'avait pas plaidé contre son mari ? (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  184. Et l'on n'aurait jamais connu tout l'esprit d'Artémise, sans ses lettres, qui ont été produites à l'audience. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  185. Je vous le dis, madame, il n'y a rien tel que de bien débuter dans le monde, et voilà le plus court chemin. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  186. On avance plus par là en un jour d'audience qu'en vingt années de galanterie ; et vous me remercierez dans peu des bons avis que je vous donne. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  187. Il fallait donc, Colombine, que j'apprisse de longue main à mépriser, comme ces femmes dont tu me parles, les chimères et les fantômes de réputation et d'honneur qui font peur aux esprits simples comme le mien. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
  188. Il y a déjà près de deux ans que vous êtes femme de Monsieur Sotinet ; et quand ce serait le meilleur mari du monde, il serait gâté depuis le temps. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  189. J'ai été quatre ans cocher du plus fameux avocat de Paris. (Acte 3, scène 3, ARLEQUIN)
  190. Il devait naturellement, et suivant toutes les règles de la justice, aller droit aux galères : je lui épargnai la fatigue du chemin : je fis tant qu'il n'alla qu'à la grève. (Acte 3, scène 3, ARLEQUIN)
  191. Il n'en faut pas davantage pour gagner le procès le plus désespéré. (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
  192. Je ne sais pas, Colombine, dans quelle affaire tu m'embarques là. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
  193. Voici la dernière fourberie que tu feras : il faut que tu plaides la cause de Mademoiselle Isabelle devant le dieu de l'Hyménée. (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
  194. Dès qu'il y est, il entre à la buvette, où il mange des saucisses, des rognons, des langues, et boit du meilleur. (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
  195. Un avocat mange des saucisses ? (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  196. Si cela est, je serai avocat, et bon avocat ; car je mangerai plus de saucisses qu'un autre : je les aime à la folie. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
  197. D'abord, tu commenceras ton plaidoyer en disant : messieurs, je parle pour Mademoiselle Isabelle, contre son mari, qui est un débauché, un puant, un fou, et autres choses semblables. (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
  198. Cela s'en va sans dire. (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
  199. Nous irons après : répétons toujours auparavant. (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
  200. Je conclus à ce que nous allions manger les saucisses, avant qu'elles refroidissent. (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
  201. Monsieur, il est bien malade ; il ne pourra pas venir : en taillant sa plume, il s'est coupé un peu le doigt ; il dit qu'il ne pourra pas plaider dans l'état où il est. (Acte 3, scène 5, PIERROT)
  202. Ma femme m'a fait assigner devant le dieu d'Hymen ; on n'est guère favorable aux maris à ce tribunal-là. (Acte 3, scène 5, SOTINET)
  203. Pour Messire Mathurin-Blaise Sotinet, sous-fermier, contre la dame Sotinet, sa femme, demanderesse en séparation. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  204. En effet, messieurs, une jeune femme qui épouse un vieillard, dans l'espérance de l'enterrer six mois après, n'est-elle pas en droit de lui demander raison de son retardement ; et n'est-elle pas bien fondée à faire rompre son mariage, puisque son mari n'a pas satisfait à l'article le plus essentiel du contrat, par lequel il s'est obligé tacitement à ne pas passer l'année ? (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  205. Celui pour qui je parle, après avoir longtemps contemplé du port les naufrages de tant de malheureux époux, s'embarqua enfin sur la mer orageuse du mariage ; et quand il fit ce solécisme en conduite, qu'il souffrit cette léthargie de bon sens, cette éclipse de raison, s'il se fût mis une corde au cou, ou qu'il se fût jeté dans la rivière, il n'auroit jamais tant gagné en un jour. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  206. Il fit ce qu'ont accoutumé de faire les gens sur le retour, quand ils épousent de jeunes filles, c'est-à-dire qu'il confessa avoir reçu vingt mille écus, quoiqu'elle ne lui eût jamais apporté en mariage qu'un fonds de galanterie outrée, et une fureur effrénée pour le jeu : voilà la dot de la Dame. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  207. Une femme qui n'a pas vingt ans, une fureur pour le jeu ! (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  208. Oui, oui, messieurs ; quand je dis que voilà la dot de la Dame Sotinet, je n'avance rien que de véritable ; mais ne croyez pas que, parcequ'elle n'a rien eu en mariage, elle en dépense moins en se mariant. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  209. Les jeunes filles qui se vendent à des vieillards achètent en même temps le droit de les envoyer à l'hôpital promptement, par leurs dépenses extravagantes : c'est ce qu'a presque fait la Dame Sotinet ; car enfin le pauvre homme ne fut pas plus tôt marié, qu'il vit bien comme presque tous les autres qui s'enrôlent dans cette milice qu'il avait fait une sottise ; que le mariage est une affaire à laquelle il faut songer toute sa vie ; qu'un bon singe et la meilleure femme sont souvent deux méchants animaux ; et que ce grand philosophe avait bien raison de s'écrier, en voyant trois ou quatre femmes pendues à un arbre : que les hommes seraient heureux, si tous les arbres portaient de semblables fruits ! (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  210. Il vit fondre chez lui, dès le lendemain, tous les fainéants de la ville, chevaliers sans ordre, beaux esprits sans aveu ; cent petits poètes crottés, vrais chardons du Parnasse ; de ces fades blondins, minces colifichets de ruelles ; en un mot, il vit faire de sa maison une académie de jeux défendus, et fut obligé de payer une grosse amende, à quoi il fut condamné. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  211. Oui, oui, messieurs, je n'avance rien que de véritable ; et, malgré toutes les précautions, il n'a pas laissé de la payer cette amende, dont voici la quittance signée Pallot. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  212. Oui, messieurs, ce fut elle qui, ne sachant plus où trouver de l'argent pour jouer, alla dénoncer elle-même que l'on jouait chez elle : elle fut condamnée à trois mille livres d'amende. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  213. Que direz-vous, races futures, d'un pareil brigandage ? (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  214. Je parle bon français, Maître Cornichon ; on m'entend bien. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  215. Mais, messieurs, s'il n'y avait que de la dissipation dans la conduite de la Dame Sotinet, vous n'entendriez pas retentir votre tribunal des plaintes de son mari ; mais puisqu'il est aujourd'hui obligé d'avouer sa honte et son malheur, approchez, financiers, plumets, chevaliers, et vous godelureaux les plus déterminés ; paraissez sur la scène. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  216. Oui, oui, messieurs, nous trouverons de tous ces gens-là dans l'équipage de la Dame Sotinet, équipage qu'elle promène scandaleusement par toute la ville, et la nuit et le jour. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  217. On ne manquera pas de vous dire que celui pour qui je suis est un brutal ; j'en tombe d'accord : un ivrogne ; je le veux : un débauché ; j'y consens : un homme même qui est quelquefois attaqué de vertiges ; cela est vrai : mais, messieurs... (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  218. Taisez-vous, ignorant, ce sont des figures de rhétorique qui persuadent. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  219. Quand tout cela serait, dis-je, messieurs, sont-ce des raisons pour faire rompre un mariage ? (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  220. Si je vous parlais des intrigues de la Dame Sotinet, de ses aventures galantes, de ses subtilités pour tromper son mari ; mais... vous rougiriez, illustres et vieilles coquettes de notre temps, de voir qu'une femme de dix-huit ans vous a laissées bien loin après elle dans la carrière de la galanterie et j'apprendrais aux femmes qui m'écoutent de nouveaux tours de souplesse (elles n'en savent déjà que trop). (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  221. Et après cela, messieurs, une femme, qui est le précis, l'élixir, la mère-goutte de la transcendante coquetterie, viendra vous demander une séparation ! (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  222. Ordonnerez-vous qu'un mari soit déclaré veuf, avant que d'avoir eu le plaisir d'enterrer sa femme ? (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  223. Messieurs, je parle pour Damoiselle Zorobabel de Roqueventrousse, demanderesse en séparation, contre Mathurin-Blaise Sotinet, sous-fermier, ci-devant laquais, et défendeur. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  224. L'aspect de ce sénat cornu, pompe digne de l'Hymen ; cet attirail funeste et menaçant, tout cela, je l'avoue, m'inspire quelque terreur : mais, d'un autre côté, l'équité de ma cause me recreat et reficit ; puisque je parle ici pour quantité de femmes, qui vous disent par ma bouche qu'un mari est à présent un meuble fort inutile ; et que, quand il n'y en aurait point, le monde ne finirait pas pour cela. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  225. Le mois de mars 87, Mathurin-Blaise Sotinet, âgé de soixante-dix ans, sentit un prurit pour la noce, une démangeaison pour le mariage ; cette vieille rosse, refaite et maquignonée, cette mèche sèche et ridée, prit feu aux étincelles des yeux de celle pour qui je parle. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  226. Il l'épousa, et il ne tint qu'à lui de voir qu'il avait mis dans sa maison un trésor de sagesse et de prudence, puisqu'elle ne dépensa, en se mariant, que les vingt mille écus qu'elle avait eus en mariage. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  227. Je le crois bien : je connais la fille d'un drapier qui en a renvoyé un de deux mille livres ; et si, dans ce temps-là, les drapiers n'avaient pas gagné leur procès contre les marchands de soie. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  228. Le Sieur Sotinet était entré malheureusement dans l'affaire du bois carré. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  229. Je demande réparation. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  230. C'est un bouchon ambulant ; c'est une éponge toute dégouttante de vin, dont les vapeurs obscurcissent et soufflent enfin la chandelle de sa raison. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  231. Un homme qui a été toute sa vie dans les aides ne boit que de l'eau ! (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  232. N'avait-il bu que de l'eau, Maître Braillardet, quand, sortant tout chancelant d'un cabaret, pour assister à l'enterrement d'un de ses meilleurs amis, il se laissa tomber dans la fosse, où il serait encore, si, par malheur pour sa femme, on ne l'en eût retiré ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  233. N'a-t-il bu que de l'eau, quand il revient chez lui le soir, amenant avec soi des femmes d'une vertu délabrée, et qu'il maltraite celle pour qui je suis de paroles et de coups ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  234. Il a porté plus de trois mois un emplâtre sur le nez, d'un coup de chandelier que sa femme lui a donné. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  235. Mais, s'il n'y avait que des coups à essuyer, je ne m'en plaindrais pas ; car on sait bien qu'une femme veut être un peu pansée de la main ; mais de se voir, à tous moments, exposée aux extravagances d'un fou ! (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  236. Oui, messieurs, je vous le garantis tel, et des plus fous qui se fassent. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  237. Approchez, malheureuse opprimée ; venez, épouse infortunée : c'est à l'ombre de ce tribunal que vous trouverez un asile assuré contre la pétulance de votre persécuteur. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  238. Souffrirez-vous, messieurs, qu'une femme qui (comme dit fort élégamment un savant philosophe) doit être, vas dignitatis, non voluptatis, devienne un grenier à coups de poing ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  239. Non, messieurs, vous ne souffrirez pas que ces innocentes brebis soient si cruellement égorgées par ces loups ravissants ! (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  240. Qui voudrait dorénavant se mettre en ménage, si vous fermiez la porte aux séparations ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  241. Le divorce ayant été de tout temps tout ce qu'il y a de plus piquant dans le mariage, ce ragoût de veuvage anticipé, cette viduité prématurée que vous allez servir à la Dame Sotinet, va faire venir l'eau à la bouche à quantité de femmes de Paris : elles en voudront tâter. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  242. Cornuum quanta seges ! (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  243. Vous aurez plus d'affaires que toutes les juridictions de la France. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  244. Quand il y aurait quelque petit grain de folie, il y a des intervalles... (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
  245. Ayant aucunement égard à la requête de la partie de Maître Cornichon, le dieu de l'Hymen a ordonné que la Dame Sotinet demeurera séparée de corps et de biens d'avec son mari ; qu'elle reprendra les vingt mille écus qu'elle a apportés en mariage ; qu'elle jouira, dès à présent, de son douaire, étant réputée veuve, et d'une pension de trois mille livres ; et, attendu la démence avérée du Sieur Sotinet, nous avons ordonné qu'à la diligence de sa femme, il sera incessamment enfermé aux Petites-Maisons, ou à Saint-Lazare. (Acte 3, scène 6, DIEU DE L'HYMEN)
  246. Il y a dix ans que vous devriez y être. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
  247. Très volontiers, à condition que l'on nous démariera au bout de l'an. (Acte 3, scène 6, COLOMBINE)
  248. Je le veux bien ; car j'ai toujours ouï dire qu'une femme et un almanach sont deux choses qui ne sont bonnes tout au plus que pour une année. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)

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LE CARNAVAL DE VENISE (1699)

  1. Quand au plaisir on s'intéresse. v.8 (Acte 1, scène 1, L'ORDONNATEUR)
  2. Je quitte sans regret la demeure immortelle, v.16 (Acte 1, scène 2, MINERVE)
  3. Dans une aimable cour, v.18 (Acte 1, scène 2, MINERVE)
  4. Pour attirer les yeux d'un grand prince que j'aime, v.30 (Acte 1, scène 2, MINERVE)
  5. Servez le fils du plus grand roi du monde ; v.36 (Acte 1, scène 2, MINERVE)
  6. Servons le fils du plus grand roi du monde ; v.38 (Acte 1, scène 3, LE-CHOEUR)
  7. Qu'Amour dans nos fêtes v.40 (Acte 1, scène 3, SUIVANT-DE-LA-MUSIQUE)
  8. Dans ces lieux paisibles ; v.45 (Acte 1, scène 3, SUIVANT DE LA MUSIQUE)
  9. Qu'Amour dans nos fêtes v.48 (Acte 1, scène 3, SUIVANT DE LA MUSIQUE)
  10. Qu'Amour dans nos fêtes v.56 (Acte 1, scène 3, SUIVANT DE LA MUSIQUE)
  11. Les dieux seuls en ce jour auront-ils l'avantage v.60 (Acte 1, scène 3, L'ORDONNATEUR)
  12. Et dans le temple de Mémoire v.66 (Acte 1, scène 3, L'ORDONNATEUR, UN SUIVANT MUSIQUE, UN SUIVANT DANSE)
  13. Mille exploits éclatants consacrent sa mémoire ; v.76 (Acte 1, scène 3, MINERVE)
  14. Mille exploits éclatants consacrent sa mémoire ; v.81 (Acte 1, scène 3, LE-CHOEUR)
  15. Dans la saison la plus charmante. v.87 (Acte 1, scène 3, MINERVE)
  16. Cet aveu, qui m'a tant coûté, v.90 (Acte 2, scène 1, LÉONORE)
  17. Qu'on ait tant de plaisir d'aimer, v.94 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
  18. Et qu'on souffre tant à le dire ? v.95 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
  19. andre ne vient point s'offrir à mes regards. v.97 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
  20. Hélas ! Ce qui devrait animer un amant, v.100 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
  21. Qu'on ait tant de plaisir d'aimer, v.104 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
  22. Et qu'on risque tant à le dire ? v.105 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
  23. Dans ces beaux lieux, où tout enchante, v.110 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  24. Aux jeux, aux spectacles charmants v.112 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  25. Dans ces spectacles, dans les jeux, v.114 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
  26. Sous ce prétexte, dans ces lieux v.117 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
  27. J'aime un jeune étranger, v.122 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  28. Et pour un étranger j'ai senti naître un feu v.126 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
  29. De ses tendres regards je me sens enchanter. v.128 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
  30. Le tendre amant que j'aime v.132 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
  31. Apprenez-moi le nom de cet amant fidèle. v.134 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
  32. C'est Léandre. Qu'entends-je ? Ô dieux ! v.136 (Acte 2, scène 2, ISABELLE_LÉONORE)
  33. Il vient ; pénétrons dans son âme v.141 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
  34. Quand je vous vois ensemble, v.147 (Acte 2, scène 1, LÉANDRE)
  35. L'Amour, qui dans vos yeux tous ses charmes rassemble, v.148 (Acte 2, scène 1, L?ANDRE)
  36. Est également triomphant ; v.149 (Acte 2, scène 1, L?ANDRE)
  37. Explique-toi sans artifice. v.153 (Acte 2, scène 1, LÉONORE)
  38. Je vous aimai, charmante Eléonore ; v.158 (Acte 2, scène 1, LÉANDRE)
  39. Mais des yeux plus puissants encore v.159 (Acte 2, scène 1, L?ANDRE)
  40. Pour ne changer jamais. v.162 (Acte 2, scène 1, L?ANDRE)
  41. Et toi, perfide amant, crois-tu voir dans mon coeur v.169 (Acte 2, scène 1, LÉONORE)
  42. Je veux qu'à ma vengeance offert en sacrifice, v.173 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
  43. Que ces vains projets de vengeance v.177 (Acte 2, scène 4, LÉANDRE)
  44. De divers étrangers une troupe s'avance ; v.179 (Acte 2, scène 4, L?ANDRE)
  45. Grata mercè di costante fè v.193 (Acte 2, scène 5, UN-ESCLAVON)
  46. Dans le sein des mers. v.203 (Acte 2, scène 5, UNE-MUSICIENNE)
  47. Dans le sein des mers. v.207 (Acte 2, scène 5, LE-CHOEUR)
  48. Neptune, plus tranquille, v.208 (Acte 2, scène 5, LA-MUSICIENNE)
  49. Sert, dans ce doux asile, v.210 (Acte 2, scène 5, LA MUSICIENNE)
  50. Dans le sein des mers. v.215 (Acte 2, scène 5, LE-CHOEUR)
  51. Nous ressentons dans l'onde v.216 (Acte 2, scène 5, LA-MUSICIENNE)
  52. Dans le sein des mers. v.223 (Acte 2, scène 5, LE-CHOEUR)
  53. Tout plaît, tout rit dans ce beau séjour ; v.224 (Acte 2, scène 5, UNE-BOHÉMIENNE)
  54. Vénus y tient sa brillante cour. v.225 (Acte 2, scène 5, UNE BOH?MIENNE)
  55. Tout plaît, tout rit dans ce beau séjour ; v.226 (Acte 2, scène 5, LE-CHOEUR)
  56. Vénus y tient sa brillante cour. v.227 (Acte 2, scène 5, LE CHOEUR)
  57. Dans ces beaux lieux remplis d'attraits, v.228 (Acte 2, scène 5, UN-ARMÉNIEN)
  58. Tout plaît, tout rit dans ce beau séjour ; v.233 (Acte 2, scène 5, LE-CHOEUR)
  59. Vénus y tient sa brillante cour. v.234 (Acte 2, scène 5, LE CHOEUR)
  60. Tout plaît, tout rit dans ce beau séjour ; v.240 (Acte 2, scène 5, LE-CHOEUR)
  61. Vénus y tient sa brillante cour. v.241 (Acte 2, scène 5, LE CHOEUR)
  62. Tout le feu de vos yeux a passé dans mon coeur. v.245 (Acte 2, scène 6, LÉANDRE)
  63. Je crains plus de votre inconstance. v.249 (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
  64. Sont les premiers effets d'une naissante ardeur. v.254 (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
  65. Rien ne pourrait calmer ses transports furieux. v.258 (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
  66. L'Amour, armé de la constance, v.259 (Acte 2, scène 6, LÉANDRE)
  67. D'un jaloux importun tromper la vigilance, v.263 (Acte 2, scène 6, L?ANDRE)
  68. C'est goûter par avance v.264 (Acte 2, scène 6, L?ANDRE)
  69. Pouvez-vous vous connaître, et me le demander ? v.267 (Acte 2, scène 6, LÉANDRE)
  70. Bannissez ces alarmes, v.270 (Acte 2, scène 6, LÉANDRE)
  71. Goûtons, sans nous contraindre, v.274 (Acte 2, scène 6, ISABELLE_LÉANDRE)
  72. Amants, que votre sort est doux ! v.281 (Acte 3, scène 1, RODOLPHE)
  73. Deux tyrans dans mon coeur exercent leur furie ; v.282 (Acte 3, scène 1, RODOLPHE)
  74. Et mes jaloux transports, par un cruel retour, v.285 (Acte 3, scène 1, RODOLPHE)
  75. Amants, que votre sort est doux ! v.290 (Acte 3, scène 1, RODOLPHE)
  76. Malgré toute l'ardeur qui règne dans votre âme, v.291 (Acte 3, scène 2, LÉONORE)
  77. M'en avaient instruit avant vous. v.294 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
  78. Un autre amant, sans résistance, v.295 (Acte 3, scène 2, LÉONORE)
  79. Que méritait votre constance. v.297 (Acte 3, scène 2, L?ONORE)
  80. Je veux partager la vengeance. v.301 (Acte 3, scène 2, LÉONORE)
  81. À ce perfide amant Isabelle a su plaire, v.306 (Acte 3, scène 2, L?ONORE)
  82. Et Léandre à ses yeux... v.307 (Acte 3, scène 2, L?ONORE)
  83. Que l'amour dans nos coeurs se transforme en colère ; v.308 (Acte 3, scène 2, ENSEMBLE)
  84. La vengeance qu'on diffère v.310 (Acte 3, scène 2, ENSEMBLE)
  85. D'une impuissante ardeur ; v.313 (Acte 3, scène 2, LÉONORE)
  86. Qui crie en vain dans le fond de mon coeur. v.317 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
  87. Que l'amour dans nos coeurs se transforme en colère : v.318 (Acte 3, scène 2, ENSEMBLE)
  88. La vengeance qu'on diffère v.320 (Acte 3, scène 2, ENSEMBLE)
  89. Allons, courons à la vengeance. v.323 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
  90. Je suis fille du Sort, inconstante et légère, v.329 (Acte 3, scène 3, LA-FORTUNE)
  91. Je brise, quand je veux, des trônes éclatants ; v.334 (Acte 3, scène 3, LA FORTUNE)
  92. Et je puis, à tous les instants, v.335 (Acte 3, scène 3, LA FORTUNE)
  93. Amants qu'un triste sort accable ; v.338 (Acte 3, scène 3, LA FORTUNE)
  94. Que, sans moi, l'on attend toujours. v.340 (Acte 3, scène 3, LA FORTUNE)
  95. Fortune inconstante, v.343 (Acte 3, scène 3, UN-MASQUE)
  96. Le bien qui peut enchanter mon âme, v.347 (Acte 3, scène 3, UN MASQUE)
  97. Est de brûler d'une constante flamme, v.348 (Acte 3, scène 3, UN MASQUE)
  98. Touchants, v.351 (Acte 3, scène 3, UN MASQUE)
  99. Charmants, v.352 (Acte 3, scène 3, UN MASQUE)
  100. Sans cesse je les implore, v.354 (Acte 3, scène 3, UN MASQUE)
  101. Je sais que mon rival, dans l'ardeur qui le presse, v.358 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
  102. Doit ici, par ses chants, exprimer sa tendresse ; v.359 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
  103. Doux charme des ennuis et des peines pressantes, v.361 (Acte 3, scène 5, LÉANDRE)
  104. Sommeil, qui, dans ta fausseté v.363 (Acte 3, scène 5, L?ANDRE)
  105. De tes illusions charmantes, v.364 (Acte 3, scène 5, L?ANDRE)
  106. De cent douceurs des plus touchantes, v.366 (Acte 3, scène 5, L?ANDRE)
  107. Et fais que son coeur enchanté v.369 (Acte 3, scène 5, L?ANDRE)
  108. L'Amour me favorise, et je vois dans ces lieux v.376 (Acte 3, scène 5, LÉANDRE)
  109. Mi dice la speranza v.380 (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
  110. Si cangerà. v.383 (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
  111. Dormez, beaux yeux, dormez sans craintes ; v.387 (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
  112. L'espérance me dit que nos peines mortelles v.391 (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
  113. Se changeront en des plaisirs charmants. v.392 (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
  114. Il faut quitter ce lieu charmant ; v.397 (Acte 3, scène 6, LÉANDRE)
  115. Je ne puis plus cacher mes transports furieux. v.401 (Acte 3, scène 7, RODOLPHE)
  116. Avant que le soleil paraisse dans ces lieux, v.404 (Acte 3, scène 7, RODOLPHE)
  117. Les ministres de ma vengeance v.405 (Acte 3, scène 7, RODOLPHE)
  118. Éteindront dans son sang des feux injurieux. v.406 (Acte 3, scène 7, RODOLPHE)
  119. Et tandis que la nuit triomphe encor du jour, v.408 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  120. Cher Léandre, je viens, conduite par l'amour, v.409 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  121. Je sais les trahisons où ton coeur s'abandonne. v.418 (Acte 3, scène 8, RODOLPHE)
  122. Dans mes yeux vous avez pu lire v.431 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  123. Ah ! Quand on ressent quelque ardeur, v.435 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  124. C'est une peine, quand on aime, v.442 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  125. D'avouer un penchant qu'on trouve plein d'appas ; v.443 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
  126. Pour trouver un amant qu'en vain ton coeur adore, v.450 (Acte 3, scène 9, RODOLPHE)
  127. Étouffent tout l'amour que j'ai pris dans tes yeux : v.457 (Acte 3, scène 9, RODOLPHE)
  128. Transports de vengeance et de haine, v.460 (Acte 4, scène 1, LÉONORE)
  129. Succédez à l'amour qui régnait dans mon coeur ; v.461 (Acte 4, scène 1, L?ONORE)
  130. L'ingrat que vous percez cause encor ma langueur. v.466 (Acte 4, scène 1, L?ONORE)
  131. Transports de vengeance et de haine, v.467 (Acte 4, scène 1, L?ONORE)
  132. Frappez... et qu'en mourant, cet infidèle apprenne v.472 (Acte 4, scène 1, L?ONORE)
  133. Transports de vengeance et de haine, v.474 (Acte 4, scène 1, L?ONORE)
  134. Succédez à l'amour qui régnait dans mon coeur. v.475 (Acte 4, scène 1, L?ONORE)
  135. J'ai servi le juste transport v.477 (Acte 4, scène 2, RODOLPHE)
  136. Lance ta foudre épouvantable ; v.488 (Acte 4, scène 2, LÉONORE)
  137. Tu ne saurais manquer de frapper un coupable. v.490 (Acte 4, scène 2, L?ONORE)
  138. Vous demandiez une victime. v.494 (Acte 4, scène 2, RODOLPHE)
  139. Du combat que le peuple a donné dans ces lieux v.512 (Acte 4, scène 3, RODOLPHE)
  140. Vient montrer sa réjouissance. v.513 (Acte 4, scène 3, RODOLPHE)
  141. Je perds le prix de ma vengeance, v.516 (Acte 4, scène 3, RODOLPHE)
  142. Nous mêlons dans nos jeux l'image de la guerre : v.519 (Acte 4, scène 4, UN-CHEF-DES-CASTELLANS)
  143. Mêlons aussi dans ce beau jour v.520 (Acte 4, scène 4, UN CHEF DES CASTELLANS)
  144. Des chansons d'amour v.522 (Acte 4, scène 4, UN CHEF DES CASTELLANS)
  145. Aux chants de victoire, v.523 (Acte 4, scène 4, UN CHEF DES CASTELLANS)
  146. Des chansons d'amour v.524 (Acte 4, scène 4, UN CHEF DES CASTELLANS)
  147. Nous mêlons dans nos jeux l'image de la guerre : v.527 (Acte 4, scène 4, LE-CHOEUR)
  148. Mêlons aussi dans ce beau jour v.528 (Acte 4, scène 4, LE CHOEUR)
  149. Des chansons d'amour v.530 (Acte 4, scène 4, LE CHOEUR)
  150. Aux chants de victoire, v.531 (Acte 4, scène 4, LE CHOEUR)
  151. Des chansons d'amour v.532 (Acte 4, scène 4, LE CHOEUR)
  152. Entre la crainte et l'espérance, v.534 (Acte 4, scène 4, UNE-CASTELLANE)
  153. L'empire de l'Amour n'a pas plus de constance, v.536 (Acte 4, scène 4, UNE CASTELLANE)
  154. Et l'on y voit flotter sans cesse les amants v.537 (Acte 4, scène 4, UNE CASTELLANE)
  155. Entre la crainte et l'espérance. v.538 (Acte 4, scène 4, UNE CASTELLANE)
  156. Amants, sans faire résistance ; v.540 (Acte 4, scène 4, UN-BARQUEROLLE)
  157. C'est une mer toujours sujette à l'inconstance, v.543 (Acte 4, scène 4, UN BARQUEROLLE)
  158. Cher Léandre, tu ne vis plus. v.566 (Acte 4, scène 5, ISABELLE)
  159. Quand tu descends pour moi dans la nuit éternelle, v.567 (Acte 4, scène 5, ISABELLE)
  160. Non, non : pour me rejoindre à cet amant fidèle, v.569 (Acte 4, scène 5, ISABELLE)
  161. Dois-je en croire mes yeux ? Est-ce vous, cher Léandre ? v.573 (Acte 4, scène 6, ISABELLE)
  162. Mon sang versé, mieux que mes larmes, v.576 (Acte 4, scène 6, ISABELLE)
  163. Un jaloux, que la rage anime, v.582 (Acte 4, scène 6, LÉANDRE)
  164. Du plus tendre transport. v.594 (Acte 4, scène 6, LÉANDRE)
  165. Si vous vouliez donner votre sang à ma mort, v.596 (Acte 4, scène 6, L?ANDRE)
  166. Quand l'Amour au jour nous rappelle, v.600 (Acte 4, scène 6, LÉANDRE-ISABELLE)
  167. Fuyons un lieu funeste à de tendres amants. v.602 (Acte 4, scène 6, LÉANDRE)
  168. Je vous allais chercher dans le sein du trépas ; v.604 (Acte 4, scène 6, ISABELLE)
  169. Un vaisseau par mes soins dans le port va se rendre, v.612 (Acte 4, scène 6, LÉANDRE)
  170. Dans les royaumes de la Mort v.619 (Acte 5, scène 1, PLUTON)
  171. Descend encor vivant, et cause mes alarmes. v.620 (Acte 5, scène 1, PLUTON)
  172. Mais quels chants remplis de douceur ! v.628 (Acte 5, scène 1, PLUTON)
  173. Puissant maître des Ombres, v.632 (Acte 5, scène 2, ORPHÉE)
  174. La charmante Eurydice, hélas ! v.634 (Acte 5, scène 2, ORPH?E)
  175. Plus loin que ton espoir tu portes ta demande ; v.638 (Acte 5, scène 2, PLUTON)
  176. Mais Pluton y consent, si l'Amour le commande. v.639 (Acte 5, scène 2, PLUTON)
  177. Que tu ne sois rendu dans l'empire du jour. v.643 (Acte 5, scène 2, PLUTON)
  178. Mon coeur, chantez votre victoire, v.644 (Acte 5, scène 3, ORPHÉE)
  179. Les ris et les chants v.646 (Acte 5, scène 3, ORPH?E)
  180. Aux charmes de deux yeux touchants. v.649 (Acte 5, scène 3, ORPH?E)
  181. La beauté dans les cieux trouve un aisé passage, v.652 (Acte 5, scène 1, OMBRE-HEUREUSE)
  182. Amours, volez tous dans mon âme ; v.655 (Acte 5, scène 5, EURYDICE)
  183. Dans l'empire des airs reporte ce perfide. v.668 (Acte 5, scène 7, PLUTON)
  184. Pluton commande, obéissez. v.669 (Acte 5, scène 7, PLUTON)
  185. Riez, chantez, dansez, montrez votre allégresse ; v.674 (Acte 5, scène 8, PLUTON)
  186. Rions, chantons, dansons, montrons notre allégresse : v.677 (Acte 5, scène 8, LE-CHOEUR)
  187. Dérobent le flambeau qui brille dans les cieux ; v.687 (Acte 5, scène 10, LE-CARNAVAL)
  188. Sitôt que je parais, je bannis la tristesse ; v.688 (Acte 5, scène 10, LE CARNAVAL)
  189. Par vos jeux, par vos chants, célébrez ce beau jour. v.693 (Acte 5, scène 10, LE CARNAVAL)
  190. Je veux joindre à ces jeux une nouvelle danse ; v.694 (Acte 5, scène 10, LE-CARNAVAL)
  191. Redoublez en ces lieux notre réjouissance v.696 (Acte 5, scène 10, LE CARNAVAL)
  192. Chantez, dansez, profitez des beaux jours ; v.700 (Acte 5, scène 10, LE-CARNAVAL)
  193. Chantons, dansons, profitons des beaux jours ; v.702 (Acte 5, scène 10, LE-CHOEUR)

SAPOR (1704)

  1. Enfin nous la voyons cette grande journée v.1 (Acte 1, scène 1, ZÉNOBIE)
  2. Nos honneurs sont détruits : cette grandeur suprême, v.5 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  3. Cet éclat triomphant qui brillait dans ma cour, v.7 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  4. Tout s'est évanoui dans l'espace d'un jour. v.8 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  5. Qui, vengeant un époux et deux fils par ses mains, v.11 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  6. Et, faisant de leur camp un champ de funérailles, v.13 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  7. L'emportent, en un jour, sur toutes nos grandeurs. v.16 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  8. Qui me rendent mon rang et le jour en horreur. v.28 (Acte 1, scène 1, ZÉNOBIE)
  9. Je pourrais, écoutant un transport légitime, v.29 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  10. Et je puis, insultant le sort et ses revers, v.35 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  11. M'attache encore au jour par des noeuds que le sang v.39 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  12. Et l'amour paternel ont formés dans mon flanc. v.40 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  13. Que te dirai-je enfin ? L'ardeur de la vengeance v.45 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  14. Entretient les lueurs d'une faible espérance. v.46 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  15. Dans nos communs malheurs Sapor enveloppé, v.48 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  16. Tout flatte les transports de mon âme inquiète. v.49 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  17. La Perse va bientôt, apprenant ma défaite, v.50 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  18. Tu sais bien que Sapor, digne sang d'Artaxerce, v.53 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  19. Est second fils du roi qui règne dans la Perse ; v.54 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  20. Avec les noeuds du sang nous unir à jamais, v.56 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  21. Afin que, plus à craindre en rassemblant nos haines, v.57 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  22. Et, destinant dès lors un héritier au trône, v.61 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  23. Envoya, jeune encor, ce prince dans ma cour. v.64 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  24. Nourri depuis ce temps dans le métier des armes, v.65 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  25. Je vis avec plaisir cette naissante flamme, v.69 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  26. Qui, confirmant mon choix, s'emparait de leur âme ; v.70 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  27. Mais du ciel irrité la suprême puissance v.73 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  28. Sapor voit sans espoir enchaîner dans ce jour v.75 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  29. Le ciel, quand il lui plaît, vient essuyer les pleurs ; v.80 (Acte 1, scène 1, THÉONE)
  30. Et qui, m'abandonnant en prenant leur défense, v.85 (Acte 1, scène 1, ZÉNOBIE)
  31. N'ont pas justifié l'ardeur de ma vengeance ? v.86 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  32. J'irai, traînant ma honte, à ce char enchaînée, v.90 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  33. Qui va m'anéantir de la voix et des yeux. v.96 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  34. Et, tandis que mon cour dans les douleurs se noie, v.101 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  35. Écoutons des transports dignes de mon courage ; v.109 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  36. D'autres moyens encor. Toi, sans perdre de temps, v.111 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
  37. Impatients transports, enfants de ma vengeance, v.113 (Acte 1, scène 2, ZÉNOBIE)
  38. Qui jetez dans mon cour un rayon d'espérance, v.114 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  39. Murmurer votre voix dans le fond de mon cour ! v.116 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  40. Ce que tu n'as pu faire, et tant de rois ensemble, v.121 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  41. Quand ton bras s'étendait sur cent peuples divers, v.123 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  42. Tu veux donc l'entreprendre, et seule, et dans les fers ! v.124 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  43. Quels secours attends-tu d'une haine impuissante ? v.125 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  44. La couronne longtemps sur ton front fut flottante : v.126 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  45. Tu n'as pu conserver un seul de tant d'États, v.128 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  46. Au milieu de son camp, dans le sein de sa cour, v.131 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  47. Tu veux que Sabinus... Ah ! Fuyez sans retour, v.132 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  48. Impuissants mouvements de honte et de colère ! v.133 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  49. Le ciel dans mes malheurs ne veut pas que j'espère. v.134 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  50. Quand je l'implorerais, ce ne serait qu'en vain ; v.135 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  51. En me persécutant, ta fureur m'a servie ; v.142 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  52. Et, pour fruit de tes coups, sans nombre confondus, v.143 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  53. Mais quoi ! Laissant en cris exhaler ma vengeance, v.145 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
  54. Calmer l'impatience où mon cour s'abandonne. v.150 (Acte 1, scène 3, ZÉNOBIE)
  55. Que t'a dit Sabinus ? Viendra-t-il dans ces lieux ? v.151 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  56. Dans ce même palais je l'ai trouvé, madame ; v.153 (Acte 1, scène 3, THÉONE)
  57. Votre ordre et votre nom ont porté dans son âme v.154 (Acte 1, scène 3, TH?ONE)
  58. Si, suivant trop peut-être un transport de tendresse, v.157 (Acte 1, scène 3, TH?ONE)
  59. S'évanouit souvent, et devient plus légère : v.170 (Acte 1, scène 3, ZÉNOBIE)
  60. Chaque jour, chaque instant ne sert qu'à les aigrir. v.172 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  61. Crois-tu donc qu'oubliant la gloire où j'étais née, v.173 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  62. Théone, il faut du sang pour laver mon affront : v.180 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  63. Lasse de fatiguer le ciel de tant de voeux, v.184 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  64. Sans force, sans secours, même sans espérance, v.186 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  65. Mes plus vaillants soldats par le fer immolés, v.187 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  66. Je fus contrainte enfin, sans bruit, presque sans suite, v.189 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  67. Dans l'ombre de la nuit d'envelopper ma fuite, v.190 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  68. Et d'aller, m'arrachant au bras de mon vainqueur, v.191 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  69. Quand Sabinus, conduit par de plus courts chemins, v.196 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  70. Tu sauras seulement que, dans nos mains sanglantes, v.201 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  71. Le désespoir rendit nos armes plus tranchantes. v.202 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  72. L'astre qui nous luisait de tant de sang pâlit, v.203 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  73. Mais que peut la valeur quand le nombre est extrême ? v.205 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  74. Je cédai sans me rendre ; et Sabinus lui-même, v.206 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  75. En m'imposant des fers, adora mes appas, v.207 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  76. Il m'aime ; et, dans l'ardeur du courroux qui m'entraîne, v.209 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
  77. Je n'ai haï dans vous qu'un fils d'une romaine ; v.222 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
  78. Dans la commune horreur vous étiez confondu ; v.223 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  79. J'ai toujours cependant reconnu la vertu : v.224 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  80. Mais plus dans un Romain je la voyais paraître, v.225 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  81. Lorsque je la trouvais dans un sang odieux. v.228 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  82. Mais, sans examiner si j'aime ou si je hais, v.232 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  83. Que du ciel en courroux la foudroyante flamme, v.234 (Acte 1, scène 5, SABINUS)
  84. Que l'enfer sous mes pas s'ouvrant... v.235 (Acte 1, scène 5, SABINUS)
  85. Je prétends qu'un amant, sans l'aide des paroles, v.238 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
  86. À travers des dangers courant se faire jour, v.239 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  87. Avec des traits de sang peindre à vos yeux ma flamme. v.242 (Acte 1, scène 5, SABINUS)
  88. Déterminez. Faut-il, en vous tirant des fers, v.243 (Acte 1, scène 5, SABINUS)
  89. Et, contre le Romain armant le Romain même... v.249 (Acte 1, scène 5, SABINUS)
  90. Madame, à ces transports connaîtrez-vous si j'aime ? v.250 (Acte 1, scène 5, SABINUS)
  91. Depuis cinq ans et plus, l'Orient sous mes lois, v.251 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
  92. Le sort serait douteux ; ma rapide vengeance v.253 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  93. Aux transports de cet ardent courage, v.257 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
  94. C'est lui qu'il faut percer. Quoi ! Ce grand cour balance ! v.265 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
  95. Le succès important de mes hardis desseins ? v.272 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
  96. Qu'espérez-vous encor ? Quand on y peut monter, v.275 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  97. Vous n'aurez pas plus tôt embrassé ma vengeance, v.277 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  98. Que l'Orient, en vous respectant ma puissance, v.278 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  99. Se ranger en un jour près de vos étendards ; v.280 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  100. Vous verrez près de vous les brigands de Syrie, v.281 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  101. La Perse, sous vos lois dressant ses pavillons, v.283 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  102. Les habitants épars des sommets de Nyphate, v.285 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  103. Et Firmus, ralliant les mécontents épars, v.295 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  104. De mettre dans mes mains, pour un sceptre, des fers, v.315 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
  105. Et d'un sang innocent inonder l'univers ? v.316 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  106. Mais, quand il faut saisir l'occasion offerte v.318 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  107. Pour purger l'univers d'un tyran odieux, v.319 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  108. Et rendre la vertu du vice triomphante : v.322 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  109. Mais hâte-toi ; peut-être avant la fin du jour v.331 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
  110. Du sein d'un empereur sortir toute fumante ! v.338 (Acte 1, scène 6, SABINUS)
  111. D'un prince qui pour moi prodiguant ses faveurs... v.339 (Acte 1, scène 6, SABINUS)
  112. Tout mon sang en frémit. Trop cruelle princesse, v.341 (Acte 1, scène 6, SABINUS)
  113. Quoi ! Seigneur, quand le ciel, secondant vos guerriers, v.347 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  114. Tout rit à vos désirs, dans vos mains Zénobie v.353 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  115. Et César maintenant peut nous dire, à son choix, v.355 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  116. Cher ami, ce grand jour éclairera ma honte ; v.357 (Acte 2, scène 1, AURÉLIEN)
  117. Et, parmi tant de rois, je crains qu'on ne me compte. v.358 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  118. Vous commandez, seigneur, du couchant à l'aurore, v.365 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  119. Le Tage avec le Rhin s'incline devant vous, v.367 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  120. D'où naît dans votre cour l'ennui qui vous traverse ? v.369 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  121. Et, tenant dans vos fers Zénobie et Sapor, v.371 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  122. Pour garantir mon cour d'un funeste poison, v.379 (Acte 2, scène 1, AURÉLIEN)
  123. J'oppose à mon amour mon rang et ma naissance, v.381 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  124. Le sénat, la vertu, vingt ans d'indifférence : v.382 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  125. Où ton bras triomphant ramena dans ces lieux v.387 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  126. Une princesse, hélas ! trop charmante à mes yeux, v.388 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  127. Je ne me connais plus, ma grandeur m'importune ; v.389 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  128. J'erre dans ce palais, inquiet, incertain ; v.391 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  129. Je fuis, mais vainement, j'ai le trait dans le sein. v.392 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  130. Porter aux ennemis sa beauté dangereuse ? v.398 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  131. Ne présumais-tu pas, en voyant tant de charmes, v.401 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  132. Et ton bras pouvait-il, la mettant dans mes mains, v.403 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  133. Quoi ! Sur une captive attachant vos regards, v.407 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
  134. Trop cher, quand il le doit acheter de son cour. v.420 (Acte 2, scène 1, AURÉLIEN)
  135. J'aime cependant, j'aime ; et, malgré moi, mon âme v.421 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  136. Rome, dans ce moment, et l'armée, attentives, v.425 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  137. À célébrer l'éclat d'une si grande fête. v.430 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  138. Ismène, dans ces lieux par mon ordre conduite, v.433 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
  139. Semble, dans ce moment, redouter cette vue. v.442 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  140. Et l'amour, me forçant à rompre le silence, v.445 (Acte 2, scène 2, AURÉLIEN)
  141. Par ce honteux aveu commence sa vengeance. v.446 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  142. Firmin, je fais venir Ismène dans ces lieux v.447 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  143. D'un prétexte apparent couvrant leurs attentats, v.456 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  144. Et se nommant tout haut vengeurs de la patrie, v.457 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  145. Ne souffre point au trône aucun sang étranger : v.460 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  146. Des moissons de lauriers, votre rang, vos vertus, v.463 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  147. Des rois chargés de fers, des tyrans abattus : v.464 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  148. Quand la liberté parle, on ne veut rien entendre. v.466 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  149. Ne verra plus en vous que le sang des Tarquins ; v.468 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  150. Et cet affront rendant ses fureurs légitimes, v.469 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  151. S'allumer dans les cieux et menacer ma tête, v.474 (Acte 2, scène 2, AURÉLIEN)
  152. Je maintiendrai sans lui l'honneur du diadème ; v.481 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  153. Et dans ce dur chemin où j'ai su m'avancer, v.487 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  154. En vain par mille exploits on a su s'avancer, v.499 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  155. À se lasser bientôt dans ces routes austères, v.502 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  156. De laisser sa vertu seule dans la balance v.509 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  157. L'emporter sur le poids de toute sa puissance ! v.510 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
  158. Que fais-je cependant dont ma gloire s'offense ? v.517 (Acte 2, scène 2, AURÉLIEN)
  159. Quels tyrans sont en paix ? Quels Romains sont proscrits ? v.519 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  160. Mes arrêts au sénat de sang sont-ils écrits ? v.520 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  161. Traîner dans le repos une indolente vie ? v.522 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  162. Mais on vient. Que je sens de trouble dans mon âme ! v.529 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
  163. Marquaient partout mes pas et volaient devant moi : v.532 (Acte 2, scène 3, AURÉLIEN)
  164. Je viens, plein des transports d'une flamme indiscrète, v.533 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  165. Me mettre dans vos fers, et dire, à vos genoux, v.535 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  166. Qu'il n'est plus dans ces lieux d'autre vainqueur que vous. v.536 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  167. Après de vains efforts, m'a mise dans vos fers : v.540 (Acte 2, scène 3, ISMÈNE)
  168. Et le plus grand de tous, sans espoir, sans secours, v.543 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  169. Tout le feu de mes yeux s'est éteint dans mes larmes ; v.546 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  170. Avait, en vous touchant, si mal servi mon cour. v.548 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  171. Madame, je sais bien qu'un soupir dans ma bouche v.549 (Acte 2, scène 3, AURÉLIEN)
  172. Que vous changez le nom d'empereur, de vainqueur, v.551 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  173. En celui de tyran et de persécuteur : v.552 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  174. Mais enfin, si jamais dans une âme hautaine, v.553 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  175. Madame, on n'a jamais ressenti tant de feux ; v.556 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  176. Et je dois renoncer sans peine à la grandeur v.567 (Acte 2, scène 3, ISMÈNE)
  177. Ne seront pas encor dans ce jour exaucés. v.576 (Acte 2, scène 3, AURÉLIEN)
  178. Je crois peu que l'état où le ciel l'abandonne v.577 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  179. Mais, sans trop pénétrer, peut-on savoir, madame, v.581 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  180. J'avouerai seulement qu'en ma plus tendre enfance, v.585 (Acte 2, scène 3, ISMÈNE)
  181. Quand mes jours plus sereins coulaient dans l'innocence v.586 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  182. Une mère, avant moi, formant ces noeuds si doux, v.587 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  183. Chaque jour, chaque instant vient irriter l'ardeur v.591 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  184. Qui, flattant mes désirs, s'empare de mon cour. v.592 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  185. Quand je le vois, seigneur, une furtive joie v.593 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  186. Dans nies yeux indiscrets malgré moi se déploie ; v.594 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  187. Vole au-devant de lui, dans mon sein trop serré : v.596 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  188. Quand je ne le vois plus, une langueur secrète v.597 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  189. Je le cherche et lui parle en secret dans mon cour. v.600 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  190. Mes fers sont à mon bras moins pesants que les siens ; v.604 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  191. Par de plus doux transports il ne saurait paraître. v.609 (Acte 2, scène 3, AURÉLIEN)
  192. J'ai donc senti l'amour, seigneur, sans le connaître : v.610 (Acte 2, scène 3, ISMÈNE)
  193. À ce tendre penchant mon .cour accoutumé v.611 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  194. De sa naissante ardeur ne s'est point alarmé. v.612 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  195. Trouvant dans mon amour mon devoir même à suivre, v.613 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  196. J'ai commencé d'aimer en commençant à vivre ; v.614 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  197. Et, le temps confirmant mes feux de jour en jour, v.615 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  198. Trop contente, en mourant, de te le pouvoir dire : v.621 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  199. Ayant vécu pour toi, c'est pour toi que j'expire. v.622 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
  200. À ces égarements, à ces transports, madame, v.625 (Acte 2, scène 3, AURÉLIEN)
  201. Qu'un amant, couronné de plus d'un diadème, v.629 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  202. Prétend être entendu quand il a dit qu'il aime. v.630 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  203. Et, m'abandonnant trop aux transports de mon âme, v.633 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
  204. Et les jaloux transports qui déchirent son cour ? v.644 (Acte 2, scène 4, ISMÈNE)
  205. Il eût abandonné les grandeurs de sa cour ; v.648 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
  206. Que, prodiguant pour moi son sang avec sa vie, v.649 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
  207. Et, pour un faux brillant, je vendrais en un jour v.671 (Acte 2, scène 4, ISMÈNE)
  208. Fierté, haine, parents, gloire, vengeance, amour ! v.672 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
  209. Moi, j'irais, me couvrant d'une honte éternelle, v.673 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
  210. Quoi ! Votre cour encor dans mon sort s'intéresse ! v.682 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  211. Je puis, sans vous blesser, m'offrir à vos regards ! v.684 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  212. Vous me voyez sans peine ; et ces yeux pleins de charmes v.685 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  213. Daignent pour moi s'ouvrir et répandre des larmes ! v.686 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  214. Aux honneurs éclatants de cent sceptres offerts ! v.688 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  215. Un mot changeait l'état de votre destinée ; v.689 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  216. Cependant, plus sensible au feu qui vous inspire, v.693 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  217. Vous abandonnez tout, gloire, grandeurs, empire, v.694 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  218. D'un trône abandonné frivole récompense ; v.697 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  219. Et, pour comble d'ennui (j'en rougis quand j'y pense), v.698 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  220. Au mépris des grandeurs où j'allais renoncer. v.704 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
  221. Mais mon cour à changer n'a point mis son étude, v.706 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
  222. Mais, à quelque grandeur où m'élève l'empire, v.710 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
  223. Songez-vous qui je suis ? Ah, princesse charmante ! v.713 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  224. Mon âme en ce moment sur mes lèvres errante, v.714 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  225. Hélas ! Quand une fois on a vu vos appas, v.723 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  226. De vous aimer autant que vous êtes aimable. v.726 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  227. Hélas ! Pour tant d'ardeur, pour prix de tant d'amour, v.727 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
  228. D'un dangereux rival j'aigris la jalousie, v.729 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
  229. J'allume ses transports, j'excite sa furie : v.730 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
  230. Ne jouit qu'en tremblant du bien de votre vue : v.734 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
  231. Verserait dans mon cour ce funeste poison ? v.752 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  232. Mon cour, en vous faisant un ardent sacrifice, v.757 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  233. Pénétré de vos feux, c'est vous qui m'animez, v.759 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  234. Et je ne vis enfin qu'autant que vous m'aimez : v.760 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
  235. De vos ardents transports calme la violence ; v.766 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
  236. Je me serais gardé de m'offrir devant vous. v.768 (Acte 3, scène 2, AUR?LIEN)
  237. Si j'en crois mes regards, dans l'excès de ce zèle, v.769 (Acte 3, scène 2, AUR?LIEN)
  238. Ce que pense un amant de ses feux pénétré, v.775 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  239. Ma bouche lui disait, quand vous êtes entré. v.776 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  240. L'amour le plus puissant, quand le malheur l'inspire : v.782 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
  241. Quel dangereux rival vous traverse et vous nuit. v.784 (Acte 3, scène 2, AUR?LIEN)
  242. Vous a-t-on fait savoir qu'il fallait dans votre âme v.785 (Acte 3, scène 2, AUR?LIEN)
  243. Il est vrai qu'en tout temps un puissant empereur v.795 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  244. À travers cent rivaux se fait jour dans un cour : v.796 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  245. Tout fléchit devant lui, tout cède, tout fait place ; v.797 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  246. Et qui, dès leur naissance au trône accoutumés, v.803 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  247. S'il s'en trouvait quelqu'un, une juste puissance v.805 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
  248. M'assurerait toujours de son obéissance : v.806 (Acte 3, scène 2, AUR?LIEN)
  249. D'une esclave orgueilleuse on sait tirer vengeance ; v.809 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
  250. Vous m'eussiez épargné ces discours insultants ; v.812 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  251. Avant qu'aux champs fumants d'Émesse et de Larisse v.813 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  252. Ces mots dans votre bouche auraient pu se suspendre ; v.818 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  253. En tout temps, en tous lieux, en me voyant paraître, v.821 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
  254. Et je demanderais, pour être satisfait, v.835 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  255. D'être aimé seulement autant que l'on vous hait. v.836 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
  256. C'est trop par des raisons fatiguer ma constance : v.838 (Acte 3, scène 3, AURÉLIEN)
  257. Autant que l'on me hait !... v.840 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
  258. Redoutez les transports d'un aveugle courroux ; v.843 (Acte 3, scène 3, AURÉLIEN)
  259. Tout demande sa mort, l'armée et le sénat : v.848 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
  260. Je dois à l'univers cette grande victime, v.850 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
  261. S'il vous demande encore un nouveau sacrifice, v.854 (Acte 3, scène 3, ISMÈNE)
  262. Vous tenez dans vos mains et sa vie et sa mort : v.860 (Acte 3, scène 3, AURÉLIEN)
  263. Il mourra donc, grands dieux ! Quoi ! Ma bouche perfide v.865 (Acte 3, scène 3, ISMÈNE)
  264. Et, quand je le pourrais, ah ! Ne serait-ce pas, v.867 (Acte 3, scène 3, ISM?NE)
  265. Loin de sauver ses jours, avancer son trépas ? v.868 (Acte 3, scène 3, ISM?NE)
  266. Je puis donner l'essor à ma juste vengeance ; v.877 (Acte 3, scène 3, AURÉLIEN)
  267. Qu'il meure. En le voyant sans vie à vos genoux, v.879 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
  268. J'immolerai l'amour et l'amant, pour vous plaire ; v.882 (Acte 3, scène 3, ISMÈNE)
  269. Peut-être dans mes yeux il lira le contraire. v.886 (Acte 3, scène 3, ISM?NE)
  270. Mais n'importe ; ma bouche, arrêtant leurs effets, v.887 (Acte 3, scène 3, ISM?NE)
  271. Dans cet aveu contraint, source de votre ennui, v.895 (Acte 3, scène 3, AURÉLIEN)
  272. Il se répand un bruit que je ne crois qu'à peine ; v.901 (Acte 3, scène 4, ZÉNOBIE)
  273. On dit que dans ce jour vous épousez Ismène : v.902 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  274. Et dans tout ce palais se trouve répandu. v.904 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  275. Immoler sa vengeance, et, vous donnant la main, v.911 (Acte 3, scène 4, ZÉNOBIE)
  276. Vendre le sang d'un père à son lâche assassin. v.912 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  277. Depuis quand, en quel lieu, comment, et par quels droits v.915 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  278. Et vous reproche un sang que vous ne vengez pas ? v.920 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  279. Non, ce n'est point mon sang qui coule dans tes veines ; v.922 (Acte 3, scène 4, ZÉNOBIE)
  280. Je ne t'ai point portée, ingrate, dans ce sein, v.923 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  281. Et tu n'as, en naissant, sucé qu'un lait romain. v.924 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  282. Sont-ce là ces transports de haine et de vengeance v.925 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  283. Dont j'ai toujours pris soin de nourrir ton enfance ? v.926 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  284. Les intérêts du sang, et les droits de l'amour ? v.928 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
  285. Tu soupires ! Voilà les transports de ta haine, v.930 (Acte 3, scène 4, ZÉNOBIE)
  286. Madame, jusqu'à quand voulez-vous m'insulter ? v.932 (Acte 3, scène 4, AURÉLIEN)
  287. Dois-je encor porter loin l'excès de ma constance ? v.934 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
  288. Qu'en répandant sur vous un rayon de ma gloire, v.937 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
  289. Je conduis dans ce jour votre fille à l'autel. v.952 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
  290. Vous, madame, arrêtez l'effet de ma puissance ; v.953 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
  291. Mon amour est encor plus fort que ma vengeance. v.954 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
  292. M'entraînant à l'autel, triomphe de mes voux : v.964 (Acte 3, scène 5, ISMÈNE)
  293. Sans ce dur sacrifice et cet hymen, hélas ! v.967 (Acte 3, scène 5, ISM?NE)
  294. Le jour de son trépas ! Dieux ! Quelle tyrannie ! v.969 (Acte 3, scène 5, ZÉNOBIE)
  295. Un mouvement secret dans le fond de mon cour v.983 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  296. Vos beaux yeux dans mon cour excitent la vengeance ; v.986 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  297. Quel changement soudain ! Qui cause dans votre âme v.989 (Acte 3, scène 6, ZÉNOBIE)
  298. Ce retour dans mon cour ?... v.990 (Acte 3, scène 6, Z?NOBIE)
  299. On vous aime, on me tue aujourd'hui dans ces lieux. v.991 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  300. Changeons, par un seul coup, ses lauriers en cyprès ; v.996 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  301. Ces transports, ces fureurs dont votre âme est saisie, v.1001 (Acte 3, scène 6, ZÉNOBIE)
  302. Pourvu que le tyran tombe mort à vos pieds ? v.1004 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  303. Ce généreux courroux, confondu dans mon âme v.1005 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  304. Mon cour est amoureux autant qu'il est jaloux. v.1008 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  305. L'hymen que dans ces lieux par votre ordre on apprête, v.1010 (Acte 3, scène 6, ZÉNOBIE)
  306. Ces flambeaux dont votre âme a conçu tant d'effroi v.1011 (Acte 3, scène 6, Z?NOBIE)
  307. Amour, plus que mes fers, dangereux à ma gloire. v.1017 (Acte 3, scène 6, ZÉNOBIE)
  308. Je vous écoute moins que mes transports jaloux ; v.1019 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  309. Le bruit de cet hymen, qui vient de se répandre, v.1025 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  310. Allons, madame, allons, volons à la vengeance. v.1029 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  311. Déjà plein des transports de mon impatience, v.1030 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  312. J'ai couru chez Sapor en venant dans ces lieux ; v.1031 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  313. Le succès du complot est écrit dans ses yeux. v.1032 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  314. Je vais tout préparer pour ce grand sacrifice, v.1033 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
  315. Ah ! Suivez les transports dont vous êtes épris, v.1035 (Acte 3, scène 6, ZÉNOBIE)
  316. Ma raison me trahit, ma vertu m'abandonne ; v.1038 (Acte 4, scène 1, ISMÈNE)
  317. Je cours dans ce palais sans savoir où je suis ; v.1040 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  318. Où le sang de mon père est fumant à mes yeux ? v.1048 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  319. Dieux ! Que deviendra-t-il, quand ma bouche cruelle v.1049 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  320. Quand il m'entendra dire, interdit et confus, v.1051 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  321. Cet hymen se célèbre à vos yeux dans ce jour, v.1055 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  322. Fuyons, fuyons, Théone, au sein d'un antre horrible ; v.1058 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  323. Cachons-nous dans l'horreur des plus sauvages lieux ; v.1059 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  324. Où puis-je aller, grands dieux ! Quels chemins sont ouverts ? v.1063 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
  325. Sous un climat brûlant, ou sous de froids climats ; v.1068 (Acte 4, scène 1, THÉONE)
  326. Sans en aller si tôt infecter les enfers. v.1076 (Acte 4, scène 1, ISMÈNE)
  327. Et frustrant l'empereur du don de votre main, v.1079 (Acte 4, scène 1, THÉONE)
  328. Que t'ai-je fait, grands dieux ! Par quel affreux courroux v.1083 (Acte 4, scène 1, ISMÈNE)
  329. Dans le trouble où je suis ne m'abandonne pas. v.1088 (Acte 4, scène 2, ISMÈNE)
  330. Il va m'ouvrir bientôt, en signalant mes coups, v.1091 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  331. Sabinus, dans l'armée excitant sa puissance, v.1093 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  332. Des Romains courroucés irrite la vengeance ; v.1094 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  333. Mais que vois-je, grands dieux ! Et quel sombre nuage v.1097 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  334. Quel changement ! Pourquoi détournez-vous vos yeux ? v.1099 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  335. Qui devait animer et mon bras et mon cour ! v.1108 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  336. Pour vous dans les hasards je cours en téméraire ; v.1110 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  337. Je me livre au destin ; quel_que_soit le danger, v.1111 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  338. De vous avoir laissée un moment dans les fers. v.1116 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  339. Servaient à méditer une illustre vengeance, v.1118 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  340. Et que, tout malheureux et tout abandonné, v.1119 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  341. Et pourquoi verse-t-on du sang avec ces armes ? v.1122 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  342. Quelle secrète horreur dans moi va se répandre ! v.1126 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  343. L'ai-je bien entendu, grands dieux ! J'en doute encor. v.1127 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  344. L'amour, ce tendre amour, est banni de votre âme ; v.1130 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  345. Au lieu de condamner votre esprit inconstant, v.1139 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  346. Je vous pardonne tout, si j'en puis faire autant. v.1140 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  347. Votre amour s'irritant au milieu des malheurs, v.1147 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  348. Vous oublieriez pour moi le trône et ses grandeurs ? v.1148 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  349. Ma raison prévenue, et mon cour enchanté... v.1155 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  350. Non, je n'étais point fait pour tant de cruauté. v.1156 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  351. J'y vais avec plaisir : il faut du sang, madame, v.1165 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  352. Vous fait chercher la mort avec tant de fureur ? v.1168 (Acte 4, scène 2, ISMÈNE)
  353. Hé ! Pourquoi voulez-vous maintenant que je vive ? v.1170 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  354. Abandonné, trahi, désespéré, vaincu, v.1171 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  355. Ah, Théone ! Fuyons. La force m'abandonne. v.1174 (Acte 4, scène 2, ISMÈNE)
  356. Vous me fuyez dans ce moment fatal ; v.1175 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  357. Vous courez vous jeter dans les bras d'un rival ! v.1176 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  358. Vous me voyiez courir dans les périls des armes, v.1178 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  359. Lorsque, nous séparant par de tendres adieux, v.1179 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  360. Me fuyiez-vous ainsi, quand ma main fortunée v.1181 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  361. Quand, revenant vainqueur, j'étalais à vos pieds v.1183 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  362. Des javelots brisés, des aigles menaçantes, v.1185 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  363. Du sang des ennemis encore dégoûtantes, v.1186 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  364. Tout couvert de lauriers, et tout brillant de gloire, v.1189 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  365. Que le plaisir charmant de vous la raconter, v.1191 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  366. Pour qui donc ai-je mis tant de villes en cendre ? v.1193 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  367. Pour qui coulait le sang que l'on m'a vu répandre ? v.1194 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  368. Apaiser, par mon sang, les mânes murmurants. v.1196 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  369. Mon bras leur eût offert un sanglant sacrifice, v.1198 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  370. Blanchir des ossements dont ils étaient comblés : v.1200 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  371. C'était peu que, traînant les horreurs de la guerre, v.1201 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  372. De vastes flots de sang j'eusse inondé la terre ; v.1202 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  373. Il me fallait encor, par de plus grands travaux, v.1203 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  374. Changer l'ordre du ciel, faire rougir les eaux, v.1204 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  375. De cadavres romains dans leur cours arrêtés, v.1208 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  376. Remonter vers leur source, et cherchant un passage, v.1209 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  377. S'égarer dans les champs voisins de son rivage. v.1210 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  378. Quel fruit de mes travaux, grands dieux ! N'en parlons plus ; v.1211 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  379. Je le dirai pourtant : du destin poursuivie, v.1221 (Acte 4, scène 2, ISMÈNE)
  380. Ah ! Dans mon désespoir, v.1223 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  381. Tandis que d'autre part, en proie à ma fureur, v.1227 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  382. Qu'il me tarde de voir mon bras, de sang avide, v.1229 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  383. Se perdre dans le sein du traître, du perfide ! v.1230 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  384. Lorsque dans les combats je signalais mes coups, v.1231 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  385. Cruel, tu périras, et ton sang va couler ! v.1236 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  386. Tremblante pour ses jours, dans son sort s'intéresse ; v.1238 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  387. Si, pressé du transport d'une jalouse rage, v.1241 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  388. Ailleurs que dans le mien, infidèles, imparfaits, v.1244 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  389. Et si, l'amour rendant ma fureur légitime, v.1245 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  390. J'immole, en me frappant, une double victime. v.1246 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
  391. Je tremble, je chancelle, et je ne puis parler. v.1248 (Acte 4, scène 2, ISMÈNE)
  392. Déchirons maintenant ce voile de constance v.1250 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  393. Ô trop flatteur espoir, détruit dans sa naissance ! v.1261 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  394. À quel point se réduit toute mon espérance ! v.1262 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  395. Je ne vous verrai plus ! Quel mot épouvantable ! v.1266 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  396. Est-ce la mort, grands dieux ! Qui cause mes alarmes ? v.1269 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  397. Quand on ne peut encor renoncer à l'amour ? v.1272 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  398. Qui pourra vous aimer autant que je vous aime, v.1273 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  399. Quand, de vos cruautés mettant puni moi-même, v.1274 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  400. Je serai descendu dans l'infernale horreur ? v.1275 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  401. Mais quel transport jaloux s'élève dans mon cour ? v.1276 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  402. Quoi ! L'on vous aimera (j'en frémis quand j'y pense), v.1277 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  403. Pour un nouvel amant plus que pour moi fidèle ? v.1282 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  404. Non, je serai vengé dans le sein du trépas. v.1283 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  405. Mais, tandis que je vis, vengeons-nous par mon bras. v.1284 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  406. Que l'amour dans mon cour se convertisse en rage : v.1286 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  407. D'un orgueilleux rival allons percer le flanc, v.1287 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  408. Et noyons son amour dans les flots de son sang. v.1288 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
  409. Ismène, votre fille ! Et dans quel temps, grands dieu^ ! v.1295 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  410. Lorsque je vais verser tout mon sang à ses yeux ; v.1296 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  411. Dans l'erreur où j'étais de la croire fidèle ? v.1302 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  412. J'aurais abandonné ma languissante vie v.1305 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  413. D'un tyrannique amour déplorable victime, v.1309 (Acte 4, scène 4, ZÉNOBIE)
  414. Son infidélité, dans ce jour malheureux, v.1311 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
  415. Bien plus que sa constance, a fait briller ses feux. ' v.1312 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
  416. Ismène a consenti, dans ce funeste jour, v.1323 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
  417. Pour sauver son amant, d'immoler son amour ! v.1324 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
  418. Quoi ! Malgré ses froideurs, Ismène, dans son cour, v.1327 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  419. Pardonnez aux transports d'un trop crédule amant ; v.1332 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  420. Maintenant que je sais le prix de vos combats, v.1335 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  421. Que quand vous me direz que vous ne m'aimez pas. v.1336 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  422. Plus que la vérité, dans mon malheur vous jette : v.1338 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  423. Car enfin deux amants, en cette extrémité, v.1339 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  424. Tout mentait dans Ismène ; et ses regards timides v.1345 (Acte 4, scène 4, ZÉNOBIE)
  425. On l'observait, grands dieux ! Ah ! Courons, hâtons-nous : v.1348 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  426. Hélas ! Dans les transports qui déchiraient mon âme, v.1350 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  427. Je sens que dans mon cour l'espoir s'évanouit. v.1352 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
  428. Il n'est plus temps ici de se répandre en plaintes ; v.1361 (Acte 4, scène 4, ZÉNOBIE)
  429. Dans mon appartement Sabinus va se rendre ; v.1365 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
  430. Enflammé par l'amour, animé par la gloire, v.1369 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
  431. L'ardeur de la vengeance v.1377 (Acte 5, scène 1, ISMÈNE)
  432. Est un faible secours contre tant de puissance. v.1378 (Acte 5, scène 1, ISM?NE)
  433. Mais, avant de partir, vois ces voûtes sanglantes, v.1381 (Acte 5, scène 1, ZÉNOBIE)
  434. Du meurtre de ton père encor toutes fumantes ; v.1382 (Acte 5, scène 1, Z?NOBIE)
  435. Pour aller dans ton cour exciter des remords, v.1388 (Acte 5, scène 1, Z?NOBIE)
  436. Les moments sont trop lents, je cours à la vengeance. v.1392 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  437. Il est temps maintenant que le ciel se déclare. v.1395 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  438. En versant tout mon sang, je puis laver l'erreur. v.1398 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  439. Dans le temps que pour moi votre tendresse éclate, v.1399 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  440. Dans ce moment pourtant, vos yeux en sont témoins, v.1401 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  441. Et, n'accusant que moi d'une fausse inconstance, v.1403 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  442. Que triomphant, ou mort. v.1414 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  443. Si je vous exposais aux horreurs du danger, v.1417 (Acte 5, scène 2, ISMÈNE)
  444. Dans les nobles transports du courroux qui m'anime, v.1423 (Acte 5, scène 2, ISMÈNE)
  445. J'y cours pour immoler un tyran odieux ; v.1425 (Acte 5, scène 2, ISM?NE)
  446. Je renonce, à ce prix, madame, à la vengeance : v.1427 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  447. Vous allez à l'autel flatter son espérance ; v.1428 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  448. Ah ! Quand il y devrait expirer de vos coups, v.1429 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
  449. Ciel ! Conservez Sapor, j'abandonne le reste. v.1436 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
  450. Quand vos larmes tantôt m'en demandaient le cours : v.1446 (Acte 5, scène 3, AURÉLIEN)
  451. Il faut qu'auparavant la mienne soit ravie. v.1452 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
  452. Crains, tant que je respire, un coup mal arrêté. v.1457 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
  453. Et vous pouvez, seigneur, commander qu'il périsse ? v.1460 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
  454. Et mourant en ce jour, à vos yeux et pour vous, v.1465 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
  455. Tout le regret que j'ai d'abandonner la vie v.1468 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
  456. D'en sortir sans punir un tyran tel que toi. v.1470 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
  457. Trop heureux en mourant de causer vos alarmes ! v.1477 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
  458. Et mon sang est cent fois trop payé de vos larmes. v.1478 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
  459. Arrête, cher amant, je vole sur tes pas, v.1481 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
  460. M'unir à toi du moins dans le sein du trépas : v.1482 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
  461. Ah, cruels ! De quel sang arrosez-vous la terre ! v.1503 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
  462. Le camp a-t-il déjà vu le sang d'un rebelle ? v.1516 (Acte 5, scène 5, AURÉLIEN)
  463. Et sa mort dans ces lieux est déjà répandue. v.1519 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  464. Que brûlant d'arriver au lieu de son trépas, v.1521 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  465. Son ardeur devant nous précipitait ses pas ; v.1522 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  466. Quand, bientôt parvenu sous ces pompeux portiques v.1523 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  467. Où des rois ses aïeux sont les bustes antiques : v.1524 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  468. « Arrêtons-nous ici, dit-il ; c'est dans ces lieux, v.1525 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  469. De répandre le sang que j'ai reçu de vous, v.1530 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  470. Ne l'ayant pu verser dans le sein de la guerre. » v.1531 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  471. À ces mots se taisant, d'une intrépide main v.1537 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  472. Il enfonce le fer promptement dans son sein ; v.1538 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  473. Il se perce, son sang par deux canaux bouillonne. v.1539 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  474. Ce spectacle sanglant n'offre rien qui l'étonne ; v.1540 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  475. Il sent glisser en lui la mort, sans se troubler ; v.1541 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  476. Et lui seul, sans effroi, voit tout son sang couler : v.1542 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  477. Le regard languissant, et la voix presque éteinte : v.1544 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  478. Ce prince s'affaiblit, chancelle, tombe, expire : v.1548 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  479. Je l'ai laissé, seigneur, sans forces, étendu v.1549 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  480. Parmi les flots de sang qu'il avait répandu ; v.1550 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
  481. Affermit pour jamais la puissance de Rome : v.1552 (Acte 5, scène 5, AURÉLIEN)
  482. Je n'ai plus rien à craindre, enfin ; et, dans ce jour, v.1553 (Acte 5, scène 5, AUR?LIEN)
  483. Crains que Sapor ne vive encore en ma vengeance : v.1560 (Acte 5, scène 5, ISMÈNE)
  484. Si de ton sang impur j'osais souiller mon bras : v.1562 (Acte 5, scène 5, ISM?NE)
  485. Dans les frémissements de mon horreur extrême, v.1563 (Acte 5, scène 5, ISM?NE)
  486. L'aurais-je dû penser ! Quel coup épouvantable ! v.1568 (Acte 5, scène 5, ZÉNOBIE)
  487. J'irai, sans ton secours, dans la nuit du trépas : v.1570 (Acte 5, scène 5, ISMÈNE)
  488. Je te laisse, en mourant, un noble exemple à suivre. v.1571 (Acte 5, scène 5, ISM?NE)
  489. Si tu m'aimes, suis-moi dans le séjour affreux ; v.1573 (Acte 5, scène 5, ISM?NE)
  490. Viens m'y voir dans les bras de ton rival heureux. v.1574 (Acte 5, scène 5, ISM?NE)
  491. Mais que dis-je ? Grands dieux ! Égarée, éperdue... v.1575 (Acte 5, scène 5, ISM?NE)
  492. Que ce fer malheureux dans vos mains était mis ? v.1581 (Acte 5, scène 5, ZÉNOBIE)
  493. C'est moi, c'est ma fureur qui lui mit dans la main v.1585 (Acte 5, scène 6, ZÉNOBIE)
  494. Ce poignard tout sanglant pour t'en percer le sein. v.1586 (Acte 5, scène 6, Z?NOBIE)
  495. Tu m'as ravi, perfide, empire, enfants, époux ; v.1589 (Acte 5, scène 6, Z?NOBIE)
  496. Que ne furent jamais époux, enfants, empire : v.1591 (Acte 5, scène 6, Z?NOBIE)
  497. J'aime mieux voir ma fille, avançant son trépas, v.1593 (Acte 5, scène 6, Z?NOBIE)
  498. Dans le sein de la mort, cruel ! Que dans tes bras. v.1594 (Acte 5, scène 6, Z?NOBIE)

ARLEQUIN AUX ENFERS (1689)

  1. Je suis tombée plus de cent fois ; et sans Pierrot... (Acte 1, scène 1, COLOMBINE)
  2. Tu n'avais que faire de te donner tant de peine. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  3. Les méchantes femmes sont de liège, et ne vont jamais à fond. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  4. Il y a huit jours que nous marchons sans débrider. (Acte 1, scène 1, PIERROT)
  5. Cela a été un peu chaud ; mais est-ce qu'on vous a pris pour du train dans notre quartier ? (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  6. Cela est scandaleux. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  7. Mais rien ne peut m'arrêter quand la gloire m'appelle. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  8. Et depuis quand donc les musiciens sont-ils devenus si braves ? (Acte 1, scène 1, COLOMBINE)
  9. Ils enragent de se battre quand ils ne voient personne. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
  10. « J'ai appris, mon petit mignon, que vous vous mêlez de chanter et de racler le boyau. (Acte 1, scène 1, AMPHION)
  11. Que cela ne vous arrive plus ; car je vous ferais chanter sur un diable de ton. (Acte 1, scène 1, AMPHION)
  12. Je veux vous voir les instruments à la main, quoique vous ne soyez qu'un chantre du Pont-Neuf, et que vous ne deviez chanter qu'avec des grenouilles, ou braire avec des ânes comme vous. » (Acte 1, scène 1, AMPHION)
  13. Si tu voulais me laisser faire, je ferais de bonnes connaissances, et nous n'en serions pas plus mal. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  14. Autrefois, quand tu étais absent, je ne manquais de rien. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  15. Tant pis, morbleu, tant pis ! (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  16. Ces maris se mettent d'abord cent choses dans la tête. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  17. N'est-ce pas celui qui a le laboratoire au collège des Quatre-Nations, qui vend du chocolat volatil, de la crème de perle et du sirop de diamants ? (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  18. Mais je crois que tu gagnerais bien davantage si ton secret le délivrait de sa femme. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  19. Qu'une coquette soit décriée, que sa conduite soit la plus raboteuse du inonde, elle n'a qu'à changer de quartier, ne plus voir d'hommes, et prendre une pincée de ma poudre dans un bouillon, en trois mois elle fera assaut de vertu avec les plus vestales. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  20. Tu sais bien que, quand je joue de ma lyre, je fais tout venir à moi. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  21. Je n'ai qu'à aller aux Invalides, je servirai de grue pour monter les pierres, et on me paiera comme trente manoeuvres ensemble. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  22. Fais-toi plutôt maître à chanter ; on te donnera deux louis d'or par mois, et tu trouveras peut-être quelque écolière à qui tu ne déplairas pas ; car voilà la grippe des femmes d'aujourd'hui. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  23. Je te dis qu'il n'y a pas une plus jolie vacation au monde ; on est de tous les bons repas ; jamais de promenades sans le maître à chanter : on se donne de petits airs de familiarité avec l'écolière ; on lui prend la main pour lui faire battre la mesure : le mari passe tout sur la foi de la musique, et il ne se doute pas, bien souvent, de la partie qu'on fait chanter à sa femme. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  24. Ne te mets pas en peine ; tu n'auras pas montré trois mois, que tu seras aussi doré que les maîtres à danser. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  25. Une écolière, en levant une jupe chez un marchand ; ne lève-t-elle pas aussi une veste pour son maître de musique ? (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  26. 'Voilà de jolis profits ; mais aussi on a bien de la peine : c'est un rude métier : il faut quelquefois chanter quand on a envie de boire. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  27. Mais n'importe, voilà qui est fait ; quand l'argent me manquera, je me jette dans la musique. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  28. Adieu ; je m'en vais chercher Orphée ; il n'a qu'à se bien tenir ; je lui ferai manger son violon jusqu'au manche. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  29. Ne manque pas d'en garder pour toi. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  30. À propos, qu'as-tu fait de nos enfants ? (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  31. Pour les cacher à cette âme damnée de Jupiter, qui nous en a tué déjà deux, j'en ai fait un ballot, que j'ai porté à la douane ; et je vais voir s'il est arrivé, pour en payer les droits. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
  32. Cette marchandise-là ne devrait pas beaucoup payer d'entrée ; elle paye assez à la sortie. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  33. Il est assez difficile, monsieur, de vous répondre juste sur ce que vous me demandez. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
  34. Tout ce que je puis vous dire, c'est que je ne me souviens pas d'avoir été plus grande. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
  35. Oui, charmante princesse, c'est vous. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  36. Je vous reconnais à vos flamboyantes prunelles. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  37. J'en suis pourtant toujours pour ce que j'ai dit, voilà qui est diablement chiffon. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  38. Si nous nous marions ensemble, jamais nos enfants n'entreront dans le régiment des gardes. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  39. Quand on a une femme à prendre, les plus petites sont toujours les meilleures. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  40. Suivant cette maxime-là, je suis donc fort bonne à marier ? (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
  41. J'enrage quand je vois ces petits embryons de cour vouloir faire assaut avec moi. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  42. Ce sont de plaisantes marmousettes ! (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
  43. J'ai le derrière un peu gros, tirant même sur le porteur de chaise ; mais mon médecin m'a promis qu'il me ferait en aller cela ; il m'a ordonné de prendre du petit-lait. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  44. Il m'a dit que c'était une humeur âcre, répandue dans le diaphragme du mésentère, et qui tombe sur l'omoplate. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  45. On se trompe quelquefois dans ce calcul-là, et l'on n'y trouve pas souvent tout le bonheur qu'on s'y était proposé. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
  46. Je suis doux, pacifique, aisé à vivre, l'humeur satinée, veloutée : j'ai vécu six ans avec ma première femme, sans avoir le moindre petit démêlé. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  47. Une fois seulement, après avoir pris du tabac, je voulais éternuer, elle me fit manquer mon coup ; de dépit, je pris un chandelier, je lui cassai la tête, et elle mourut un quart_d_heure après. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  48. Quand une femme doit mourir, il vaut bien mieux que ce soit de la main de son mari que de celle d'un médecin, qu'il faut bien payer, et qui vous la traînera six mois ou un an. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  49. Je n'aime point à voir languir le inonde ; et puis l'on gagne son argent par ses mains. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  50. Point du tout : je suis accoutumé au sang de jeunesse. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  51. Il a servi le roi trente-deux années. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  52. C'est que, comme il était fort charitable, lorsqu'il rencontrait quelque agonisant que l'on menait à la Grève, il se mettait avec lui dans la charrette, et l'aidait à mourir du mieux qu'il pouvait. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  53. Tous ses confrères les médecins (car il avait pris ses licences dans leur école) disaient qu'il n'y avait jamais eu un homme aussi adroit, et qu'on ne voyait point de besogne faite comme la sienne : aussi l'avaient-ils fait recteur de la Faculté. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
  54. Je ne demande que la petite oie. (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
  55. Et dans peu j'espère lui donner d'une potion cordiale qui l'empêchera d'avoir faim de longtemps. (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
  56. C'est-à-dire que voilà la manière dont vous traitez vos femmes, quand vous voulez les régaler : je suis votre très humble servante, je n'aime point la mort aux rats. (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
  57. Oui, si vous voulez me promettre de m'épouser, je vous promets, moi, de la faire crever dans deux jours comme un vieux mousquet. (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
  58. Voilà donc les transports de ton amour ? (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  59. Je vous promets de la faire crever dans deux jours. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  60. Non, je ne serai pas contente que je ne t'aie étranglé de mes propres mains. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
  61. Chalands, chalands, qui est-ce qui veut boire ? (Acte 1, scène 6, LE VENDEUR DE TISANE)
  62. Par ma foi, voilà une méchante carogne. (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
  63. Çà n'est morgué pas bien, tout franc. (Acte 1, scène 6, LE VENDEUR DE TISANE)
  64. Quand vous voulez battre une femme, que ne lui sanglez-vous un coup de bâton sur la tête, sans vous amuser à la faire crier deux heures ! (Acte 1, scène 6, LE VENDEUR DE TISANE)
  65. Allons, je veux faire la paix : je n'aime pas à voir de noise dans un ménage ; je veux vous raccommoder : venez çà. (Acte 1, scène 6, LE VENDEUR DE TISANE)
  66. Sans moi, vous vous seriez battus, et vous voilà les meilleurs amis du monde. (Acte 1, scène 6, LE VENDEUR DE TISANE)
  67. Vade retro, profane. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  68. Je vous demande pardon. (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  69. Et qui est le premier consignant pour entrer ici-bas à l'Académie. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  70. Je me promenais sur les bords du Cocyte, pour travailler plus en repos à ma harangue, et tu viens te jeter au travers de mes conceptions ! (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  71. Est-ce que vous faites vos harangues vous-même ? (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  72. Je sais bien que la plupart des académiciens, là-haut, ne se donnent pas cette peine-là, et que, pourvu qu'ils la sachent lire, on les reçoit tout d'une voix ; mais ce n'est pas de même ici ; et il ne suffit pas de savoir faire l'anatomie d'un mot, pour être l'interprète des mystères de notre diabolique Académie. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  73. Oui, cent ; cent cinquante, si vous me fâchez. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  74. C'est moi qui ai enrichi les comédiens français ; et il n'y avait point d'hiver que je ne leur donnasse sept ou huit pièces, tant sérieuses que comiques. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  75. Une comédie nouvelle, pour être bonne, ne doit se jouer qu'une fois ; quand elle va jusqu'à deux, ma foi, on s'ennuie. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  76. J'ai mis le siècle dans ce goût-là ; et, si vous y prenez garde, depuis moi, tous les auteurs donnent là-dedans. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  77. Ils ont raison, au bout du compte ; car, comme les bonnes choses aujourd'hui n'ont point de cours, pour peu qu'une méchante pièce puisse être représentée une fois, voilà les comédiens riches. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  78. Tout au contraire, je marquai, dans mes rôles, les endroits où l'on devait siffler, afin que l'acteur se reposât et qu'il reprit haleine. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  79. Quand cette quinte-là prend au parterre, il démonterait Titus et Bérénice. (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  80. Je m'étais, de mon vivant, abonné avec un marchand de sifflets, qui était, dans son métier, le premier homme du monde. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  81. Il en faisait pour la prose, pour les vers, pour les Français, pour les Italiens ; mais, ma foi, où il triomphait, c'était pour l'Opéra. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  82. Pour le mettre en crédit, j'avais fait un opéra, moi, qu'on allait jouer quand je mourus. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  83. Cela sent le collège : je l'avais tiré tout entier de l'histoire de France ; il portait pour titre : les Aventures du Pont-Neuf. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  84. Un sujet tiré de l'histoire de France ! (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  85. Paris n'est-il pas la plus belle ville de France ? (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  86. Ergo, les Aventures du Pont-Neuf sont les plus beaux traits de l'histoire de France. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  87. C'est une figure, ignorant, que nous appelons en latin, pars pro toto ; et en grec synecdoche... (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
  88. Et en français, la folie. (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  89. Avant que d'aller plus avant, je voudrais bien savoir une chose de vous ; car on dit que l'on est si savant quand on est mort ! (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  90. Voyons : là, levez le nez, l'air fixe, le corps ferme, la tête droite ; montrez la langue. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  91. Tirez la langue ; eh, eh ! (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  92. Votre père l'était, votre grand-père l'était, votre bisaïeul l'était. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
  93. Je vous remercie : quand on fera des chevaliers de cet ordre, je vous prierai de faire mes preuves. (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
  94. C'est une chose étonnante, phlégétontique assemblée, que de voir l'affluence d'âmes qui tombent journellement par vos soins dans mon royaume : il faut désormais refuser l'entrée aux survenants, ou faire bâtir des appartements nouveaux ; et, pour cela, je crois qu'il sera bon de lever un droit sur le bois et le charbon qui se brûlent ici-bas : voilà le sujet pour lequel je vous assemble. (Acte 1, scène 8, PLUTON)
  95. J'ai vu autrefois le temps si misérable, qu'il ne venait pas ici le moindre petit griffonneur de sergent, qu'il ne fallût députer un diable tout exprès pour aller le quérir ; et présentement, nous ne sommes employés qu'à les chasser : il faut que les greffiers attendent des années entières à la porte, parce qu'ils ne veulent pas passer devant les conseillers, qui pleuvent ici de toutes parts. (Acte 1, scène 8, PLUTON)
  96. Je suis si soûl des gens de chicane, que dernièrement je fis une querelle d'Allemand à un diable de qualité, qui revenait de Paris ; et je lui fis fermer la porte, parce qu'il avait hanté mauvaise compagnie là-haut, et qu'il sortait du corps d'un procureur. (Acte 1, scène 8, PLUTON)
  97. Je veux que vous soyez témoins de ce que je dis, et que Caron apporte devant vous le livre journal des âmes qu'il a passées aujourd'hui. (Acte 1, scène 8, PLUTON)
  98. Dudit jour, cinquante-sept mille deux cent dix sept, tant fermiers, sous-fermiers, que commis et rats-de-cave. (Acte 1, scène 9, CARON)
  99. Pour les fermiers, tout franc, il n'y a plus moyen de les passer ; ils sont si gros et si gras, que ma barque enfonce. (Acte 1, scène 9, CARON)
  100. Nous ne pouvons pas les refuser, c'est ici leur apanage. (Acte 1, scène 9, PLUTON)
  101. Plus, quinze mille sept cents, tant clercs que procureurs. (Acte 1, scène 9, CARON)
  102. Pour ceux-là, il faut en faire provision ; c'est le bois d'andelle de l'enfer ; et je ne veux pas que l'on brûle autre chose dans mon cabinet. (Acte 1, scène 9, PLUTON)
  103. Quatorze mille douzaines de femmes tant grandes que petites. (Acte 1, scène 9, CARON)
  104. Passé, en corps et en âme, deux carabins de symphonie, soi-disant musiciens de l'Opéra, qui viennent redemander leurs femmes. (Acte 1, scène 9, CARON)
  105. S'il ne tient qu'à une chanson pour avoir sa femme, je vais en dire une nouvelle. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  106. S'il est étonnant de voir un mari chercher sa femme jusqu'aux enfers, il ne l'est pas moins de voir une femme souhaiter avec empressement de retourner avec son mari, quand une fois elle en a été séparée. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  107. Pour moi, je ne suis point de celles qui regardent la séparation d'avec un mari comme la porte de leur félicité ; et j'avoue franchement que je suis d'assez mauvais goût pour trouver qu'il n'y a point de bonheur égal à celui de vivre avec un époux que l'on aime et dont on est tendrement aimé. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  108. Je sais que je ne suis pas du goût d'aujourd'hui, et que pour être présentement femme du bel air, il ne faut prendre un mari que comme un surtout de bienséance, et un paravent de réputation ; mais j'aime mieux n'être pas tout à fait à la mode, et être un peu plus dans la route de mon devoir. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  109. C'est ce qui fait que je viens implorer votre clémence, et vous prier, par tout ce que vous avez de plus cher, au nom de l'amour que vous vous êtes porté l'un et l'autre, de m'accorder la grâce que je vous demande, de me rendre à un mari que je chéris plus que toute chose au monde, et je serai obligée de faire le reste de ma vie des voeux pour la santé et la prospérité de vos majestés diaboliques. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
  110. Ce sont des anciens marguilliers qui veulent passer devant des avocats. (Acte 1, scène 10, CARON)
  111. Oui ; mais ils en appellent devant vous. (Acte 1, scène 10, CARON)
  112. Huissier, faites faire silence ; nous verrons cela tantôt. (Acte 1, scène 10, PLUTON)
  113. Les femmes d'aujourd'hui sont si malheureuses, et l'empire des maris si absolu, que je ne m'étonne plus qu'il y ait tant de filles à marier, et qui regardent le mariage comme l'écueil de leurs plaisirs et le tombeau de leur liberté. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  114. Toute la journée les filles ont le gosier ouvert pour chanter : (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  115. En effet, n'est-ce pas une chose qui crie vengeance, de voir l'inhumanité avec laquelle les pauvres femmes, ces moutons d'amour, sont traitées par ces loups dévorants ! (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  116. Nous voyons pourtant souvent ici des maris qui portent de vilains chinforgnaux sur leur tête. (Acte 1, scène 10, PLUTON)
  117. Pour moi, je vous déclare que, si heureusement mon mari était mort le premier, j'aurais crié ; je me serais couverte, jusqu'au bout des ongles, d'un deuil où le coeur n'aurait pas eu grande part ; mais loin de le venir trouver aux enfers, je me serais bien donné de garde de le chercher. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  118. Ainsi, puisqu'il vient me chercher de si loin : c'est une marque qu'il ne saurait se passer de moi ; mais il ne m'aura que par le bon bout : je prétends avoir des conditions si avantageuses, qu'on ne puisse pas me reprocher d'avoir gâté le métier... (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  119. Comme c'est une chose qui crie vengeance, de voir le peu de dépenses que les femmes font aujourd'hui, je veux avoir plus d'argent que par le passé, et que chacun ait, sa semaine, la clef du coffre-fort. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  120. Si vous l'aviez une semaine, je courrais grand risque la suivante de ne pas entrer en exercice. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  121. Voilà un grand item celui-ci : point de jolies femmes de chambre, c'est-à-dire, que je les choisirai moi-même les plus laides que faire se pourra, et qui auront au moins quarante-cinq ans. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  122. Il faut donc que vous retranchiez aussi les grands laquais. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  123. La la, voyons : j'ai aussi à proposer mes conditions, moi, et voilà des articles que nous ferons signer par des notaires de ce pays-ci ; car je crois qu'il n'y en manque pas. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  124. Une jolie femme comme moi, en tout pays, ne manque point de mari. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  125. Cela est juste ; mais il n'en coûte pas grand'chose gour faire enterrer une petite femme. (Acte 1, scène 10, PLUTON)
  126. Ces diables de corbeaux-là ne les mesurent pas B la toise, et ils rançonnent si exorbitamment un pauvre mari, que souvent il aimerait presque autant que sa femme ne mourût pas. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  127. Je prétends à l'avenir que vous baissiez votre rayon d'un grand demi-pied au moins. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  128. Il vous en restera encore plus d'un grand pied ; et un grand pied de rayon doit suffire à la femme d'un musicien. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  129. Pour cet article-là, néant. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  130. Dans le temps où nous sommes, il n'y a point de femmes qui puissent promettre cela. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  131. Je veux que les enfants que j'aurai dans ln suite (car il faut recommencer sur nouveaux frais) soient élevés à ma fantaisie, et j'en disposerai comme de chose à moi appartenante. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  132. Cela s'en va sans dire. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
  133. Puisqu'elle est votre femme, tous les enfants qu'elle aura ne seront-ils pas les vôtres ? (Acte 1, scène 10, PLUTON)
  134. Vous ne savez pas tout le manège de là-haut, monsieur Pluton : il y a tant de pères qui n'ont jamais eu d'enfants ! (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  135. Après avoir entendu les raisons des uns et des autres, pour vous défrayer des frais de votre voyage, moi Pluton, prince des ténèbres, souverain du Styx et du Phlégéton, gouverneur des pays-bas, président du sabbat, et correcteur né des arts, métiers et professions, je vous permets non seulement d'emmener chacun votre femme, mais toutes celles qui sont en enfer, sans même en excepter Proserpine. (Acte 1, scène 10, PLUTON)
  136. Pour moi, je n'en ai que trop de celle-ci ; mais il y a bien des gens qui ne demanderont pas mieux que de troquer avec vous. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)

Dans les 1895 textes du corpus, il y a 21 textes (soit une présence dans 1,11 % des textes) dans lesquels il y a 5868 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 279,43 occurences par texte.

Titres Acte 1 Acte 2 Acte 3 Acte 4 Acte 5 Prologue Total
1 LA S?R?NADE13500000135
2 LA SÉRÉNADE3000003
3 LE JOUEUR140127104116790566
4 LES SOUHAITS13700000137
5 LES FILLES ERRANTES, OU LES INTRIGUES DES H?TELLERIES.587132000161
6 LE BAL18500000185
7 ARLEQUIN, HOMME ? BONNES FORTUNES.405886000184
8 LES VENDANGES10600000106
9 DÉMOCRITE1381299595720529
10 LA COQUETTE, OU L'ACAD?MIE DES DAMES.916368000222
11 LA COQUETTE, OU L'ACADÉMIE DES DAMES.1744300064
12 LE DISTRAIT0000101
13 LE DISTRAIT1081049796600465
14 LE RETOUR IMPR?VU17900000179
15 ATTENDEZ-MOI SOUS L'ORME12600000126
16 ATTENDEZ-MOI SOUS L'ORME120000012
17 LES M?NECHMES, ou LES JUMEAUX0200002
18 LES MÉNECHMES, ou LES JUMEAUX63203110105930574
19 LA CRITIQUE DE L'HOMME ? BONNES FORTUNES.560000056
20 LA CRITIQUE DU L?GATAIRE960000096
21 LE L?GATAIRE UNIVERSEL0100001
22 LE LÉGATAIRE UNIVERSEL10811699105980526
23 LE DIVORCE1145471006245
24 LE CARNAVAL DE VENISE15565642240193
25 SAPOR11297106115680498
26 ARLEQUIN AUX ENFERS13600000136
27 ARLEQUIN, HOMME À BONNES FORTUNES.021800020
28 LES FOLIES AMOUREUSES0020002
29 LES FOLIES AMOUREUSES01352210078434
30 LES FILLES ERRANTES, OU LES INTRIGUES DES HÔTELLERIES.0070007
31 LE DIVORCE0000033
  Total217512621175674495875868

 

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